La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 702)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°700) - les turpitudes de la soumission -
Lesclave Endymion MDE avait été ramené au Château vers huit heures trente dans un piteux état. A peine parvenait-il encore à marcher, tant il avait subi les assauts des huit gardes présents lors de cette soirée et nuit passée près deux. Tous lavaient entrepris, assailli, bafoué et humilié. Jamais jusquici, il navait vécu un tel outrage, une telle expérience davilissement. A maintes reprises, il avait été utilisé, retourné, basculé, pénétré et enculé avec une bestialité hors du commun. Ces huit rustres mâles en rut, homosexuels et surtout de véritables obsédés sexuels, lui avait semblé insatiables. Endymion MDE avait pris leur pine, des petites, des grosses, des longues, des plus fines, des lourdes, toutes plus tendues et raides les unes des autres, autant par la bouche que par le cul. Parfois même, deux queues avaient tenté au même moment de sintroduire dans le même orifice. Il navait eu en tout et pour tout que deux heures de répit, deux petites heures seulement pour se reposer et tenter de dormir. Mais très vite les pervers ébats avaient repris. Lun des huit gardes, juste avant sa ronde était repassé à loffensive. Il avait attaché lesclave MDE, jambes relevées, cul bien exposé, trou offert et à bonne hauteur, bouche grande ouverte par un écarteur métallique et lavait baisé en linsultant copieusement. Et bien évidemment, ses hurlements jouissifs avaient réveillé la chambrée et tous étaient revenus soccuper fiévreusement de cette catin vide-couilles à disposition. Le Chef des gardes, Maximilien, navait pas été en reste. A plusieurs reprises, il avait besogné Endymion MDE en le tenant, lui, lesclave, responsable de ces furieux assauts, tout en exhortant, en incitant, en encourageant les sept autres gardes de continuer à prendre en de multiples reprises copieusement lesclave MDE par tous ses orifices, den user et den r
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- Regardez-moi, cette pute comme elle ondule du bassin à chaque fois quon la fourre pour prendre au plus profond delle, nos grosses bites qui lenculent. Ecoutez-la gémir, telle une grosse salope boulimique de nos queues. Voyez sa nouille de chien se tendre à chaque fois quon baise cette lubrique catin
Et bien évidemment, il nen fallait pas plus pour galvaniser les sens des mâles affamés de sexe.
- Tu nes quune putain aguicheuse, une salope attiseuse, ne cherchant quà allumer, provoquer et nous émoustiller, la chienne
Bref, lesclave MDE, toute la nuit en avait pris plein le cul et plein la bouche. Il avait été calomnié, dégradé, humilié et avili. Il sentait la sueur, la pisse, le foutre et ne savait pas comment il allait pouvoir tenir la journée qui débutait par son cours strict dAnglais. Et cours danglais, il y avait
Sir William ne sinquiéta guère de la fatigue dEndymion MDE. Il nétait pas là pour ça. Généreusement payé par Monsieur le Marquis dEvans, il se devait de mener sa fonction et mission, coût que coût, quel que soit létat physique de lesclave MDE. Il le regarda hautainement, allant même à le humer dédaigneusement, tout en le faisant installer à genoux sur un mobilier ressemblant en tout point à un prie-Dieu, sauf quen lieu et place de laccoudoir se tenait une petit écritoire. Sir William ne put sempêcher toutefois démettre un commentaire. Il sadressa à Maximilien ramenant près de lui, Endymion MDE.
- On mamène une souillon aujourdhui ! Cette salope pue la pisse et le foutre à plein nez, elle a dû se faire doser le fion toute la nuit si jen crois ce que je sens, si jen crois ce que je vois. Son entrecuisse est encore maculé de sperme, Je suis sûr que son cul en regorge !
Endymion MDE se laissait écarter les fesses, les deux mains de Sir William sétaient saisies des lobes fessiers de lesclave MDE dégageant sa raie. Lécossais attentif commentait encore :
- Cest bien ce que je disais, son trou suinte et ruisselle, cette catin est incapable de contenir ce quon sacharne à lui donner
Au même moment, Endymion MDE recevait trois coups de badine sur son fessier.
- Retient au moins tes plaintes, petite chienne, si tu ne sais pas retenir le jus que lon te donne ! Et cette nouille qui bande, tes vraiment une lope en chaleur
La matinée fut assez terrible, Endymion MDE crut sécrouler à deux reprises, tant il était éreinté, mais à chaque fois, avec un extraordinaire zèle, lEcossais le rappelait à lordre en lui striant le fessier sévèrement. Au bout de ces quatre heures de cours intensif, lesclave MDE pensait être au bout de ses ressources, il se sentait si fatigué, si brisé, abîmé, délabré, exténué comme anéanti. Pourtant, lorsque Sir William souleva son kilt et lui pointa sa bite poisseuse sur ses lèvres, Endymion MDE eut un sursaut et regain dénergie. Il avala cette queue juteuse, lenfourna en fond de gorge et avidement la pompa et la téta frénétiquement, avec un fol empressement
Au même moment sa bite, elle aussi, se redressa encore atteignant, en lespace de quelques secondes, son paroxysme ! En lespace de rien, lesclave MDE avait retrouvé une belle forme physique, simplement en suçant une queue
Ce fut Mademoiselle Lucie qui vint chercher le chien soumis de Monsieur le Marquis. Elle tirait derrière elle, tenue à quatre pattes et en laisse, la jeune et belle soumise Estelle, celle qui avait été confiée, à Monsieur le Marquis par Madame Gabriella et Monsieur Henri, pour être éduquée
La soumise et lesclave Endymion MDE regagnèrent donc ensemble les cuisines toujours tirés en laisse derrière la fille du Noble. Au détour dun de ces longs couloirs aux luxueux décors, Mademoiselle Lucie croisait Monsieur Walter lisant un courrier. Elle linterpellait :
- Ah mon cher Walter, je voulais justement te voir pour te dire que jai eu bien du mal ce matin avec cette petite catin !
Monsieur le Majordome, releva son regard vers celui de Lucie, passant ses yeux au-dessus de ses demi-lunettes et linterrogeait :
- De laquelle de ces deux chiennes, veux-tu me parler ?
- De la femelle !
- Que sest-il passé ?
- Cette chienne est soumise dans lâme, cest sûr, il ny a aucun doute ! Elle a besoin dêtre dominée pour assouvir ces besoins et fantasmes, jen suis certaine, elle aussi dailleurs, mais sans cesse, elle se rebelle et cherche, tente toujours à contrecarrer ou essaie de contester, sinon discuter les décisions que nous prenons pour elle.
- Je vois très bien
lui répondit le Majordome calmement
Monsieur Walter sétait accroupi près de soumise Estelle, la caressa presque tendrement, sa main glissait sur le dos de la soumise, jusquau creux de ses reins. La jeune chienne frissonnait en se cabrant. La courbure de ce corps en quadrupédie aurait excité un mort. Elle était magnifique, superbe avec un port de tête altier, bien que sans chevelure. Ses tétons sétaient érigés sous le joug de cette étreinte, la bite dEndymion MDE, elle aussi sétait dressée
- Alors petite chienne, pourquoi toujours te rebelles-tu ? Parle petite salope
- Je ne me rebelle pas, Walter !
- Monsieur Walter ! Naggrave point ton cas, chienne !
La main du Majordome glissait entre les fesses dEstelle, soudainement son majeur pénétra son anus
soumise Estelle sursauta en poussant en geignement et en disant
- Oh non, pas mon cul
- Comment ça, pas ton cul ?
reprit Monsieur Walter
- Tu vois Walter, cest bien ce que je te disais à linstant, cette garce est toujours dans la négociation et la rébellion ! reprit Madame Lucie
Le Majordome ne fit comme sil navait pas entendu les propos de Mademoiselle Lucie.
- Ton trou cul ne tappartient plus tu le sais bien, comme dailleurs tous tes trous, comme dailleurs tout ton être, tu le sais parfaitement ! reprit-il en faisant aller et venir de plus en plus vite son doigt dans le fondement de cette jeune et frêle soumise, maintenant haletante
De son autre main Monsieur Walter lui donnait une terrible et magistrale fessée
- Accepte ce que tu es petite chienne, tu nas dautre choix que de tout abandonner et de te donner entièrement, totalement. Prends exemple sur le mâle près de toi, regarde, il est devenu une vraie et définitive pute parce quil a su accepter, assumer, nous faire confiance, se prêter et se conformer à nos volontés et ordres pour sassumer et trouver bon son asservissement sexuel, son avilissement total.
Monsieur le Majordome claquait toujours le cul de soumise Estelle tout en la doigtant énergiquement avec maintenant son majeur et son index
- Tu sais ce que lon fait à une soumise irrespectueuse de ses engagements ?
- Non, euh
oui
oui, oui ! Monsieur Walter.
- Que lui fait-on alors ?
- On la punit, Monsieur Walter
- Et daprès toi, dois-tu être punie petite chienne ?
- Oui, Monsieur Walter
- Faute avouée est à moitié pardonnée
Tu recevras donc ce soir avant le coucher, vingt coups de mon ceinturon en cuir sur ton cul de salope et vingt autres sur tes seins
Monsieur Walter avait retiré ses doigts et cessé la fessée, il se redressait et se plantait devant Estelle.
- Mets-toi en levrette devant moi et remercie-moi de toute lattention que je te porte, salope.
Alors quEstelle sinstallait dans la posture ordonnée, Mademoiselle Lucie passait sa main sur les lèvres intimes de cette jeune soumise.
- Tu vois mon cher Walter, cest bien ce que je te disais, cette chienne a besoin de soumission, elle mouille comme une salope en chaleur et je sens son clito tendu vibrant sous mes doigts...
Mademoiselle Lucie retira sa main trempée et la passa sur le visage dEndymion MDE étalant cette liqueur intime sur ses joues, ses lèvres. Lesclave se laissait maculer de cette cyprine, sans broncher, sans rien dire.
- Tu sentais déjà la pisse et le foutre, alors tu peux bien sentir le jus dune femelle en chaleur, un peu plus, un peu moins, tu nes plus à ça près, le chien.
Mademoiselle Lucie ricana vicieusement, tira sur les laisses pour faire comprendre à ceux tenus à quatre pattes quils avançaient afin de regagner les cuisines...
(A suivre
)
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