Vercingétorix
Vercingétorix. Roi des Arvernes. Ca pose un homme, surtout sur une carte de visite. Un italien nommé César sen foutait : il venait conquérir la Gaulle, son rêve depuis quil était ado, il venait conquérant. Commence une chevauchée digne des westerns. Et je te cours après, et je te rate, et que je recommence, que tu men flaque une que je te rends. Ils étaient devenus ennemis intimes. Chaque coup en vache ils y avaient droit. Une nuit pas loin de Clermont Ferrand, le Vercin, au cours dun repas léger : huitres de Bouzigues (expédition directe par charriot diplomatique, potée au chou avec plus de lard que de choux, une découverte venue du midi : un ragout de fèves avec des canards confit, du porc et de la saucisse, lensemble passé au four pour le griller un peu (nommé cassoul, pas définitivement au point), une moitié de Cantal pour finir de le caler. Donc Vercin sen met plein la panse avec une voisine curieuse de voir le grand homme.
Il était habillé comme un chef avec des braies colorées, une tunique constellée détoiles (comme un vrai général en chef quil était). Ses moustaches indiquaient sa qualité dhomme, de véritable homme. Il y en avait pas mal dans le secteur, mais lui
..Lui, tout le monde le savait bandait après chaque repas. Cest même pour ça quil était recherché par les gauloises de cru. Cette gauloise, donc, réputée dans son bled pour sa vivacité, tenait à voir cette queue fabuleuse. Il possédait, dit-on un manche gros comme un manche de pioche.
Pourtant un photo dépoque dun journal à scandale le montre au bord dune plage de Bretagne, à marée basse, nu, la flamberge au vent : il nétait pas plus gros que la moyenne (un peu comme moi pour les curieuses), cest ce que dit ma femme juste avant que je la
..Et puis ça ne vous regarde pas, cest ma vie privée. Non mais
. Il était donc relativement normal, surtout pour un général gaulois.
Re donc, je disais quune gauloise (non, pas une cigarette, une dame de cette époque) voulait voir de près.
Il arrivait ce qui devait arriver : il lui montre sa queue. Plusieurs personnes regardent, des camarades à lui, un espion de César, deux ou trois nanas et ce curieux individu qui nest pas connue. Elle examine la bite avec attention. Elle part un peu sur le coté gauche. Pour en avoir le cur net, elle la prend dans sa main, la serre à peine, sans vouloir lui faire de mal au contraire. La bite gonfle par miracle. Tous les assistants séclaffent sétonnent de la rapidité de la montée de ce sexe. La femme se trompait : il bande droit.
Quil bande droit ou tordu, on lui a donné envie de faire un break. Cest elle qui a excité le général, à elle de le détendre. Le sous-général condamne aussitôt la coupable : sucer le Vercin. La voilà sous la table (place réservée normalement aux soiffards. A genoux entre les tessons de bouteilles de lépoque (dont de vieux bourgognes) Elle sarrange lentement, pas pressée de lécher une bite pas très propre. La punition doit être exécutée.
Elle commence par prendre la queue du généralissime par la base, avec une main, puis un autre : elle tient ainsi beaucoup de place sur la bite (toujours ça de moins à se flanquer dans la bouche) Elle laisse le prépuce où il est. Avec un dégout parfait elle le prend dans sa bouche. Elle commence à pomper : elle fait ressortir un gout pas dégueu. Elle ne lèche plus, elle ne suce plus, elle déjeune. Elle reprend gout à la vie en suçant normalement, comme une femme bien élevée, comme sa mère le lui a appris. Le Veercin est tendu, ses mains tiennent la tête pour éviter quelle ségare.
Il allait partir dans ce monde merveilleux des rires et des chants
. Pardon, je me trompe, il allait partir dans lorgasme quand une jalouse, une envieuse, une incomprise veut sa part. Elle vient poser ses fesses sur la table, juste en face de Vercin qui nen croit pas ses yeux : une chatte brune, décolorée à cet endroit pourtant sacré veut aussi une caresse.
Les gaulois, fier des exploits public de Vercin sont près à le suivre jusquà Alésia, mais pas au-delà.
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