Je N'Ai Qu'une Passion, La Baise, La Baise, La Baise

Marlène court, toute nue sur la plage. Toute nue, pas tout à fait. Elle porte des baskets rouges. Je la regarde et elle me lance un clin d'oeil, message qui dit qu'elle a vu que je la regardais. Sa tête pivote en arrière, pour voir si j'ai bien reçu le message. Je me mets à courir, moi aussi, et, à mesure que je la ratt, j'enlève un de mes vêtements. Quand je la rejoins, je suis nu, moi aussi. Elle s'arrête, me regarde, et dit :
- C'est mieux comme ça, non ?
Je m'arrête à sa hauteur et je dépose un baiser sur sa bouche. Elle se saisit de mon sexe, et me tire au bord de l'eau. Elle se laisse tomber sur les genoux et happe ma pine entre ses dents. Ses lèvres se referment sur le gland et sa langue titille la petite fente, par où passe sa semence préférée. Elle lèche la couture qui, après la raideur due à l'excitation, sépare le gland de la hampe. Elle enduit ma pine de salive, puis reprend le gland dans sa bouche. Ses lèvres glissent le long de ma bite, pour s'écraser sur mes poils. Marlène a gobé ma queue toute entière. Je tente un demi-tour dans sa bouche, pour pratiquer un 69. Ma mangue lèche sa moule , puis s'introduit entre ses lèvres d'en bas. Je remonte vers le clitoris, lui arrachant un gémissement. Mes coups de langue, sont accompagnés de ses mouvements de hanches, vers ma bouche. Quand enfin, elle s'abandonne, je reprends ma position initiale, et ma queue prend la place de ma langue. Elle relève ses genoux, pour faciliter mon emprise. Mon membre s'enfonce tout au fond de sa fente. Elle croise ses jambes autour de mes reins, et me coince, en position interne. J'arrive quand même à la limer. Elle est au bord de l'explosion. Alors, je me dégage, et la retourne. Les genoux sous le menton, les fesses écartelées, je plaque ma pine sur son petit trou, et je pousse. Ma trique s'enfonce dans son cul, et elle crie.
- Je t'ai fait mal ? Demandais-je.
- Non, dit-elle dans un souffle.

Je jouis !
Après l'avoir pilonné et jouis en elle, je me suis laissé retomber sur le dos. Elle s'est alors relevée, m'a enjambée et s'est assise sur ma bite qui s'est enfoncée, toute entière, dans son cul. Nous avons joui ensemble.
- Tu en as baisée d'autres des joggeuses de plages ?
- Pourquoi tu crois que je viens ici ?
- Et ça en fait beaucoup ?
- Ben chaque fois que j'en saute une, comme toi aujourd'hui, le bouche à oreille en ramène au moins une. Résultat, je baise tous les jours !
- Et si je te demande de ne baiser que moi ?
- Plusieurs fois, d'accord ! Que toi, jamais !
-Pourquoi ?
- Parce qu'avec chacune d'entre vous, j'apprends des choses nouvelles, dont les suivantes profitent. Tu n'as qu'à revenir dans une semaine, et tu sentiras une différence.
- C'est charitable !
- Pas du tout ! Ca m'évite de me retrouver prisonnier d'une mémère qui ferait de moi une momie.
- Et quand tu seras vieux ?
- J'aurais tellement baisé, que je mourrai avant de devenir vieux. Mais revenons à mon sport favori. Donnes ton cul !

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