Leslie Nr22

Leslie NR22 – Nouveaux récits
Souvenirs– Un déplacement à Montpellier

Parfois, rien ne viens, on est là sans inspiration se demandant s’il faut arrêter d’écrire, puis un souvenir revient et on raconte…
« Il y a quelque temps, en déplacement pour trois jours à Montpellier pour mon travail, alors qu’avec Laure nous habitions encore à Paris, et ayant régler tous les problèmes dès le milieu du deuxième jour, je m’ennuyais terriblement chez mon client.
Ayant terminé mon rapport de réunion de mise au point et fait les retouches au projet, je suis sortie du travail, pour aller seule, boire un verre dans un petit bar et rentrer plus tard à l’hôtel ou je retrouverais mon collègue de Montpellier, pour diner comme la veille, et certainement finir la nuit ensemble, comme la veille au soir.

En effet, le premier soir, de retour à notre hôtel, j’ai dîné avec ce collègue de Montpellier, Christian. Fatiguée et nerveuse, j’ai un peu bu, un apéritif et plusieurs verres de vin blanc, à table. Arrivée au dessert, j’avais un peu chaud, l’alcool faisant son effet, et la tête quelque peu embuée.
En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu’il était vingt-deux heures passé, et que je n’avais toujours pas téléphoné à Laure, comme prévu.
Je me suis excusée auprès de Christian, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler ma chérie.
Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre pour la boire ensemble, sans explication, mais sans doute pour me libérer et partir au plus vite, j’ai dit :
- Si tu veux !

Prenant congé, je me suis dirigée vers l’ascenseur pendant que Christian attendait pour régler la note et monter avec le champagne.
Arrivée dans ma chambre, j’ai laissé la porte entrouverte, puis j’ai déposé ma veste sur une chaise. J’ai vite composé le numéro de la maison, et j’ai raconté ma journée à Laure.
Lorsque Christian est entré dans la chambre, assise sur le bord du lit, j’ai été presque surprise tellement occupée par ma conversation avec Laure, j’avais oublié qu’il devait venir.

Comme il restait debout près de l’entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne désirais pas que Laure sache que Christian venait de me rejoindre et d’avoir à répondre à ses questions.

À côté du bureau, ma valise était resté ouverte et j’ai vu Christian regarder dedans, puis, sans se gêner il a fouillé dedans et a sorti un soutien-gorge blanc en dentelles et le string qui allait avec.
J’étais à la fois énervée et interrogative sur ce qui allait suivre après cette découverte de mes sous-vêtements et leur exhibition, du coup je n’étais plus trop à la conversation avec Laure.
Laure, aussitôt, me demanda la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs, sentant que je n’étais pas à son écoute.
Je lui ai expliqué, comme pour me justifier que cette longue journée m’avait usée, et que j’avais besoin de me reposer, mais moi, je n’attendais qu’une seule chose, raccrochée pour dire à Christian son indiscrétion et le foutre dehors.
Malheureusement, Laure, qui me connaissait bien, se douta que je ne devais pas être seule dans la chambre et commença à me dire des choses qui m’excitèrent…
- Tu sais, quand tu seras de retour nous allons faire l’amour comme des folle, car j’ai très envie de toi, de ton corps, de ton sexe.
Et elle me détailla tout ce qu’elle désirait me faire, j’étais de plus en plus mal à l’aise et tentais de participer normalement à la conversation, mais j’étais très gênée par le fait que Christian fût en face de moi, qu’il me regarde et participe à ce moment d’intimité avec mon amante.
Puis, sans un mot, il est venu s’asseoir sur le lit non loin de moi et s’est allongé tranquillement, je l’ai un peu oublié et je me suis quelque peu détendue.
J’ai dit à Laure combien elle me manquait, que j’avais hâte de rentrer à la maison…

La conversation devenait chaude et intime, c’est à cet instant que j’ai senti la main de Christian se poser sur ma hanche, je l’ai aussitôt repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l’a remise aussi tôt.
Trois ou quatre fois je l’ai repoussé sans succès et j’ai finalement décidé de le laisser faire, trop occupée avec Laure et afin qu’elle ne se doute de rien, j’ai continué à lui parler laissant la main de Christian me caresser et me masser doucement les hanches et le dos.
Les caresses et la douceur de Christian commençaient à me détendre et à me faire quelques effets, alors je sentais me laisser aller en me détendant un peu.
Lorsque Christian, redressé derrière moi et a commencé à déboutonner mon chemisier, j’ai dit :
- Ohhh !
En tentant de l’arrêter, Laure m’a demandé ce qui se passait et je lui ai dit que je n’étais pas seule et qu’un homme tentais de me déshabiller, alors elle m’a dit :
- Laisse-le faire et tu vas tout me raconter !

Je me suis équipée de mon kit mains libres afin d’être libre dans mes mouvements et de continuer de lui commenter la scène que je vivais. Et j’ai laissé Christian faire.
Il a défait un à un les boutons de mon chemisier, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. En entendant raconter ses gestes à Laure, il a redoublé de vigueur en repoussant les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe, je le laissais faire, puis il a retiré complètement mon chemisier et ensuite, il a dégrafé mon soutien-gorge et l’a enlevé.
Etre au téléphone racontant ce que je subissais, m’excitait et maintenant j’acceptais la situation et les mains de Christian sur mon corps.
Christian, ensuite, m’a saisi par les épaules, et m’a fait allonger sur le lit. Pendant que je continuais de décrire la situation à Laure.
- Christian fait courir avec délicatesse ses doigts sur mon ventre, et joue avec mon nombril et mes seins.
Christian excitait la pointe de mes tétons avec l’intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m’a regardé droit dans les yeux, s’est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m’a regardé de nouveau et m’a embrassée plus profondément. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser.

Pendant que je reprenais mon souffle, Christian, le plus discrètement possible, m’embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendues vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant baisers. Prise au jeu, j’ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.
Sans m’en rendre compte, j’ai poussé un petit gémissement que Laure a entendu, elle m’a demandé de lui dire ce qui se passait, alors je lui ai raconté dans les moindres détails.
En entendant mes propos, Christian tout à son ouvrage, s’est relevé et m’a souri. Laure m’expliqua qu’elle aussi était excitée et qu’elle se mettait à l’aise pour se caresser.
Christian s’est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu’à arriver à l’élastique de mon string. Il l’agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.
Au fur et à mesure, Alors que j’éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentais une bouffée d’air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l’a porté à son visage. Laure haletait au bout du fil en m’entendant mes paroles.
Christian approcha mon bassin du bord du lit et a enfoui sa tête sous ma jupe. Il s’est d’abord arrêter à quelques centimètres de mon sexe, puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon gland me faisant gémir en le guidant par mes mains sur sa tête et en continuant de raconter à Laure, je bandais comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

Lorsque Christian s’est relevé pour défaire son ceinturon et baissé son pantalon et son boxer, pour me présenter son sexe raide, j’ai compris ce qu’il attendait. Je me suis excusée auprès de Laure pour le silence qui allait suivre et elle a compris que j’allais sucer mon amant.
J’ai pris complètement en bouche le sexe de Christian et je l’ai sucé en faisant des bruits de succions pour Laure.
Christian semblait apprécier vu les soubresauts de son sexe.
Puis j’ai repoussé Christian pour l’entendre dire à haute voix :
- J’ai envie de te prendre !
- Et moi de te sentir en moi luis ai-je répondu.
- Salope ! A crié Laure dans le téléphone.
Je me suis retourné pour que me mettre à quatre pattes, il a retroussé ma jupe, et j’ai senti son membre à l’entrée de mon œillet. J’avais les fesses en l’air et le visage sur l’oreiller.
J’ai dit à Laure :
- Il va me défoncer, m’enculer avec sa grosse bite.
J’ai alors senti l’énorme bite de Christian me perforer avec l’impression de n’avoir jamais été aussi remplie.
Après le « Ohhh » que j’ai poussé.
- Salope, a répété Laure.
Christian variait admirablement les rythmes, mon plaisir montait, quand j’ai entendu Christian hurler en se déversant en moi en crispant ses mains sur mes hanches, un orgasme me terrassa, tandis qu’au même moment Laure jouissait de ses mains.
Il s’est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Quand sa bite a recommencé à reprendre de la vigueur, j’ai senti à nouveau son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement et mon sphincter encore entrouvert lui a permis de s’enfoncer et il est rentré d’un coup, pour se planter tout au fond de moi.
C’est moi qui ait commencé à bouger les fesses et doucement il prit le relais, il a accéléré la cadence, puis je l’ai senti se contracter juste avant de jouir à nouveau.
Laure à juste dit avant de raccrocher :
- Tu vas voir en rentrant ce que je te réserve…

En partant du bar ce soir, je suis rentrée à l’hôtel où j’ai retrouvé Christian, nous sommes montés directement dans ma chambre où il m’a fait l’amour comme un fou, me faisant hurler de plaisir en me sodomisant de son sexe raide de désirs.
Puis nous avons commandé deux plateaux repas et après avoir dinés, nous avons repris nos ébats.
Nous avons refait l’amour le lendemain matin, une dernière fois avant de nous quitter, sachant que je partais dans la matinée pour retrouver Laure qui m’attendait pour me sauter dessus.
Il me faudrait dormir un peu pendant le trajet afin d’être en forme pour la nuit prochaine avec mon amante. »

A suivre…