Marie Laure 2 (Partie 1)

« C’est impossible je te dis, tu habites trop loin. »

« Mais mes parents seront pas là pendant trois semaines ! Tu viens autant de temps que tu veux, et je t’héberge ! »

Je poussai un soupir. Depuis le retour de nos vacances d’été où je l’avais rencontrée, quelques semaines plus tôt, Marie-Laure n’avait cessé de me supplier par SMS de venir chez elle. Il faut dire que pendant ces vacances, du propre aveu de Marie-Laure, je l’avais « baisée comme aucun mec ne l’avait jamais fait. » Il était donc logique que celle-ci soit aussi pressée de me revoir… Moi-même j’avais de quoi être impatient de la revoir : Marie-Laure était l’une des filles les plus sexy que j’aie jamais vue. De taille moyenne, des cheveux châtains mi-longs, un visage très agréable, mais surtout un corps de rêve, des fesses attirantes et rebondies, un corps assez fin, et surtout une énorme poitrine, du 95e, qui vous laissait étourdi. J’avais donc moi aussi toutes les raisons du monde d’être impatient de la revoir, d’autant que Marie-Laure était elle aussi un sacré coup au lit. Cependant, la belle habitait assez loin de chez moi. Je vivais dans les alentours de Paris, tandis qu’elle habitait non loin de la Rochelle. L’idée de faire trois ou quatre heures de voyage uniquement pour baiser une fille que j’avais vue quelques semaines plus tôt n'avait rien de réjouissant, aussi sexy que soit cette fille ! Pour la énième fois, je répondis donc à Marie-Laure :

« C’est sympa de vouloir m’héberger, mais franchement quatre heures de route pour te baiser, non merci… Surtout que l’essence pousse pas sur les arbres, et que j’ai eu mon permis y a pas longtemps, mes parents me laisseront pas ment partir comme ça tout seul. »

« T’as pas de la famille qui habite pas loin ? »

Je souris : elle insistait vraiment !

«Tu dois avoir vachement envie que je te baise pour insister comme ça… »

La réponse fusa :

« J’ai surtout envie de prendre ma revanche après ce que tu m’as fait… »

Je me sentis fortement excité en lisant ces mots.

Marie-Laure était le genre de fille qui grâce à son physique faisait ce qu'elle voulait des mecs. Elle s'amusait à les faire tourner en bourrique, subjugués qu'ils étaient par son sex-appeal. Et lorsqu'elle accordait ses faveurs à l'un d'entre eux, elle dirigeait l'acte du début à la fin, et restait maîtresse de la situation. Seulement avec moi, tout s'était passé différemment. C'était moi qui l'avais faite tourner en bourrique, et une fois passés à l'action, je l'avais complètement dominée. Je répondis, narquois :

« Oh c’est mignon ! La pauvre petite princesse ne supporte pas que j'aie fait d'elle ma chienne... »

Tout en me moquant, je réfléchissais frénétiquement à un moyen d’aller la voir. Car maintenant que l’idée d’une revanche de Marie-Laure était lancée, j’étais on ne peut plus excité… Elle avait raison, le moyen le plus simple de la voir, c’était de m’arrêter chez de la famille qui habiterait non loin. Malheureusement, je ne voyais personne dans ce cas là : la majeure partie de ma famille vivait soit près de Paris, soit dans le sud de la France. Je réfléchis un peu et me rappelai que mes grands-parents maternels, chez qui je n’étais pas allé depuis des années et des années habitaient l’ouest de la France. J’écrivis à Marie-Laure :

« Je crois que mes grands-parents habitent en Vendée, mais c’est assez loin de la Rochelle non ? »

« Non pas du tout, ça doit être à moins d’une heure de voiture ! »

Je souris d’excitation : peut être que je pourrai la voir finalement. Je lui demandai son adresse et elle me la donna. Puis j’allai voir ma mère, et lui demandai l’adresse de mes grands parents. Après une rapide vérification sur internet, je vis que la maison de Marie Laure n’était qu’à une demi-heure de route de celle de mes grands parents. Tout s’arrangeait ou presque. Restait à demander à mes grands-parents si je pouvais venir chez eux, et surtout, à convaincre mes parents de me laisser moi, jeune conducteur, partir tout seul jusqu’en Vendée.
J’avais beau avoir obtenu très facilement mon permis, avec presque le maximum de points, mes parents avaient toujours du mal à me laisser conduire tout seul.

Mes grands-parents acceptèrent tout de suite de m’accueillir chez eux, quant à mes parents, ils furent un peu réticents, mais je parvins à les convaincre. Le plus difficile bien sur, était d’inventer un prétexte pour me rendre chez mes grands-parents : je ne pouvais décemment pas leur dire que j’y allais pour coucher avec une fille. Une fois tout arrangé avec ma famille, je prévins Marie-Laure :

« C’est bon, c’est réglé, je vais chez mes grands-parents qui habitent à une demi-heure de chez toi. Je pourrais venir m’occuper de toi régulièrement ;) »

« Dommage pour toi… Me répondit Marie-Laure. »

Surpris en lisant ces mots, je répondis :

« Pourquoi ? »

« Parce que maintenant tu peux plus chercher d’excuse pour échapper à ta punition… Je vais te faire des choses tellement folles que tu vas me supplier de recommencer… »

J’étais de plus en plus excité, mais bien décidé à l’intimider, je lui répondis :

« T’es marrante toi… je m’occuperais de te remettre à ta place, attends toi à la même correction que la dernière fois ! »

Pendant les jours qui suivirent, nous continuâmes à nous provoquer de la sorte. Quand vint enfin l’heure du départ, j’étais très excité. A près un assez long voyage, j’arrivai chez mes grands-parents qui furent ravis de me revoir. Je ressentis une pointe de culpabilité en songeant que je les utilisais comme prétexte pour baiser Marie-Laure… Les deux premiers jours, je restais chez eux, afin de ne pas éveiller de soupçons en me précipitant directement chez Marie-Laure. Mais dés le troisième jour, prétextant d’aller voir un ami de longue date, je me rendis chez elle. J’avais du mal à contenir mon impatience et plus d’une fois sur la route, je dépassais la limite autorisée (c’est mal, rappelons-le.
)

Arrivé à l’adresse que Marie-Laure m’avait indiquée, je garai la voiture et frappai à la porte. Après quelques secondes d’attente, la porte s’ouvrit. Marie-Laure apparut, vêtue d’un débardeur au décolleté large qui laissait admirer sa belle poitrine, et d’un mini-short en jean, tellement sexy.

« Salut ! Lui dis-je, est ce que ça… »

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase. Marie-Laure me saisit par le t-shirt et me fit entrer de force avant de me plaquer contre le mur, claquant la porte derrière elle. Se collant contre moi, elle se mit à m’embrasser furieusement, me dévorant la bouche. Surpris par ce départ sur les chapeaux de roues, je lui rendis son baiser comme je pus, mais c’était clairement elle qui donnait le ton. J’en profitai néanmoins pour lui masser les fesses avec ferveur, ravi de leur fermeté et de leur rondeur. Marie-Laure mit un terme à notre baiser, et me tirant par le t-shirt, elle m’entraîna dans son salon. J’étais toujours trop sonné pour résister. La belle me jeta sur son canapé, et je m’y affalai lourdement. Souriante, elle dit :

« Je vais te baiser tellement sauvagement que tu risques d’en perdre tes couilles, je te préviens… »

Je voulus répliquer, mais au même moment, elle retira son débardeur, dévoilant un peu plus son corps de déesse. Son soutif peinait à contenir sa volumineuse poitrine, et j’eus soudain la langue trop pâteuse, et le cerveau trop en ébullition pour répondre quoi que ce soit… Elle vint sur moi, et après un court et brûlant baiser, elle me retira mon t-shirt, l’arrachant presque. Elle me dévora le torse, léchant mes pectoraux avec passion. Je la laissai faire, me délectant du traitement qu’elle me réservait. Lorsqu’elle eut fini, elle se releva et m’arracha mon pantalon, ne me laissant plus que mon caleçon, qui était sacrément déformé d’ailleurs… La belle eut un nouveau sourire, et retira son mini-short, et j’avalai ma salive en découvrant ses belles jambes. Elle revint sur moi, collant son corps contre le mien, m’incendiant littéralement.
Nous étions presque nus, et ce contact avait quelque chose de particulièrement délicieux. Ses bras nus autour de mon cou, sa poitrine contre mon torse, le contact de nos cuisses nues, tout cela était très excitant. Le meilleur, était sans conteste le contact de ses magnifiques fesses recouvertes par son shorty avec mon engin, recouvert par mon caleçon. Les tissus fins, permettaient un grand contact, et la pression des fesses de Marie-Laure sur mon sexe rendit ce dernier si dur que ça en devenait presque douloureux. Surtout que Marie-Laure se frottait dessus sans vergogne, comme si elle cherchait déjà à me faire jouir. Je voulus saisir Marie-Laure pour l'étaler sur le canapé, mais elle me saisit les mains, et m'interrompit dans mon geste, me plaquant les mains contre le canapé. Je me débattis un peu, mais elle m'écrasa le visage avec sa poitrine, et recommença à me branler avec ses fesses, si bien que je fus incapable de bouger.

Satisfaite, la belle me retira mon caleçon, et retira ensuite son shorty. Puis, elle revint sur moi, et me tenant par les épaules, elle me plaqua contre le dossier du canapé, avant de s'empaler sur ma queue avec un gémissement. Elle se mit à sauter littéralement sur ma bite de haut en bas, coulissant le long de mon sexe avec délice. Ses énormes seins se secouaient au rythme de sa baise, et je ne pus résister à l'envie de me jeter sur eux et de les dévorer. Marie-Laure m'attrapa par les cheveux, et me maintint la tête dans sa poitrine, tout en se tortillant de gauche à droite plus sauvagement que jamais. Je me mis à gémir à pleine voix, et mes cris étaient étouffés par sa belle poitrine. Tout en continuant à lui dévorer les seins, je lui attrapai le dos à l'aveuglette, et la tenant ainsi, je me mis à donner des coups de reins par en dessous, reprenant le contrôle du va-et-vient. Marie-Laure poussa un gémissement, et me tirant les cheveux elle m'obligea à la regarder. Elle se mit alors à m'embrasser avec ardeur, tandis que je continuais à la baiser par en dessous. Après notre baiser, elle me saisit les poignets, et me les plaqua contre le dossier du canapé. Puis, elle se mit à donner des coups de rein de gauche à droite si fort que je ne pus continuer à lui donner des coups de reins. Ayant ainsi totalement repris le contrôle, elle se mit à me baiser avec encore plus de force. Elle allait d'avant en arrière à un rythme élevé, me culbutant contre le dossier du canapé, tout en me tenant fermement. Je tentais bien de me débattre, mais je prenais un pied énorme, et le plaisir me paralysait. Se sentant en maîtrise, Marie-Laure me lâcha les mains, et se mit à me baiser par des mouvements circulaires comme si elle faisait une danse du ventre. Elle se mit à gémir très fort, et se tint l'arrière de la tête à deux mains, comme si le plaisir était trop intense pour elle. Ses seins se secouaient sous mes yeux, me rendant complètement fou. A nouveau, j'eus envie de me révolter. Je saisis ses seins à pleines mains, et me mis à les malaxer très fortement, arrachant un nouveau gémissement à Marie-Laure. De plus, en la tenant ainsi, je ralentissais ses assauts, et me donnait l'occasion de reprendre le contrôle. Mais Marie-Laure ne l'entendait pas ainsi. Elle m'écarta les mains de sa poitrine et me saisissant par le cou, elle me fit m'allonger de travers sur le canapé, et mit à sauter sur ma bite avec plus de force que jamais. Elle me baisait en mode « marteau-piqueur », cavalant sur mon sexe comme une furie, me regardant droit dans les yeux avec un petit sourire moqueur. Le plaisir se mit à monter en une vague irrépressible, tout mon corps se raidit, et j'eus un délicieux orgasme, suivi de près par Marie-Laure.

Nous restâmes un moment épuisés sur le canapé. Puis, Marie-Laure ayant repris son souffle, elle me dit :

« Ca faisait tellement longtemps que j'attendais ça… »

« De quoi tu parles ? »

« De ma revanche : tu m'avais trop soumise la dernière fois, fallait que je me venge, je pouvais pas laisser passer ça... »

Je levai les yeux au ciel.

« Je m'en fous de savoir qui domine, je prends mon pied c'est tout. »

Elle eut un sourire moqueur :

« Tu dis ça parce que t'as perdu… Tu disais pas ça quand tu me baisais la dernière fois... »

Je poussai un grognement : elle avait pas tort. Je répliquai :

« J'ai pas dit mon dernier mot… Je peux rester manger ? »

Elle approuva, et se rhabilla. Tout en me rhabillant moi aussi, je réfléchissais. J'avais adoré ce qu'elle m'avait fait, mais mon orgueil de « mec » était un peu touchée aussi… J'avais vraiment envie de la remettre à sa place, et tant pis si je devais rester une après midi de plus chez elle !

Nous passâmes à table. Le repas fut agréable, mais entre deux plaisanteries et conversations badines, Marie-Laure revenait régulièrement sur ce qu'il venait de se passer : elle exultait d'avoir obtenu sa vengeance, et ne se lassait pas de me narguer. Je prenais mon mal en patience : pour rabattre son insolence, je devrais attendre de la baiser, d'ici là, je devais subir ses sarcasmes.

Peu après le repas, Marie-Laure me proposa de me faire visiter sa maison. J'acceptai avec enthousiasme, ayant surtout hâte de visiter sa chambre… D'ailleurs une fois arrivés à l'étage, Marie-Laure m'y entraîna tout droit.

« C'est là que je dors, me dit-elle en me montrant une vaste salle, avec plusieurs fenêtres un bureaux, et un lit à eau. »

Je n'avais jamais vu de lit comme ça, aussi je m'approchai et en tâtai le matelas. Il semblait plus confortable que tous les lits sur lesquels j'avais été. Dormir dessus devait être un régal, sans parler du reste…

« Super lit ! »

« Ouais j'ai l'impression de dormir sur un nuage avec ça... »

« Tu fais qu'y dormir ? Dis-je taquin. »

« Seulement quand j'ai pas d'autres activités de prévues… Susurra Marie-Laure. »

Sans crier gare, elle me poussa sur le lit. Je m'effondrai dessus, et eus vraiment l'impression de tomber dans de l'eau, tant le matelas était moelleux. Les mouvements du lit à eau étaient si étranges qu'en tombant dessus je fus secoué dans toutes les directions, en totale perte de contrôle. Marie-Laure en profita pour se jeter sur moi, et me tenir plaqué sur le lit. Elle m'embrassa à pleine bouche comme une morte de faim. Après un baiser très intense, elle se redressa et me retira mon t-shirt, puis rapidement me lécha les abdos et les pectoraux. Elle se redressa et resta un moment à me regarder.

« T'as vraiment un super corps bébé, tu sais ? Dit-elle. »

« C'est toi qui dis ça ? Répliquai-je en désignant son merveilleux corps. »

Elle eut un sourire coquin, et en guise de réponse, retira son débardeur me laissant admirer son ventre plat, et son imposante poitrine, que son soutif peinait à contenir. Je voulus me redresser pour lui embrasser le corps, mais Marie-Laure me tint plaqué contre le matelas, tout en se secouant, jouant sur les mouvements étranges de son lit à eau pour m'empêcher de me redresser. Elle m'arracha ensuite mon pantalon, puis le sien, avant de me retirer mon caleçon. Elle se mit alors à lécher mon sexe, puis à le sucer, avec une passion folle, l'inondant de salive, et me faisant trembler de plaisir. Elle avait à peine commencé sa fellation, que déjà elle l'interrompait. Frustré, je voulus une nouvelle fois me redresser, mais Marie-Laure m'interrompit en s'empalant sur moi, m'arrachant un petit cri de plaisir.

Un petit sourire coquin aux lèvres, elle se mit à à donner des coups de reins de gauche à droite lentement tout en me maintenant fermement sur le lit. Le plaisir montait doucement en moi. Au bout d'un moment, Marie-Laure retira son soutif, libérant enfin sa volumineuse poitrine. Elle se mit ensuite à accélérer le rythme de ses assauts, jusqu'à faire monter le plaisir à un plus haut niveau encore. Son corps bougeait de plus en vite, et le voir en mouvement était un pur régal. Marie-Laure gémissait de plus en fort, à mesure qu'elle s'activait sur ma queue. Quant à moi je perdais pied de plus en plus tant le plaisir qu'elle m'infligeait était grand. La belle allait de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Sur le lit à eau, je bougeais si vite que j'avais l'impression de surfer, de surfer sur une vague de plaisir. Elle finit par changer de technique, et se mit à aller et venir d'avant en arrière, me baisant comme une forcenée, me culbutant sauvagement. Ma fierté me commandait de me rebeller, de chercher à reprendre le dessus, mais je n'étais tout simplement pas en état. Sentant qu'elle avait le plein pouvoir, Marie-Laure en profitait pour me provoquer, me griffait le torse, me giflait, me servait des sourires moqueurs et provocants. A un moment, elle me donna un coup de rein plus fort que les précédents, et je poussai un grand gémissement.

« Ha ha je te fais gémir comme une fille ! Je fais de toi ce que je veux, c'est trop bon ! »

Un peu honteux, je tâchai de jouer la carte de la mauvaise foi :

« Tu parles oui, tu me fais rien du tout, je sens rien. »

Malheureusement, au même moment, je poussai un cri de plaisir qui vint souligner ma mauvaise foi. Marie-Laure eut un sourire moqueur. Elle me saisit par le menton et se pencha sur moi :

« T'as le même discours qu'une fille entrain de se faire démonter par un mec. T'es vraiment nul comme mec ! »

Piqué au vif, je me redressai, bien décidé à reprendre le dessus. Mais Marie-Laure s'y attendait, et elle fit bouger le matelas pour me déséquilibrer, et put aisément me plaquer contre le lit, me maintenant en son pouvoir. Elle se mit ensuite à sauter sur mon sexe de haut en bas comme une furie, ses énormes seins rebondissant au rythme de ses assauts, tandis que le plaisir montait en moi en vagues successives. Usant du rebond du matelas à eau, elle accentua encore le rythme de sa baise, me chevauchant telle une amazone. Rapidement, le plaisir me brouilla la vue, et Marie-Laure et moi gémissions à pleine voix. La belle devint encore plus sauvage, elle accélérait sans cesse le rythme de ses assauts, tout en se tenant la tête, en proie à un grand plaisir. L'extase montait en moi, je tâchai de la contenir, mais je finis par exploser dans un merveilleux orgasme, en même temps que Marie-Laure. Épuises mais comblés, nous nous effondrâmes sur le matelas. Au bout d'un moment, Marie-Laure ayant retrouvé son souffle me dit :

« Je t'ai tellement baisé, ça fait du bien de mâter un mec comme ça... »

Je poussai un grognement, n'ayant pas très envie de répondre. Marie-Laure éclata de rire.

« Qu'est ce que t'es mauvais perdant, tu vas bouder ? »

Tâchant de préserver le peu de dignité qui me restait, je dis :

« Bon faut que je rentre, mes grands-parents vont se demander où je suis... »

« C'est ça, cours vite te cacher chez mamie, petit soumis ! »

Pour la dignité, c'était raté. Je me rhabillai et après avoir dit au revoir à Marie-Laure, je rentrai chez mes grands-parents. Pendant les deux jours qui suivirent, la belle m'envoya quantités de SMS, dans lesquels elle me narguait, très fière qu'elle était de m'avoir si bien mâté. J'avais hâte de prendre ma revanche… Il fallait que je la mâte une bonne fois pour toute, et je ne retournerai pas chez moi avant d'y être parvenu.

Deux jours après avoir été dominé de la sorte, je retournai donc chez Marie-Laure, plus affamé que jamais. Un peu fébrile, je toquai à la porte. La belle ouvrit, elle était encore vêtue d'un mini-short en jean, mais portait cette foi un t-shirt rouge, qui moulait ses formes de façon indécente. En me voyant, elle eut un petit sourire moqueur :

« Ah mon soumis c'est toi ? T'es revenu te faire... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. Je me jetai sur elle, et la plaquai contre le mur, claquant la porte derrière moi. Je l'embrassai à pleine bouche, pressant mon corps contre le sien, et tenant sa poitrine à deux mains (il fallait au moins ça). Lorsque je quittai sa bouche pour embrasser son cou, Marie-Laure se mit à haleter doucement. Je sentais que je prenais l'ascendant, je ne devais rien lâcher. Je la saisis ses fesses, et la soulevai tout en continuant de l'embrasser. Elle était presque aussi grande que moi, et donc assez lourde, mais je devais tenir, je devais lui monter ma force de « mec », pour la mâter comme il faut. Tout en la portant, je me demandai où l'emmener. Je pensai au salon, mais la dernière fois, elle m'y avait dominé et je préférais éviter. J'avisai alors une porte ouverte qui donnait probablement sur sa cuisine : le lieux idéal pour remettre à sa place une fille comme Marie-Laure.

Je l'entraînai dans la cuisine, et la posai à terre. Avant qu'elle n'eût le temps de faire un geste, je la retournai de force, et la fis s'allonger à plat ventre sur la table de la cuisine. D'un geste brusque, je lui retirai mini-short et sous vêtement, mais lui laissai le haut : la baiser à moitié habillée m'excitait. Je retirai à mon tour pantalon et caleçon, et la pénétrai d'un coup sec. Marie-Laure poussa un petit gémissement pitoyable, ce qui me fit sourire : le vent avait tourné, à son tour maintenant de se faire baiser !

« Je te préviens, tu vas déguster pour ce que tu m'as fait l'autre fois… L'avertis-je. »

Elle aurait peut être voulu répondre, mais je ne lui en laissai pas le temps : je me mis à la baiser comme un sauvage, lui ôtant toute possibilité de parler. J'allais et venais en elle à un rythme élevé, la baisant avec force frissonnant de plaisir à chaque aller-retour. Marie-Laure se mit aussitôt à gémir comme une chienne, et j'en éprouvais d'autant plus de satisfaction. Tout en la baisant, je lui claquais régulièrement les fesses, et la provoquais en lui disant des choses comme « tu penses toujours pouvoir me dominer ? » ou « qui est la soumise maintenant, hmmm ? » mais elle n'était pas en état de répondre. Elle criait mon nom à en perdre la voix, lâchait des « oooh putain qu'est ce que c'est booon ! », frappait la table des poings tant le plaisir était intense, et parfois cherchait à se débattre, mais c'était de faibles tentatives. Bien décidé à ce qu'elle se sente soumise à fond, je lui saisis les deux mains, et les lui tint dans le dos, tout en accélérant le rythme et la puissance de mes assauts. Au bout d'un moment, je la baisais si fort que la table en avança d'un bon mètre et demi, jusqu'à se coller contre le mur de la cuisine. Je ne ralentis pas pour autant le rythme, bien au contraire. Le plaisir devenait si intense, que Marie-Laure se mit à me supplier d'arrêter : « stooop stoop c'est trooop je ne peux plus... » elle ne finit pas sa phrase, qui se termina dans un hurlement de jouissance : elle venait d'avoir un terrible orgasme. Je n'en n'avais pas pour autant fini avec elle.

Je pris mon sexe, et lui mis devant l'entrée de son magnifique cul.

« Tu te souviens de ça ? Lui demandai-je goguenard. »

Marie-Laure se raidit : j'étais le seul mec à ce jour à l'avoir sodomisée, et elle devait en garder un souvenir cuisant. C'était la meilleure façon de la remettre à sa place. Je la pénétrai d'un coup sec, et elle poussa un bon gémissement de douleur et de plaisir mêlé. Je me mis à aller et venir dans son cul, sans ménagement. Je savais que de toute façon la douleur qu'elle ressentait laisserait bien vite place au plaisir le plus intense. Lorsque je sentis qu'elle prenait son pied, je me mis à accélérer encore plus, frémissant d'extase. C'était si bon d'être enserré dans cet espace étroit ! Marie-Laure avait repris ses cris de plaisir, elle se trémoussait, ravie de ce traitement. C'était bien qu'elle prenne son pied, mais il ne fallait pas non plus qu'elle oublie que j'étais entrain de la corriger. Tout en accélérant le rythme, je lui saisis les cheveux et tirant dessus, je l'obligeai à me regarder dans les yeux.

« Regarde moi pendant que je te baise le cul ma soumise. Lui ordonnai-je. »

La toisant d'un regard autoritaire, je me mis à la limer avec encore plus d'intensité, et me réjouis de voir son visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeais. Je sentis que l'orgasme était proche, alors dans un dernier effort, j'accélérai le rythme, jusqu'à exploser d'extase, inondant le cul de Marie-Laure.

Celle-ci resta un moment allongée sur la table, tremblante de plaisir. Je remis mon pantalon, pendant qu'elle se relevait lentement. Elle était complètement sonnée. Je me penchai vers elle, et saisissant son menton, je l'obligeai à me regarder.

« C'était un peu trop pour toi ? »

« C'était super bon… admit-elle dans un souffle. »

Ravi de l'entendre avouer, je lui fis une petite bise sur la joue.

« On remet ça quand tu veux ma soumise. A plus ! »

Je quittai sa maison, ravi d'avoir remis les pendules à l'heure entre nous.

Trois jours s'écoulèrent avant que je ne retourne chez Marie-Laure. Trois jours pendant lesquels, je narguai la belle, enchanté que j'étais de mon succès. Elle me répondait en me promettant une vengeance salée, et j'étais impatient que les hostilités reprennent. Lorsque ces trois jours furent enfin passés, et que je me retrouvai devant la maison de Marie-Laure, j'étais on ne peut plus excité.

Je toquai à la porte, et j'entendis de l'intérieur de sa maison, la voix de Marie-Laure me répondre :

« Entre, c'est ouvert ! »

Je m'exécutai, et retrouvai Marie-Laure dans sa cuisine. Elle était entrain de nettoyer des ustensiles de cuisine.

« J'ai fait des cookies me dit elle en désignant un saladier rempli de biscuits. Prends en un. »

Je pris un des cookies et croquai dedans. Il était délicieux. Je me hâtai de le dévorer. J'avais encore la bouche pleine que Marie-Laure s'approchait de moi.

« Ils sont bons ? »

Ne pouvant pas parler, je hochai vigoureusement la tête en signe d'approbation.

« Tant mieux… répondit elle »

Et sans crier gare, elle se jeta sur moi. Elle m'assit de force sur une chaise, et vins sur moi, m'embrassant le cou. Pendant que je tentais en hâte d'avaler le cookie sans m', Marie-Laure me retirait pantalons et sous-vêtements, avant de faire pareil de son côté. Je venais juste de réussir à avaler, qu'elle s'empalait sur ma queue avec un petit gémissement de satisfaction. Avant que je n'aie eu le temps de faire un mouvement, elle se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas comme si elle était sur un ressort. Très vite le plaisir se mit à monter en moi par à-coups, et je ne tardai pas à pousser de grands cris de plaisir.

« C'est ça, gémis, crie, mon soumis ! »

Marie-Laure s'interrompit dans sa baise. Elle retira son débardeur puis son soutif, libérant ses énormes seins. Elle me retira ensuite mon t-shirt, et reprit sa baise endiablée. Elle changea de technique. Elle se mit à donner des coups de reins de gauche à droite. Elle allait un rythme très élevé, et me faisait littéralement perdre la tête. Ses énormes seins se secouaient au rythme de ses assauts, et il ne se passa pas longtemps avant que je me jette sur eux pour les dévorer. Je profitai de ce moment pour chercher à reprendre le contrôle. Je lui empoignai les fesses, et la penchai en arrière, et commençai à donner des coups de reins, reprenant peu à peu le contrôle des opérations. Marie-Laure réagit promptement. Elle m'empoigna par les cheveux, et tirant dessus, elle me repoussa et me plaqua contre le dossier de la chaise. Elle reprit ses coups de reins, plus sauvagement que jamais. Je poussai un grand cri, et Marie-Laure redoubla la puissance de ses assauts. Je ne pus tenir le choc, et eus un monstrueux orgasme en même temps qu'elle.

Elle me fit un petit bisou dans le cou, avant de se rhabiller. J'en fis de même, un peu sonné par ce qu'elle venait de me faire. Curieusement, elle ne fit aucun commentaire, et je m'estimais heureux de m'en tirer sans recevoir des moqueries. Marie-Laure me proposa de regarder un film, et j'acceptai, heureux de pouvoir souffler un coup.

Cependant, le répit fut de courte durée. En plein milieu du film, Marie-Laure se rapprocha de moi, et se mit à me faire de petits bisous dans le cou. Je répondis à ces baiser, jusqu'à ce qu'elle à m'allonger sur le canapé. Elle retira son débardeur, et je me redressai pour lui embrasser le buste et lui masser les seins retenus par son soutif. Après m'avoir laissé faire un moment, Marie-Laure me plaqua contre le canapé, avant de nous déshabiller promptement. Avec un sourire coquin, elle s'empala dessus à nouveau, et démarra de terribles va-et-vient d'avant en arrière. On sentait qu'elle voulait tout de suite me mettre KO. Pour éviter que je me rebelle. Elle allait si vite que le canapé tanguait sous la force de ses coups de reins. Je me mis à gémir sous le plaisir qu'elle m'infligeait, et ma vue se brouillait. « T'es complètement à ma merci en ce moment ! » se réjouit Marie-Laure en me baisant sans cesse plus vite. Au bout d'un moment, elle changea de position, et se retourna, me tournant le dos. Elle se remit à me baiser encore plus vite, secouant son magnifique postérieur, juste sous mon nez. Je prenais un pied phénoménal, et j'étais littéralement incapable de bouger. Je parvins cependant à me remettre un peu d'aplomb, et lui caressai le cul. Puis je devins plus entreprenant, et me mis à le masser avec plus d'intensité, en prenant possession avec mes mains. Je ralentissais le rythme de ses assauts, et gênait Marie-Laure. Elle se retourna et me dit « arrête ça ou je me fâche ! » mais je répliquai « c'est moi qui vais me fâcher ! »

D'un coup, je lui saisis les hanches, et la fis basculer, la faisant s'allonger sur le dossier du canapé. Je vins derrière elle, et me mis à lui administrer de gros coups de reins, la baisant plus sauvagement que jamais. Elle se mit à pousser de petits cris, et je frémis de plaisir, ravi de reprendre le contrôle. Toutefois, elle n'avait pas dit son dernier mot. Elle me poussa et me fit à nouveau tomber allongé sur le canapé, avant de venir s'empaler sur moi. Mais avant qu'elle n'ait eut le temps de me chevaucher, je la soulevai, et quittant le canapé, je la plaquai contre un mur de son salon. Je me collai contre son corps, l'écrasant contre le mur, et me mis à la baiser avec encore plus d'entrain, la limant en profondeur. Tout en la baisant, je lui embrassai le cou, et lui malaxai ses gros seins, me délectant des petits cris qu'elle poussait. « Ooooh ! C'est tellement booon ! Continue, va plus vite putain ! », Marie-Laure ne se contrôlait plus, j'en étais ravi. Fatigué de la porter, je la déplaçai jusqu'à un meuble, et la fis s'asseoir dessus, avant de recommencer à la baiser comme un forcené. J'avais mis ses jambes sur mes épaules, et la pilonnai en profondeur, la regardant droit dans les yeux, me délectant de la voir vaciller sous le plaisir que je lui apportai. C'était trop bon pour durer : elle eut un monstrueux orgasme la première, d'autant plus terrible, que je le fis durer presque une minute, le temps que jouisse moi aussi.

Lorsque ce fut fini, nous étions complètement épuisés, vides de toute énergie, et sonnés par tant de plaisir. Marie-Laure m'amena dans sa chambre et nous nous écroulâmes sur le lit, pour y dormir jusqu'à la nuit. Lorsque je me réveillai, il était 9h du soir. Je me sentais un peu mal, comme on se sent toujours après avoir dormi tout l'après midi. Heureusement, en me redressant, j'eus une vision qui eut tôt fait de me ragaillardir : le cul de Marie-Laure. Celle-ci était en effet penchée en avant non loin du lit, entrain de farfouiller dans son armoire. Elle était en petite tenue, et son shorty mettait vraiment en valeur son magnifique postérieur. Je me levai, et vins me coller contre elle (j'étais complètement nu), et la forçai à se redresser pour que je puisse la coller contre moi. Je commençai à lui masser les seins, tandis qu'elle se trémoussait contre moi.

« Tu veux quoi ? Me demanda-t-elle innocemment. »

« A ton avis ? Lui répondis-je en lui collant mon sexe dressé contre ses fesses. J'ai bien envie de te redonner une leçon... »

Marie-Laure se retourna, et me poussa sur son lit. Je tombai sur le matelas à eau, et m'y effondrai en étant à nouveau secoué de partout. Je poussai un grognement : ça allait être difficile d'avoir le dessus sur ce lit aux mouvements imprévisibles !

Marie-Laure vint sur moi, et se mit à frotter son cul contre ma queue, j'en devins complètement fou, surtout qu'elle fit durer ça pendant de longues minutes. Je tentais plusieurs fois de reprendre le dessus, mais rien n'y fit, Marie-Laure n'avait qu'à secouer son stupide matelas à eau pour m'empêcher de bouger. La belle retira son shorty, avant de s'empaler sur moi d'un coup sec. Elle se remit à me baiser comme une furie, utilisant à fond les mouvements du matelas à eau pour donner encore plus d'amplitude à ses mouvements. Elle se déhanchait de gauche à droite, allait d'avant en arrière, rebondissait sur ma queue de haut en bas. C'était délicieux ! Ses énormes seins étaient secoués dans tous les sens, de même que moi, qui étais complètement ballotté par sa baise endiablée. A plusieurs reprises, je tentais de reprendre le dessus, mais c'était peine perdue tant les mouvements du matelas étaient aléatoires. A chaque fois que j'essayais, j'avais du mal à me redresser, et Marie-Laure pouvait sans peine me refouler, ce qui lui arrachait un sourire de satisfaction. Cependant, je n'avais pas dit mon dernier mot. Je saisis doucement ses fesses, puis ses hanches, et entrepris de ralentir le rythme de ses assauts. Marie-Laure réagit en me prenant les mains, et me les plaquant contre le matelas, me réduisant à nouveau à l'impuissance. Alors qu'elle reprenait sa baise endiablée, je remis doucement mes mains sur ses hanches. Elle réagit au quart de tour, et voulut me saisir les poignets. Je fus plus rapide : quittant ses hanches, mais mains saisirent ses poignets. Je l'attirai contre moi, et la collai contre mon corps. Je n'eus ensuite aucune difficulté à la faire rouler pour reprendre le dessus.

Je commençai alors à la prendre en missionnaire, la limant avec vigueur tout en l'écrasant contre le matelas. Marie-Laure se mit à gémir, et me serra encore plus fort contre elle, tandis que je lui donnais des coups de reins circulaires qui la rendaient folle. Après un brûlant moment dans cette position, je m'interrompis, désirant essayer d'autres choses. Les seins de la belle Marie-Laure m'attiraient particulièrement. Je vins donc au dessus de Marie-Laure, et insérai mon sexe entre ses deux énormes collines. Je me mis à faire des va-et-vient dedans, frémissant d'aise à chaque fois, serrant ses seins le plus possible autour de ma queue, m'émerveillant des sensations que ça me procurait. La belle se trémoussait, ravie elle aussi de ce contact. Après de délicieuses minutes passées jouer avec son corps, je me dis qu'il était temps de reprendre la baise, et je pénétrai à nouveau Marie-Laure, repartant pour un nouveau tour de missionnaire. Je la cuisinais lentement, lui donnant des coups de reins tantôt lents, tantôt rapides, la laissant dans une perpétuelle incertitude, la frustrant parfois, la satisfaisant pleinement d'autres fois. Marie-Laure s'agitait et se débattait, et au bout d'un moment, elle finit par reprendre le dessus, et se mit à me baiser comme une sauvage bondissant sur mon sexe.

Je subis ses assauts pendant un moment, avant de brusquement la renverser, pour à nouveau la baiser en missionnaire, allant cette fois ci, aussi fort que possible. Au cours des heures qui suivirent, Marie-Laure et moi nous livrâmes une terrible bataille, chacun renversant tour à tour l'autre, chacun cherchant à prendre le dessus et le garder. Nous étions engagés dans cette délicieuse lutte depuis plusieurs heures, le lit était en désordre, nos corps en sueur, et nous étions hors d'haleine. Aucun de nous ne semblait en mesure de prendre le dessus. Je venais une fois de plus de renverser Marie-Laure, et je la prenais en position de l'enclume, la limant très durement, utilisant le mouvement du matelas à eau pour lui donner des coups de reins plus puissants. Marie-Laure gémissait, et se secouait dans tous les sens, comme si elle devenait folle. Moi même je n'en pouvais plus : après des heures de baise j'étais épuisé, et le plaisir que j'éprouvais à baiser paraissait insupportable. J'avais déjà joui plusieurs fois, tout comme Marie-Laure, mais ni elle ni moi ne semblions capables de nous arrêter. C'était fou ! Elle me renversa une fois de plus et me plaqua contre le matelas. Elle avait le visage rougi, et le souffle raccourci, par l'intensité et la longueur de notre baise-marathon. Cela ne l'empêcha pas de se mettre à me baiser avec une intensité folle, allant d'avant en arrière à un rythme élevé, déclenchant de terribles vagues de plaisir en moi. Le plaisir me brouillait la vue, me tournait la tête, c'était trop bon, trop long, je devais jouir, sinon j'allais tomber dans les pommes. Mais je sentais que si jouissais, ce serait l'orgasme final. Ainsi, jouir maintenant ça serait offrir la victoire à Marie-Laure, je ne pouvais m'y résoudre. Je serrai donc les dents, et fis tout pour tenir. Mais Marie-Laure était implacable, et accélérait encore le rythme. Je devais reprendre le dessus, et vite. Je tentai de me redresser pour la renverser, mais elle me fila une gifle qui me renvoya allongé sur le matelas. Je tentai de la renverser en la prenant par les hanches, mais elle me repoussa. Je tentai de lui attr les mains, mais ce fut elle qui m'agrippa les poignets, et me les tint plaqués contre les oreillers. En la voyant esquisser un sourire de triomphe, je me dis que j'avais bel et bien perdu. Fière de sa victoire, Marie-Laure se mit à accélérer le rythme, et je me sentis au bord de la jouissance. Elle même commençait à frôler l'orgasme, et me lâchant les mains, se tint la tête tant le plaisir était bon. Alors qu'elle commençait à avoir son orgasme, je la vis soudain vaciller légèrement sur le côté : sur son matelas à eau, difficile de tenir droit. Une poignée de secondes de plus, elle m'aurait jouir et aurait obtenu une victoire totale. Au lieu de ça, je me redressai d'un coup, et la prenant par surprise en plein dans son orgasme, je la renversai, profitant du mouvement si particulier de son matelas à eau pour reprendre l'avantage. Je lui donnais de puissants coups de reins en missionnaire, histoire qu'elle finisse de jouir, ce qui la laissa sonnée et étourdie. C'était à mon tour de jouir, mais je voulais le faire d'une façon particulière, qui lui ferait bien comprendre que j'étais le chef : je voulais jouir sur son visage. Je l'installai assise contre le mur qui surplombait son lit, et enfonçai mon sexe dans sa bouche. Je me mis à aller et venir dedans, lui baisant la bouche comme un sauvage, tremblant de tout mon long. Je n'en pouvais vraiment plus, le plaisir était trop intense. Mais c'était tellement bon de la baiser comme ça, de contempler son visage pendant que je le baisais, d'y lire le sentiment de défaite ! Je finis par jouir à grands jets dans la bouche de Marie-Laure, j'avais l'impression que plus jamais je n'aurais à vider ma queue. Je me déversai dans sa bouche et sur son visage dans un grand cri de soulagement.

Nous nous écroulâmes épuisés, et nous endormîmes presque aussitôt. Je venais de remporter une victoire de justesse, mais je pensais malgré tout que cette fois j'avais définitivement dompté Marie-Laure. Je me trompais.

A suivre...


J'avais à la base prévu de rédiger ce récit en une seule partie, mais devant sa longueur, j'ai du le couper en deux. La deuxième partie devrait arriver d'ici peu. Voir sur mon profil pour plus d'information.

Comme d'habitude, je rappelle que vos commentaires, critiques ou conseils sur le scénario, l'histoire et les personnages sont les bienvenues ! Et si vous voulez parler de cette histoire, mon adresse mail est là pour ça.

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