Impression De Déjà Vue

Impression de déjà vue…


J'aime utiliser la métaphore du train pour parler de ma vie avec Claire (mon ex compagne)… Je pensais que tout roulait, qu'on était sur les bons rails, que la vitesse de croisière était atteinte et que rien ou pas grand chose ne pouvait nous arriver. Bon, si vous avez lu "Aperçu avant impression", vous savez que ce n'est pas le cas. En effet, nous étions montés à bord d'un train bien tranquille, de l'amour sans compter, des amis, des petits moments de bonheur, bref rien ou presque ne venant perturber ce beau voyage… Ici en l'occurrence c'est le "presque" qui a dérailler le train et fait exploser quelques vies en passant. Le "presque", est un petit détail qui a attiré mon regard là où celui-ci n'était pas sensé trainer…

En lisant le mot fin de "Aperçu avant impression" et dans une version américaine de cette tranche de vie, on serait facilement tenté de croire que tout est bien qui fini bien. Mais ce n'est pas aussi simple dans le vrai vie, pas aussi édulcorer qu'au cinéma d'Hollywood…

A l'heure ou j'écris ces lignes, quelques mois ce sont écoulés après les évènements cité plus haut. Mais pour bien comprendre ce qui va suivre, je dois remonter le fil du temps jusqu'à ce fameux soir où Maya et moi avons plongé ensemble, tête baisser dans les remous d'une passion sexuel qui se transforma aussitôt en passion amoureuse. Je ne crois pas tellement au coups foudre, mais je suis bien de reconnaitre que c'est un peu ce qui nous est arrivé. Pas au premier regard certes, mais au premier contact, ça c'est sûr !

Si je devais résumer très brièvement et pour rafraîchir la mémoire de ceux qui ne voudrais pas relire le premier volet, ça donnerait un truc comme ça :
Claire et moi étions en couple depuis cinq ans. Je découvre "par hasard" qu'elle me trompe et visiblement depuis plusieurs mois avec un type que je connais pas.
Maya une amie de Claire, rentrée du Canada après une rupture difficile, lui servant d'alibi à son insu.

Voulant démêler cet histoire d'adultère, je me suis rapprocher de Maya avec qui j'ai joué les apprentis détective (si vous avez lu la première partie, nous savons vous et moi que je ne suis pas doué…). Finalement Maya et moi avons craqué l'un pour l'autre, passant une nuit sauvage de désir, de sexe et de plaisir ! C'est là que la version américaine s'arrête, une personne trompé qui tombe amoureux de la copine de sa femme, qui a le coeur brisée et qui elle aussi tombe amoureuse de lui, le happy end parfait…
Sauf que, dans les ingrédients de cette histoire, vous devez encore ajouter une ou deux pincées de ceci ou de cela. Par exemple qu'au moment des faits, Maya qui est bi avait une copine très jalouse répondant au doux prénom de Marion…Vous avez l'amant de Claire, un certain Vincent. Ce dernier étant marié, on ne peut pas ignorer sa femme Laurène qui tôt ou tard aura son grain de sel à jeter dans ce mélange de vies, plutôt épicés !

Je reprend donc le fil de l'histoire au moment ou il a bien fallut que je rentre chez moi, laissant Maya dormir à point fermer. Je lui laisse un petit mot doux, empli d'espoir, lui disant entre autre que la seule chose qui me l'esprit est l'envie de lui faire l'amour encore, encore et encore.
Il est cinq heure du matin quand sur la route du retour, je remarque en rallumant mon portable que j'ai une dizaine de messages de Claire qui est très inquiète et se demande ou je suis… Situation aux parfums burlesque, puisque je viens justement de l'endroit où elle était sensée être !

Devant la porte de notre appartement, je pousse un grand soupir avant de rentrer, me préparant mentalement au carnage qui doit suivre. J'ai peine le temps de rentrer que Claire déboule du salon comme une furie en criant et gesticulant… Sa beauté naturelle m'éclabousse encore une fois. Haute comme trois pommes, Claire est blonde avec de long cheveux, un visage angélique fendu de magnifique noisette bleu et d'une petite bouche aux lèvres très légèrement relevées. Des petits seins pointu force le tissu de la nuisette noir très sexy qui l'habille.
Sans rien dire, elle s'approche et me gifle de toutes ses forces… J'accuse le coup, mais attend sans broncher qu'elle parle la première, ce qui ne tarde pas à venir :

« Putain, j’étais folle d’inquiétude… Qu’est ce qui t’as pris de partir sans me laisser le moindre mots… Tu étais où d’abord ? Avec qui ?? Regarde toi…tu pus le sexe ? Putain dis quelque chose Tom enfin ?! »

Gardant un calme olympien, je laisse passer quelques secondes ne lâchant pas un instant ses yeux débordant de rage et de colère. D’une voix douce et étrangement détaché, je lui répond :

« Je viens de quitter Maya, nous avons passer la nuit ensemble et c'était pas pour parler !! »

Une autre gifle clac et résonne sans que je l'empêche. Claire dont le regard et passée de la colère à la haine en une fraction de seconde explose en larmes. Elle veut dire quelques chose, mais rien ne sort de ses petites lèvres rose entrouverte qui ne laisse sortir qu’un souffle saccadé. Je les imagine, plutôt dans la soirée, s'être refermées autour de la queue d’un autre, puis le sucer comme une petite salope…
Démasquée, elle m'apparait plus belle encore ! Magnifique ! Nous passons un long moments à nous fixer l'un l’autre, sans dire quoi que soit. C'est moi qui finit par briser ce lourd silence :

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Plus fragile que jamais, c'est plus fort que moi j'ai envie de la protéger !!!!!!!!!!!!!!!

« Comment en est-on arrivé là Claire ?… Si on se posait un peu pour démêler toute cette pelote de merde ? »

Encore sous le choc de ma révélation, Claire me fait juste un signe en direction du salon. Elle passe devant moi, laissant trainer son petit cul de déesse qui m'a toujours fasciné. Elle s’installe en tailleur à un bout du canapé, je fais de même de l'autre coté. Elle plonge sa tête entre ses mains et pleure à chaudes larmes. Malgré le drame qui se joue, j'en profite pour plonger mon regard entre ses jambes dont la position à fait remonter sa nuisette, laissant apparaître une petite culotte noir très sexy. Je devine la moiteur de son sexe, qui sans doute, renferme encore la liqueur odorante de son amant. Une pulsion m’envahie soudain, j’ai presque envie de la baiser, de la violer comme une chienne. Un début d’érection me perturbe. Dès que ses yeux cherchent mon regard, je détache les miens de son entre-cuisse. D’une voix tremblante elle me lance :

« Tu…étais vraiment avec Maya ?
- Claire, ça servirai à quoi que je te mente, au point où on en n’est, il vaut mieux qu’on se calme et qu’on se disent vraiment les choses tu ne crois pas ? »

Un nouveau silence s'engage, mais l’embarrât est de son coté. En position de force je me sens comme un chat s'amusant du bout des griffes avec une petite souris toute tremblante...
Pourtant, elle me touche encore. Habituellement si forte, elle semble plus fragile que jamais, me donnant envie de la protéger ! Et c'est ma foi bien connu, même si c'est rare, il arrive que parfois le chat est pitié de la petite sourie…
Ce n’est pas du tout le scénario que j’avais répété mille fois dans ma tête ses derniers jours. Je pensais que se serait moi qui en lui balançant ses quatre vérités au visage, la giflerais. Mais sa soudaine détresse dégage au contraire un puissant parfum sexuel qui m'attire irrésistiblement. Complètement vulnérable, j’ai plutôt envie d'r d'elle. Je n’y comprend rien, je devrais la haïr, l'humilier pour ce qu'elle m'a fait endurer. Je devrais, mais je ne peux pas. Mes pensées s'arrête en même temps qu'elle dit :

« Ca fait longtemps ?
- Quoi ? Que je suis au courant pour toi où qu’on couche ensemble avec Maya ? » 

Elle baisse de nouveau la tête et je continu.

« Je te rassure…avec Maya c'était la première fois ce soir alors que j’ai appris que tu me trompais la semaine dernière ! »

Elle hésite un instant puis me dit avec de nouvelles larmes qui ruisselles sur ces joues rosie.

« Je…je suis désolée Tom…je ne sais vraiment pas comment c'est arrivé…et surtout, comment j'ai pus te faire une chose pareil.
- Tu peux le dire…tu ne peux même pas imaginer comme j'en ai chier cette semaine ! On c'était pourtant promis de ne jamais tromper l'autre où au pire de casser avant d'en arriver là ! comment t’as nous faire ça putain ??!
- Je sais…c'est impardonnable ce que je t'ai fait. Si tu savais comme je suis désolée pour toi !
- Mais pourquoi tu n'as rien dis enfin !! Je suis pas un monstre… On aurait pus en parler… J'aurais pus essayer de comprendre !
- J'ai failli t'en parler au tout début mais je n'ai pas pus !
- Tu veux dire il y a quatre mois ? »

Elle baisse de nouveau la tête et ne répond rien, comme si j’avais dis une énormité. Mais je comprend vite ce malaise et enchaine :
« Depuis quand ??
- Je vais tout te dire Tom, tu as raison on ce doit bien ça…
- Vas-y, je préfère tout savoir maintenant.
- C’est vraiment pas facile…
- Je me doute bien, mais ne craint pas ma réaction, j’ai dépassé le stade de la colère depuis longtemps.
- Bon j’y vais… J’ai rencontré Jérome il y a un an à la boite. Il remplaçait pour deux mois, Gislaine qui allait accoucher. Il m’a dragué dès le premier jour. Et même si j’ai résisté, je suis rapidement…tomber amoureuse de lui.
- Carrement !? C’est pas seulement un histoire de cul alors !

Elle semble hésité puis enchaine :

- …C’est compliqué… Vincent est marié. Et pour répondre à ta question, au début je pensais que ce n’était que sexuel entre nous, il m’attirait énormément…physiquement.
- C’était quand ce début ?
- … Franchement ?
- Claire, je n’aurais pas été capable d’encaisser ça la semaine dernière, mais les choses on changé pour moi aussi. Je ne te vois plus tout à fait comme avant tu sais, alors vas-y cash. »

Je bluff évidement, j’ai les tripes en vrac, les nerfs en pelote et envie de l’, mais je dois savoir !
Au même moment, je fixe ses petits seins qui pointe, déformant sa nuisette. Elle m’excite terriblement !
En d’autre temps, je l’aurais prise dans mes bras pour la consoler, j’aurais alors sentis ses seins dure s’écraser contre mon torse. voilà qu’une grande frustration s’empare de moi, un comble ! Elle continue, mais cette fois sur un ton qui redevient intime, passionné, comme si rien de tout ça ne nous concernait vraiment :

- Malgré mon attirance pour lui, je me disais que tout rentrerait dans l’ordre quand Gislaine reprendrait son poste et qu’il retournerait chez lui dans le sud. J’ai d’ailleurs cru que j’avais réussi quand il est venu m’inviter au pot de départ qu’il organisait. J’aurais dut me méfier quand il m’a dit qu’il faisait ça en petit comité dans un bar en ville… »

Je l’interrompt un peu brutalement pour lui dire nerveusement :

« Attend…pas le fameux pot où tu es rentrée avec un coup dans le nez à trois heures du mat ?!
- Si, c'est ça !
- Mais ça remonte à plus de quatre mois ?
- Oui, c'était il y a dix mois. »

J’accuse le coup sans rien dire, mais de nouveau des tas de questions m’assaillent… Ont-ils couchés ensemble dés le premier soir ? Ce sont-il vu souvent avant que Maya lui serve d’alibi ? Faisait elle semblant avec moi ? Ses orgasmes sous mes coups de reins sont-ils simulés ? Et lui, est-il un si bon coup ? Que lui fait-il de plus que moi ? comment sont-ils au lit ensemble ? Tout ce bouscule dans ma tête et pour casser ce questionnement interne, je lui dis simplement :

« Ce soir là, vous avez déjà couché ensemble ? »

Elle hésite un instant et dit :

« Quand je suis arrivée au bar, j’ai vite compris son petit manège car j’étais seule de la boite. Mais après avoir pris un verre ou deux, il n’était plus le même qu’au bureau. Moins dragueur, il s’est fait plus agréable et m’a avoué qu’il était marié. Rassurée sur ses intention, je me suis détendue pour profiter de la soirée...
- Et puis ?
- Ca me fait bizarre de te raconter ça !
- Je sais ça me fait quelques chose aussi, mais continue.
- Comme j’avais un peu trop bu, il insiste pour prendre le volant à ma place et me raccompagner avec notre voiture. Le long du chemin, il s’arrête dans un parking, un peu à l’écart. Il coupe le moteur et un silence pesant s’installe, le premier de toute la soirée. Après une longue minute, il me dit : « Il faut que je te dise quelque chose Claire ! ». Le ton qu’il avait employé était grave, presque inquiétant. Puis il enchaine : « Voilà je suis complètement tomber fou amoureux de toi…dès que je t’ai vue !! ». Sur ces mots, il se penche vers moi pour m’embrasser… Tandis que je place une main pour faire barrage à son baiser, il me dit : « Si tu ne ressens vraiment rien pour moi, je te raccompagne et tu n’entendra plus jamais parler de moi. Mais si je ne me trompe pas, laisse moi poser mes les lèvres sur les tiennes, on sera fixé toi et moi !! ». Après un long moment ou mes pensées se bousculent, j’ai finalement retiré la main qui représentait le dernier rempart entre une femme fidèle et celui qui persécutait mon esprit depuis deux mois… »

Elle interrompt son récit un instant, je vois ses yeux briller de mille feu alors qu’elle me raconte ça. Je lui dis d’un air tranquille, alors que dans ma tête, ce n’est pas du tout le cas :

« Tu était déjà amoureuse de lui ?
- Disons que je pensais anormalement à lui !
- Je vois… Et après ce baiser ?
- … Je ne sais pas trop comment dire… Avant, tu étais toujours le centre de mes pensées mais ce baiser m’a transporté et… je t’ai oublié l’espace d’un instant ! Je sais c’est horrible de te dire ça.
- Il était si bien que ça ce baiser ?
- Oui !
- Il embrasse mieux que moi ?
- Tu sais que j'ai toujours adoré ta façon d'embrasser Tom.
- Mais il embrasse mieux !
- C'est pas ça mais je fantasmais sur ses lèvres depuis deux mois, alors là qu'elles étaient à moi, je les ai dévorées !
- Il était long ?
- Très…
- C'est a dire ? Une minute ou dix ?
- J'en ai aucune idée mais beaucoup plus que dix minutes en tout cas.
- Ah oui quand même ! Et après ?
- C’est… Censuré !!
- Carrément ? Tu es passée de compagne fidèle à femme adultère en une seconde toi ! Et dans notre voiture en plus ! Balaise le mec !
- Je sais !
- Ca a duré longtemps ?
- Quoi ? La censure ?
- Oui !
- Je sais qu’on est partie du bar vers minuit...
- Et toi tu es rentrée vers trois heures trente à l’appart. Longue longue censure !
- Je sais Tom… Mais tu sais, rien n’était planifier, c’est arrivé comme ça.
- La planification, c'est venu plus tard.
- Quand je suis rentrer ce soir là, tu m’a dis que j’avais l’air bizarre, tu te souviens ?
- Oui très bien, je m’inquiétais, tu faisait une drôle de tête.
- Je voulais tout te raconter, mais quand je t’ai vu, rien n’était plus aussi évident. Ce fût un de ces foutoir dans mon esprit !
- Bien venu au club !
- Je sais ! Tu te souviens de ce que tu m’a dis après ?
- Très bien oui...je t’ai dis que le petit verre dans le nez te rendais sexy et super bandante !
- Oui… et on a fait l’amour sur ce canapé ! »

Malgré nous, un petit sourire s’empare de nos lèvres. J’enchaine :

« Justement, c’est loin d’être la seule fois ou nous avons fait l’amour durant ces dix derniers mois ?! Et je passais toujours après lui !
- Pourtant, je n’ai jamais pensée à lui en faisant l’amour avec toi Tom… C’est d’ailleurs comme ça que j’ai compris que j’étais amoureuse de deux hommes en même temps ! »

Ne sachant pas trop quoi dire à cette troublante révélation, j’enchaine directement :

« Tu imagine bien que ça ne pouvait pas durée éternellement !?
- Parfois, quand je rêve que tout est possible, je nous vois vivre tout les trois... Le retour à la réalité est toujours très dure ! »

La petite pause qui suit nous permet de méditer sur cette idée. C’est moi qui enchaine :

« Mais il n’était pas censé rentrer chez lui ?
- Si, mais après l’épisode de la voiture…
- En passant je te signale que je l’ai prise le lendemain pour aller te chercher des croissants pour ton petit déjeuné !!
- Je suis désolée !
- Je plaisante, faut bien en rire un peu maintenant ?
- Tu as raison… Comme ne plus me voir lui était inconcevable, il a demandé sa mutation ici.
- N’empêche, je ne comprend pas comment vous avez fait pour vous voir en cachette avant le retour de Maya ?
- Pourtant…
- Quoi ? Vous vous êtes vue souvent ?
- Oh tu sais quand on veut très fort quelque chose, on fait ce qu’il faut pour...
- Souvent ?
- … Tu veux vraiment savoir ?
- Oui évidement !
- Plusieurs fois par semaine…
- Non c’est pas vrai ?! Impossible ! Combien de fois ?
- Ca dépend.
- Combien ?
- Disons deux fois au minimum.
- Dès fois plus ?
- Trois ou quatre fois !
- Je le crois pas putain, et toujours pour baiser ?
- Nous sommes comme on dit, chimiquement hyper compatible !
- C’est complètement dingue ! Comment j’ai pus passer à coté de ça ! Je ne comprend pas !
- Tom, je n'ai jamais été malheureuse avec toi, c'est pour ça que j'ai continuer à vivre normalement et à faire l'amour avec toi. Tu n’avais pas vraiment de raison de douter de moi !
- Trois ou quatre fois sous mon nez, putain c’est fou !! Comment vous avez fait ?
- On a demandé des aménagements d’horaires.
- Ah d’accord ! Pour allez où ?
- Au début à l’hôtel, puis rapidement il a pris un appartement. »

Imaginer ma petite puce dans les bras d'un autre, entrain de ce faire déboiter trois ou quatre fois par semaine me rends cinglé… Je suis passé par différent stade psychologique depuis que j'ai appris leur liaison : Folie, paranoïa, haine, culpabilité, jalousie, faiblesse, défiance et j'en passe. Mais à cet instant, curieusement, c'est l'envie qui domine mes pensées. L'envie de me venger, l'envie de la baiser autrement, l'envie de lui faire mal, de l'enculer même (chose qu'elle m'a toujours refusé cette petite chienne ! Je me demande si elle lui accorde ?)… Je dois l'admettre, a cet instant, cette petite blonde sexy assise en tailleurs à une longueur de moi ne m'inspire rien d'autre que le cul. Le moindre de ses gestes, ses sourires, ses larmes, ses petits jeux de langue quand elle parle. Tout sent le sexe chez elle. Je dois me contrôler, sinon je vais la violer sur place !! Pour calmer mes pulsions, je change de sujet histoire de voir sa réaction. Je lui dis :

« Finalement, c’est bien que tu te sois servie de Maya, elle est devenue votre point faible et mon point fort !
- Que veux tu dire ?
- Que j’étais mal en point toute cette semaine et que ma réaction zen de ce soir, c'est à elle qu'on la doit. Elle m’a montrée autre chose ! »

Je vois que j'ai touché un point sensible, Claire se recule au fond du canapé et accuse le coup. Elle enchaine :

« Je ne veux pas te perdre !
- C'est un peu tard de dire ça !
- Pourtant c'est vrai Tom !
- Quoi tu imagine peut-être que je vais accepter de te partager avec ce con !!
- Je ne peux pas te demander de comprendre ce que je ressens… Je vous aime tous les deux c’est tout… Je n’y peux rien !
- Et lui, il est au courant de ça ?
- Oui bien sûr, j’ai été très clair avec lui.
- Et il accepte ça ?
- Oui.
- Ca ne le dérange pas que tu couche avec moi ? »

Elle hésite un instant puis enchaine :

« Non, il dit que je suis plus…excitante comme ça ! Qu’il a envie de me séduire à chaque fois !
- Il est comment ?
- Que veux tu dire ?
- Au lit.
- … Différent !
- Je me doute bien, on ne va jamais chercher ailleurs une chose qu’on a déjà ! Mais il est différent comment ?
- … Disons qu’il…me donne tout !
- Je vois !
- Non tu ne vois pas Tom, j’adore ta manière de me faire l’amour. Sérieux, tu me fais toujours un effet de folie, même après des années !
- Mais ça ne te suffit pas visiblement ?
- Ce n’est pas la question Tom.
- Ah bon, et c’est quoi la question ?
- Je n’était pas en manque avec toi !
- Mais ?
- Tu vas mal le prendre.
- Je t’assure que non !
- …C’est comme s’il te complétait, tu vois ? »

C’est plus fort que moi, je pense immédiatement à la taille du sexe.

« Non je ne vois pas. Ma queue n’est pas assez longue ? Pas assez grosse ?
- T’es bête ! Tu sais bien que ce n’est pas la question.
- Ben si quand même, les filles vous dites que c’est pas important, mais vous fantasmer toujours sur une belle grosse queue !
- C’est pas parce qu’on se lèche le bout des lèvres devant un gros gâteau au chocolat, qu’on va le mange en entier !
- Oui mais vous le goûter !
- Arrête, c’est pas le sujet.
- J’ai besoin de savoir… juste comme ça !
- T’es chiant.
- Allez ! Allez !
- Bon ok, tu veux vraiment savoir ?
- OUI !
- Eh bien tu n’a pas de complexe à avoir, la tienne est bien plus grosse ! Mais tu le sais d’ailleurs que tu es bien gaulé !
- La sienne est plus longue alors ?
- Non plus. »

Intérieurement, je pousse un gros ouf de soulagement, comme si je pouvais mourir tranquille, ma virilité n’est pas en cause. Mais l’apaisement est de courte durée. L’intrigue reprend de plus belle. Que lui fait-il donc de si différent ? Je lui dis :

- Bon alors que te fait-il que je puisse pas te faire ?
- Je ne sais pas vraiment Tom, c’est juste qu’avec lui, je ne suis pas la même.
- Ah bon ? Pourquoi ?
- … Ce n’est pas facile à décrire mais je dirais que je n’existe plus vraiment entre ses bras… Il exerce une sorte de pression permanente sur moi qui me fais disparaitre !
- Je ne comprend pas, il fait quoi ? Tu pense que je ne pourrais pas faire ce qu’il te fait ?
- Ce n’est pas ce qu’il fait Tom mais ce que je deviens avec lui qui me plais !
- Tu deviens quoi ?
- … Je suis plus… ouverte !
- Comment ça plus ouverte ?!
- Sexuellement parlant.
- Tu fait des trucs que tu fais pas avec moi ?
- Disons qu'avec toi, j'ai encore pas mal de tabous, de barrière infranchissable !
- Et pas avec lui ?
- Non ! »

Pas d’erreur possible, le non qu’elle vient de prononcer est des plus sincère. Boum, ces mots résonnent dans ma tête "Pas de tabous, plus de barrière"… Une femme, votre femme qui vous dit ça ! Le rêve de tout homme ! Sauf que dans le cas présent, cette petite salope, ma nana fait voler en éclats ses tabous, mais avec un autre ! Et voilà c'est reparti pour une salsa de divagations… Je l'imagine, s'offrant à lui comme une pute à qui on aurait payé le droit de réaliser une ou deux cochonnerie impossible à demander à sa propre compagne… En plus, Claire à ce coté petite blonde au corps ciselé que tout les mecs on envie de démonter quand ils la croisent dans la rue… Elle est comme un petit ange qui deviendrait d'un seul coup l'incarnation du vice… Ca me renvoie directement a tous ces fantasmes que j'ai eu un jour ou l'autre : Qu'elle me fasse une gorge profonde (avec sa petite bouche étroite)… Ou alors qu'elle n'arrête pas sa langue à la lisière de mes couilles, mais qu'elle continue pour lécher avec délectation toute la zone autour de mon anus. Elle finirait par entrer sa langue le plus profondément possible dans mon cul… Evidement l'un des fantasmes les plus tenace est la sodomie, qu'elle me refuse depuis toujours. En effet, prendre sa petite rondelle plus serrée que les pages d'une encyclopédie universelle en papier bible est pour moi un rêve presque vital… Les fantasmes éjaculatoire figure aussi parmi les plus fort : J'ai souvent rêvé de la voir me sucer jusqu'à sentir mon sperme couler dans sa bouche. Sperme qu'elle avale évidement jusqu'à la dernière goute. Lui arroser le visage de grande ciblé de foutre gluant est en soit aussi excitant. Ou la voir simplement récupérer mon jus dans le creux de sa main pour l'aspirer avidement… Bien sûr, des fantasmes plus space sont forcement venu me titiller l'esprit un jour ou l'autre. Comme de la soumettre complètement par des coups d'un fouet violemment dispensé sur son petit cul, ses seins pointu ou son dos parfait. Ou de la baiser en levrette, tirant comme un dingue sur ses cheveux pour la cabrer, à la limite de la rupture… Cette liste n'est bien sûr pas exhaustive, mais voilà ce qui fuse dans ma tête alors qu'elle m'annonce que ses frontières de sexe non plus de limite…
Je me reprends et lui dis :

« Ce qui est dommage, c’est que nous n’auront plus jamais l’occasion de faire sauter tes barrières ensemble ! 
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que c’est fini entre nous !
- C’est toujours tout ou rien avec toi, je te reconnais bien… Tom, celui qui n’est jamais dans la nuance.
- C’est pas vrai, je peux être très nuancé comme garçon.
- Dans les extrémités oui !
- N'empêche que nous ne ferons plus jamais rien ensemble ! »

Ses yeux déjà bien chargés n’ont aucun mal à laisser échapper un flot de larmes. Elle se jeter contre moi, m’enserrant fortement, et éclate en sanglots. Je ne veux pas l’enlacer, je dois rester fort, garder mes distances, la tête froide. L’instant est fragile… Après de longues secondes je craque et place mes bras autour d’elle pour compléter son étreinte…
Alors que nous vivons les moments les plus difficile de notre relation et que je devrais régler mes comptes, l’insulter, rejoindre Maya. Je me concentre sur quoi ?! Sur la pointe de ses seins que je sens presser mon torse et qui m’excite un peu plus encore… Elle bouge un peu, sa hanche viens s’appuyer contre ma queue plus gonflée que jamais… Elle initie un mouvement de recule, puis me dit d’une voie railler par les larmes :

« Je ne peux pas croire que nous ne ferons plus jamais l’amour !
- Pourtant c’est ce qui va ce passer.
- Tu es sûr ?
- Certain !
- Alors pourquoi tu bande comme ça ? »

Dans un mouvement que je n’ai pas anticipé, elle place une main dans mon entre entre-jambe et att mon sexe. Je ne sais pas trop quoi répondre et me sens pris au piège. Je bredouille alors un très peu convainquant :

« Je ne sais pas…c’est venu tout seule !
- Attend, je vais t’aider à t’en débarrasser !
- Non je suis sérieux Claire !
- Moi aussi ! »

J’essaye de l’empêcher d’approcher, mais elle force le passage et commence a dégrafer mon pantalon… La pression que j’exerce sur ses épaules pour l’éloigner ce fait plus forte en même temps que je lui dis :

« Arrête…je ne veux plus rien avoir à faire avec toi ! Tu m’a trompé ! Tu n’est qu’une…
- Pute…Je sais tu as raison, c’est dégueulasse ce que je t’ai fais, mais ne me quitte pas comme ça Tom, laisse moi juste encore une fois te gouter, après tu me jettera comme une merde, mais laisse moi juste une dernière fois te toucher !! 
- Nonnnn…! »

Malgré cette ultime cri de résistance, je suis perdu. Je ne me rappel pas avoir eu autant envie d’elle, mais je veux pouvoir regarder Maya dans les yeux. Je dois résister, la repousser… Fais le Tom !
Ca, c’est ce que j’aurais dus faire… Au lieu de ça, je l’ai vaguement retenue, sans grande conviction en plus. Complètement submergé par cette pulsion de sexe, je lâche prise !
Je ne vois plus que sa chevelure blonde où mes mains se sont perdu… Experte, elle n’a mis que trois secondes à faire sortir le loups du bois ! Ses petits doigts se baladent le long du manche qui se dresse, fier comme Artabant sous son nez ! Je ne peux plus rien arrêter, pire je n’essaye même plus ! Ses lèvres embrasse d’abord le gland gonflé à bloc avant de se refermer autour pour commencer à me pomper, m'aspirer avec une avidité, une détermination que je ne lui reconnais pas…
Sa façon de me sucer est incroyable, j’ai basculé ma tête en arrière. Au début très douce et sensuelle, elle est rapidement passé à un rythme soutenue qui me fait chavirer. D’ordinaire, j’interromps assez rapidement ce genre mise en bouche pour baiser. Mais cette fois je n’en fais rien, au contraire, je la guide, accompagne ses gestes, appuis, pousse, force même le passage afin qu’elle enfourne ma tige plus loin qu’elle n’est jamais aller… Et elle le fait !!
Profitant d’un instant ou je relâche la pression, elle se relève et me lance :

« Prend-moi Tom, Prend-moi maintenant…s’il te plait !!! »

N’y tenant plus non plus, je la regarde se repositionner au fond du canapé, retirant au passage sa petite culotte qu’elle jette au milieu du salon. J'enlève mon futal et mon caleçon que je balance à mon tour avec rage… Nos regards sont fuyants mais nos gestes experts ! Je glisse sur elle, plaquant directement le large gland de ma bite contre les lèvres si étroites de sa petite chatte. La zone anormalement humide d'ailleurs dégage une puissante force d'attraction, une chaleur intense s'en dégage. Ca me trouble autant que ça m’excite… Les gestes de Claire n’ont rien à voir avec ceux que je connais. Ils sont provoquant, instinctif, chaleureux, comme si elle me désirais plus que tout, plus que lui… Je sais c'est bête mais ça rassure.
Alors qu’elle ferme les yeux, j’en profite pour plonger mon regard entre ses jambes, admirant sa petite chatte totalement épilé. Prenant mon sexe en mains, je le pose et fais coulisser doucement le gland boursouflé sur sa fente… A mesure que je la ainsi, son souffle s’allonge et devient persans… Le moment que je choisi pour la pénétrer est stupéfiant. Alors je m'enfonce très doucement en elle, j’ai tout à coup un flash, une drôle "impression de déjà vue"… Etonnant !! J’ai le sentiment de ne pas connaître cette fille à qui je fais l’amour pour la première fois et pourtant, je peux deviner ce qui va se passer…
La longue pénétration continue, ce qui lui vaut de me dire :

« …Humm…C'est dingue comme je la sens trop bien…Humm… Elle est plus grosse…Humm...  »

Inspiré par sa remarque, je réalise soudain que la comparaison lui est facile puisqu’elle a déjà baiser avec son amant ce soir. Je m’en fou, l’envie de la démonter me prend et je pousse d’un coup, enfonçant au plus profond d’elle ma queue dont la peau distendue, me donne l’impression qu’elle va se déchirer !!
Dans les minutes qui suivent une sorte de rage s'empare alors de moi, une violence à peine contenu, je la baise de toutes mes force et sous ses propres encouragements… Son visage d’habitude si fin quand il joui, se tord, se plisse sous mes coups de boutoir !!
Après trois ou quatre minutes à cette cadence infernale et dans un total abandon de moi-même, je jouis puissamment, lâchant de long jet de foutre au fond de son ventre… Je tombe sur elle, à la limite de perdre connaissance tant l’orgasme est géant. Je respire si fort que Claire s’en inquiète en disant :

« Ca va ?!
- …Oui…oui…oui !! »

Complètement incapable de dire autre chose, c’est elle qui enchaine :

« Pourquoi tu ne m’a jamais baiser comme ça Tom !!
- … J’en sais rien…
- C’était incroyable comme je t’ai ressentie en moi !
- Oui… c’était bizarre ! trop bon mais bizarre !
- Surtout pour quelqu’un qui ne voulais plus jamais me toucher ?! »

Quelle salope, elle dit ça avec un petit sourire de satisfaction. Comme pour me dire : Tu vois c’est quand je veux ! Quelle garce, maintenant je ne peux pas me tirer en la giflant, ce ne serait pas correcte. Et voilà, je culpabilise alors que c’est elle qui m’a trompé. Il n’empêche que je viens de prendre un pied incroyable et que je lui dois au moins ça ! Je laisse passer quelques secondes et lui répond :

« Je n’aurais pas dus, je suis trop con…
- Tu regrette ?! 
- Non non, mais je n’aurais pas dus quand même ! Juste vis a vis de Maya ! »

Je vois tout de suite que l’évocation du prénom de Maya la refroidie. Elle enchaine d’un ton moins chaleureux :

- Quoi Maya ! Tu ne va pas me dire que c’est sérieux…tu plaisante !
- Je n’en sais rien, mais j'ai envie d’être honnête avec elle !
- Ah oui…et tu vas lui dire que tu m’a baiser après elle ce soir ?? Comme un chien baisant sa chienne en chaleur ! Tu vas le lui dire ?? »

Quelle pute, elle joue les jalouse, les offusqué, elle inverse les rôles, je n'y crois pas ! Je lui dis d'une voix assez douce :

- Calme toi Claire… Faut pas pousser quand même ! Si je résume la situation, tu nous as trompé Maya et moi qui te faisions confiance ! Ce qui vient de se passer ni change rien Claire ! Tu dois assumer maintenant ! D'ailleurs je me tire !! »

Fermement, je la repousse, me rhabille à toute vitesse et pars rapidement. J’entends ses supplications derrière moi mais je ne me laisse pas attendrir. Arrivé devant la porte d’entrée, je sens sa présence dans mon dos. Elle passe devant, se plante entre la porte et moi pour me dire en pleure :

« Attend Tom, ne pars pas comme ça ! Je suis désolée ! Je t’en pris…parlons un peu !
- Pour dire quoi Claire. Je n’ai pas envie de rester là cette nuit !
- Tu vas la rejoindre hein ! Cette pute te suce une fois et elle croit que tu lui appartiens c’est ça !?
- Tu dis n’importe quoi enfin… Calme toi bébé ! »

Je sais, normalement j’aurais dus la traiter de catin mais que voulez-vous, les habitudes on la vie dure !
Dès que je prononce ce dernier mot elle se calme et me dit en m’enlaçant :

« Tu m’aime encore un peu alors ?! Dis moi juste que c’est pas fini ! Tu es mon amour…mon homme…mon mec...ma douleur !
- Claire, ça m’a échapper ! Je ne t’appellerai plus bébé.
- D’accord, mais dis moi que tu vas réfléchir seul, qu’on va se revoir pour parler de tout ça !
- Je n’en sais rien Claire.
- En souvenir de tout ce qu'on vécu mon coeur !
- Franchement je ne peux pas te le promettre. »

Une nouvelle fois touché dans son amour propre elle réagit au quart de tour. Elle s’agrippe a mon jean et commence à le dégrafer. Merde, ce qu'elle est belle encore ! Ses cheveux en bataille, ses yeux explosé, son petit sein débordant de sa nuisette mal remise, sa façon d'implorer, de se soumettre ! Ca lui donne l'air d'une fille shootée qui s'accroche à vous pour la dernière passe de la nuit ! Voilà, je culpabilise de nouveau. J'ai envie de la protéger, d'être le seul à pouvoir le faire. Alors que c'est moi que l'on devrait préserver d'elle !
Comme tout à l'heure, je ne fais rien pour l'en empêcher. Elle baisse mon pantalon jusqu'aux chevilles et s'attaque maintenant au caleçon dont elle extirpe ma queue complètement ramollie après une nuit de débauche. Ma petite tu as du boulot si tu espère me faire re-bander. Mais loin de baisser les armes elle s'agenouille à mes pieds, passe une main dans ses cheveux qu'elle ramène en arrière d'un mouvement sensuelle. Elle me regarde, un sourire malicieux autant que coquin illumine son visage. Elle me dit d'une voix très sexe :

« Ne t’inquiète pas…je vais te donner envie de moi ! J’ai soif de toi Tom, je veux ton sperme ! »

Oh la salope! Me dire ça à moi qui en rêve depuis des années ! Tandis que je place mes mains comme un ultime rempart devant son visage, je lui dis comme un gosse à qui on vient de proposer la lune :

« C’est vrai ?! Tu le veux dans ta bouche ?
- Oh ouiiii…je te promets d'avaler jusqu’à la dernière goutte !
- Tu ferais ça ?
- Bien sûr ! Et aussi souvent que tu voudras ! 
- C'est vrai ?! Je pourrai te demander d'autres trucs ?
- Tout ce que tu voudras Tom…ne le demande même pas ! »

Je me liquéfie littéralement devant elle. En signe d’obéissance, je libère le passage à mon sexe dans lequel elle s’engouffre, embouchant ma bite qui commence à réagir face au défi qu’on lui propose !
Loin de se contenter de me sucer comme une vrai petite salope, Claire passe une main sous mes couilles qu’elle caresse avec une délicatesse qui me donne des frissons. L’autre main qui n'est pas en reste fait le tour pour atteindre la raie de mes fesses. Là, dans cette fente noircie de poils ultra sensible, elle fait aller et venir ses doigts avec une lenteur démoniaque… L’effet est instantané, ma queue durcit de nouveau et me voilà reparti pour un tour. Alors qu'il me faut toujours pas mal de temps pour reprendre des forces, mon étonnante vitesse de récupération me prouve le degrés inouï de mon excitation !
Ayant atteint son première objectif, Claire s’attaque maintenant au second qui n’est pas plus aisé que le précédent. En effet, me faire jouir une nouvelle fois cette nuit me semble relever de l’utopie.
Mais mon ex a visiblement de la suite dans les idées et plus d’une corde à son arc… Comme si elle voulait que je la baise par la bouche, elle pousse maintenant sur mes fesses pour m’inciter à utiliser mes reins, ce que je fais immédiatement… La main qui caressait mes couilles s’empare de ma queue à la base et la branle au même rythme que mes à-coups. Claire force l’ouverture de sa bouche, c’est beau à voir ! Pourquoi ne m’a t’elle jamais fait ça avant ? Pourquoi a t’elle attendu ce soir ? J’ai le sentiment d’un renouveau entre nous, d’une révélation !

Alors que je pense à tout ça depuis de longues minutes, Claire détourne sa bouche de ma queue pour y placer un doigt. Elle le suce, fait couler de la salive dessus pour le replacer en dessinant de petit cercles autour de l'entrée de mon petit trou. Sans que je m’y attende, elle l’enfonce d’un coup, profondément… L’effet est immédiat, une décharge électrique me traverse tout le corps et fini par avoir raison de ma résistance à jouir. Les premiers jets frappe le fond de sa bouche aussitôt après. Elle stop instantanément tout mouvement, comme si elle voulait sentir et profiter au mieux du sperme qui coule maintenant en un filet continu, emplissant petit à petit sa bouche.
Ma jouissance est extrême quand je la vois reculer un peu la tête et placer le gland sur le bout de sa langue qu’elle laisse largement ressortir de sa bouche… Je ne perds pas une miette du spectacle qui s’offre à moi. Les dernières goûtes de mon foutre s’accumule au centre de sa langue qu’elle a astucieusement creusé pour s'en servir de réceptacle. Elle aspire les trainardes et repousse mon sexe quand elle est sûr que plus rien n’en sortira…
Gardant la bouche ouverte, je vois la flaque blanchâtre emplir celle-ci. Elle penche ensuite légèrement la tête en arrière avec dans le regard, un vice que je ne lui connaissais pas.
Sa langue se replis sur elle même quand elle avale complètement ce qu’elle n’avait jamais goûté jusqu’ici. Aucune grimace, mais un petit sourire qui en dit long sur ce qu’elle est capable de faire ! Je n’en reviens pas !
Ne sachant ni quoi dire ni quoi faire, Claire prend les choses en mains et me rhabille. Elle me pousse pour se relever, libère le passage de la porte qu’elle ouvre devant moi. Complètement sur le cul, j’accuse le coup sans rien pouvoir dire. C’est elle qui sans aucune gêne me dit :

« Je ne t’embête plus mon petit Tom, va !
- …Bon alors bonne nuit Claire… Et réfléchie bien à tout ça surtout !
- Ne t’inquiète pas… et toi, imagine un peu tout ce que tu pourras faire de moi !! »

Je la regarde pour tout de bon. Ne trouvant absolument rien a répondre à ça, je tourne les talons et me précipite dans les marches à toute vitesse me répétant : surtout Tom ne te retourne pas. Et là, je fais quoi ? Je ralentis ma descente et me retourne évidement. Claire s’est appuyée sur le montant de la porte, a relevé sa nuisette pour se caresse la chatte en me regardant, sourire aux lèvres !
Je reprends mon chemin, complètement assailli d’une multitude de pensées, plus perverse et ambigüe les unes que les autres. L’une d’elles sort du lot : Qui est le plus soumis à l'autre maintenant ?!?.
Je sors de l’immeuble avec dans la tête un duel opposant le visage de Claire à celui de Maya.
Je marche un long moments sans avoir la moindre idée d'où je vais…


FIN…(peut-être pas)

PS : Si vous avez aimé, n'hésiter pas à me laissez un petit commentaire ou un mail, ça me donnera du courage pour vous écrire la suite, si vous en redemander bien sûr !