Vieille Chopée Aux Chiottes
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il sappelle Marc. Il a aujourdhui 35 ans. Châtain aux yeux bleus, plutôt grand, bien bâti.
Toujours, il se souvenait de cet été 1994, il y avait plus de vingt ans. Ses parents lavaient amené en Corse, sur une plage sauvage, et tous faisaient du naturisme. Pas Marc, lui, pudique, il gardait un slip de bain, comme la plupart des jeunes en présence. Mais les adultes, eux, ne se gênaient pas pour se promener nus.
Alors bien sûr, Marc sexcitait sur toutes ces « femmes matures » qui se baladaient ça et là, le pubis à lair, leurs opulentes fesses bronzées, leurs seins un peu pendants. Ca avait des formes si généreuses, les vieilles !
Lune delle lavait marqué plus quune autre. Cétait Michèle, une amie prof de sa mère. Elle avait alors près de quarante ans, comme tous les adultes en présence. Blonde aux cheveux courts, elle avait la peau très blanche, évitant le soleil. Et des formes qui firent fantasmer Marc : joliment gironde, elle avait les hanches amples et dodues, des seins en poire bien pleins, volumineux, un petit ventre magnifique au dessus de sa mignonne chatte, peu pileuse et blonde. Sa belle chair laiteuse, très blanche, avait donné de folles idées à Marc
Et le temps a passé. Marc ny pensait plus que part quelques rêveries éparses, de plus en plus rarement. Il avait maintenant 35 ans.
Une fête est organisée par la famille et ses amis
Marc nallait plus trop aux fêtes de ses parents, mais cette fois il était venu
Et là, entre tous ces « vieux » qui discutent et boivent, près du barbecue ou du buffet, Marc la voit.
Michèle.
Il lavait déjà revue, mais très vite, Michèle était restée une amie de la famille. Il entendait parler delle, parfois. Elle était toujours prof dhistoire dans le lycée de sa mère.
Elle devait approcher les soixante ans. Ses cheveux, devenus mi courts, avaient viré au gris clair, sa peau restait toujours pleine, et plus fine et blanche quavant.
Sans réfléchir, il sapprocha delle, zigzaguant entre les convives. Michèle était alors un peu à lécart, adossée à une colonne de la grande terrasse. Elle lui offrit un grand sourire, chaste, pour le fils de sa meilleure amie quil était.
-Bonjour Michèle.
- Bonjour Marc.
Ils se firent la bise. Normal. Puis échangèrent des banalités. Marc bandait.
La musique avait démarré plus fort, vieux refrains des années passées, et les vieux allèrent danser, bousculant un peu Marc contre Michèle. Marc resta alors collé contre elle, figé. Michèle sentit la forme chaude et dure de Marc pressée contre sa cuisse, au travers des tissus. Elle rougit, mal à laise. Puis essaya de rire :
-attention Marc, tu
La main de Marc se glissa entre ses jambes, caressa son genou, relevant sa jupe pour se glisser dessous.
-allons, mais
que fais tu ?
La respiration de Marc était forte. Michèle sentait son gros sexe de jeune qui se frottait à elle, chaud. Sous la robe, la main de Marc alla entre ses jambes, sur son intimité. La culotte de Michèle était humide. Elle trembla :
-Tu
non
arrêtes
Cétait un chuchotement, embarrassé, qui ne voulait pas être entendu des convives qui dansaient. Quelle honte, alors !
La main de Marc allait sous sa culotte, ses doigts pénétraient sa chatte. Son autre main malaxait un de ses gros seins moelleux au travers de la robe.
-Ho, Marc, non
non non, implora doucement Michèle, gênée avec tout ce monde autour qui pouvait les voir. Son souffle saccélérait.
-Alors je veux te voir toute nue. Maintenant.
-quoi ? non, tu
non
ho ?... ho
Michèle haletait, les doigts de Marc dans sa chatte sous sa jupe. Si gênée ! avec tout ce monde autour !.. bien que Marc la cachait des gens, collé à elle, avec sa grosse bite contre sa cuisse qui déformait son short.
-Ha
on va nous voir, arrêtes
ho... cest indécent
-ça texcites en vrai, tes trempée Michèle, dis Marc. Allez viens, sinon je continue et ils vont nous remarquer.
Oh non, quelle horreur ! Michèle ne voulait surtout pas vivre ça ! Quelle ait tort ou raison, quel embarras, quelle honte ! Elle se laissa tirer par le bras par Marc. Il lamena dans la maison. Sur le chemin, elle sétait mise en tête de bien le disputer :
-Tu es fou, Marc ! ça ne se fait pas ! Tu
je
non !
Michèle ne trouvait pas ses mots. Marc la plaqua contre une porte, pelotant ses rondeurs au travers de la robe. Dans sa fougue, il faisait remonter la jupe de Michèle tout au haut de ses cuisses blanches. Michèle était prise de court, perdue
Elle avait chaud
Et des gens pouvaient passer !
Dailleurs un couple arrivait !... Marc ouvrit une porte et elle se laissa amener avec lui.
Cétait des toilettes. Propres, plutôt grandes, un cabinet. Marc ferma le loquet et alla sasseoir sur la cuvette fermée. Il avait le visage du démon ; mais si beau aussi, jeune
Michèle trembla , elle commençait à transpirer.
-Ici on est en sécurité, cest fermé, dit Marc. Mets toi toute nue comme convenu et je te laisse tranquille.
Michèle était complètement perdue, hagarde :
-Tu es fou, non
-Si tu le fais pas, on sort devant tout le monde et je te déshabille moi.
Il se pencha et lui claqua les fesses :
-jaime bien tes belles grosses fesses, Michèle, tes bonne ; Décide toi .
Quelle autorité ! Et quelle folle situation ! Michèle était chamboulée. Elle transpirait, là, seule avec Marc dans ces toilettes.
Sans un mot, elle commença à ôter sa robe. Marc lui expliqua quil laimait depuis tout petit . Bizarrement, ça toucha Michèle. Mais elle était trop outragée à lidée de se retrouver toute nue devant lui pour sen étonner. Ce jeune était fou ! Et quelle honte pour elle !
Michèle fut bientôt en soutien-gorge et culotte
-Voilà, cest bien, commenta Marc en la fixant.
Elle obéit. Il fallait que ça finisse.
Et la voilà à poil devant lui, tremblante, jambes serrées et ses mains essayant en vain de cacher ses gros seins. Approchant maintenant de la soixantaine, son corps navait plus autant de tenue quavant, mais il restait beau comme dans le souvenir de Marc. Très blanc, vulnérable, les hanches bien girondes, la poitrine énorme, et sa belle chatte naturellement sans presque de poils. Ses chairs tremblottaient un peu, signe de lémoi de Michèle. cétait magnifique.
-Voilà, dis Michèle timidement, tu as eu ce que tu voulais ?
Sans un mot, Marc baissa son short, dévoilant sa belle verge dressée. Il était bien membré, près de 25cm en érection, si excité ! Michèle eut un coup de chaud, son cur saccéléra encore.
Marc lui dit quil laimait.
-quoi ?... non
je pourrais être ta mère ! dit mécaniquement Michèle, à bout de souffle, sans pouvoir détacher ses yeux de sa grosse queue qui bandait.
-Tu me plais comme ça. Mets toi à genou et suce moi, ordonna Marc, toujours assis sur le cabinet, sa grosse bite offerte.
Elle nosa pas refuser. Sagenouillant lentement, ses rondeurs blanches bougèrent avec elle, tremblottantes. Marc lui prit larrière de la tête et colla sa bouche sur son gros gland turgescent. Cétait très chaud, et ça sentait fort. Mais cétait doux.
-daccord, mais après cest fini, marc, dit-elle.
Sa culotte était trempée. Elle commença à suçoter le gland de Marc. Mais il lobligea vite à enfourner complètement sa grosse bite. Michèle en eut plein la bouche.
-oh ? hoqueta t-elle.
Il lui tenait les cheveux, la forçait à faire ce quil voulait. Michèle dût lécher longuement les bords gonflés de sa grosse verge. Elle ahanait, bousculée, obligée. Nue devant ce jeune, en train de lui sucer la bite
elle ? la prof bien rangée ?... Cétait très gênant.
Elle salivait sur sa bite, la léchait, la suçait. Ça nen finissait plus, mais Michèle shabituait.
Il laimait ?...
Elle le sentait venir. Sa bite enflait encore, dure et bouillante dans la bouche de Michèle.
Dans un râle de bonheur, marc lui emplit la bouche de semence. Cétait chaud, odorant, au goût amer ; Vu que Marc la tenait fermement, Michèle avala ce quelle put pour ne pas suffoquer
Le sperme de Marc plein sa bouche... Sa chatte, libérée de ses habits, était trempée, elle avait limpression quelle dégoulinait par terre entre ses genoux.
-lève toi, viens tasseoir sur moi, dis Marc au bout dun moment.
Perdue, la bouche pleine sperme, Michèle vit que Marc, toujours assis sur la cuvette fermée, rebandait déjà. Son sexe était dressé, dur, grand, huilé de la propre salive de Michèle, et de semence
Il avait une odeur forte. Comme la bouche de Michèle.
-Quoi ? non Marc, cest trop, non, soffusqua Michèle, suffoquée.
-Tu dis non mais en vrai ten a envie, tu veux que je te baise
Viens.
Il la releva de force par les cheveux et lamena vers lui, tout contre lui. Le ventre rebondi de Michèle se retrouva contre ses jeunes pectoraux, elle était debout, les jambes écartées au dessus de son sa grosse bite dressée comme un pal. Michèle sentit que sa chatte ouverte gouttait dessus. Son cur battait la chamade.
-Non Marc, on ne peut pas
pourquoi ? Je
je ne suis pas de ta génération.
Ses jambes tremblaient, mais elle se laissait faire.
-Tu me plais Michèle.
Il lempala sur sa grosse bite dure. Ça glissa tout seul, bien que Michèle eut un suffoquement :
-Ho.. hooooooo
Sa chatte était toute remplie de cette bite. Le cur de Michèle saccéléra encore, elle avait de lélectricité partout. Marc commença à la soulever en vas et viens réguliers, faisant rentrer et sortir en elle sa grosse bite.
-Non, Haaaa, hooo, haaaa, non Marc, on ne doit
ha haaa.., implora Michèle.
-Taimes ça, Michèle, on est bien là, non ?
-Hoo, non
non, faisait Michèle en se faisant baiser comme une chienne dans les chiottes. Mais ses dénégations devenaient faibles, elle ahanait, se tortillait sans forces, en sueur.
-Ho si, taimes.
-Ho ha han han
ha
Michèle était incapable du moindre mot, elle gémissait, tandis que les mouvements donnés à son corps par les mains de Marc samplifiaient, lui enfonçant sa grosse bite dans les entrailles.
-Dis moi que tu aimes, quon est bien là tous les deux. Tes bien, Michèle ? lui susurrait Marc en la besognant den dessous, ses mains agrippées à ses hanches rondes et blanches.
-Ho
haaa
non
oui
je
han han, oh Marc ! Hooooooooo
Michèle nen pouvait plus de se faire baiser comme ça, cétait incroyable ! Quelle honte, mais aussi quelle intensité ! Elle avait chaud, était suffoquée, elle jouissait.
Marc était trop bien en elle, dur, chaud et humide. Il la baisait bien.
-Dis tu aimes.
Michèle gémissait, en extase :
-Oui, haaaa, oui jaime
haaa
jaime !... hooo
oui, Marc, cest
haaaaa
jaime !
--oui, moi aussi, han han ! La besognait Marc. Il ne pouvait plus se retenir : haaaa
Agrippé à ses grosses fesses blanches, il éjacula en elle à grand coup de reins, qui firent tressauter sur lui le corps grassouillet de Michèle.
-Ho oui, ouiiiiiiiii, criait Michèle, en le serrant dans ses bras. Elle sentait son sperme brûlant lui remplir la chatte, tandis que sa cyprine dégoulinait sur lui
Cétait merveilleux !
Après leurs orgasmes, ils restèrent un temps indéfini collés lun à lautre, si bien !... Marc, toujours assis sur la cuvette, avec Michèle à cheval sur lui, en sueur, ses gros seins mous pressés contre sa poitrine, et sa chatte qui coulait sur lui. Sa bite était toujours en elle, se ramollissant imperceptiblement. Il faisait toujours quelques légers mouvements en elle, et Michèle y répondait par de petits mouvements incontrôlés du bassin, le serrant fort contre elle. Marc palpait ses grosses fesses, et ses hanches dodues
Mais dun coup
Blam !... Ils sursautèrent. La porte des toilettes sétait ouverte sur eux ! Nétait-elle pas verrouillée ?
Par-dessus lépaule de Michèle, Marc vit avec horreur que cétait Paul, le mari de Michèle, qui venait dentrer.
Paul était un colosse velu, la soixantaine musclée, très intimidant. Voyant sa femme à poil et en sueur, vautrée sur Marc, il roula des yeux furibonds, mais ferma tout dabord la porte. Il ne voulait sans doute pas que tout le monde sache que Marc baisait sa femme !
-Putain de salope, gronda t-il, enragé.
Marc était pétrifié, ne sachant que dire
mais curieusement, sa bite redevenait dure dans la chatte de Michèle.
Michèle, en panique, qui avait reconnu la voix de son mari, voulut se décoller de Marc, se relever, mais la main puissante de Paul se plaqua sur son dos, la forçant à rester comme elle était, contre Marc, avec sa bite en elle
-Paul, gémit-elle, ne trouvant pas ses mots, je
je
non, cest
-Ta gueule salope, rugit Paul. Alors cest comme ça ? Taimes te faire baiser par des petits jeunes ? Tes vraiment une chienne ma parole !
La retenant toujours contre Marc, avec sa jeune bite en elle, Paul commença à se débraguetter de son autre main :
-Les putes comme toi, ça mérite dêtre punie. Je vais tenculer à sec, Michèle.
-Hein ? quoi ? non ! non, pas ça Paul ! salarma Michèle. Jamais elle navait été sodomisée, même pas par son mari. Elle le lui avait toujours refusé.
Sans lécouter, Paul sortit sa bite de son pantalon ; En érection, elle était très large, entourée dune masse de poils, avec un gros gland violacé :
-Oh si, je vais te la mettre dans le cul, sale chienne . Et Marc va te baiser en même temps.
Cétait de la folie ! En panique, mais ne pouvant toujours pas bouger de sa position sur Marc, avec la main de son mari qui appuyait sur son dos, Michèle implora :
-Non pitié ! Je ten prie Paul, ne fais pas ça ! Pas ça ! pitié !
Marc bandait à mort, dans la chatte de michèle qui se resserrait sur sa bite dure. Il avait le visage paniqué de Michèle joue contre le sien.
-Tes une salope, Michèle, tu vas aimer va ! gronda Paul. Michèle sentit une grosse chose chaude lui appuyer sur lanus.
Non, ce nétait pas possible ! Elle nallait pas se faire sodomiser comme ça pour la première fois de sa vie ! Ce nétait pas fait pour ça, lanus ! Cétait contre nature !
-Non, pitié Paul, pitié !
-Ta gueule !
Les grosses mains de Paul lui écartait les fesses, sa bite appuyait de plus en plus en fort sur son anus. Elle entrait lentement dedans.
-Aïe ! non, aïe ! ça fait mal Paul ! Pleura t-elle. Par réflexe, elle serrait Marc de toute ses forces, appuyait ses gros seins contre le jeune homme. Je ten prie, non, ça fait
haaa
. Ha
aïe !
Bientôt la bite de son mari fut entièrement dans son cul. Cela donnait limpression dêtre si gros ! De lui remplir lestomac !... Et le sexe dur et chaud de Marc était toujours dans sa chatte ! Elle était complètement remplie de bites !
-Alors, sale pute ? ahana Paul en commençant à lenculer sauvagement, cest ça que tu voulais ? être prise comme la dernière des chiennes ?
-haaa hhoo haaaa, non, arrête, haaaa !
Marc bougeait aussi en elle, dans sa chatte. Au travers de la fine paroi qui séparait les voies vaginales et anales, il sentait la bite de paul qui appuyait par intermittence contre la sienne. Quest-ce quelle prenait, la Michèle !
-haaa, haaaaaaa, haa, haaaaa, gémissait Michèle, en le serrant fort contre elle. Marc vit quelle bavait, le regard hagard. Paul lenculait violemment, sans pitié.
Avec cette énorme barre qui lui besognait le cul, Michèle sentit bizarrement que sa chatte souvrait plus grande sur la bite de Marc, lui dégoulinait dessus. Quelle honte !
-Hoo, haaa , Marc
je
haaa
je suis
désolé, haaa, peina t-elle à dire au jeune homme, entre deux hoquets. Paul lenculait. Marc la baisait. En sueur, le corps bouillant, elle ne savait plus où elle en était, prise en sandwich par ces deux grosses bites, dans des chiottes qui sentaient la pisse.
-ça va
ha
aller, Michèle, ahana Marc, reste contre moi, ha han
Michèle le serra encore plus fort, tous ses bourrelets tremblants pressés contre lui, tandis quon la secouait, lenculait et la baisait :
-hooo, haaaa, haaa, cest
reste avec moi
haaa
Marc.. ne mabandonne paaaas.. haaa
-sale pute ! grognait Paul en la sodomisant méchamment. Sa bite était énorme dans son cul. Celle de Marc brûlante dans sa chatte. Michèle transpirait à grosses gouttes. Elle bavait.
-Embrasse moi Michèle, dit Marc, en amenant sa bouche vers la sienne, tandis que Michèle tressautaient sous les coups de bite.
Leurs langues sentrelacèrent, se léchèrent avidement, dans des gémissements essoufflés.
-haaa, slurp, haaaa
Elle bavait dans sa bouche, alors que les queues en elle accéléraient leurs mouvements, lui labourant le cul et la chatte jusquaux entrailles.
-haaaa, hooo, slrp, haaaaaa !...
Cétait incroyable, de la folie. Elle jouissait à la fois par le cul et la chatte, dégoulinant partout sur Marc, salivant dans sa bouche.
-Salope ! haa Taimes ça, han han ! je te lavais dit ! grondait Paul.
-haaaaaaaaaaa, ouiiii, haaaa, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, jaime ;;; haaaaaa ! ouiiiiiiiiii ! explosa Michèle, tout son corps en feu pénétré par ces grosses bites. Elle jouissait :
-Vous menculez et me baisez, ouiiiii ! haaaaaaa !
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