La Randonnée Entre Cousins (Suite)

Après l'agréable surprise de hier soir, je me dis que mon cousin et moi partageons la même curiosité pour certaines choses, surtout sous la ceinture.


Le lendemain le réveil sonne, je suis toujours nu sous mon drap, couché sur le dos avec une gaule d'enfer. mon cousin se lève dans la pénombre, je le devine tatonner par terre au pied de son lit. Je l'entrçois enfiler le slip que je lui ai refilé. Il marche vers la porte et allume la lumière de la chambre. J'ai les yeux fermés. Il me dit "allez debout!" au pied mon lit et retire mon drap d'un coup sec, dévoilant sur le coup mon corps nu et mon érection matinale.
J'ouvre les yeux et balbutie un: "aargh il est trop tôt, qu'est ce que tu fous?'" comme si je venais de me réveiller.

Il dit: "Ben y'en a un qui est déjà au garde a vous je vois!"
Je m'étire langoureusement dé!voilant ma tige à mon cousin, qui reste là à profiter de ce qu'il voit et sans essayer de faire semblant de tourner le regard.
Cette situation m'excite encore plus! Je me lève et dit "je vais prendre une douche pour me réveiller"

Je prend ma serviette et la tiens devant moi pour cacher mon érection. Je traverse le couloir et arrive dans les douches communes. Je me dirige vers les douches et prends celle du milieu, bien en vue de la porte. Je commence à me savonner et 2mn après mon cousin entre en slip avec sa brosse à dents. Je lui laisse le temps de bien me mater sous la douche avant de lui tourner le dos.

Je commence à me savonner le sexe sachant qu'il est derrière moi et me regarde, il peut donc très bien deviner ce que je fais, je continue à me savonner le corps, puis les fesses. A ce moment je me retourne et du coin de l'oeil je vois mon cousin entre de me mater avec un piquet de tente dans le slip. Il part vite vers le lavabo hors de ma vue. Je bande comme un fou, je commence à être encensé par cette situation d'exhibi pour ma part et voyeur pour sa part.

Je ne peux m’empêcher de me masturber furieusement pour me calmer. J'ai les couilles tellement serrées, il ne me faut pas deux minutes pour éjaculer dans un râle de plaisir et de soulagement. Je termine de me doucher, mon sexe s'est calmé, il reste gonflé mais débandé. Je retourne vers la chambre, et mon cousin fais mine de rien. Il est habillé et range le reste de ses affaires, presque prêt à partir.

Je me dirige vers mon lit, je drop ma serviette, m'exposant une fois de plus au regard de mon cousin avant de mettre mon slip, il me mate du coin de l'oeil très furtivement. Je termine de m'habiller et on est prêts à continuer notre randonnée.

Après un petit déjeuner rapide, on reprend notre chemin. Il fait beu et chaud et on marche à l'abri des arbres dans un cadre magnifique. En 2 heures on ne croise qu'un couple. Ils ont l'air trempé<s alors qu'il fait grand beau. Je me présente et demande pourquoi ils sont trempés.
"il y'a une petite carrière à 15mn d'ici en dehors du chemin de randonnée. Je peux vous dessiner un plan pour la trouver"

L'homme me tend son papier et on reprend notre chemin.
Mon cousin me dit: "On s'arrête pour plonger un coup?"
Je lui réponds: "Tu m'étonnes! il fait mourant de chaud j'ai hâte de plonger dans de l'eau bien fraîche"
On suit les directions que le couple nous a fourni. Le chemin qui mène à la carrière est difficilement repérable mais mon cousin le trouve en s’arrêtant pour pisser.

On s'empresse de marcher sur ce petit sentier qui après 10mn s'ouvre sur une tout petite clairière au centre duquel se trouve une petite carrière remplie d'eau cristalline. Mon cousin s'empresse de poser son sac à dos et commence à se déshabiller sans plus attendre. Il enlève son slip, se retournes et dit "qu'est ce que t'attends!" m'exhibant son beau sexe et ses grosses couilles nichée dans cette toison brune délicieuse.

"J'arrive!"
Il fait déjà les premiers pas dans l'eau "Waaaa elle est glaciale!"
Je me fous à poil rapidement, et suit mon cousin en matant son cul. Il fait les derniers pas en courant et plonge dans l'eau. Je marche vers lui et dieu, que l'eau est froide! Je sens mon sexe se recroqueviller et mes couilles se serrer immédiatement. Inutile de préciser que mon sexe ressemble à une souris qui pointe son nez hors d'un petit buisson de poils.

Mon cousin à nagé quelques mètres et se retourne vers moi. Je suis debout l'eau à mi-cuisse, mon petit sexe refroidi bien en vue. Je reste là sans bouger, jusqu’à ce que je ressente une boule au ventre et que je sens mon sexe prendre de la vigueur. je fais rapidement les derniers pas pour que l'eau m'arrive au torse.

Je fais quelques brasses vers mon cousin, je sens l'eau froide caresser ma raie et mon trou, tel un effet 'frisk' ce qui m'envoie une décharge le long de mon corps. Mon sexe bande directement, et dès que mon gland se décalotte naturellement, le contact de l'eau froide m'envoie une décharge à travers le sexe et jusqu’à derrière mes couilles serrées comme des olives. Je jouis sous l'eau à quelques mettre de mon cousin, qui ne se doute de rien.

On continue à nager quelques minutes, mon sexe et mes couilles se sont réduits à leur minimum. Je les frotte discrètement sous l'eau pour le redonner un peu de vigueur pour pas que je sorte de l'eau avec un petit escargot entre les jambes devant mon cousin.
Il sort le premier de l'eau, je suis à 5m derrière lui et en profite pour mater son cul ruisselant. Cette vue redonne un tout petit coup de vigueur à ma bite, qui redevient une petite souris plutôt qu'un escargot.

Je me dirige vers des buissons pour me soulager d'un besoin pressant. Pendant ce temps mon cousin à sorti sa serviette, la pose sur le sol et se couche nu sur le dos les bras au dessus de sa tête et les jambes écartées. Je vois son sexe recroquevillé par le froid "Aaaah ça fait du bien, quel pied. Rien de mieux que le soleil pour se réchauffer" dit-il les yeux fermés.

Je me dirige vers mon sac à dos et prends ma serviette que je pose à quelques mètres de la sienne, tout en matant son sexe dans son état le moins flatteur et repensant à la nuit dernière où je le tenais bandé dans ma main. Je m'efforçais de fermer les yeux et profiter des rayons du soleil qui me réchauffait mon corps exposé. Mon sexe reprenait tout doucement sa forme initiale.

Mon cousin me dit:
"Ça fait du bien de pouvoir être à poil tu trouves pas?"
- "A fond, c'est rare de sentir le vent sur tout son corps"
"Moi ça m'excite en fait, mais je sais pas si c'est d'être à poil, ou bien d'être à poil devant toi et vice versa"
- "Je dois t'avouer que moi ça m'excite d'être nu et de te voir nu aussi"

On se regarde tout les deux et machinalement nos regards se tournent vers nos sexe respectifs. Je suis a genoux assis sur mes mollets face à lui et Je commence à bander rapidement... Quelques secondes après je vois le sexe de mon cousin gonfler lui aussi rapidement. On ne dit rien, on continue de mater nos érections jusqu’à leur apogée.
Mon cousin casse le silence: "Ça va être un peu direct mais; Tu veux pas te branler? Moi j'en ai vraiment envie là"
- "Ouais d'accord j'ai toujours secrètement voulu essayer ça je crois"

On est assis en tailleur, et on commence à se branler l'un face à l'autre, on commence tous les deux doucement tout en matant intensivement l'autre. J'écarte mes jambes pour être plus à l'aise, mais de ce fait ,je m'expose complètement à mon cousin. Il peut bien se rincer l’œil, ayant un gros plan sur ma bite. Je le vois accélérer la cadence. Le souffle court, je prends mon courage a deux mains, je déglutis et dis, "J'ai envie de te branler, tu veux bien qu'on se branle mutuellement?"

"Oui ok"
d'un accord mutuel on lâche nos queues respectives et nos mains se croisent pour attr l'objet tant convoité.
Ça y'est, toute retenue a évaporé, on se regarde tout les deux, la bouche ouverte et le souffle court. Le sexe de l'autre dans la main. On commence doucement à se masturber mutuellement, puis de plus en plus vite. Mon cousine s'avance et nos deux queues se touchent. Il prend les deux dans sa main et commence a nous branler de plus en plus vite. J'$en peux plus et joui plusieurs grosses giclées qui viennent s'écraser sur mon torse. Deux secondes après je sens la bite de mon cousin parcourue de spasmes et de mamain libre tiens nos couilles ensemble jusqu'a ce qu'il se vide de ses dernières giclées. On reste la pantelant...

(la suite bientôt)