Piégé 5
Je lèche
. je lèche la fente de ma femme. Cette fente dont je ne suis plus le seul à en profiter. La semence qui sécoule me ramène à ma condition de soumis.
Je métais fait un plaisir dhéberger Manon, espérant baiser une petite oie blanche quelle semblait et au final, cest moi qui me suit fait avoir. En manque de sexe, les bourses pleines, jai trop envie, nimporte quel palliatif à une jouissance du moment que la luxure est présente, alors lécher le sperme de lamant de ma femme devient naturel.
Manon me regarde, je me sens petit face à elle, faible face à sa détermination. Elle ma amené où elle voulait, je me suis soumis à ses désirs, ses caprices. Manon a manuvré pour Sophie, jai suivi, aveuglé par mon orgueil de mâle, je me suis laissé enfermé par ma vanité. Maintenant mon sexe est sous clé, Sophie a la clé, ma jouissance ne mappartient plus.
Le carillon de lentrée me sort de mes pensées, machinalement, tout en continuant à lécher Sophie, je cherche son regard.
Tu vas ouvrir mon chéri me dit-elle en souriant
Même plus la force de protester, de me rebeller. Nu, le sexe en cage, je me relève et je vais ouvrir.
-Salut !
Cédric, mon meilleur copain
.accompagné par un type que je ne connais pas
Les deux hommes font deux pas à lintérieur et sarrêtent net. Me scrutant de la tête au pied, Cédric est surpris, il jette un regard vers Sophie.
Euh cest space tout ça ! Je te croyais seule
je ne savais pas que
.
Sophie sétait avancée sans un mot, elle se colla à Cédric et lembrassa à pleine bouche. Ma femme, ma petite femme prude et réservée, se conduisait comme une salope juste devant moi. Et moi, je reste debout nu comme un con à tenir la poignée de la porte.
- Tu avais envie de me baiser ?! Non ? Alors viens
Sophie prit Cédric par la main et lamena dans le salon.
- Euh, salut, moi cest Laurent. Tiens jai ramené une bouteille.
Je pris la bouteille, ferma enfin la porte et partit la mettre au frais.
A mon retour au salon, Sophie était assise sur les genoux de Cédric, il me regardait en souriant.
Ben dis donc mon gars, tu men as caché des trucs.
Je ne répondis pas. Sa main de boutonna deux boutons de la robe de Sophie et disparut dans louverture. Sous la fine étoffe, je la voyais caresser le ventre de ma femme.
- Nous sommes un couple très ouvert répliqua ma Sophie en direction de Cédric.
Il sourit, sa main progresse sous la robe, elle saisit un sein libre, le caresse puis passe au suivant.
- Un couple libre avec une sexualité débridée rajouta Sophie en posant sa main sur la bosse de lentrejambe de mon ami.
Manon se leva, pris lautre gars par la main qui la suivit.
- Nous on monte, à plus !
Un regard vers nous et le gars encore tout étonné de la situation colla Manon dans la montée de lescalier. Le couple disparut à létage, la porte de la chambre se ferma.
La main de Cédric avait glissé sur le corps de Sophie, passant de ses seins à son ventre.
- Tu nas pas de culotte
. Toute lisse aussi
.hum
.jadore
- Jai pas le choix, cest mon mari qui aime que je sois rapidement accessible.
Sophie mallumait en prononçant ces mots, elle ouvrit largement ses cuisses en finissant sa phrase. Sous le tissu, la main avait profité de laubaine. Cédric ne me regardait plus, il était absorbé par le corps de ma femme. Sa main sortit de sa cachette, elle remonta sur la robe et défit les boutons un à un de haut en bas. Au fur et à mesure quelle souvrait, les pans de la robe sécartaient et laissaient apparaitre le corps nu.
Plus que deux boutons et elle serait entièrement ouverte
.Un petit mouvement dépaule à droite, puis le même à gauche, les deux bretelles de la robe étaient tombées, entrainant tout le tissu avec.
Cédric avait les yeux exorbités, le dernier bouton ouvert, Sophie était nue, assise sur les genoux de mon copain, face à moi.
-Salop ! Cest trop bon ce que tu me fais
..tes doigts
.humm
Cédric ne disait rien, caressant le sexe offert, léchant le sein proche de sa bouche.
- Tas envie te faire sucer ?
Pour seule réponse à Sophie, Cédric lui enfonça deux doigts dans la fente et mordit son téton.
Un regard sur moi, un petit geste de la tête, javais compris.
Sous le regard plein de vice de ma femme, je mapprochais et je me plaçais à genou devant mon copain qui semblait ne pas comprendre.
- Euh je ne suis pas pédé moi
.
-Chut, laisse-toi faire, il faut bien quil ait lui aussi sa part de sexe
.
La main de Sophie ouvrit la ceinture, puis le bouton et la tirette du pantalon.
-Enlève
.
Cédric tira tant bien que mal sur son pantalon et son caleçon, Sophie sassit à côté de lui, tenant sa queue dressée dans sa main.
Je me penchais sur lui, sans un regard et je pris son sexe en bouche.
- Putain, si tu mavais dit ça
Cédric nen revenait toujours pas. Sophie posa ses lèvres sur ma joue délicatement et me susurra
- Suce le bien pour quil ne parte pas trop vite quand il va me baiser
.fais ça pour ton copain..
Ecartant bien les cuisses, Cédric moffrait un accès facilité à son sexe. Je le suçais avec ardeur, lavalant tout du long puis passant ma langue sur toute la longueur. Sophie me regardait, Cédric lui pelotait les seins sans vergogne, je suçais.
- Cest bien mon chéri, tu fais ça comme un pro. Je suis presque jalouse de ta technique. Tu aimes Cédric ?
- Ca fait bizarre de se faire sucer par son pote mais il suce comme une reine
.trop bon, je ne vais pas tenir longtemps.
-Te retiens pas, il nattend que ça, vide toi dans sa bouche et après tu pourras me baiser plus longuement
.
Les soubresauts de la queue de Cédric ne laissaient pas de doute sur son excitation, il allait jouir.
Javalais tout. La queue perdait de sa rigidité mais je la gardais en bouche, continuant à la sucer, la lécher, attendant un ordre de ma femme. La queue totalement flasque, Cédric voulait se lever pour aller uriner mais Sophie len empêcha.
-Il faut vraiment que jaille pisser, je vais exploser sinon.
-Attend, regarde comme il est amoureux de ta queue, il ne la pas lâchée.
Sa bite était redevenue toute flasque, Cédric me regardait incrédule.
-Tu ne veux quand même pas que je lui
..dans la bouche
.
Sophie lui sourit, elle se colla à Cédric en lui disant quelle était bien avec lui, la sur le canapé. Elle lembrassa à pleine bouche. Leur baiser ayant à peine débuté quun petit jet durine tiède gicla dans ma bouche. Javalais, me préparant à recevoir la suite.
-Non, ça je ne peux pas.
Cédric se leva et partit aux toilettes. Lentendant se vider, Sophie me sourit.
-Alors mon chéri, pas trop déçu ? Taurais pas voulu le boire.
Je ne répondis pas, la regardant de haut en bas, scrutant tout son corps superbe avec lequel javais pris tant de plaisir. Cédric ne tarda pas et se rassit au même endroit.
A létage, le silence était revenu, Manon et son amant avaient fini. Levant la tête, je voyais les deux accoudés à la rambarde de la mezzanine. Sophie sen apercevant également, elle demanda à Manon de lui ramener son vibromasseur.
Cédric ne disait plus rien, il regardait Sophie, Manon, ma queue dans sa cage. Tout cela lui semblait irréel, être à poil chez moi, se faire sucer par son copain sous le regard de sa femme. Voir ce même copain nu à genou devant lui, le sexe emprisonné dans une cage pendant que lui profite des charmes de sa femme.
Manon arriva, elle donna le vibromasseur à Sophie et sassit à côté de Cédric.
Sophie se pencha vers lui et lui dit
-Il ta tiré ton jus, on va lui tirer le sien.
Sans arrêter de lécher consciencieusement Manon, jessayais dêtre attentif à ce quil allait se produire. Sophie allait me faire jouir, elle allait enfin me libérer et au moins me branler ou me sucer.
Manon me prit la tête et me la plaqua bien sur sa fente. Le ronron du vibromasseur se mit en marche, allait elle aussi se branler en même temps que moi ? Je neus pas le temps de trop y réfléchir, en un instant je sentis les vibrations contre la paroi de la cage de chasteté. Sophie le tenait bien au niveau de mon gland, les vibrations se propageaient à travers le métal, ma queue essayait désespérément de gonfler. Terrible sensation, ma queue semi molle qui vibrait, toute mon entrejambe réagissait, je ressentais des choses que je navais jamais encore ressenti.
Du plaisir, pas vraiment, plutôt comme une envie duriner montait entre mes cuisses. Mon sexe cherchait à échapper au supplice mais à chaque fois Sophie réajustait lappareil et le repositionnait au bon endroit. Je tremblais à moitié, je ne pouvais plus tenir, vaincu par les vibrations, je me lâchais et ne me retenais plus duriner. Un lent filet blanc sécoula de mon sexe en cage, ce nétait pas de lurine mais du sperme qui sécoulait dans un flot continu. Je navais pas joui, aucune sensation de ce côté-là mais Sophie mavait vidé de mon sperme, quelle frustration.
Javais arrêté de lécher Manon, je regardais ma coulée de sperme qui formait une petite flaque sur le carrelage. Je navais pas joui, je métais vidé mais javais pas joui. Javais toujours une grosse envie de sexe mais jétais vidé de mon sperme.
- Lèche et nettoie bien !
Lordre de Sophie avait déchiré le silence dans la pièce. Je mexécutais
-Putain ! Incroyable ! Tes une loppette ! Si on mavait dit ça
.
Cédric nen revenait pas. Ayant tout léché, je relevais la tête, voyant la queue bien dure de mon copain entre les mains de ma femme. Tout en me regardant, une main avait glissé entre les cuisses de ma femme et lautre entre celles de ma belle-sur. Le choix du roi, il se faisait palucher par ma femme et doigtait simultanément les deux femmes assises à ses côtés. Toutes deux, les cuisses bien écartées pour lui offrir le meilleur accès mais aussi pour que jai une vue imprenable.
Sophie tenait la queue bien droite, Manon se pencha et la pris dans sa bouche, lui prodiguant une pipe très sensuelle, son regard accroché dans le mien. Ne pas sexciter, javais du mal à ne pas réagir à ce spectacle cruel, ma queue cherchait à se dresser dans son écrin mais impossible. Voyant mon inconfort Manon cessa sa fellation et se redressa.
-Tiens la droite ! mordonna Sophie en me désignant la queue dure.
Je pris le membre chaud et dur dans ma main et le maintenais comme le voulait Sophie.
Elle passa une jambe par-dessus Cédric, sinstalla face à moi au-dessus du mat dressé et descendit doucement tout en me regardant. Je mappliquais à bien positionner le sexe pour quelle puisse semmancher dessus.
-Bien mon chéri, tu me las mise du premier coup.
Le gland écarta les lèvres et il disparut absorbé par la fente de Sophie. Doucement, centimètre par centimètre, la queue de mon copain disparaissait au fond de lintimité de Sophie.
-Elle est plus grosse que la tienne mais tu vois, elle rentre quand même sans problème.
Sophie était complètement empalée sur le sexe de Cédric. Caché par le corps de ma femme, il nétait plus quune bite sur laquelle ma femme coulissait et des mains qui jouaient avec sa poitrine.
-Je le sens bien, il me remplit complètement, cest bon un homme. Après ça si je prenais ton sexe dans le mien, je ne le sentirai pas tellement il mélargit.
Sophie montait et descendait doucement sur ce sexe, ma femme se faisait baiser par mon copain sous mes yeux et je regardais.
-Mon chéri, je taime, tu ne peux pas savoir comme je taime
.mais cette queue me rend folle. Jai envie de partager avec toi, jai envie de baiser avec toi, tu veux bien
.
Lexcitation montait dans les propos de Sophie, ses doigts écartaient ses lèvres pour bien me montrer cette queue qui la remplissait. Je mavançais et ma langue se posa sur son sexe, léchant cet accouplement, aussi bien le sexe male que féminin. Au contact de ma langue Sophie soupira puis gémit.
-Oooh mon chéri, cest bon ce que tu me fais, ta langue bénit notre union, cest bon
. Viens, fais lamour avec nous aussi.
-Je ne peux pas, mon sexe est sous clé !
Sophie allait craquer et me libérer, jallais retrouver ma liberté, une érection et baiser.
-Aaahh, cest trop bon, je ne peux pas arrêter
. Manon
.
Sophie fermait les yeux et écoutait son plaisir, la clé de ma soumission était toujours accrochée au pendentif autour de son cou. Cette clé me semblait si proche et si loin, mais Manon allait la récupérer et me libérer enfin.
Manon avait disparu de mon champ de vision, elle se trouvait comme son amant derrière moi. Un liquide froid coula entre mes fesses, un doigt entra dans mon cul. Sophie ne voulait pas faire lamour avec moi mais elle voulait que je baise en même temps quelle. Je sentais Manon qui me doigtait, un puis deux, puis trois. Des mains dhommes qui tiennent mes hanches, un gland qui se pose sur mon sphincter et pousse. Je résiste, il pousse à nouveau, je résiste toujours. Manon me tire brutalement sur les couilles, mon sphincter cède, le gland entre, je me fais enculer. Sans ménagement, en deux coups, lamant de Manon menfile complètement, il me déchire, jen arrête de lécher Sophie.
Sophie est surexcitée, elle reprend ma tête et la colle à son sexe, reprenant ses mouvements de plus belle. Derrière, lhomme ne me laisse pas trop de répit, son sexe coulisse dans mes fesses, la brulure du début sapaise mais il sen fiche, il me baise, je ne suis quun trou pour lui.
Sophie jouit bruyamment, sextasiant sur le sexe de Cédric, moquant le mien en comparaison, Cédric la suit dans la minute, le couple resta soudé un moment, un filet de sperme suintant de leur accouplement.
Derrière moi, lautre continuait à baiser mon cul, à quatre pattes, face aux deux femmes et mon ami, seuls les bruits du bassin cognant mes fesses remplissaient la pièce. Lexcitation retombait, la queue de Cédric se ramollissait, elle séchappa du corps de Sophie et pendait devant moi pleine de semence. Au-dessus, de la fente de ma femme coulait le sperme, il glissait sur la queue de Cédric.
Sophie avait les yeux fermés, Cédric la serrait contre lui, lui caressant les seins à pleine main. Dinstinct, je pris ce sexe dans ma bouche, léchant toute trace de semence, suçant le bout pour en tirer les dernières gouttes de jus dhomme.
-Putain, ton mec il en veut toujours plus !
La remarque du copain de Cédric avait fait ouvrir les yeux de Sophie, me voyant le sexe dans la bouche, elle sourit.
Un cri de jouissance, les hanches tenues fortement, collé à mon cul, mon amant se vida en moi en me disant que mon cul était un bonheur.
-Il en veut toujours plus et je vais lui en donner toujours plus répondit Sophie avec un sourire malicieux au coin des lèvres.
Le sexe se retira de mes fesses, jétais bien ouvert par cette sodomie.
-Chéri, tu es trop ouvert, tu vas couler sur le tapis, je ne veux pas que tu le salisses.
Javais à peine levé mon regard vers Sophie, que je sentais les mains de Manon sur mes fesses. En un instant, je sentis à nouveau mon anus sécarter et cette fois-ci encore plus quavant. Elle allait me déchirer.
-Tinquiète Sophie, je lui ai mis un bouchon, il va tout garder et va bien rester ouvert au cas où.
Un claque sur les fesses et Manon me demanda de me tourner. Je présentais mes fesses à Sophie
-Oh putain
.il a pris ça !!!
Sophie semblait surprise par la taille mais le cul défoncé par la sodomie, je ne savais plus très bien si la douleur provenait de la pénétration ou de la taille de lobjet.
A suivre
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!