La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°701)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°699)
A la lecture du courrier combiné aux assauts puissants de Monsieur le Marquis, Olivier ne put s'empêcher de couiner ou de souffler entre les mots à lire. Le Maitre lui rappela clairement Ses ordres :
- Tu dois faire la lecture du courrier et ne pas te laisser submerger par tes instincts de lopette couineuse. Tu m'as désobéi, cela mérite une punition
Alors Ses mains puissantes s'abattirent sur le fessier d'Olivier, celui-ci subissait des fessées cadencées et fortes pendant son enculage. Le Maître linterpella encore :
- Reprend ta lecture, la lope de chienne !
Olivier repris la lecture de la lettre qui le projetait dans sa future existence. Pendant ce temps, le Maître empoignait ce cul à pleine mains en lui écartant la raie de lanus, le pétrissait, lécartait encore comme pour exciter un peu plus encore Olivier. Monsieur le Marquis linsultait aussi, le traitait de la pire des façons. Dabord, il prit son temps à cette sodomie, doucement dans un va et viens lent et régulier, puis il augmenta la cadence jusquà que Ses assauts dans ce trou devenaient désormais dune puissance inouïe, car sil voulait le posséder, prendre possession de ce qui Lui appartient, il voulait lui faire comprendre que cette queue quil avait dans le cul nétait pas nimporte quelle queue, mais Celle du Maître, comme sil voulait montrer sa pleine et entière Domination, Possession. Olivier sentit létau de Ses mains se refermer sur ses hanches et ce pieu de chair lui envahir les entrailles, puis cette main se refermer sur ses génitaux pour les lui comprimer tandis quil était besogné, pilonné à grands coups de reins
une immense satisfaction pour le soumis, il criait, grognait, râlait sous ces coups de bite enragés par Ses virils coups de boutoir et Olivier tenait sa croupe bien offerte et cambrée. Quand tout dun coup, Monsieur le Marquis se mit à éjaculer où il libéra son noble sperme dans un râle jouissif à nen plus finir.
- Debout lopette, main sur la tête et ouvre-moi, maintenant, tes cuisses, ordonna t'il.
Olivier se leva et prit la position. Monsieur le Marquis appela Marie
- Marie, ramène cette lopette au cachot, demain il passera la troisième étape de son stage.
Marie la cuisinière poussa le soumis et celui-ci toujours nu et encagé sentait encore au fond de lui lempreinte du Maître. En rejoignant son cachot, il savait que la nuit serait longue par rapport à la journée passée et par rapport à la projection de sa future vie de lopette-soumise disponible. De plus, demain il allait démarrer une nouvelle session de son stage et il se demanda quand allait se terminer lencagement de son sexe car la tension de celui-ci dans cette cage était douloureuse surtout quand Olivier était excité par les situations de Domination à son égard. En effet, il ne put sempêcher de penser quen plus davoir reçu la Noble Semence de Monsieur le Marquis, son sexe navait pas arrêté dessayer de bander et donc que son corps trahissait ses sensations
Le lendemain, il fut réveillé par Walter avec son tact habituel
- Allez, la putain de lope debout, on tattend pour lessayage de ton collier de chien et ici on ne nous fait pas attendre
Olivier ne comprenait pas, il était déjà encagé et on nallait pas quand même lui mettre un collier !
- Allez dépêche-toi, dit Walter autrement je vais être obligé de te corriger (Walter brandissait une cravache et la fit siffler dans les airs)
Olivier accéléra le mouvement. Walter lui expliqua la suite :
Monsieur le Marquis impose que tu portes un collier
Ce collier sera gravé aux Armoiries de la Noble Famille des Evans, et si tu te montres bien obéissant, tu pourras le porter en permanence, ce qui reste un privilège ici. Mais pour linstant, on va aller à son essayage
Le Majordome emmena Olivier à quatre pattes en tirant sur la laisse du soumis jusquà une grande pièce fermée par une lourde porte métallique flanquée dun clavier à code en guise douverture.
- Nous allons procéder au choix du collier. Mais dabord, je veux voir si tu as bien compris ce quon attend de toi. À genoux le chien
Olivier prit la pause en sexécutant agenouillé face à Walter. Il se remémora le message de Monsieur le Marquis dEvans :
Tu dois mobéir mais aussi obéir à ceux pour lesquels jai toute confiance.
Walter allait maintenant procéder à la sélection du collier, mais dabord, il y avait un cérémonial :
- Avant de mettre ton collier, je dois vérifier si tu es un bon chien bien obéissant. Tête baissée, fesses rebondies. Je veux que délicatement tu écartes avec tes mains tes fesses et ainsi me montrer ta rondelle de lopette
Olivier obtempéra sans dire mot. Il prit la pose et avec ses mains dévoila son intimité au Majordome. Celui-ci apprécia le spectacle.
- Bien, dit Walter, voilà un anus qui ma lair bien accueillant. Nous allons voir si tu es un bon chien ou une truie couineuse
Le Majordome sortit alors son sexe déjà en semi-érection, dans quelque instant, il allait posséder ce soumis.
Puis Walter poussa puissamment son membre jusqu'à la garde jusquà quil décida de rester planté en coït anal profondément et un bon moment sans bouger faisant bien comprendre à Olivier quil nétait quune bonne chienne à enculer. Ensuite, le Majordome continua le pilonnage dans le but de prendre son plaisir. Cest au bout dun bon moment quil commença à entendre le soumis pousser des râles de plaisirs. En effet, Olivier prenait plaisir à se laisser prendre ainsi. Il le manifestait clairement, ce qui poussa Walter à accen ses coups de reins jusquà se retirer pour éjaculer. Car connaissant les consignes de Monsieur le Marquis, il juta sur les fesses du soumis. Ses larges mains avaient empoigné les couilles du soumis pour les serrer dune pression qui fit crier Olivier. Mais aussi cette pression sur ses bourses excitait également le soumis car elle lui procurait un plaisir de soumission intense
Walter linsulta copieusement par des noms humiliants en se reboutonnant et en lui crachant sur le cul souillé de sperme et désormais de crachats.
- Allez le chien, debout, on va te trouver un collier qui sied à ta condition de soumis.
Walter choisit trois modèles et finalement son choix se porta sur un épais collier en cuir noir où les nobles Initiales du Maître était sertit en plaqué or sur le devant et ce collier permettait dattacher une sangle. Ainsi Olivier pourrait être promené et la sangle pouvait servir à corriger le soumis. Cest à ce moment-là que Marie arriva avec son air habituel dune stricte sévérité perverse :
- Tient, je vois que ce chien porte enfin son collier. Mais quil a un arrière train bien souillé
- Oui jai marqué cette petite pute de mon jus. Il a un cul bien serré, un vrai plaisir !
Marie savait ce que cela voulait dire et que Monsieur le Marquis exigerait que cette rondelle sassouplisse. La vicieuse cuisinière continua à destination du soumis :
- Bon puisque tu es sale, on va procéder à un lavement. Et cest cette chienne dEmilie qui va sen occuper. Walter veux-tu amener ce chien, nous allons lui faire une beauté ! Moi de mon côté, je vais chercher soumise Émilie
(À suivre
)
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