La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°708)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°705) - Une longue attente -
Depuis que Monsieur Armand et de sa chienne soumise Nina ont quitté la chambre, jattends sagement, à quatre pattes près du Maître. Lui, lit attentivement une documentation quil a trouvée posée sur le lit tout en savourant un grand wisky avec deux glaçons. Je savoure ce temps, parfaitement immobile, jaime être là, sans rien faire, sans même réfléchir, ni me préoccuper du temps qui passe. Japprécie le fait de navoir aucune préoccupation, dépouillé de tout, pour me consacrer exclusivement au Maître, à Son bon vouloir, à Ses ordres et à Ses moindres désirs et exigences.
- Approche mon chien ! me dit-il après avoir reposé ces feuillets sur la petite table basse près du fauteuil, tout en dégustant une gorgée dalcool.
Javance humblement, tête basse en quadrupédie. Il me caresse la tête, longuement, comme Il le ferait à un animal de compagnie. Les minutes passent ainsi, dans le calme et la plus totale plénitude. Je suis bien, serein, heureux, fier. Ma posture exprime même un brin dorgueil. Jai cambré mes lombes, relevé mon cul nu, redressé la tête.
- Il va falloir que je temmène pisser, Mon chien ! Me dit-il
Même de mes mictions, je ne men préoccupe plus, je nen décide plus, je vidange ma vessie lorsque Monsieur le Marquis le décide. Dailleurs, Il en est ainsi pour tous mes besoins vitaux et naturels. Je ne suis plus rien, rien quune ombre inventée par Celui qui me dresse et méduque ! Jai limpression dêtre vidé de toute substance, de toute conscience. Oh combien jaime ça
Bien souvent je me suis interrogé et demandé comment avais-je pu vivre avant et sans cette merveilleuse et si épanouissante rencontre avec le Maître et aussi sans cette relation de Domination/soumission salvatrice ! Pourtant je me croyais fort, invincible, je pensais dominer le monde et en fait, je nétais pas celui que je pensais être.
- Retourne toi, Mon chien et présente-moi ton trou, il faut aussi que je le libère ton cul de ce plug.
Jexécute et ressens comme un vide, presque un manque, lorsque lobjet quitte mes entrailles, jen frissonne ! Et comme pour me donner raison, mes muscles internes restent figés, prennent leur temps pour se contracter et se resserrer, laissant un temps, mon trou béant !
- Quitte cette marinière et apporte-moi ton collier, que je te retrouve, comme tu dois être.
Me voilà habillé seulement de mon lourd collier métallique desclave MDE et de cette accablante cage de chasteté. Je suis tenu en laisse, le Maître mentraine à lextérieur, via la porte fenêtre donnant sur la spacieuse terrasse. Nous descendons deux ou trois marches et arrivons sur la verte pelouse.
- Allez mon chien, pisse là ! ordonne le Maître
Et telle une chienne (lanimal), mon fessier et ma bite quasiment au contact avec le sol, en appui sur mes bras tendus placés entre mes jambes, je me soulage en écartant les cuisses, sous le regard Dominant du Maître. Et dès ma miction terminée, instinctivement je me redresse, me retourne et viens humer mes urines, respectant ainsi les enseignements reçus, léducation donnée
Je sais, ça peut paraître dégradant pour le quidam, mais si sublime à faire et à vivre pour moi
- De te regarder pisser, ma donné des envies, ma chienne ! me lance le Maître
Je le vois dégrafer son jean et sortir Son Noble sexe flasque.
- Allez, nous devons rentrer, mon chien.
Tantôt chien, tantôt putain, tantôt catin, tantôt chiotte, tantôt objet, tantôt jouet, tantôt rien
voilà tout ce que je suis et je suis parce quavant tout, le Maître est ! Et tout cela est mon incroyable et inouï bonheur ! Juste avant de rentrer dans la chambre, je vois de loin, un ballet de voitures, de grosses cylindrées, limousines, Roll Royce, Ferrari, etc ... aller et venir dans cette vaste cour gravillonnée. Des hommes et des femmes en sortent et entrent dans cette Demeure. Tous sont accueillis par Monsieur Armand. Mais le Maître me presse, tire sur ma laisse, comme sil voulait mempêcher de regarder et mentraine de nouveau dans cette chambre.
- Tu vas repasser ta marinière mon chien et mattendre sagement ici, coucher sur ce doux et moelleux tapis.
Je ne sais pas ce qui se trame ici, je ne comprends rien, pourquoi cette marinière ? Pourquoi toutes ces voitures ? Le Maître vient tout juste de me quitter que déjà la porte de la chambre souvre ! Un homme entre. Evidemment je ne le connais pas. Il sapproche de moi à grandes enjambées. Il me fait un peu peur ! En silence, sans aucun mot, le regard sévère, froid, un visage impassible, il saisit mon collier, fait me redresser, mentraine debout fermement presque brutalement au dehors de la chambre. Nous parcourons un couloir, sortons à lextérieur par une porte de service dérobée et regagnons, un petit bâtiment jamais vu encore.
Quelquun est là, juste devant moi. Quelquun ? Non, quelquune ! Ma main a effleuré une opulente poitrine. Surpris, je présente mes excuses, fais un quart de tour et tente de poursuivre mon chemin. Mais là encore je me cogne à un autre individu immobile. Alors je décide de ne plus bouger et dattendre que mes yeux shabituent à lobscurité. Et lorsque ceux-ci me permettent de discerner un peu plus, je maperçois que nous ne sommes pas trois, mais bien plus nombreux
Combien ? Sans doute plus dune trentaine
Qui sont ces hommes, ces femmes ? Sont-ils eux aussi des soumis ou des soumises ? Au bout de quelques minutes, mes yeux se sont ajustés à la pénombre, je distingue un peu mieux ceux près de moi. Jai limpression que tous portent cette marinière à lidentique de celle que jai sur le dos. Toutes et tous, ont un collier autour du cou. Il ny a plus de doute. Je sursaute ! Une main vient de se poser sur mon cul et le caresse tout en douceur. Je ne bouge pas, reste impassible, ou presque
seule ma bite qui réagit me trahit !
Au bout dune heure, peut-être deux, toujours debout, au milieu de ces ombres, mon esprit se perd. Jai des difficultés à organiser mes idées, je me sens égaré, jai cette impression davoir perdu toute logique. Je suis là à attendre comme hébété, à attendre quoi ? Jai le sentiment que le temps sest arrêté. Ce nest que lorsque jentends hurler un homme à la voix criarde et autoritaire lancer à tue-tête
:
- Dehors les salopes, en rang deux par deux et en silence !
que je reprends conscience, et reviens subitement au contexte et à la réalité.
- Je suis un de vos coachs, vous devez mobéir et me respecter !
Cet homme est celui qui est venu me cueillir dans la chambre, il est grand, fort, musclé. Il porte un survêtement Adidas et des chaussures de sport de la même marque. Il fait les cent pas devant nous, nous dévisageant un par un avec un certain dédain. Il sarrête devant une soumise et linterpelle :
- Ne ta-t-on pas appris à te tenir correctement, chienne que tu es ! Ecarte les cuisses et cambre les reins.
Servile, la soumise corrige dans linstant, sa posture en baissant un peu plus la tête. Certains parmi nous se croient obligés eux aussi de revoir leur attitude. Le coach sarrête devant moi, tourne autour de moi, mexamine de la tête aux pieds. Je ne bouge pas dun iota.
- Toi, le chien, sors du rang salope, et accompagne-moi !
Jexécute. Je le suis, il mentraine dans une grande cuisine. Sur la table se trouve une grande panière, dans laquelle se trouvent des nombreux et copieux sandwichs nourrissants.
- Va le chien, va distribuer à tes congénères leur repas, et dès lors que tu auras fini, tu reviendras ici récupérer ces bouteilles deau
Mais avant dobtempérer, tu vas me sucer vite fait, bien fait ! là à larrache !
juste histoire de me faire une petite gâterie au passage ! Une belle putain comme toi, ne devrait pas avoir de souci pour me faire gicler dans ta bouche de catin !
Je bande déjà, salope !
(A suivre
)
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