Collection Anne Ma Muse. Sur Les Monts Du Jura. Jules, Le Fils (1/2)
Bonjour, nous nous sommes retrouvés avec Christ.
D'un commun accord nous décidons de reprendre mes aventures.
La différence entre nos premiers récits et aujourdhui cest que je suis une jeune retraitée de 65 ans.
Avec Pierre, mon ami et amant lui dix ans de plus que moi, nous avons décidé dacquérir un chalet un peu rustique près du mont de la Neige dans le Jura au-dessus de Thoiry où se trouve un centre commercial.
Ce centre Pierre ou moi nous nous y rendons rarement, car nous nous contentons du minimum pour vivre.
Pour les courses, la ferme des Dubois père et fils et la boulangerie de Madeleine un peu plus bas dans le village nous approvisionnant largement.
Tient, cest drôle en dictant ces lignes à Chris, je me rends compte que la boulangère, pipelette du village, porte le nom des petits gâteaux que son mari fabrique et quelle vend.
Cette ferme où nous laissons nos voitures pour monter jusquà notre chalet à un peu plus dun kilomètre.
Cest ce qui a causé ma perte lautre jour quand un orage ayant éclaté alors que je revenais dune balade avec Jeanne, le poney offert à Jules par sa mère prénommée Jeanne elle aussi.
Cest lucien qui a donné ce nom à ce poney lorsquelle a levé le camp avec un bel italien conduisant une voiture de sport rouge au dire de Madeleine.
Elle a vu lorsquils ont filé, en préparant sa vitrine.
Bref, je me suis fait tremper et pour éviter la mort le père Julien ma proposé de faire sécher mes vêtements trempés devant la cheminée allumée.
Ce fut ma perte pour mon plus grand plaisir, le père Julien ma fait lamour devant cette cheminée.
Les paysans possèdent un Comtois et un poney, tous les deux de beaux étalons.
Julien est très bien aussi sa queue étant épaisse et noueuse.
Merci à cet orage, bien que je doive éviter de trop en profiter.
Pierre est loin dêtre dun tempérament jaloux, mais ses insuffisances liées à lâge et à quelques petits ennuis de diabète et cholestérol.
Cest un des buts de ces sorties comme aujourdhui, le renouvellement de ses médicaments tous les mois.
Tout ceci pourrait sarranger si Pierre réduisait le beurre et la crème que jachète chez les Dubois, mais même dans les haricots verts, il veut que jen mette.
Pierre, je lai accompagné jusquà la ferme ce matin pour quil reprenne sa voiture, de mon côté jai profité de sa présence pour seller Jeanne et partir me promener montant vers la forêt.
Julien, ma regardé son éternel mégot au coin de ses lèvres me faisant un peu la gueule pensant certainement me baiser dans la paille près des chevaux dans lécurie.
Nous verrons cela au retour, Pierre mayant de nouveau négligé depuis lorage.
Je monte Jeanne et je prends un chemin me menant près de la forêt.
Sans en faire le tour, je la longe avant plus dune heure plus tard je me retrouve à la source au-dessus de notre chalet.
Cette source, cest elle qui a été captée un peu plus bas et qui alimente la citerne en eau de notre chalet ainsi quun chauffe-eau nous donnant de leau chaude.
Quand je dis que nous vivons près de la nature, nos douches fluctuent au rythme des saisons et des perturbations climatiques.
Lhiver, ça va, lété il arrive que le débit diminue et il faut faire attention au niveau de la cuve.
En ce moment, depuis lorage, tout va bien, ça se voit à leau claire qui coule entre les pierres et les herbes folles.
Je my arrête comme chaque fois que je passe dans le coin.
Jeanne aime boire cette eau fraîche après la chevauchée que nous venons de faire.
Jaime mallonger sur lherbe fraîche et denlever basket et fuseau.
Jouvre ma chemise, le soleil leur fait du bien.
Depuis combien de temps suis-je endormie, impossible de le dire, mes seins me brûlent, jai dû prendre un joli coup de soleil quand je me réveille en sursaut.
Un loup blanc est au-dessus de moi et me regarde.
● Rust au pied, cest vous Anne, jai vu Jeanne de là haut, je savais que cétait vous.
Mon père fait celui qui déteste Jeanne à cause de ma mère, mais il laime bien même si de sa vie, les chevaux ils les regardent.
Dans sa jeunesse, son père a voulu le ramener du champ sur un grand-père de notre Comtois, il est tombé et ça en a été fini de monter sur le dos des chevaux.
Je referme ma chemise précipitamment, par chance après mêtre lavée dans la source, principalement ma chatte un peu irritée par le frottement de la selle, jai remis ma petite culotte rose.
Rust est avec Jules qui arrive de la forêt avec un gros panier de champignons.
● Anne, vous pouvez rester comme vous êtes, des femmes jen ai déjà vu !
● Je men doute, quel âge avez-vous ?
Rust sur linjonction de son maître sest couché près de nous.
Jules pose son panier et sassoit près de moi.
● Jai 31 ans.
Je fais un rapide calcul, au sein de mon entreprise de transports à Besançon calculer de tête était la base de mon métier.
70 le père, 31 le fils, presque 40 ans les séparent, quel âge avait la mère, je lignore, était-elle très jeune, je lignore !
Jai envie de lui poser la question, mais jai de la retenue.
● Et Jeanne, elle a quel âge ?
Pardon, il a quel âge ?
● Le poney, mon âge, maman avait 22 ans quand elle me la acheté.
Jai ma réponse, un déjà vieux avec une jeunette, un bel Italien certainement en Ferrari et comme Perrette adieu vos vaches, cochons et couvées et la voiture lemporte.
Je me rends compte par la chaleur de nouveau sur mes seins que ma chemise sest de nouveau ouvert.
Je vais pour la refermer.
● Non laissés, ils sont très beaux, je suis sûr que si tu te redresses un peu, ils seront comme ceux des femmes plus jeunes que je rencontre.
En prononçant ces mots, Jules avance sa main et me palpe sans vergogne.
Le soleil me chauffait, maintenant cette main, cest elle qui me chauffe, même ma chatte qui mouille à en crier denvie.
Je le vois se redresser et venir se placer dans ma fourche.
Je dois lui crier stop.
Son père a été en moi il y a peu, je serais une salope si je me laissais faire.
On a des convictions, mais elles sont vite balayées lorsquil se penche et se met à me lécher dessus ma petite culotte.
Un « non » veut sortir de ma bouche.
● Oui, continu, jadore.
Attends, enlève-moi ma culotte.
Voilà comment nous les faibles femmes nous devenons des salopes à lappel de notre sexe.
Je me soulève, il tire, elle senvole et elle atterrit sur la tête de Rust qui avec ses dents commence à jouer.
Je devrais me demander comme je vais faire pour redescendre, ma chatte seulement protégée par mon fuseau.
On est loin dêtre en situation, car sa langue sattaque à mon clitoris.
Sattaque, cest un grand mot, cest moi qui tends mes reins pour quil sorte un peu plus de sa cachette et quil mapporte des ondes de plaisirs.
Je me pame de plaisir rapidement, car si cest un paysan, comme il me la dit, il a déjà eu des femmes.
Je sens quil soccupe de la ceinture de son jean délavé ayant des ouvertures plus dues à lusure du temps quà la mode des jeunes actuelles.
Ma main part à laventure et jarrive à sortir ce pieu presque exacte réplique de celui qui ma fait jouir devant la cheminée lautre jour pendant lorage.
Une légère différence pourtant noueuse certes, mais plus longue.
Le mal est fait, quand il se redresse et que je la vois, terminé les tergiversations père ou fils, il me la faut en moi.
● Comment, dit-on en milieux parisiens, peux-tu me faire une fellation !
● Pourquoi, chez vous comment, dit-on ?
Dailleurs, je suis de Besançon pas des milieux parisiens.
● Chez nous, on demande que vous nous suciez le poireau !
Pourquoi attendre plus longtemps pour lui sucer le poireau comme il dit et quel poireau ?.
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