Plaisir En Forêt.

Comme convenu la veille, j’étais venu prendre Véronique à la première heure au bureau pour la conduire jusqu’à la capitale, où elle devait faire des emplettes de décorations pour la prochaine réception organisée par l‘administration dont je faisais partie.
Sitôt le café avalé, nous prîmes la route, en ce très clair et ensoleillée jour de mois de Mai. Pour échapper à la grande circulation stressante des autoroutes, nous primes la nationale. Le paysage y était vallonné, avec des étendues de champs à perte de vue et cela sans croiser une seule habitation.
- Ouh ! Là là, fit-elle après seulement quelques kilomètres parcourus, j’ai une telle envie de faire pipi !
- Ah ! C’est malin. T’aurais pas pu le prévoir avant de quitter la mairie. M‘emportais-je.
Elle ne prit pas la peine de répondre. Ce contentant seulement de gémir tout en faisant la grimace.
Mais après quelques kilomètres supplémentaire elle remit ça de plus belle :
- Ça presse, écoute, lançait-elle, il n’y a pas de toilettes sur la route ?
- Comme tu peux t’en apercevoir il n’y a rien dans les parages. Il faut encore parcourir pas mal de kilomètres avant de trouver une station service.
- Et elle se trouve à combien de kilomètres ta station ?
- Je dirais une bonne vingtaine de kilomètres. Tu penses pouvoir tenir ?
- Ai-je le choix ?
- Pas tellement.
Mais malheureusement pour elle, la station était fermée.
- Tu peux, peut-être, trouver un endroit au bord de la route où t’arrêter ? Lâcha-t-elle en prenant un air grave.
- Là, en pleine brousse ? Répondais-je.
- Ai-je le choix ! Ce n’est pas le moment que je fasse la difficile, crois-moi ! C’est urgent. Je commence déjà à mouiller ma culotte.
- Bon je vais tâcher de trouver un endroit en urgence.
Par chance pour nous, la route se ramifiait pour plonger vers un petit bois, dont les feuillaisons interceptaient presque toute la lumière des rayons de soleil au rendez-vous ce matin là.

Les troncs très rapprochés formaient une barrière visuelle impressionnante.
Très vite je trouvais sur ma droite un chemin forestier et m’y engager. Je roulais encore quelques mètres, suffisamment pour être éloigné de la route, et je stoppais. Je coupais le moteur, et attendis sagement que Véronique daigne bien vouloir quitter son siège pour aller se satisfaire. Mais contre toute attente elle me lâcha :
- Cela t’ennuierai de m’accompagner ? Je ne suis pas très rassurer d’y aller seule.
Pressé de reprendre la route, je m’exécutais. Elle marchait devant moi les jambes curieusement serrées, d’une démarche saccadée.
- Oh ! Là là ! Ça presse ! Ça preeesssse ! Il faut que je me dépêche ! Geignit-elle.
Et après encore quelques pas, elle laissa tomber :
- Tiens, là, ça a l’air bien, non ?
Sans prendre la peine d’attendre ma réponse, elle prit d’elle-même la décision de se diriger derrière un cabanon. Localisé au milieu de quelques arbres. Elle s’immobilisa, puis jeta des regards anxieux autour d’elle, avant de lâcher :
- Ah ! Qu’est-ce que s’est-ce bruit ? J’ai peur, Alain !
- Ce n’est rien, idiote, sans doute des bestioles, la rassurais-je. Tu peux y aller, je fais le guet.
Enfin rassurée, elle s’accroupit au-dessus de l’herbe, qu’un mince rayon de soleil éclairait la nudité désolée de l’endroit. Où s’amassaient de mauvaises végétations à des feuilles.
- Tu regardes pas, hein ? Tu me le promets ? Me lança-t-elle, alors qu’elle cherchait prudemment l’équilibre idéal.
Une fois trouvée, je la vis, se relever sa jupe et écarter son manteau pour ne pas le tacher de pisse.
- Salaud, regarde pas ! S’écria-t-elle.
- Tu veux peut-être que je m’en aille ?
- Non… non reste. Fit-elle en jetant des regards inquiets autour d’elle.
Elle respirait très fort. Le slip aux genoux, se dandinant à croupetons jusqu’à ce qu’elle se stabilise, alors que moi de ma hauteur, je profitais de la situation pour assouvir mon voyeurisme.
C’était une véritable passion chez moi, celle d’apercevoir des femmes accroupies soulageant leur vessie. D’avoir la chance de pouvoir fixer le jet jaillir de la fente. Une vision qui m’avait toujours obsédée.
Alors quand parvint à mes oreilles, le fracas du pipi de Véronique rebondissant sur les feuilles, je n’ai pu résister à la tentation de coller mon regard dessus. Et constater qu’elle n’avait pas plaisanté, elle avait effectivement un grand besoin de se soulager. À croire qu‘elle avait bu des litres d‘eau avant de prendre la route.
J’avais le regard comme aimanter sur les poils légers de la motte, et les grandes lèvres éclaboussées par les jet vigoureux de pipi. Et ça pissait, ça pissait, encore et encore. Ma queue au fond de mon slip, n’était plus qu’une barre cuisante. J’éprouvais une sensation de malaise continu qui inondait tout mon bas ventre, et cela jusqu’à dans ma gorge, et ça alors que plus bas le flot dru battait toujours le sol. Une vraie vache !
Une excitation des plus perverses me poussa à m’approcher, pour regarder de plus près le spectacle qui m‘était offert. Et ceci malgré son opposition. D’ailleurs elle ne tarda pas à protester.
- Non, non reste où tu es Alain s‘il te plaît.
Sans me préoccuper de ce qu’elle disait, je m’accroupis au contact de l’herbe grasse aux nombreux trèfles, qui constituaient une couche moelleuse, l’œil comme attiré par la chatte.
- J’ai honte. Fit Véronique, d’une voix pitoyable.
- Il n’y a pas de quoi ! Il n’y a rien de plus beau à voir pour moi, que ce que tu m‘offres là.
- Ça c’est toi qui le dis. Lâchait-elle.
Dans la position où se trouvait Véronique, il lui était impossible de faire quoi que ce soit sans se pisser dessus. Alors j’en profitais. Sachant bien, une fois n’est pas coutume, qu’une fois l’excitation envolée, je m’en voudrais à mort de ce que je venais de faire.
Mais mille fois hélas, c’était comme un démon qui me grouillait dans le bas ventre.
Il fallait à tout pris que je regarde. Que je me gave l’esprit de ces nombreux clichés. Les femmes qui font pipi, ça m’avait toujours attiré, et cela depuis mon plus jeune âge. Quand déjà à l’époque j’espionnais mes tantes en train de faire pipi en vacances à la ferme, dans un toilette de fortune en plein air. Écoutant avec délices le bruit que faisait l’urine en frappant l’eau de cuvette. Et sitôt qu’elles désertaient les lieux, je me précipitais dans le local pour humer les odeurs ammoniaquées qui aromatiser l‘endroit.
- Non… non… Alain, arrête tes conneries ! Elle protesta toujours, mais cette fois-ci, d’une voix ensommeillée.
Ses joues étaient écarlates et ses narines dilatées. Elle se mordit la lèvres, avec une lueur effronté dans son regard. Comme dans un état second, je m’inclinais, et cela suffisamment pour me permettre de toucher la chatte qui gouttait. Des insectes vrombissaient autour de nous. J’observais, fasciné, le manège contradictoire de la femme qui protestait tout en restant offerte. Je découvrais le pouvoir du plaisir.
Je tendais ma main jusqu’à ce que mes doigts viennent au contact de son antre. La réaction de Véronique avait été de laisser échapper un bref rire énervé, mais aussi de se saisir le poignet et me supplia.
- Arrête, pas ça. Ça me fait des choses. Ça me donne trop envie…
- Ah oui ! Répondais-je, en attirant à moi ma main souillée de sa miction.
Elle grimaça de dégoût en me voyant renifler mes doigts souillés de son pipi. Et que dire de plus, quand elle fut témoin du léchage de ma langue sur cette même main.
- C’est dégueulasse. Fit-elle, dégoûtée, mais résignée à tout affronter.
Véronique était comme hypnotisée par mon audace, alors que j’étais moi, dans mon élément. Après la dégustation, je décidais de m’occuper d’elle. Pour ce faire je la repoussais en arrière, doucement mais fermement, et cela jusqu’à ce qu’elle tombe à la renverse, les quatre fers en l‘air.
Je profitais de sa détresse pour mettre la main dans le panier, et d’introduire un doigt dans son vagin que je fis tourner.
Je remarquais que le clitoris de Véronique avait doublé de volume depuis que je l’avais aperçus pour la première fois, et qu’il dardait, violacé comme un gland minuscule. Je fis entrer et sortir mon doigt plusieurs fois à la suite, arrachant des gémissements croissants à ma victime. Le trou rouge du méat se dilatait à chaque branlage, alors que quelques gouttes s’y échappait encore par saccades.
Grisés par mon audace et la passivité de Véronique, j’approchais mon visage de sa chatte. L’odeur épicée monta à mes narines. Loin de m’ écœurer, les parfums intimes de ma collègue m’excitaient. Je me rapprochais encore, jusqu‘à coller ma bouche sur son sexe. Une saveur forte et salée m’emplit la bouche. J’étais aux anges. Le goût des replis de la chatte m’excitait énormément. Elle jubilait sous ma caresse. J’aspirai la mouille dont la saveur douceâtre supplantait l’amertume de l’urine. Très vite sa respiration se fit plus rapide et plus rauque aussi, alors que sa main se faisait plus pesante sur ma nuque. Encouragé, je la léchais plus intensément, mordillant son bouton du bout des dents.
Elle coulait de plus en plus. Un régal ! Et très vite, elle fut par la suite agitée de violentes convulsions, m‘inondant la bouche par vague, comme si elle me pissait dessus, alors qu‘elle ronronnait comme une chatte en chaleur.
J’attendis qu’elle se calme pour ramper jusqu’à elle, collant ma sur la sienne, pour un baiser que je nommerais vorace, animal. Mes doigts s’égarèrent vers le centre de ses fesses, là-même où la corolle encore plissée attendait quand s‘y attarde dessus. Au premier touché, le muscle se contractait spasmodiquement. Elle inspirait profondément et fit saillir les contours de son ouverture. Je grognais d’approbation, et retirais ma main pour la porter à mon nez. Une petite odeur de cul légèrement humide de sueur, affola mes papilles.
Je passais cette fois deux doigts lubrifiés de ma propre salive sur la corolle en poussant un peu, assez pour que le muscle cède facilement, jusqu’à la deuxième phalange. Elle poussait un petit cri, de douleur ou de surprise, je ne serais pour le dire, que j‘étouffais en collant ma bouche sur la sienne. En parfait amateur, je massais en profondeur son cul, écartant ses sphincters, les étirant dans les deux sens, jusqu’à ce que son anus bée. C‘était l‘instant que je choisis pour me libérer. Humidifier ma verge avec de ma propre salive.
Je pris tout le même le temps de me soulager de mon blouson. Que je posais à plat sur l’herbe, invitant Véronique à poser son fessier dessus. Une fois la position désirée, prise, je passais mes bras sous mes genoux, et lui relevaient les jambes jusqu’à pouvoir les poser en appui sur mes épaules. Je n‘avais plus qu‘à guider ma verge brillante de salive au contact de la cible. Et d’un coup de reins l’envahi. Se sentant investir dans le mauvais trou, de surprise elle ouvrait en grands, des yeux ronds, brillants. Dont je surpris des larmes s’en écouler, que je définirais d’excitation et de joies mêlées.
Dans un tourbillon de sensations qui m’électrocutait le système nerveux, je voyageais dans ses reins avec des mouvements lestes, nets et précis. Je profitais de cet instant de bonheur pour mettre à nu sa poitrine. Que je me mis à embrasser, à triturer les tétons. S’en suivit alors une longue et intense chevauchée. À grands coups de reins. Je lisais du bien être dans son regard.
J’étais à bout de souffle, quand enfin je sentis les premiers picotements avant-coureur d’une prochaine jouissance. Ma verge frémit puis tressauter dans le cul de Véronique. Après tant d’émotions et de plaisir cumulés, j’éjaculais dans un cri muet. Transpercé de toutes parts par des détonations énergétiques.
L’orgasme consommé, je m’effondrai sur elle, mon pénis toujours attelé dans son cul. Je l’embrassais à en perdre haleine.
Au bout d’un moment, son anus me rejetait instinctivement. Et cela ce fit dans un bruit liquide.
Nous nous regardions encore quelques instants, avant de nous éclater de rire, tout en grave. Se blottissant l’un à l’autre, le regard sur le sommet des arbres. Le bonheur du monde était là…
Véronique m’avoua quelques heures plus tard, sur le chemin du retour, qu’elle n’avait jamais connu une telle sensation avant. C’était un mélange de gêne délicieuse et d’excitation violente. Comme un orgasme sans fin…

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