Singapour - Partie 4
Cétait Éveline la spécialiste des jeux deau, mais Nellie, après sa première expérience avec Najwa, était très attirée par cette nouvelle forme dintimité avec une autre femme. La rencontre dans le bain fut magique. Les deux femmes sinstallèrent en 69 dans le bain vide et firent feu en même temps, éclaboussant le visage, les cheveux, les seins et la bouche, souvent ouverte, de lautre.
Bien sûr, les deux servantes nattendaient que cela pour sapprocher du bain et voir le spectacle des deux femmes mûres se roulant tête-bêche dans le nectar jaune, tout en suçant la motte dégoulinante de lautre. Farah et Najwa sinstallèrent côte à côte à côté du bain et arrosèrent de leur jet fourni leurs maîtresses déjà trempées.
La session se termina avec les quatre femmes dans le même bain dans une orgie de pisse et dorgasmes lesbiens.
Le lendemain Éveline et Nellie avaient rendez-vous chez une amie de Brigitte. Linvitation était venue par messager à lhôtel dÉveline. Tushi invitait Éveline et Nellie ainsi que leurs servantes à un thé quelle avait qualifié de « frémissant ». Ça augurait bien et les deux femmes mûres avaient habillé leurs servantes dune belle robe de soie quelles pouvaient retirer à tout moment pour dévoiler leurs charmes. Éveline et Nellie étaient elles aussi habillées dune robe de soie mais plus formelle, avec une ceinture également de soie. Comme les deux jeunes femmes, les deux lesbiennes plus âgées étaient totalement nues sous leur robe fleurie.
Tushi était une femme dorigine vietnamienne denviron 50 ans. Elle était une amie de Brigitte mais aussi une des maîtresses de Dao avec qui Éveline avait « échangé ». Elle était un peu ronde mais ses formes étaient agréables et ses fesses particulièrement attachantes. Elle était rasée comme plusieurs des amies de Brigitte. Certaines prétendaient que pendant le frottage ça facilitait le contact entre les deux clitos. Cétait plus facile à sucer aussi mais dautres préféraient le poil qui retenait les odeurs.
« Elles nous donneront bientôt un spectacle de leur fervente amitié », dit Tushi en mettant sa main devant sa bouche pour cacher son grand sourire.
« Lan est très belle. Vous êtes très chanceuse », dit Nellie
« Mon mari nest jamais là, donc elle est une de mes compagnes favorites pour la nuit », répondit Tushi, « Mais jai dix servantes et je tente de faire une rotation. Sans cela elles se battent ».
Les trois femmes dégustèrent du thé rare qui venait du Japon et Tushi les encouragea à en boire le plus possible.
« Ça donne des résultats étonnants », dit-elle dans son langage imagé.
La conversation porta sur les plantations, la vie à Singapour et la vie en France. Tushi était une femme instruite et cultivée qui avait fréquenté la société parisienne. Ses invitées comprenaient bien pourquoi elle était très populaire dans le milieu lesbien de Singapour.
Après la troisième tasse de thé, Tushi se leva et sagenouilla à larrière de ses deux nouvelles amies. Elle mit ses bras sur les épaules des deux femmes, et leur chuchota à loreille : « Est-ce que vous aimeriez quon se suce la motte à trois ? ». Un peu surprises du langage très direct de leur hôtesse, les femmes prirent quelques secondes avant dacquiescer en donnant chacune un baiser sur la joue de leur hôtesse.
Il y avait un grand matelas par terre près dune fenêtre et un autre en avant dun divan.
Tushi se leva, prit ses invitées par la main et les mena dans une pièce adjacente. Les trois servantes étaient nues et formaient un triangle de sexe dans lequel chacune suçait et était sucée.
Les trois femmes retournèrent dans le salon et enlevèrent leur robe quelles plièrent avec attention et posèrent sur le divan. Tushi était appétissante avec ses cuisses rondes et ses seins comme de petits ballons. Elle sétendit sur le dos et Éveline plongea entre ses cuisses pendant que Nellie, les genoux de chaque côté de la tête de Tushi, abaissa lentement sa motte poilue sur le visage de celle-ci. Nellie en profita pour masser les boules de la Vietnamienne. Après quelques minutes, Nellie se glissa sur le côté et Éveline approcha ses jambes de son amante, et finalement les trois femmes se retrouvèrent dans la même position que leurs servantes. Tushi suçait Nellie, Nellie suçait Éveline et Éveline suçait Tushi. La mélodie que faisaient les trois femmes qui se suçaient se mêlait à celle produite par la bouche des trois servantes.
Les trois femmes atteignirent leur orgasme une à la fois puis elles se reposèrent un instant. Cest Éveline qui mit le feu aux poudres en retournant Tushi sur le ventre et en attaquant le petit trou qui se trouvait entre ses belles fesses. Tushi fit de même avec Nellie et Nellie ne se gêna pas pour pistonner le trou plissé dÉveline avec sa langue. Elle le connaissait bien. Cest probablement avec encore plus de zèle que les trois lesbiennes se léchèrent leur trou de fesses et les orgasmes furent encore plus bruyants. Tushi proposa ensuite une visite chez les filles.
Elles trouvèrent les trois jeunes femmes dans un amoncellement de bras, de jambes, de fesses et de mottes poilues (sauf celle de Lan). Les filles avaient eu des jouissances à répétition et étaient couvertes de cyprine qui les faisait coller lune à lautre. Les femmes profitèrent de lépuisement des servantes pour attaquer.
Après quelques échanges de partenaires, les buveuses de thé japonais ne pouvaient ignorer leur vessie plus longtemps et se retrouvèrent encore une fois les unes sur les autres mais dans deux énormes bains. Il commençait à faire noir quand les femmes retournèrent à leur hôtel respectif.
Le lendemain était le dernier jour complet que les quatre femmes devaient passer à Singapour. Elles retournaient sur leur navire très tôt le jour suivant.
Le lendemain matin, comme prévu, Éveline reçu linvitation de Brigitte pour le soir même. Il y avait une petite fête (lire « orgie ») dans la grande maison de Brigitte quÉveline et Nellie connaissaient déjà.
Éveline proposa à Nellie et aux filles de se raser la motte pour la fête. Ce geste serait bien vu de la part de Brigitte et Tushi. Ce serait aussi une façon de montrer leur allégeance au groupe de lesbiennes autour de Brigitte.
Les deux servantes étaient maintenant habituées à coucher avec une autre femme que leur maîtresse et ça ne causait pas de tension. Aussi Farah et Najwa étaient daccord pour ne pas être exclusives. Elles devaient accepter ce changement pour jouir de la rencontre chez Brigitte. Éveline sentait que cétait son devoir de prévenir les servantes que tout était possible durant ces orgies et que souvent les servantes ou les maîtresses en venaient aux mains. Elles étaient libres de faire ce quelles voulaient et ce petit avertissement était aussi pour instruire Nellie qui faisait ses premiers pas dans la haute société lesbienne de Singapour.
A SUIVRE
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