Ronan Et Gwénaëlle À Paris.
Ronan :
A 22 ans, après trois années universitaires passées à Rennes non loin du domicile de nos parents, Gwénaëlle, ma jumelle et moi, nous poursuivons nos études dans la capitale. Même si nous avons choisi des branches différentes, nous nous sommes arrangés pour ne pas nous quitter. Grâce aux relations conservées sur Paris, nos parents ont trouvé à louer un petit appartement dans un quartier populaire où nous disposons chacun dune chambre.
Nous avons hérité de nos père et mère un tempérament chaud qui, depuis le printemps de nos 18 ans, nous a toujours poussé à multiplier les expériences sexuelles les plus diverses. Ainsi, je sais que ma sur (elle me la confié quelques temps après) a été initiée aux plaisirs saphiques par Hermine, une camarade de lycée, lors de notre voyage détudes en Italie. Plus tard elle a découvert combien faire lamour avec un garçon pouvait être source de jouissances diverses. Quant à moi jai été dépucelé par la mère dune copine lors de notre soirée danniversaire que nous fêtions dans leur résidence secondaire située sur le golfe du Morbihan. Ensuite, nous ne nous sommes plus privés pour faire des coquineries, soit chacun de notre côté ou lors de parties à quatre
Très tôt vers la fin de notre adolescence, nous avions découvert la sexualité, notamment lorsquun jour, nous avions pu observer sans être vus, nos parents en train de faire lamour sur sa table de la salle à manger. Depuis ce jour-là, chaque fois que cette opportunité nous était offerte, nous les observions. Chaque fois, nous étions très excités et nous avions pris lhabitude, Gwénaëlle et moi, de nous masturber jusquà la jouissance. Jamais nous ne nous sommes touchés mutuellement.
Ensuite, tout naturellement, ces masturbations à deux nous ont incité à poursuivre la découverte de la sexualité. Mais en fait ce nest quassez tardivement que nous avons eu des relations sexuelles. Nos parents nous avaient mis en garde contre la transmission de certaines maladies et vivement conseillé de nous protéger, quelque soit notre partenaire.
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Après avoir pris nos marques, lun et lautre, nous avons recommencé notre chasse ! Si jétais un hétéro inconditionnel, Gwénaëlle a jeté son dévolu sur une camarade quelle avait remarquée dans un amphi de la fac. Elle ma alors avoué que, pour les garçons, elle verrait plus tard ! Elle avait envie de retrouver la douceur des étreintes féminines qui lui avaient tant manquées au cours de ces derniers mois où elle navait eu de relations quavec des hommes plus ou moins jeunes et qui sétaient avérés être dominateurs ou jaloux
Je ne sais pas ce que Gwenaëlle et Sophie avaient pu se dire avant que je la rencontre pour la première fois. Alors que nous avions prévu de nous retrouver tous les trois pour un petit diner au restaurant avant daller voir un film, Sophie est arrivée avec une autre fille, Amandine. Elles partageaient également un studio dans une commune de la proche banlieue.
Les trois filles étaient assez semblables. Toutes les trois avaient une silhouette longiligne agréable à contempler, assez grandes avec des formes menues mais quand même bien marquées et mises en valeur par des sweatshirts et pantalons bien ajustés. De longs cheveux plus ou moins foncés tombant sur les épaules encadraient un visage ovale à peine maquillé.
En attendant dêtre servis, jai pu remarquer Gwénaëlle et Sophie, qui, assises côte-à-côte sur la banquette, narrêtaient pas de se frôler les mains, de se parler à loreille. Bref, je ne savais pas qui courtisait lautre mais, connaissant ma sur, je pense quelle avait déjà du poser quelques banderilles pour faire succomber Sophie ! De mon côté, jai entrepris de faire plus ample connaissance avec Amadine qui était dans sa première année détudes supérieures. Faute davoir trouvé une autre solution, elle avait été contrainte de se loger en colocation avec Sophie, mais soulignait-elle, elle ne partageait pas les goûts de cette dernière.
Le repas terminé assez rapidement, horaire du film oblige, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans lobscurité des la salle, dans lordre Gwénaëlle et Sophie à ma gauche et Amandine à ma droite. Vers la fin du film, il y a eu quelques scènes assez violentes et Amandine sest collée contre moi, prenant ma main dans la sienne pour la serrer. En me penchant vers elle, je lui dis à loreille :
- Ne crains rien, ce nest que du cinéma !
- Je sais, mais je ne peux mempêcher ! Jai toujours eu peur de ce genre de scène car je ne peux manquer de penser que cela arrive dans la vie réelle !
- Hélas, la violence est partout dans ce monde !
Il était bien plus de minuit quand le film sest terminé. En sortant de la salle, Amandine a glissé son bras sous le mien et nous sommes sortis derrière Gwénaëlle et Sophie, qui elles, se tenaient tendrement enlacées par la taille. En marchant, je sentais la hanche dAmandine heurter doucement la mienne et la chaude rondeur dun sein peser sur mon avant bras. Nous nous sentions bien ensemble.
Nous somme rentrés tous les quatre à notre appartement. Ma sur et Sophie étaient de plus en plus chaudes à se rouler des pelles ou se peloter ouvertement dans le métro ! Je ne voulais pas quAmandine rentre seule chez elle car elle avait un peu de chemin à faire à pieds depuis le terminus de la ligne. Joffrais de lui céder mon lit alors que je coucherais sur le canapé. Ce nest pas que je navais pas envie de lui faire lamour car elle était désirable mais je ne voulais pas la croire fille facile, prête à coucher dès le premier soir.
Aussitôt arrivées, Gwénaëlle et Sophie se sont réfugiées dans la chambre de ma sur doù des éclats de rire et des gloussements sans équivoque nont pas tardé à fuser. Assis lun à côté de lautre sur le canapé, je bavardais avec Amandine et nous nous sommes confiés nos projets davenir
Elle devait rapidement terminer ses deux années de B.
Lorsque je lai conduite dans ma chambre, nous nous sommes souhaité une bonne nuit en nous embrassant comme deux copains. De retour dans la pièce commune, jai pris une couette et un plaid et je me suis allongé sur le canapé. Quelques heures plus tard, jai été éveillé par Amandine qui avait froid. Cest vrai que je ne chauffe pas ma chambre
et elle ne portait que son soutien gorge et un tanga assortis. Elle grelotait littéralement, tremblant comme une feuille des pieds à la tête :
- Viens sous la couette avec moi, tu verras, tu ne tarderas pas à te réchauffer.
Nous nous sommes couchés lun contre lautre, Amandine lovée dans mes bras en me tournant le dos, nous nous sommes rendormis rapidement... Au petit matin, je me réveillai avec une érection impossible à dissimuler qui tendait mon slip et se trouvait logée entre les fesses dAmandine qui dormait encore. Javais un bras passé sous son cou et je ne voyais pas comment faire pour me dégager et chaque fois que je voulais prendre un peu de distance, javais limpression que le petit cul dAmandine se collait encore plus contre moi ! Soudain, une murmure :
- Fais-moi lamour ! Jen ai envie, je suis si bien dans tes bras !
Comment résister à une telle invitation ? Pendant que je cherchais un préservatif et que je me couvrais, Amandine a fait glisser son tanga et, restant dans la même position quau réveil, elle ma attendu :
- Viens, prends-moi à la paresseuse !
Je me suis glissé derrière elle qui a écarté ses fesses et une cuisse pour que je puisse la pénétrer ainsi. Lorsquelle a senti que jétais engagé dans sa chatte, elle sest reculée delle-même pour que jentre complètement :
- Oh oui ! Prends-moi bien !
Et je lai prise ainsi, me glissant entre ses fesses menues et empaumant un sein encore maintenu par son soutien gorge.
- Ouiii ! Continue ! Cest bon !
Lentement jai commencé les allers-retours en veillant à ne pas sortir de son vagin étroit. Elle accompagnait mes mouvements de petits cris et de soupirs discrets mais lun comme lautre, nous sentions notre plaisir monter rapidement. Je devais me retenir car je navais plus fait lamour depuis plus de six semaines quand nous avions quitté la Bretagne. Je métais offert une belle partie de jambes en lair avec une vague copine, lun et lautre un peu bourrés. Elle se sentait un peu seule et en manque de sexe, partie qui, au petit matin, nous avait laissés ivres de fatigue et de plaisir. Soudain, Amandine sest pressée contre moi, projetant vivement ses fesses à la rencontre de mon pubis au moment où elle jouissait. Jai immédiatement lâché deux ou trois gerbes de foutre au fond de la capote. Waouh ! Que cétait bon !
Nous sommes restés enlacés de longs moments à savourer notre plaisir commun ! Cette fille dà peine 19 ans était une véritable bombe sous ses apparences sages. Jétais encore au fond de sa chatte quand elle a entrepris de masser ma queue par de savantes contractions de ses muscles intimes si bien que ma bite a rapidement retrouvé sa splendeur
Mais à ce moment là, Amandine sest dégagée et ma fait rouler sur le dos, mon sexe dressé vers le plafond comme un épieu sur lequel elle est venue semmancher après mavoir enfilé une nouvelle capote ! Là, elle navait plus froid. Dans le clair obscur de la pièce, je la voyais désormais intégralement nue, ses petits seins bien ronds cependant et dune blancheur laiteuse balançant doucement au gré de ses mouvements de bas en haut.
Je laccompagnais en inclinant plus ou moins mon bassin pour que ma bite aille bien tout au fond de sa chatte qui continuait à pressurer mon gland par des douces contractions. Elle savait y faire cette coquine ! Mais là, cest moi qui suis parti le premier, jouissant au moment où elle était totalement empalée sur moi. A-telle senti les jets de sperme frapper le fond du préservatif ? Toujours est-il quelle a joui aussitôt en poussant un grand râle et en saffalant sur mon torse.
Nous étions encore dans cette position, les jambes emmêlées, quand Gwénaëlle et Sophie sont sorties de la chambre de ma sur, tout juste vêtues dune culotte des plus réduite pour passer toutes les deux dans la salle de bains. De nouveaux gloussements nont pas tardé à fuser au travers de la porte. Elles devaient être ensemble sous la douche
Après un copieux petit déjeuner pris assez rapidement, Sophie et Amandine nous ont quittés pour rentrer chez elles.
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises au cours du premier trimestre. Quand je savais que Sophie viendrais rejoindre ma sur, jallais retrouver Amandine. Les uns comme les autres, nous étions libres de baiser comme nous en avions envie, cela dautant plus quAmandine mavait confié ne pas aimer sexhiber devant dautres personnes. Moi, cela ne me gênait absolument pas, avec Gwénaëlle, cela nous était arrivé assez fréquemment de faire lamour avec nos partenaires du moment les uns à côté des autres.
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Quelques mois ont passé et nous approchons de la fin de lhiver. Les relations entre Gwénaëlle et Sophie sont de lhistoire ancienne : Ma sur a rencontré dans une boite où elle était allée danser un homme dune bonne dizaine dannées de plus quelle et il semblerait que ce dernier la comble de plaisirs car elle découche assez régulièrement. Quant à moi, au retour de vacances de Noël, Amandine ma annoncé quelle sétait fiancée avec un copain de sa ville. Elle ma remercié de ce que je lui avais donné avant les vacances mais elle ne souhaitait plus continuer avec moi ! Sur le coup, jai été un peu triste car je mentendais bien avec elle sur tous les plans et nous avions tissé une belle complicité sexuelle.
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Gwénaëlle :
Après les quelques mois de ma relation avec Sophie, ja i rencontré Alan, un homme de 35 ans qui immédiatement ma séduite. Grand blond à lallure sportive, je dois avouer que nous nous sommes dragués mutuellement le premier soir si bien que nous nous sommes donné rendez-vous dans le même établissement le samedi suivant. Au petit matin Alan mayant fait une cour plus quappuyée, je me suis retrouvée dans son appartement au sixième étage dun immeuble du XIIIème arrondissement. Je métais un peu fait prier car je ne voulais pas passer pour une fille facile mais javais tellement envie dun homme que je me suis laissé emporter par cette envie
Cest vrai que plus de quatre moi sans avoir été prise par un mâle, un vrai (pas de ces jouets vibrants qui me satisfont quand je suis en manque) çà fait long !!!.
Jétais prête à me livrer entièrement à cet homme, sans complexe, totalement consentante à ce qui allait se passer ! Lorsquil ma conduit dans sa chambre où nous attendait un grand lit bas, ma chatte était déjà toute liquide tant javais envie de sentir un sexe vivant en moi ! Alan a rapidement dénoué les codons de mon caraco et il la fait glisser sur mes épaules, dévoilant ma poitrine ronde présentée par un soutif à demi-bonnets qui a pris le chemin de la moquette aussi vite que mon caraco. Je navais plus sur moi quune minijupe plissée, un collant fin, mon string bon à tordre et mes chaussures à talons hauts. Jétais presque aussi grande quAlan.
Nous avons recommencé à nous embrasser comme dans la boite, collés lun à lautre, lui cherchant à insinuer une cuisse entre les miennes alors que jondulais du bassin pour faire grimper son érection que je sentais contre mon pubis. Nos mains sur les fesses, nous nous pressions lun contre lautre. Puis Alan sest attaqué à ma poitrine en faisant rouler mes tétons sensibles entre ses doigts ! Waouh ! Que cétait bon ! Ma chatte ruisselait littéralement !
Jai fait glisser le collant, le string et ma jupette et jai entrainé Alan sur son lit où je me suis offerte à lui, impudique, les cuisses ouvertes en grand sur ma chatte à la toison courte et taillée en cur sur laquelle il sest précipité pour un cunni magnifique qui ma fait partir une première fois. Ensuite il sest déshabillé (waouh, le beau mec, musclé, hâlé) et jai découvert ce membre viril qui faisait pleurer denvie ma chatte qui naspirait quà une chose : laccueillir ! Il navait rien de remarquable ! De grosseur moyenne et dune vingtaine de centimètres de longueur, il me convenait tout à fait !
Alan sest couvert aussitôt et dune longue poussée, il est entré en moi, collant son pubis contre mien. Humm ! Jétais tellement humide quil est entré sans forcer. Jai noué mes jambes sur ses reins pour ficher sa queue plus encore dans ma chatte brulante et ly retenir. Je navais certes pas oublié combien faire lamour avec un homme pouvait être bon, mais là, jétais comblée au delà de toute attente ! Jétais tombée sur un baiseur attentif qui outre prendre son plaisir, allait men donner à satiété ! Alan faisait de longs mouvements de son bassin, sortant presque à chaque fois de mon sexe avant dy replonger le sien du mouvement sec qui me faisait vibrer comme une corde trop tendue
si bien que je nai pas tardé à jouir une seconde fois, entrainant Alan dans mon plaisir ! Oh que cétait bon de sentir les jets de sperme même au travers du préservatif !
Ce dimanche matin là, nous avons baisé comme des fous ! Allan ma prise dans toutes les positions les plus classiques du Kamasoutra en me disant que je nen avais pas fini avec lui :
- Puisque tu es une chaude, je vais te faire connaitre de mes amis qui vont te baiser comme tu le mérites !
Je dois avouer que lorsquen début daprès-midi, il ma déposé au pied de mon immeuble, jétais vannée, ivre de jouissance répétées si bien que je me suis couchée jusquau lundi matin après être passée sous une douche tiède.
Depuis bientôt un mois, je passe une grande partie des weekends avec Alan, généralement jarrive le samedi en fin daprès midi jusquau dimanche soir. Nous faisons lamour comme des furies. Je nai jamais eu un amant aussi endurant ni aussi inventif dans ses caresses mais ce soir là, quand jarrive chez Alan, je trouve la table dressée pour quatre personnes. Quand je linterroge il répond en souriant :
- Il sagit dun couple damis que je vais te présenter. Ensuite nous sortirons mais avant je vais te montrer les habits que tu porteras ce soir !
Jai à peine eu le temps de me changer, de me remaquiller et coiffer que ces amis arrivent. Il sagit dun couple qui doit avoir sensiblement le même âge quAlan. La fille est une grande blonde aux cheveux ondulés tombant jusquau creux des reins. De grands yeux verts, un petit nez mutin et une bouche un peu large aux lèvres artistement maquillées dans un visage à lovale parfait en font une jeune femme délicieuse à regarder. Elle porte une robe bustier très largement décolletée au point quon voit une grande partie du haut dune poitrine opulente. Très courte, cette robe découvre la moitié de ses cuisses rondes gainées de soie arachnéenne. Ses jambes se terminent par des escarpins noirs à très haut talons qui, quand elle se déplace font à Karine une démarche ondoyante et sensuelle. Je pense aussitôt en moi-même que je lui ferais volontiers un peu de cour pour peu quelle partage mes penchants bisexuels
Autant Karine est blonde, autant Sergio est brun et mat de peau. Dailleurs son accent italien me confirme ses origines méditerranéennes. Grand également, il a un visage mâle avec des yeux noirs perçants. Son polo siglé dune célèbre marque moule étroitement ses pectoraux et son ventre plat. Bel homme ! Sur de son pouvoir de séduction.
Le repas léger se déroule rapidement dans une ambiance chaude faite dallusions coquines ! Ces trois là semblent très bien se connaitre. Nous quittons ensuite lappartement dAlan et dans la voiture de ses amis, nous nous dirigeons vers le centre de Paris où nous ne tardons pas darriver et de pénétrer dans un parking souterrain. Dans lascenseur qui nous remonte au niveau de la rue Alan et Sergio me bandent les yeux et me guident en me tenant chacun par un bras :
- Tu vas découvrir un lieu où tu vas pouvoir téclater. Laisse-toi guider !
En tendant loreille, jentends Sergio parler avec un homme qui nous dit dentrer. Entrer où ? Vous ne vous en doutez pas ? Mais si ! Jentre dans un club échangiste pour la première fois ! Je vais découvrir ce qui sy passe ! Jamais je navais eu loccasion dy entrer ! Là en groupe, cela ne me posait pas de problème.
Les yeux toujours bandés, les deux hommes mont conduite vers le bar où ils mont retiré le bandeau. Quelle découverte ! Les deux serveuses qui officiaient derrière le comptoir étaient plutôt dévêtues : un haut en filet aux mailles assez larges découvrait en partie leurs seins et un minishort en tissu brillant moulait leurs fesses. Autour de nous il y avait une dizaine de personnes des deux sexes, plus ou moins vêtues et dans des poses plus que lascives.
Pendant que les deux hommes bavardaient avec le gérant du club, Karine ma guidée pour parcourir les différentes salles où jai découvert toutes les installations. Quand nous sommes arrivées dans un petit salon libre, Karine ma enlacée, collant son corps contre le mien en prenant ma bouche dans un baiser torride :
- Viens, jai envie de toi et comme je devine que tu aimes aussi les femmes, nous allons nous satisfaire mutuellement !
Ce programme me convenait tout à fait et il allait ouvrir une soirée dont je me souviendrais longtemps. Quand nous faisions lamour, deux hommes se sont approchés de nous en masturbant doucement leur bite bandée à mort et quand nous avons joui, ils se sont invités dans notre duo ! Après un rapide cunni, ils nous ont baisées toutes les deux en levrette puis après que la jouissance nous ait emportés, ils nous ont quittés.
Raconter tout ce qui mest arrivé cette nuit là serait trop long mais je vous laisse imaginer ! Jai été baisée, rebaisée, enculée (cest rare) par Sergio, jai sucé au moins une demi douzaine dhommes qui ne se sont pas gênés pour cracher leur foutre sur mes seins ou dans ma figure. Pour une première, jai fait fort ! Mais cette nuit de folies sexuelles ma tellement comblée que je nai quune hâte : recommencer !
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