Lucie, Le Commencement

2 semaines après avoir initié Lucie aux plaisirs de la fessée, la demoiselle m’appelle et demande à me voir.
Etant libre dans la soirée, je lui propose de passer chez elle, ce qu’elle accepte immédiatement, je lui demande alors de quoi il retourne, question à laquelle elle me répond : Contentes toi de venir, avant de raccrocher.
A tout hasard, je prépare mon sac: Menottes, Canne en rotin, Paddle, Règle en bois, et autres objets sympathiques auxquels vient s’ajouter une nouveauté : la cravache.
A l’heure dite, je me présente à l’appartement de Lucie, elle m’ouvre et je monte la rejoindre au dernier étage de son immeuble.
On se fait la bise, je pose mon sac, sous l’œil interrogatif de la demoiselle, et nous nous installons.
Je lui demande alors enfin pourquoi elle m’a fait venir chez elle aussi vite.
En me fixant les yeux dans les yeux, elle me demande si j’ai réfléchi à sa proposition.
Je lui propose d’aller boire un verre au café dans la rue pour en discuter, elle accepte et se lève.
J’en profite alors, je l’att par le bras, la retourne, et lui envoie une claque monumentale sur le cul, lui arrachant un cri de surprise.
Je la lâche et la met face à moi : J’accepte.
La miss me remercie et me dit qu’elle m’invite au café, hors de question lui dis-je, on a du boulot.
Elle me regarde très surprise, je sors alors de mon sac le contrat pré-rempli que j’avais préparé le jour même à son intention. Elle le lit à voix haute, clause après clause, date et signe, et me rend le contrat, je lui tends l’exemplaire que j’avais dans les mains, pour qu’elle puisse également le signer.
Une fois l’administratif expédié, je lui annonce que je l’emmène déguster un cocktail, je la sens troublée.
Elle monte dans ma voiture et nous partons, nous quittons la ville, jusqu’à arriver dans une zone industrielle voisine. Je viens me garer sur le parking d’un hangar.
Nous quittons la voiture et nous dirigeons vers la porte, que j’ouvre avec un pass magnétique.


Nous entrons dans un bâtiment de garde-meuble, je vais vers mon box, suivi de près par Lucie, interrogative.
J’arrive devant mon local situé dans un angle isolé du hangar, j’ouvre la porte et invite la demoiselle à entrer.
Je referme derrière moi et allume la lumière, la miss découvre alors un empilement de cartons et de malles sans comprendre. Je m’avance un peu et déplace quelques cartons, la miss découvre alors un canapé d’un côté et contre le mur opposé un bureau et 2 sièges.
Je lui indique alors qu’à partir de la semaine suivante, c’est ici que je viendrais l’aider dans son travail et évidemment la corriger si jamais elle vient à s’éparpiller durant sa scolarité.
Afin de lui donner un aperçu des diverses choses qui pourraient s’abattre sur son joli petit cul, je lui annonce qu’elle va goûter à tous les « instruments » ce soir, un fameux cocktail.
Sans plus de cérémonie, je m’assoie sur l’un des 2 sièges et l’amène en travers de mes genoux.
Un bon échauffement à la main me semble nécessaire avant d’aller plus loin, je passe donc 5 bonnes minutes à claquer avec force les fesses de Lucie encore protégées par son pantalon, je la remets ensuite sur ses pieds, fais sauter le bouton et lui enlève ce dernier. La jolie brune se retrouve donc en string, je la remets en position et prend la règle en bois, chose qu’elle n’a jamais testé.
S’ensuit alors une dizaine de coups tantôt puissants, tantôt plus délicats. Je pose la règle et att le paddle, même politique que précédemment, sauf que j’y vais un peu moins fort, le postérieur de la demoiselle est déjà d’un rose bien prononcé , elle qui n’avait presque pas bronché depuis le début, commençait à gesticuler et à gémir aux coups.
Le paddle terminé, je décide de la fesser penchée sur le bureau, elle se laisse faire, j’en profite pour enlever son string.
Imaginez la scène :
Une jeune et jolie brune, le ventre sur un bureau, les fesses rouges, prête à se prendre une tempête sur son petit postérieur, la scène est d’un érotisme incroyable.

Je décide à présent d’utiliser la canne en rotin.
Comme je sais que c’est l’un des instruments les plus ravageurs qu’on puisse utiliser, je décide de la bâillonner et me sers pour cela du string que j’ai dans les mains.
Une fois son string fourré dans sa bouche, je claque une première fois ses fesses sans forcer, le cri qu’elle pousse est dantesque, je ne lui en administre donc pas plus de 3.
Je la reprends alors sur mes genoux et empoigne alors le paddle. La miss le voit et att alors ma jambe, je lui enlève son baillon et lui demande ce qu’il se passe (hormis le feu qu’elle a aux fesses).
Elle me répond alors que c’est pour pouvoir serrer quelque chose si jamais elle a trop mal, je lui remets son string dans la bouche et déclenche sur son derrière un véritable cyclone de coups.
Je la sens au bout d’un certain temps serrer fortement ma jambe, je m’arrête alors et la remet sur ses jambes. Son visage est baigné de larmes et son derrière rouge carmin. Je l’allonge alors à plat ventre sur le canapé et passe ensuite une bonne demi-heure à masser ses fesses avec la Biafine (ma meilleure amie). La miss a séché ses larmes et ondule maintenant son mignon petit postérieur. Je lui demande alors comment elle a trouvé ce début de soirée. Elle tourne la tête, je vois dans son regard et à son petit sourire timide qu’elle a aimé ce moment.
Elle me demande alors : Si tu es satisfait de mon travail, qu’est ce qui arrivera ?
Pour toute réponse, je pose ma main sur ses petites lèvres et commence alors une longue et lente masturbation. Quelques minutes plus tard, j’insère un doigt dans son intimité, tandis que de l’autre main, je caresse ses jolies fesses encore échaudées par le cyclone qui leur ait tombées dessus. Je la retourne alors sur le dos, ma main quitte ses fesses pour venir déboutonner son chemisier, je lui enlève son soutien-gorge que j’avais dégrafé juste avant et la demoiselle se retrouve dans la tenue d’Eve qui lui va si bien.

Je titille délicatement ses seins et continue de la caresser doucement.
Elle vient à en jouir quelques instants plus tard.
Je plante mes yeux bleus dans ses beaux yeux noisettes et lui dit que ce n’est qu’un petit aperçu de ce dont je suis capable, elle me regarde en souriant timidement.
Je pense qu’on va bien s’amuser …

Comme toujours, n’hésitez pas à laisser des commentaires ou à m’envoyer un mail pour me faire part de vos impressions : dmnmaitrefesseur@gmail.com

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