Je Suis Une Petite Salope
Comment je suis devenue une petite salope
Deux mois après notre retour dAmazonie, (voir récit sur le site) jean ma demandé en mariage ; il maimait en silence avant notre départ et je ne lai compris quà la fin de notre séjour. Il me savait enceinte et il y avait peu de chance que ce soit de lui. A la naissance de ma fille, une superbe petite métisse, il a été fou de joie et pour nous, cest sa fille.
Mais malgré quil soit très performant, nous faisions lamour tous les jours, que je sois très amoureuse de lui, je dois reconnaitre que jétais en manque ; le souvenir de ma sexualité lors de mon séjour et les performances de ces indigènes, surtout celle du sorcier, mamenais à me masturber en cachette ; jusquau jour où jean sen aperçut ; je dus lui avouer que si je prenais un réel plaisir avec lui, je pensais souvent à ces multiples saillies. Après un moment de doute, il ma pris dans ses bras et ma dit :
« À nous de trouver une solution ; cela ne ma pas perturbé de te voir avec un homme, et même je dois dire que cela mexcite encore parfois ; essayons de reproduire des situations similaires ; tu pourrais faire lamour à un autre ou à plusieurs hommes en ma présence «
Ce soir-là nous en sommes restés à cette possibilité et il ma pris comme un fou, me défonçant avec force ; nous pensions tous les deux à la même chose : moffrir. Il est rentré un soir, avec un paquet :
« je lai choisis pour toi et pour cette soirée ; prépares-toi nous sortons » direction la salle de bain ou je découvre de très jolis sous-vêtement, à savoir un soutien-sein, un string et une robe noire, courte en dentelle ; une douche, un joli maquillage et je sors delà salle de bain ; le regard de mon homme traduit le résultat ; en effet, la robe laisse facilement découvrir mes dessous, et quand je me penche, elle remonte à la lisière de mes fesses, découvrant mon petit triangle damour ; membrassant tendrement, il me dit « ce soir , tu vas être honorée, je nen doute pas un instant » et me prenant par la main, nous quittons la maison.
Cest un club libertin qui nous accueille, et le patron nous le fait découvrir, bar, piste de dance, sauna, jacuzzi, coins câlins et quand nous passons dans un couloir obscur je sens des mains se promener sur mes fesses ; un moment darrêt et cest sur mon minou que des doigts sactivent. Ma chatte est vite humide et quand nous en sortons, la rougeur de mon visage traduit mon émoi ; gentiment, le patron me le fait remarquer et avec un grand sourire, il me promet une bonne soirée. Le pantalon de jean est grandement tendu, et nous décidons de nous rendre dans le jacuzzi. Nous ne sommes pas seul, deux couples, très afférés et trois hommes qui les regardent ; notre arrivée détournent les regards, et quand je descends, une main maide et se pose sur ma cuisse quand je massoie ; très rapidement elle investit mon minou et je ne peux retenir un gémissement ; un regard vers mon jean, qui a rapidement compris et qui madresse un signe daccord. Mon acceptation est évidente et lhomme me prenant par les aisselles , me hisse sur la margelle et sa bouche se plaque sur ma vulve ; sa langue me fouille et mon plaisir monte rapidement ; jean à coté me regarde , et il sécarte un peu quand les autre se rapprochent et sémettent à me triturer les tétons ; pour moi , cest un point très sensible et mon plaisir éclate, bruyant ; les yeux fermés, je moffre, avançant mon bassin vers les doigts qui ont investies mon conduit et mon sillon. Jai envie de me faire prendre et jean la compris ; me tendant la main, il me fait sortir de leau et se dirige vers un grand matelas , posé à même le carrelage ; moment de flottement parmi les baigneurs, et il faut un encouragement de jean , pour quils nous rejoignent ; je ferme les yeux et en invite, jécarte le jambes ; je sais que je me comporte comme une salope en moffrant ainsi mais mon envie est trop grande et je veux me faire baiser ; quand une queue se présente à lentrée de mon vagin, un frisson me traverse le corps et mon ventre réclame ;(à cette époque, le vih nexcitait pas) la possession est brutale, sans concession, fougueuse et brutalement, je repense aux saillies subies avec bonheur dans la case ; jécarte le suisses le plus possible pour le membre que jai dans la chatte me pénètre le plus possible et quand il se retire, après mavoir remplie de sperme, je ne peux retenir un oh de déception, vite repris car, à nouveau ,un membre entrouvre mes lèvres ; celui ci est plus gros , plus long et il me remplit, buttant au fond de ma matrice quand il me laboure ; plus performant aussi, il mamène plusieurs fois à la jouissance et à son tour, il me féconde.
Ce soir là, cinq hommes ont honoré ma chatte, et deux lont fait à deux reprises et cest épuisée que jai quitté le club. A aucun moment, je ne me suis occupé de jean, toute à mon plaisir, malgré que je sois très amoureuse de lui. De retour à la maison, je me suis blottie dans les bras de jean, lui qui était resté à mes cotés, me laissant prendre mon plaisir, sans rien demander ; un peu inquiéte malgré tout de ses réactions ; la queue bandée il ma allongé sur le dos et en me regardant avec amour, il ma possédé tendrement, ce que jai beaucoup apprécié ; cétait mon amour et après mavoir fait jouir, il ma dit
« jai pu voir ton plaisir avec tous ces hommes, et moi jai pris beaucoup de plaisir ; jai retrouvé les memes sensations que lors de notre expéditions ; jaime te voir jouir sous la queue dun autre et
»
Je nai pas entendu la fin, endormie , heureuse. Nous venions douvrir la porte à une nouvelle vie, en un mot il était candaulisme et nous allions en profiter.
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