Aprés Les Aveux ... Le Concret

Elle s’est Élodie, moi c’est Odile, pour notre dernière année de lycéennes, nous nous somment immédiatement trouvée des points communs, a la même table en cours, a la même table au réfectoire, dans la cour du lycée sur le même banc, nous préférions donner la priorité aux études plutôt qu’aux garçons, du moins le pensai-je …
J’avoue qu’a certains moments le sexe me manquait, elle, apparemment non …je n’osais pas lui poser de questions, malgré tout au fil du temps nous devenions de plus en plus intimes, au début c’est nos pieds qui se touchaient sous la table en cours, sur le banc de la cantine c’est nos cuisses, sentir la chaleur de son corps me donnait envie de faire l’amour
Jusqu’à ce mercredi après midi où nous avions décidé d’aller à la piscine, nous avons partagé la même cabine pour enfiler nos maillots, une fois nues en je détaillais en douce, tout comme elle envers moi, son corps sculptural son pubis bien renflé, une toison brune impeccablement taillée, et des seins … mmmuuuuummm, de vrais obus !

- Tu es vachement bien foutue Élodie
- Tu n’as rien à m’envier j’adore tes seins en forme de pommes
- Ah bon ? je préfère les tiens en poires ! je peux les toucher ?
- Approche ….

Nos souffles se sont fait plus profonds, nos visages a touche-touche, de là a s’embrasser il n’y a que quelques centimètres qui furent vite franchis… des seins au bas ventre la aussi les centimètres furent parcourus, sans discrétion ses doigts fouillent ma chatte, les miens la sienne, nos salives mêlées coulent sur nos mentons, notre mouille entre nos cuisses, a nos pieds une marre de jus s’est formée, nous rions de bon cœur en constatant l’état de nos chattes

- Ça ne te manque pas Élodie ?
- Quoi donc ?
- Un bon coup de queue ?
- Aaaaahhhhhh …. Je dois t’avouer quelque chose Odile ….
- Ne me dis pas que tu as un mec ?
- Si, enfin oui et non …
- Explique ?
- C’est mon frère jumeau
- QUOI ? ton frère ? tu baise avec ton frère ?
- Harry n’est pas mon frère même s’il est considéré comme tel
- Développe ?
- Harry a été recueilli tout petit, sa mère n’avait que treize ans et ne voulait pas s’embarrasser d’un môme, a cette époque je n’avais que quelques mois de plus, si bien qu’au fil du temps ont nous a fait passer aux yeux de tous pour des jumeaux, je n’ai su la vérité que l’an dernier, bizarrement je me sentais attirée par ce garçon et lui par moi … un jour ma mère nous a surpris dans une situation plutôt scabreuse, prise de court elle nous a tout avoué et a même protégé notre relation en cachette de notre père
- Ça alors ! incroyable, donc tu ne peux pas t’afficher avec Harry en pleine rue
- Tu as tout compris, surtout garde bien le secret hein ?
- Évidement … et c’est comment ?
- Comment quoi ?
- Heuuuu, comment est-il.

.. monté ?
- Comme un âne !
- NON ?
- SI !!
- Veinarde, je comprends mieux que tu sois plus décontractée que moi ! tu t’en prends plein le cul toi !
- Tu as une chambre à toi ?
- Oui, même une chambre bien a part dans une aile de la maison
- Alors j’ai une idée …. Allons nager !
- Nous recommencerons ce que nous venons de faire chez moi ?
- Sans doute même plus !

La pensée de cette fille avec ‘son frère’ ma accaparé toute la journée et la nuit, ma chatte se souvient de mes doigts ! dés la fin du premier cours je l’entraine dans un coin, loin des oreilles indiscrètes

- Vous avez baisé cette nuit ?
- Hélas non, j’ai mes règles mais j’ai une bonne nouvelle
- Ah ?
- J’ai parlé de toi à Harry, il te connaît de vue et te trouve vachement… baisable, c’est ses paroles
- Merci du compliment !
- Tu sais entre nous la jalousie n’existe pas, a cause des qu’en-dira-t-ont nous devons nous afficher avec d’autres gars ou filles
- Tu veux dire qu’il serait d’accord pour …?
- Baiser tous les trois ? oui, je lui ai raconté notre après midi piscine et il aimerait bien assister !
- Le cochon ! ceci dit ça ne me gênerais pas de te faire des papouilles devant lui !
- Si tu veux samedi soir nous pourrions nous retrouver, mais où
- Ouahhh chouette ! mes parents seront sortis, la maison est à nous !

La fin de semaine a été longue, j’ai hâte de faire la connaissance du ‘jumeau’, j’ai piqué un petit ensemble orange a ma mère, balconnet et tanga dentelle qui moule parfaitement mon sexe, pour le reste un top court et une jupette genre tenniswoman qui laisse voir mes fesses au moindre mouvement, ceci pour la forme car j’espère qu’Harry va m’ôter tout ça rapidement !
Ils sont arrivés avec une pizza et du mousseux, couverts et gobelets en plastoc, Élodie est très excitée et son ‘frère’ n’a d’yeux que pour mes formes

- Bonsoir Odile
- Bonsoir Harry
- Eh bien faites vous la bise que diable ! je propose un bécot sur la bouche… voilà qui est bien ! nous mangeons d’abord ?
- Laisse-nous le temps de faire connaissance sœurette, je vais remplir les verres tant que c’est frais
- Pose-les sur le bureau prés de l’ordi

Tandis qu’il opère je mate sa braguette en douce, c’est vrais qu’il doit y avoir du matos là-dessous, mais Élodie a les yeux partout …

- Que regardes-tu chérie ?
- Rien du tout !
- Ben voyons, patience, nous allons dire bonjour à Zozeau
- Qui est ‘Zozeau ?
- La bite a Harry pardi!
- Agenouille toi prés de moi, ne bouge plus frérot
- Laisse ma ceinture de pantalon ou je crie au viol !
- Trop tard ! putain tu bande déjà ?
- Qui va s’en plaindre ?
- Tire le jeans vers la bas Odile, tu va voir le diable bondir de sa boite

A ma grande surprise un membre épais, libre de toute lingerie, jaillit hors du pantalon tel un ressort, il se balance de droite a gauche avant de rester rigide sous mon nez, seuls des sursauts qui prouvent qu’il grandit encore l’agite a intervalles réguliers

- Prend-le dans ta main…
- Je peux Harry ?
- Dans ta main ? oui, et dans ta bouche aussi ! sucez-moi les filles
- Profiteur ! chacune notre tour, va-y commence, je lui pelote les couilles
- Je vais me décrocher la mâchoire !

Le gland soyeux glisse entre mes lèvres, je manœuvre la peau fine d’avant en arrière, le garçon gémit en poussant spasmodiquement son ventre vers moi, il réagit bien a ma pipe, j’en suis fière et m’applique à la faire jouir !

- A moi !a moi ! stop ! tu va le faire décharger !
- Elle suce bien ta copine
- Tu préviens quand tu jute, nous voulons partager ta sauce

Tandis que je m’essuie la bouche mon amie aspire la queue je prends le relais sur les testicules, je tente un doigt juste dessous …

- OOhhh la vache, elle sait s’y prendre ! Enfonce le très loin j’aime ça

Plus je fouille son conduit secret plus il donne des signes d’agitations, au moment où je tente d’en ajouter un deuxième il se met à brailler

- Je jouuuiiis ! Je jooouiiiiiiiiiiiiiis !!!!!! Ouvrez la bouche !

Élodie prend la première giclée dans l’œil, elle assure la deuxième en plein gosier et braque le dard vers moi, malgré mes efforts pour recevoir les jets un paquet glisse sur mon menton, Élodie lèche avec gourmandise et dans la foulée m’embrasse sous l’œil intéressé de son frère

- Déshabillez-vous mutuellement en vous caressant les filles

Nous y voilà ! J’imite ma copine et me relève, face à face, les yeux dans les yeux je défais son corsage tandis qu’elle fait passer mon top par-dessus ma tête, pour le suspense et la beauté des formes nous gardons nos soutient gorges, enlacées, lèvres contre lèvres, les mains dans le dos travaillent à tirer sur les zips des jupes qui glissent sur les hanches dévoilant nos slips, d’un coup de pied nous nous débarrassons des vêtements qui entravent nos jambes pour pouvoir les écarter a l’aise, Harry s’approche de nous, plus exactement de moi , il passe derrière et embrasse le creux de mes épaules, avant de se décider a faire sauter le clip du soutien-gorge, ses mains en conque sur mes bonnets triturent mes bouts dressés

- T’as de beaux nichons …
- Mmmmuuuuuummmmm ….
- Continuez à vous embrasser …

Ses mains chaudes suivent le contour de mes hanches, arrivé a l’élastique de la taille il hésite à baisser mon tanga, sa bouche suit mes vertèbres en y déposant de petits bécots, j’écarte les pieds au maximum, les lèvres arrivent sur la partie dégagée de mes fesses, en bon amant il fait durer le plaisir d’admirer la femme a moitié nue, sa main masse mon entrecuisse là ou la culotte est la moins large, un doigt se chaque coté des lèvres, le majeur au milieu s’efforce d’ouvrir ma chatte a travers le tissu

- Tu mouille salope, tu a donc très envie que je te baise ?
- Tu n’imagine même pas !
- Il va falloir me mériter, montrez moi comment vous faites lorsque vous vous gouinez
- D’abord nous ne nous ‘gouinons ‘ pas, nous nous somment seulement caressées très furtivement a la piscine, que veux tu que nous fassions ?
- Bouffez-vous la chatte
- Le grand classique des hommes ! tu viens sur moi Odile ?
- Pourquoi pas l’inverse ?
- Parce que ce gros vicieux va certainement te baiser avant que nous ayons fini !

Entièrement nues, je laisse Élodie s’allonger, son compas grand ouvert expose sa chatte aux lèvres éclatées sur le coté prouvant qu’elle est prête à accueillir ma bouche, comment vais-je réagir a cette pratique nouvelle pour moi ? bien auparavant suçotés mes propres doigt après les avoir insérés dans ma moule en eau je sais que c’est légèrement salé et iodé, un gout que je ne trouve pas du tout désagréable en fait !
Harry s’emploie à comparer l’odeur de nos petites culottes qu’il a récupérées au sol, a genoux je me place au dessus du visage de mon amie qui me guide sur sa bouche, je n’ai plus qu’a baisser la tête pour faire un bisou a son abricot juteux avant d’enfoncer très loin ma langue de ce puits d’amour
Son frère ne reste pas inactif, ses mains reviennent sur moi plus précisément il écarte mes lobes fessiers pour contempler sa sœur me bouffer la moule, du coup elle relâche ses sucions

- Tu veux la baiser ? regarde cette cramouille baveuse, elle est à toi
- Pelote-moi les couilles pendant que je la chope
- Relève le cul Odile

Je m’empresse d’obéir, aussitôt sa verge tapote ma motte comme pour me prévenir qu’il va me pénétrer, ce qui se fait dans la seconde, mes lèvres sont refoulées et Harry fait entrer sa bite en une seule poussée jusqu’aux testicules, il marque un temps d’arrêt avant de débuter une vraie sarabande qui se traduit par des claquements sonores et des clapotis scandaleux, mon fourreau vaginal est déployé à l’extrême
J’y réponds par des glapissements de chienne en rut, m’arc-boutant sur les mains pour ne pas m’affaler sur ma copine, moi qui désespérais de ne pas prendre un bon coup de queue je suis servie !
Mes muscles se tétanisent annonçant un orgasme destructeur, sentant mon vagin se resserrer sur sa queue Harry pousse un mugissement de fauve en envoyant sa sauce au plus profond de mon utérus

- Qu’est-ce que tu viens de prendre ma salope ! Ne bouge surtout pas, dés que mon frère se retire je nettoie tout ça, hhhhuuuuuuuuummmmmmmmmmm ça coule déjà ! abaisse ton popotin que je puisse laper ta craquette
- Et relève le buste je vais baiser ma sœur
- C’est tout ? ! comment vais-je tenir l’équilibre ?
- Rassure-toi, je te tiens par les nichons, nous allons même pouvoir nous embrasser

Les genoux pliés je me maintiens a bonne hauteur afin de ne pas Élodie qui s’écartèle pour offrir son vagin a Harry qui, les mains sur mes seins me fait face tout en bourrant la chatte juteuse, nos bouches se soudent, ma vulve se vide lentement dans la gorge de mon amie au gré de ses lapements, voilà un trio bien rodé que nous avons amélioré et renouvelé bien des fois, le kamasoutra n'as plus de secrets pour nous !