La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 710)

franckdocile au Château - (suite de l'épisode N°625) -

Je me hâte de reprendre la route et après quelques minutes de marche, j'aperçois l'entrée du Château. Je suis nu et comme exigé par Marie la Cuisinière, je me mets en quadrupédie pour traverser le parc à quatre pattes jusqu’aux grandes portes en haut du perron … L’évolution est lente mais j’évite d’avancer sur les graviers rouges pour ne pas me blesser les genoux, préférant longer les pelouses plus doucereuses à mes ménisques. Je suis à la fois exténué par cette journée éprouvante mais aussi fier car habité par l'impression d'une mission accomplie. Je m'imagine aux pieds du Maître, fier de mon comportement car malgré la nuit tombante, je suis persuadé d'être dans les temps. J'arrive enfin aux pieds d'un grand escalier devançant le perron du Château. Je marque quelques secondes d'arrêt pour réfléchir à la conduite à tenir et ne pas faire d'erreur. Je prends l'initiative de rester et poursuivre à quatre pattes car cela correspond bien à ce que je suis et souhaite être. Je gravis donc les marches à pattes, la bouche toujours pleine de sperme de, je ne sais même plus qui ! ... Arrivé en haut du parvis, la porte est entrebâillée et je me faufile à l'intérieur du hall d'entrée, où je découvre une pancarte installée à mon égard. Le Maître, je reconnaîtrais cette écriture parmi mille, a rédigé cette note manuscrite à l'encre noire :

« franckdocile, si tu trouves cette pancarte, c'est que tu es arrivé à l'heure et que tu as par conséquent réussi ta mission (je te sais suffisamment bien dressé maintenant pour ne pas envisager de revenir sans avoir obéi à Mes ordres), tu es donc digne de poursuivre ton éducation sous Mon joug, descend à 4 pattes les escaliers en colimaçon situé derrière la porte la plus à ta gauche du hall d'entrée. Fait attention en descendant, les escaliers sont étroits et abrupts. Une fois en bas, tu suivras l'itinéraire fléché. Le Maître, MDE »

Je ne réfléchis pas et trouve les dits escalier qu'il est extrêmement difficile de descendre à quatre pattes.

Je vais doucement car il faut se contorsionner et se déhancher énormément, les marches étant très hautes entre elles, ce qui me fait me sentir un vrai chien qui tortille du cul. Je me sens comme une chienne lubrique qui va chercher de la bite. C'est donc dans un grand état d'excitation que j'arrive dans ce couloir que je ne connaissais pas encore. Une épaisse moquette rouge couvre le sol. En suivant l'itinéraire fléché, je vois de part et d'autre du couloir de magnifiques portes en chêne verni avec à chaque fois un panneau doré sur lequel est inscrit un numéro suivi des lettres MDE. J'imagine ce qu'il a déjà pu se passer derrière chacune de ces portes et je me rends compte du nombre incalculable de choses que je vais encore pouvoir vivre si je me montre à la hauteur de ce qu'exige le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans. Cela augmente encore mon excitation, lorsque j'arrive soudain devant une porte entrouverte indiquée par une nouvelle flèche. J'ouvre la porte un peu plus et commence à y faire avancer ma tête puis mon corps. Je me trouve dans un superbe salon tout capitonné de velours rouge sur les murs et au centre duquel trône une table basse avec … Je n'ai pas le temps de poursuivre mon observation de la pièce car sans je n'entende quoi que ce soit arriver, un homme monte à califourchon sur mon dos, on me maintient brutalement les épaules par l'arrière et on me place un bandeau opaque sur les yeux. Puis plus rien, on me laisse comme cela. A quatre pattes, sperme dans la bouche, yeux bandés. J'entends néanmoins un peu d'agitation dans la pièce et je ressens la présence d'un nombre toujours plus important de personnes. Le silence se fait soudain lorsque j'entends une voix, que j'identifie immédiatement comme celle du Maître, s'adresser à l'assemblée :

- Mes Amis, je vous présente franckdocile, un chien soumis en apprentissage. Il adore sucer et se faire baiser. Il m'appartient corps et âme et est très obéissant à Mes exigences. Il rentre tout juste de promenade.
Je lui ai exigé de récolter le sperme d'un homme dans sa bouche de pute et de me le ramener… (puis s’adressant à moi) - Ouvre ta bouche, et laisse dégouliner ce qui est à l'intérieur… soumis Endymion MDE, se charge de le récolter dans une coupe de champagne à moitié remplie…

J’obtempère immédiatement, puis le Maître exige que je me mette debout.

- Un chien qui obéit mérite une récompense, pour ce bon comportement de cette journée, alors je t'offre une coupe de mon meilleur champagne, bois !

On me fait boire le mélange de champagne et de sperme que je viens de recracher. C'est humiliant mais gratifiant aussi de pouvoir être ainsi au centre de tous les regards que je sens sur moi.

- Une récompense n'arrivant jamais seule, tu vas maintenant prendre les grosses queues de toutes les personnes ici présentes qui désirent utiliser tes orifices... Ils peuvent en user et en r à volonté, j’ai dit !

On me alors met en place sur la table basse que j'ai entrçu toute à l'heure. Je suis placé à quatre pattes, cuisses écartées cul offert, chevilles et poignets sanglés à la table. J'ai compris que j'allais maintenant prendre toutes les bites dans ma bouche et dans mon cul. Il doit y avoir au moins 30 personnes dans cette salle… Effectivement, les premières verges déjà en érection ne tardent pas à arriver. Une dans ma bouche que je m'attache à bien prendre jusqu’à ma gorge et une dans mon anus qui est encore bien ouvert suite à la récente rencontre avec le gode de Marie la cuisinière. Je me fais ainsi limer pendant un temps interminable, n'ayant de repos que le temps de changement de partenaire, une bite sortant est immédiatement remplacée par une autre pleine de vigueur. Je ne suis plus que deux trous, deux vides couilles ! Les calibres changent mais mon cul accueille toutes les queues les unes après les autres. De temps en temps, une énorme arrive à ma bouche et je crains déjà le moment où elle arrivera dans mon cul. Mais finalement, mon cul s’accommode très bien des différentes verges raides et dures et des différentes cadences de ramonage qui se succèdent dans mes deux orifices.
J’entends des rires, tout le monde se moque de moi, m’insulte, me rabaisse, me revoilà humilié, oui rabaissé et j’aime ça ! J’en suis tout excité et j’en bande fort exhibant une belle érection qui ne passe pas inaperçue. Je suis entouré de Dominants pervers tandis qu’un autre Maître enfonce sa verge encore au fond de ma gorge. Au bout d’un moment, je suis détaché des chevilles et poignets et je suis aussi promptement retourné sur la table, les fesses offertes et les jambes relevées et largement écartées à la vue de tout le monde et mon érection devient de plus en plus forte et montrée aux yeux de tous que j’en jouis sur mon ventre sans même que l'on me touche la nouille tellement je suis humilié et excité. Un Maître ramasse mon sperme sur mon ventre avec ses mains et m'oblige de tout lécher et de nettoyer ses doigts, un par un. Le pire (ou le meilleur) est que j’avale sans problème léchant chaque doigt comme un bon chien docile. Ensuite, je me retrouve à nouveau en train de me faire prendre par les sodomites apparemment en chaleur...

Et hop, c'est donc reparti de nouveau ! Encore une bite dans le cul ouvert, et encore une autre dans la bouche, enchaînant les pipes pendant qu’on m’enchaîne les sodomies profondes à grands coups de reins dans mon cul. Je me suis pris toute l’assemblée de Maîtres et avec la dose de spermes qui sort de mon anus, ça rentre tout seul pour ceux qui passèrent en dernier. Je suce encore et encore des bites pendant que j'en ai encore une dans le trou du cul. Tous les Maîtres se vident dans ma bouche un part un pour ceux qui n’ont pas giclé dans mes entrailles. Durant plus d'une heure je me fais ainsi baiser la bouche et l'anus. J'ai du sperme partout sur le visage et le cul en feu, ça dégouline de mes fesses. Je dois sucer les rares qui n’ont pas encore joui... et ceux qui n’ont pas jouis dans ma bouche, s'occupèrent de se vider dans mon anus… A force d'humiliations par ces hommes, je deviens et me sens de plus en plus chienne et je me sens si bien ainsi si épanoui, si heureux, si soumis.
.. Au fur et à mesure que le temps s’écoule, l'ambiance de la pièce change en me délaissant car j'entends ci-et-là des groupes de gens qui commencent à bavarder sans prêter grande attention à mon cas. Les vas-et-viens se poursuivent ainsi jusqu'à épuisement des volontaires. La table sur laquelle je suis est alors soulevée dans l'indifférence presque générale et je suis ainsi porté à travers les couloirs du Château par deux costauds esclaves noirs que l’on a appelé pour m’emmener. Je suis alors jeté dans mon chenil dans lequel je m'endors immédiatement d'épuisement tout souillé de spermes … J’avoue que j’ai ressenti un plaisir immense, une excitation hors norme à me faire baiser de la sorte, je ne suis plus rien et ça me plait …

(A suivre …)

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