Mon Petit Jardinier 07.
Jai une vision circulaire de laddendum masculin à différents paliers, un premier à son apogée avec Toussaint, un haut de forme magnifique, un deuxième en phase ascendante avec Théo, un chapeau melon avec sa calotte ronde et bombée et ses bords retroussés et enfin le petit béret de Cédric avec sa base parfaitement ronde surmontée dune toute petite queue,comme elle est mimi toute fripée ! Et en pensant à papy Mougeot je me pose la question : « est-ce que le Schmilblick il tient dans la main, il tient dans ma main ? «
La réponse je ne tarde pas à la connaître : instinctivement ma menotte se saisit de la chose et la dissimule entièrement, elle est bien en sûreté enveloppée de la sorte, jamorce doucement et délicatement un mouvement de translation qui saccélère progressivement.
Cela me fait penser un peu à une bielle dune vieille loco à vapeur, mon pouce butte à chaque aller sur ses couilles bien rondes et lisses comme des boules de billard. Mon geste est délicat pour ne pas les heurter violemment, ma déjà ancienne expérience mest précieuse et le petit asticot se transforme en verre de terre par la magie de la nature.
Encore un petit effort et je pourrais la déguster, car jaime bien les introniser bien rigide dans ma bouche, pas un truc flasque et insipide.
En deux temps trois mouvements je crois que mon coéquipier se transforme en Ironman, pas entièrement évidemment, juste la partie qui mintéresse, et elle est encore toute camouflée dans ma main.
Une pensée me vient instantanément je vais enfin pouvoir essayer une gorge profonde, vous allez me dire que la chose est facile, cest vrai, mais cest bien la première fois que je me sens capable du prodige, jai souvent rêvé dessayer de lécher les couilles dun garçon en ayant sa bite dans la bouche, mais la taille des engins que mont présenté les labadens qui ont bien voulu me confier leur précieuse ma dissuadé de risquer la moindre tentative.
Me tournant vers nos spectateurs immobiles, je leur dis :
- Vous nallez pas rester les bras ballants sans rien faire, Théo, te connaissant je pense que tu es a une énorme envie de goûter une aussi grosse bite et toi Toussaint cette expérience te plairait-t-elle ?
La réponse de Théo ne se fait pas attendre.
- Jamais je nai encore aperçu un garçon si bien monté et avec son accord, jai un désir fou dessayer de lui prodiguer une belle turlutte, dit-il en se tournant vers lui.
Toussaint lui est tout surpris, il est même scotché par la proposition à laquelle il ne sattendait pas.
- Tu verras elle est délicieuse, fais-je à Théo, et toi Toussaint, se faire sucer même par un garçon cela doit être très bon?
- Oui, répond-il très faiblement sans être complètement convaincu.
Théo ne se le fait pas dire deux fois et il se met à genoux pour faire ses dévotions au dieu Priapre.
Une main sur la fesse droite de Toussaint, lautre main maintenant le cylindre mastoc à sa base, avec le petit doigt, pas sur la couture du pantalon, il lui caresse ses couilles et sa langue parcourt les plus de 25 cm de la bite.
Je regarde et aperçois les yeux exorbités et la bouche pincée de Toussaint: signe quil est aux anges.
Il est grandement temps pour moi aussi de sucer une nouvelle bite, à chaque fois cest la même chose, la découverte dune terre inconnue mapporte un piquant supplémentaire et je savoure encore plus ce délicieux mets. Cest peut-être pourquoi,telle une abeille, jaime butiner les fantastiques pistils des garçons afin de siroter leur miel collant.
- Et toi Cédric, ta mignonne petite queue doit avoir envie dun pèlerinage dans ma bouche ?
Je sens déjà une réponse enthousiasme dans ma main avant même quil me la confirme dans un soupir de béatitude.
- Oh oui!
Nous nous regardons dans les yeux un long moment pour imaginer lequel en a le plus envie et de laugmenter encore si cela est possible. Ma main le branle de plus en plus vite, sa tigette chaude me brûle la paume, il se laisse faire entièrement et cest ce que jaime par-dessus tout: tenir les cordons de la bourse, et le trésor nest pas en pièces sonnantes et trébuchantes mais plutôt en liquide que je préfère abondant.
Je libère alors la belle prisonnière qui se redresse instantanément fiere comme un bar tabac, une pipe simpose dans ces conditions, le gland est décalotté et dune belle épaisseur par rapport à la longueur, Elle domine une plaine aussi désertique que le mont Ventoux. Ce spectacle me fascine, elle est tendue pour moi, elle semble me regarder par la petite fente au sommet et mimplorer à la prendre pour que je goûte cette friandise.
Cette fois encore je ne peux pas résister plus longtemps à cette tentation, je maccroupie et sans même la lécher avant, je pose mes lèvres sur le haut du gland et lentement je la coulisse entre sans marrêter, Elle fait environ une dizaine de centimètres et je crois que je peux la mettre au complet dans ma bouche, effectivement je bloque juste au niveau de ses couilles.
Comme dans mes songes les plus coquins ma langue apparaît et elle lui chatouille lavant de ses deux pochettes surprises.
Ça y est jy suis arrivée à mettre toute la bite dun garçon dans ma bouche! et je crois que cela lui fait plaisir car il me caresse doucement les cheveux.
Dun seul coup je relâche le tout et reprends mon souffle, haletant encore je retourne mettre en pratique mes techniques infaillibles sur le petit goupillon de Cédric. Mes lèvres soyeuses et ma langue cajoleuse lui prodiguent des mamours et des papouilles qui, il me semble, ne le laisse pas de marbre. Cest même, je puis dire, une belle gâterie que je lui fais et qui lincite à nous faire une petite confidence :
- Cest la première fois quune fille me suce, jai bien lhabitude avec des garçons, mais toi Marion cest encore plus sublime.
- Merci,fais-je en libérant sa bite et pour quelle reprenne ses esprits.
Mon frère aussi à ce moment-là sarrête de sucer Toussaint et nous demande une faveur inattendue.
- Marion, si tu es daccord, peux-tu me prêter un moment Cédric? car jaimerais bien essayer de me faire enculer par Toussaint mais je pense quil serait utile que Cédric me prépare avant de recevoir cette énorme masse darme.
Quel aveu ! Je ne savais pas que mon petit frère avait testé avant moi une bite dans un endroit qui me tarde dexpérimenter mais dont je nai pas encore osé sauter le pas ayant juste introduit quelques menus objets pour voir ce que cela fait.
A suivre.
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