Une Resucée(Hahaha) Des Amitiés Particulières

Ca fait trois mois que je suis dans cette boîte. Je vais bientôt être titularisé. Ce n'est pas un job intéressant, mais dans l'offre d'emploi, j'ai vu "Twentieth Century Fox". Je coupe, range, et classe, des miliers de de morceaux de films. Tu parles d'une cinécure !
Ce matin, le patron me fait appeler. Sans doute, pou finaliser mon contrat. J'entre dans le bureau. J'allais m'asseoir, quand le patron me fit signe d'attendre. Je me retournai vers la porte, pour lui montrer que je n'écoutais pas la conversation. J'ai tout de même entendu :
- OUi ! Il est là. Son cul ? Oui, comme vous avez dit. D'accord !
Et il raccrocha.
- Bonjour ! me dit-il. Bonne idée de vous être retourné.
- Pardon ?
- Non, ce n'est rien, dit-il. On en reparlera tout à l'heure. Quel âge avez-vous ?
- J'ai eu 18 ans ce matin !
- Je me disais bien que je vous avais convoqué ! Donc, depuis ce matin, vous êtes majeur ? Au fait, j'ai 63 ans. Vous pourriez presque être mon petit-fils. Ca TE gênerai si je te tutoyais ?
- Non, vous pouvez...
- Voilà, il y a trois mois, j'ai assisté à ton entrée chez nous. J'ai immédiatement appelé la Fox à New York !
- Pourquoi vous me dites ça ?
- Laisses-moi finir ! Quand j'ai vu ton cul, j'ai su que ce serait toi !
- Mais ..... !
- Arrêtes de m'interrompre tout le temps. Tu n'es pas là pour ta titularisation. Tu es là parce que tu viens d'atteindre ta majorité. Je t'ai parlé de la Fox, j'ai un projet. Tu connais Roger Peyrefitte ?
- Oui, c'est un écrivain !
- Prodigieux ! Comment tu le connais ?
- J'ai vu le film "Les Amitiés particulières".

Comme j'ai aimé, j'ai acheté le livre. Je l'ai relu cinq fois.
- Incroyable ! Ca a été mon jour de chance !
- Quoi ? demandais-je.
- Le jour où on t'a embauché. Tu as entendu ma conversation au téléphone, tu vas pas me dire que t'as pas écouté. Le patron de la Fox, me parlait de ton cul ! Au fait, tu es homo ?
- Pourquoi ?
- Tu m'a dit que tu as lu Peyrefitte, plusieurs fois !
- Et alors ?
- La direction et moi, avons décidé de re-tourner les Amitiés Particulières, mais dans sa version originales, y compris, les scènes de sexe. Quand j'ai vu ton cul, une lumière s'est allumée dans ma tête. Tu touchera 30 % des entrées, pendat toute ta vie. Qu'est-ce que tu en dis ?
- Il faudra que je joue à poil ?
- Oui, et toutes les scènes ! Pas de doublure !
- Je devrais sucer et me faire enculer sur l'écran ?
- Tout à fait !
- 30 % ?
- 30 % !
- Alors, c'est d'accord !
- Ce ne sera pas si facile que tu crois ! Dés demain, tu va au sport. Il faut entretenir la beauté de ton corps. Muscle tes fesses, prends soin de tes lèvres. Quand tu suceras le noir, on ne verra que ça. Enfin, ne t'inquiètes pas, il y aura plein de gens qui te conseilleront. Pour ma part, et si tu veux bien, je voudrais, quand tu viendras me voir que tu ne portes rien sous ta blouse. Les ébats sexuels sont interdits dans cette enceinte. Mais, selon la notoriété que prendra le film, je pense que tu pourras faire ce que bon te semble.
Je suis vieux. Te voir pris par des hommes me transporte. Tu vois la petite pièce à côté, les murs sont des glaces sans tain, s'il te plait, si tu veux te faire baiser, viens dans cette pièce. Je te donnerai la clé.
Pendant les trois ans du tournage, j'ai occupé le petit cabinet, tous les jours. Le local était néttoyé et désinfecté quotidiennement, après que le patron fut allé humer l'odeur du sperme que j'avais pris dans la bouche et dans le cul. Le pauvre vieux, il ne lui restait que ça pour se faire plaisir. Le jour de la sortie du film, j'ai tenu à visionner la projection, seul avec lui dans le petit local.
J'étais nu quand il est entré. Je voyais que quelque chose n'allait pas. Je suis ressorti en disant :
- Je reviens dans cinq minutes !
A mon retour, j'étais vêtu comme je l'étais au moment du film, où je me donne à mon amant et qui me déshabille, avant de m'enculer. Le vieux monsieur se leva et m'ôta tous mes vêtements. Complètement nu, je l'aidai à se rasseoir et me mit à genoux entre ses cuisses. Je lui administrai la plus belle pipe de sa carrière et, après une pauvre éjaculation, je me suis empalé sur sa vieille bite. Le vénérable vieillard avait les yeux embrumés de reconnaissance. Il n'a survécu que quelques minutes à ces derniers instants de plaisir.



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