Mon Beau Père
Mon beau père.
Les beaux jours sont là et nous profitons de la piscine ; 30 degrés dans leau cest le pied et comme elle est invisible des voisins, nous sommes toujours nus pour profiter à loisir ; pour moi, cest la période de vacances et cela me fait un bien fou, dautant plus que je suis beaucoup plus disponible et nous en profitons pour multiplier les câlins, y compris dans leau.
Cest par un coup de fil que nous apprenons que le père de jean se propose de venir nous voir quelques jours ; bien sur nous acceptons, tout en sachant que cela va modifier notre rythme de vie. Serge est un bel homme de 68 ans, divorce et seul pour le moment, du moins à notre connaissance. Très bien conservé par le sport, plein dhumour, et très cultivé ; ce qui en fait un homme très plaisant à recevoir.
Un seul problème pour nous, le fait que notre maison, de construction ancienne, même si elle est spacieuse, ne comporte pas tous les améliorations modernes. Comme prévus les retrouvailles sont sincères, et serge toujours aussi galant me félicite de mon physique, toujours aussi sexy et il ajoute « mon fils a de la chance ». Flattée, mais un peu gênée, car il est vrai quà son arrivée, je le reçois en minijupe et corsage transparent sans soutien-gorge comme à mon habitude, et sous les compliments, mes pointes de seins se gonflent et percent sous le léger corsage ; lui aussi le voit et ses yeux me regardent avec plein de malice.
Les deux premiers jours se passent avec rapidité ; sortie, restaurant, découverte de notre région quil ne connait pas ; toujours à mes petits soins, ce qui fait rire mon mari « si cela continue, je vais être jaloux « me dit-il en riant. Il est vrai que cest plus souvent serge qui est près de moi, me tenant parfois par les épaules. Et le soir , plongeon dans la piscine, mais cette fois avec nos maillots, jean en profitant toujours pour me taquiner dans leau et le résultat : un sein quitte sa cachette sans que je men aperçoive et sans que jean me le dise ; je ne le vois quen sortant de leau et rapidement je le remets en place , mais il est trop tard, serge la vu et son regard est brillant ; taquin, il me conseille den prendre un une pièce ou de plus en mettre ; rire de son fils qui lui confirme que dhabitude elle se baigne nue.
Alors que la soirée se termine, jean reçoit un appel de son ami, en panne et qui demande de laide ; ce quil accepte rapidement ; me faisant un bisou, il me dit : » jen ai pour plus dune heure, ne mattend pas ». Après un passage à la salle de bain, je redescends pour dire bonsoir à serge ; à mon étonnement, il nest pas dans la maison ; rapidement je comprends quil est parti se baigner ; il est vrai quil fait encore 26 dehors ; en effet, il est dans leau, nu et mapercevant : « désolé, je pensais que tu étais couchée ; tu devrais en faire autant, elle est très bonne » ; sans réfléchir, je quitte mon déshabillé et je le rejoins. A peine dans leau, je le sens contre moi et me prenant par les épaules ,il me met face à lui, et se penchant, il dépose un bisou, à la limite de mes lèvres ; choquée, je veux méloigner, mais il me garde contre lui et je sens maintenant son sexe tendu qui se frotte contre mon ventre ; « je sais que tu aimes faire lamour, cela fait deux jours que je tentends jouir le soir et jai envie de toi » à nouveau ses lèvres se posent sur ma bouche et cette fois il insiste et sa langue force louverture de mes lèvres pour un baiser profond ; jessaie de lutter mais il est plus fort et petit à petit mon envie monte ; je repense à son sexe bandé qui maintenant sécrase sur mon pubis, alors quune de ses mains me pétrit un sein, me triturant un téton, ce qui a pour effet de me faire réagir ; ma bouche sentrouvre et je réponds à son baiser, alors que je me cambre à la rencontre de son vit ; il a compris que je suis à lui et me relevant un peu, il présente son gland à lentrée de ma grotte et me regardant il me dit « tu vas être mienne, je vais te prendre « et dune poussée, il me pénètre ; même si jai envie de lui, je ne suis pas ouverte et sa perforation provoque une douleur qui me transperce, puis rapidement ma chatte sécarte et son membre me pourfend et son gland vient frapper le fond de ma matrice ; fougueux, puissant, il me prend avec vigueur ; accroché à son cou, jécarte mes cuisses le plus possible moffrant un peu plus à lui ; il me besogne un long moment et je suis surpris de sa résistance car cela fait déjà deux fois quil me fait jouir ; puis il se retire alors quil na pas éjaculé, et me prenant par la main , il me fait sortir et se dirige vers la maison ; et cest dans ma chambre, notre chambre quil veut rentrer ; jy suis hostile et je veux refuser.
Me jetant sur le lit à plat ventre, je constate alors quil na pas débandé car me faisant mettre à quatre pattes, il se plante dans mon vagin, complétement, profondément ; à chaque coup de butoir ses couilles viennent frapper mes fesses, et à nouveau il mamène à la jouissance, pas tant par sa possession, que par sa domination ; je me sens à lui, prête à tous ses désirs ; et quand il se cabre, éjaculant de nombreux jets de sperme , je deviens sa femelle, jouissant bruyamment, réclament pour quil continue à me baiser.
Sil a juté, il nen bande pas moins et me maintenant par les hanches , il enduit mon petit trou de sperme sécoulant de ma chatte et son gland vient frotter lanneau ; ce nest pas pour moi une possession que japprecie et souvent , je me refuse à jean quand il veut me sodomiser ; jessaie de lui dire mais il ne mécoute pas ; il a decidé de me soumettre et cela fait partie de son plan car petit à petit, il pousse sa queue dans le conduit qui malgré la douleur souvre pour accepter le mandrin ; quand il a pris totalement possession de mon cul, il sarrete avant de commencer à me pilonner sans ménagement ; je crie, je rue, mais rien ny fait ; il me sodomise, à sa façon, montrant ainsi sa puissance et sa détermination de mavoir complètement à lui.
Continuant à me saillir, il minterpelle »
« Tu aimes que je te baise, que je te saillie comme une petite femelle, que je te féconde »
«
.. » une claque sabat sur mes fesses « répond »
« Oui jaime que tu me prennes et que tu me fasses jouir »
« Tu es à moi, je te baiserais quand je le voudrais, je te ferais jouir comme jen aurais envie «
« Oui fais de moi ce que tu veux, baise moi encore, jai envie de ta queue, de ton sperme, que tu me prennes comme une chienne «
Il continue à me prendre, toujours raide, memplissant, me dilatant le cul, comme jamais il ne lavait été ; je jouis en continu, affalée sur le lit, écartant mes fesses pour quil me possède plus profond ; en fin ses jets me remplissent, mamenant à une bruyante et profonde jouissance.
Cest le bruit de la voiture qui me fait revenir à la réalité. Il se retire dans sa chambre en me disant :
« Je tattends dans ma chambre, ton homme sait que je viens de te baiser et que cette nuit, tu vas la passer avec moi ; nous étions daccord, et à partir de demain, tu seras à notre disposition, à tous les deux ou seulement à moi seul. » éberluée, je comprends alors que jai été leur jouet et quand jean arrive, lui montrant le sperme sécoule sur mes cuisses, je le regarde et me dirigeant vers la porte :
Tu as voulu moffrir à ton père, pour toi aussi en profiter ; tu lui as permis de mettre le feu dans mon ventre , mais cette fois cest toi qui va etre brulé ; je vais le rejoindre et tu pourras mentendre jouir sous ses assauts ; tant pis pour toi »
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