Bm... W La Suite 2
Leau tiède ruissèle agréablement sur mon corps, entraînant avec elle les tensions accumulées ses derniers jours. Un savonnage dans les règles de lart fait office de massage. Bien quil soit 3h00 du matin, je ne voulais pas sombrer dans mon lit sans mêtre lavé minutieusement.
Je frotte chaque parcelle de mon corps en me remémorant limmense plaisir que Jérôme ma donné. Les mains pleines de savon atteignent naturellement mon sexe, le caressant langoureusement.
Cest surtout sur tes fesses quil sest focalisé ! pensais-je à voix haute.
Guidés par cette pensée, mes doigts glissent entre mes fesses et se retrouvent à lendroit même où mon amant ma si longuement pris. Dune simple contraction musculaire, mon anus souvre et mes doigts y pénètrent sans forcer. Sa puissante verge ma tellement besognée que jen reste béant et du sperme sen écoule encore.
Entre les pipes et les sodomies, jai reçu ma dose de foutre ! continuais-je en revivant ses belles éjaculations.
Je rouvre leau et me rince longuement avant de retrouver mon lit. Mes dernières pensées sont pour sa queue, en me promettant de ne pas trop attendre pour le rencontrer de nouveau. Puis cest au tour de Morphée, de me prendre. Quel mec, lui aussi !
Le samedi est de tout repos, ou presque. Ménage, linge et repassage en regardant un film. Je passe cette journée à poil, cest ainsi que jaime être chez moi. Jadore sentir ma verge virevolter lorsque je marche, et puis létreindre régulièrement me rassure : elle est bien là.
Un ami victime dun grave accident avait dû subir de nombreuses opérations de reconstruction. Il me racontait quà chaque réveil après une anesthésie, il glissait une main sous les draps pour... vérifier. On est comme cela, nous, les mecs. Ça nous dépasse et nous mène par le bout du nez, la queue.
En fin daprès-midi, lorsque les ombres deviennent longues, je ne peux cesser de repenser à Jérôme. Je me fais violence jusquà la tombée de la nuit, mais lorsque les lampadaires sallument, compulsivement, mes doigts composent les 8 chiffres de son numéro de téléphone.
Je me demandais lequel allait craquer le premier ! lance-t-il lorsquil entend ma voix.
Toi aussi, ça te démange ? Alors tu me rassures.
Il me semble que dans un lit, nous nous entendons plutôt bien, nous serions idiots de ne pas en profiter, non ?
Cest pas faut et jai très envie de te voir, cétait si bon hier soir que...
Je peux être chez toi dans une trentaine de minutes, si tu veux.
À peine ai-je raccroché que je file me préparer à le recevoir. Quand je dis le recevoir, cest de mes intestins que je parle. En quinze minutes, je suis prêt à lui offrir le meilleur de moi, autant de fois quil le désirera. Côté repas, jai largement de quoi nous nourrir, nous aviserons. Le temps de ranger ce qui traîne, le carillon tinte. Jespère que ce sera bien lui derrière la porte, car je suis totalement nu !
Il passe la porte, une bouteille de vin à la main, tout sourire de me trouver dans le plus simple appareil.
Tu as trouvé facilement ! demandais-je en repoussant la porte.
Parfait. dit-il en me regardant de la tête aux pieds.
Choqué ? osais-je en verrouillant la porte.
Bien au contraire. Jadore ta décontraction.
Mon évidente décontraction me dicte détreindre son entrejambe dune main aimante. Son sexe, libre de sous-vêtements, se trouve prisonnier de mes doigts. Un besoin mutuel de palper nos anatomies semble évident puisque sa main flatte mes fesses.
Waouh, cette queue me rend dingue. Jai trop envie de te sucer. Viens vite !
Nous voilà dans la chambre sans aucun protocole. Son T-shirt vole sur le sol alors que jouvre ses jeans qui glissent à même le sol. Comme il sassied au bord du lit, je lui retire ses mocassins et magenouille entre ses jambes.
Jembouche son gland encore calotté en soutenant ses grosses bourses ; je profite de son début dérection pour le prendre le plus loin dans ma bouche pendant que cela est encore possible. Au retour, ma langue tourne entre son prépuce et son gland quelques fois, puis mes lèvres le décalottent en retournant à lassaut de sa hampe épaisse.
Cette queue est si bonne que jen gémis de satisfaction. Je la maintiens par la base et la pompe avec application dans de longs mouvements en spirale. Le temps de courtes poses, je lèche le frein et la couronne, me bats les lèvres avec son gland massif. Loin de se plaindre de ce traitement, il se laisse tomber sur le lit. Ses belles burnes ainsi offertes sont gobées lune après lautre, la peau aspirée avant que je ne remonte le long de sa hampe en la léchant comme une friandise.
Il bande complètement maintenant et minvite à le rejoindre en 69. Je suis tellement fasciné par la beauté et la grosseur de son sexe que jen oublierais presque mes désirs. Ma verge est aussitôt engloutie par une bouche gourmande, ses doigts glissent entre mes fesses. Excité comme un puceau, jengloutis sa hampe comme je le peux, frénétiquement, à men déboîter la mâchoire tant elle est large.
Déjà deux doigts me fouillent, mais jen veux davantage et ondule ma croupe davant en arrière pour mieux le sentir. Jai tellement hâte de sentir de que jai en bouche traverser mon ventre que je me dégage.
Jai très envie que tu me prennes
s'il te plaît.
Tes désirs sont des ordres, très cher. Je vais te prendre tout doucement.
Je mallonge à ses côtés et récupère un pot de gel dans la table de nuit.
Monsieur est organisé ! Tu nes donc pas novice ?
Désolé, je tai menti. répondis-je en étalant un peu de gel sur mon anus. Un homme a abusé de moi la nuit dernière. Me trouveras-tu encore assez pur pour bénéficier de tes ardeurs, bel étalon ?
Pour toute réponse, Jérôme vient se blottir contre moi, en chien de fusil. Alors quil pose sa main sur ma hanche, je saisis sa queue pour en faire glisser le nud dans le sillon de mes fesses.
Quelle est grosse ! Elle me fascine et me fait frissonner de désir. Cest mon moment favori.
Tes reins sont si accueillants, comment résister ?
Le gland trouve instinctivement sa place.
Mon esprit appelle son sexe avec tant de force quil entre royalement en moi en trois lentes poussées successives. Ma main, libéré de son mandrin, cajole maintenant ses imposantes bourses. Jérôme passe son bras sur mon ventre et me plaque tout contre lui, sa verge totalement immobile au fond de mon ventre. Son autre bras passe sous ma tête pour pouvoir caresser ma poitrine.
Un gros câlin. marmonne-t-il. Tout doux.
Que cest bon de te sentir si gros, jen avais tellement envie !
Presque à regret, je lâche ses bourses pour étreindre sa fesse ; ma jambe crochète la sienne et je commence à contracter mon sphincter. Avec de minuscules mouvements de son bassin, il reprend vie et coulisse dans la gaine qui le reçoit. Mes muqueuses font corps avec son sexe, le moindre mouvement excite toutes nos terminaisons nerveuses, et Dieu sait sil y en a à cet endroit. Les quelques centimètres de débattement suffisent à nous enflammer. Nos peaux se frottent et deviennent moites, nos soufflent deviennent feulements, nos mains se retrouvent sur mon ventre et même nos doigts semmêlent.
Dinstinct, nous ne baisons pas, nous faisons lamour. Linstant nest pas à la performance, mais à la tendresse. Je ressens distinctement lourlet de son gland frotter les parois de mon rectum, les veines de sa hampe riper au passage de mon sphincter et ses couilles qui viennent régulièrement séchouer contre mes fesses offertes.
Nous ne parlons presque pas, ce ne sont que des onomatopées, des oui, des encore, agrémentés de caresses et deffleurements.
Ses mains sur mes hanches me guident davant en arrière. Les mouvements plus affirmés rendent son vît plus grand encore. Des frissons me parcourent de la tête aux pieds, eux aussi menvahissent. Mon corps nest plus quun rectum, toutes les informations partent de là !
Je le veux sur moi. Je glisse un oreiller sous mon ventre et lentraîne sans nous désunir. Les reins cambrés, mes jambes écartées, le cul en lair, Jérôme reprend sa possession. Dans cette position, il me paraît de plus en plus gros. Il me domine et cest à lui quincombe la tâche de nous emmener vers la jouissance. Bien quil soit posé sur moi, il place ses genoux à lintérieur des miens, mobligeant à écarter encore plus les cuisses. Lépais sexe senfonce régulièrement en écrasant mes bourses avec les siennes.
Attends-moi s'il te plaît. Tu vas me faire jouir tellement cest bon. Ne tarrêtes surtout pas ! limplorais-je en tenant ses fesses de mes deux mains.
Il massène une série de coups longs qui déclenchent en moi une brûlure systématique annonçant que je vais décharger. Je sens son gland se dilater, frottant de plus en plus les parois, me donnant littéralement le tournis. Je marmonne son nom à chaque va-et-vient, puis soudain ma prostate cède.
Oh ouiiii, je jouis ! Viens avec moi !
Ces quelques mots lui suffisent pour craquer à son tour. Comme jéjacule de façon incontrôlée, il mencule soudain jusquà la garde pour se déverser en de multiples spasmes. Son sperme, telle de la lave en fusion, semble attiser davantage lincendie de mon ventre que léteindre. Je ne sais de combien de jets il mabreuve, mais il est là où je le voulais et sa semence est bienvenue. Je plaque mon cul contre son pubis pour encore mieux le ressentir. La maison peut sécrouler... aucune importance. Nappelle-t-on pas cela la petite mort ?
Lorsque nos esprits se remettent en place, je lui décris tout le bien quil ma donné. Conscient de son poids, il se retire lentement, laissant mon cul grand ouvert et soudain bien dépourvu. Assis sur ses talons, il commente le diamètre de mon anus fraîchement libéré en flattant mes fesses.
Quand je te dis quelle est grosse, tu me crois maintenant ? Fis-je en trémoussant ma croupe.
Un jour, il faudra que tu mexpliques pourquoi tu nas pas mal.
Après. Pour linstant, jai juste envie dembrasser ta splendide queue.
Je dépose mon oreiller plein de sperme au pied du lit et prends place entre ses jambes, le cul en lair pour conserver son jus en moi. La lourde queue amollissante et luisante de sperme plonge entre mes lèvres avec beaucoup de tendresse. Celui qui na jamais sucé et qui ne sest jamais fait sodomiser ne peut comprendre, mais lorsquil y a une osmose entre deux êtres, le plaisir ne peut pas vraiment sarrêter.
Nous avons joui tous les deux, mais pourtant notre plaisir continue. À demi molle, goûteuse à souhait, je men repais encore quelques minutes avant de mallonger sur le ventre à ses côtés.
Tu mas fait jouir dune intensité indécente, javais besoin de men occuper encore un peu, de la remercier pour le pied quelle me fait prendre. lui dis-je en caressant son ventre plat. Jen veux encore.
Cétait... génial. Je naurais jamais pensé quentre mecs, on puisse ressentir autant de sensualité.
Euh... ça narrive que très rarement ! Et il ne suffit pas den avoir une grosse ! dis-je en secouant sa verge endormie. Ça se saurait !
Tu nas pas mal, tes sûr ?
Mon tout premier ma appris plein dastuces. Il en avait un très belle aussi. Moins épaisse que la tienne, mais... pour une première fois...
Quel est le secret ?
Je dirais... le mental, car si tu ne veux pas vraiment, il vaut mieux oublier. Ou se taper une petite quéquette. Mais ça, même pas en rêve. Jai tenté, ce nest pas pour moi.
Et des grosses, tu en as rencontré beaucoup ?
Quelques unes...
Plus grosse que la mienne ?
Oui, jen ai croisé, mais si elles remplissent mes fesses, toutes ne remplissent pas leur office. Patrick était une exception. À peine plus large que toi, mais tellement doux et respectueux. Sinon, cest un plan cul et on passe à autre chose. Sans respect ni tendresse, ça reste hygiénique et un peu fantastique.
Allongé à ses côtés, la tête dans ma main, je ne peux que caresser son ventre, cajoler son sexe et étreindre ses bourses tout en parlant.
Et lorsque tu la découvres, tu ne tes jamais demandé si elle allait rentrer ?
Si ! La première fois avec Patrick, quest-ce quil était large ! Mais jétais super excité, et le personnage me plaisait beaucoup. Enfin, avant de le voir nu, je lappréciais déjà. Mais la plus impressionnante, cétait à Münich.
Grosse ? Un black ?
Non, Autrichien. Simplement énorme. Un truc de cirque !
Tu las rencontré comment, si ce nest pas indiscret ?
Dans un bar à cocktails où jallais deux ou trois fois par semaine. Je le voyais souvent, je le connaissais de vue. Un soir, je ne savais pas trop quoi boire. Il était sur le tabouret juste à ma droite. Et là, il me dit : Si tu es fatigué, prends un Grand Matelot, sinon, le Petit Matelot est bon pour le moral !. Puis il dit au barman que cest pour son compte.
Sympa ! Quel âge ?
La trentaine, 35 tout au plus. Du coup, on fait connaissance. Il sappelle Dieter et vient du Tyrol. On boit nos verres et je lui en paie une autre et là, un peu chaud, il me demande ce quun beau jeune homme comme moi cherche dans des les bars. Bref, il me drague, mais à demi-mot, me prenant probablement pour un perdreau de lannée. Le bar est plein, il y a un bruit terrible. Les Allemands parlent hyper fort. Mais le mec est sympa, bonne gueule, je le laisse venir. Mais au troisième verre.
Ouais, en fait, vous étiez bourrés, non ?
Pas tant que ça, je tenais bien lalcool et lui aussi, apparemment. Au troisième verre, profitant du monde autour de nous, il se lève et se met contre moi. On ne sentendait presque plus. Là, il pose une main sur ma cuisse et me dit que je suis très sympa, quil aimerait bien que lon soit ailleurs.
Au moins, un peu lourd, mais direct, le mec.
Carrément, et ça mexcite. Je veux bien, mais premièrement, pas dans les chiottes du bar, et deuxièmement... je lui dis que jaime les belles queues.
Il ne la pas sorti en plein bar, quand même ?
Non, il ma seulement dit que je ne serai pas déçu. Là, tout est allé très vite. 10 minutes plus tard, on arrive chez lui. Il matt par les fesses pour me plaquer contre lui et essaie de membrasser, ce dont jai horreur. Jesquive, il membrasse dans le cou en se frottant le bas-ventre contre moi. Je pense quil bande déjà, mais il me répond que non et quun câlin nest un pas suffisant pour le faire bander ! Je palpe lengin et effectivement, il nest pas rigide. Mon cerveau ne croit plus ce que mes doigts lui racontent !
Tout en racontant cela, sa queue reste lobjet de mon attention. Mais elle sest déjà rallongée. De mon côté, je sens son sperme se liquéfier dans mon anus et serre les fesses. De repenser à cela ravive certes ma libido, mais il ne reste visiblement pas de marbre !
Je ne te dis pas mon excitation en sentant un si gros barreau. On arrive dans la chambre et là on se retrouve à poils vite fait bien fait. Je ne te dis pas le choc ! Entre ses jambes, il pend une trompe qui doit faire bien 20 centimètres et dun putain de diamètre ! Mes doigts nen font pas le tour, et son gland recouvert est plus large encore.
Comme la mienne quand je bande ?
Pratiquement, sauf que là, elle était molle. Mais tu nas aucun complexe à avoir. le rassurais-je en tirant sur son frein pour exhiber fièrement son majestueux gland. Regarde un peu ce monstre ! Toi, tu es hors-,orme, lui, hors-concourt.
Je me penche sur son ventre et le prends doucement dans ma bouche en gloussant de plaisir. Mes lèvres séchouent sur les poils de son pubis quelques secondes, puis remontent en laspirant. De la pointe de ma langue, jaguiche son méat et lèche sa couronne. Sa main glisse le long de ma colonne vertébrale pour atterrir sur ma croupe. Sa caresse est aussi douce que ma fellation. Nous avons tout notre temps.
Sa hampe grossit à vue dil, mais ses couilles mappellent. Jy perds mon nez et les aspire, les lèche, suce leur peau. Elles sont si volumineuses quune tient à peine dans ma bouche. Elles sentent le musc, lhomme viril.
Je ladore, ta grosse quéquette. Vraiment.
Tu suces vraiment très bien ! lance lhomme en serrant fort ma fesse.
Doucement avec mon cucul ! Ton sperme est juste au bord, si tu mécartes les fesses, cest le déluge. Mais jaime trop sentir ton foutre en moi, ça me rassure.
Coquin. Si je te sers un verre de vin, tu me racontes la suite avec ton Autrichien ? Ça mexcite, ta façon de raconter.
Comme jacquiesce, il se lève et me demande où trouver des verres et un tire-bouchon. Le revoilà, la queue encore à lhorizontale, deux verres à la main.
Alors ? insiste-t-il après que nous ayons trinqué.
On se met en 69, je prends cette queue dans ma main. Ma première surprise est son poids. Elle est débandée et pèse très lourd, et le morceau qui dépasse se plie, je dois la prendre à deux mains. Son gland recouvert se dessine sous la peau. Je le décalotte et lobserve avant de le prendre entre mes lèvres. Large, lisse et souple. Je suis euphorique, jen ai le ventre qui gargouille.
Le stress ? La peur ?
Hummmm... ton vin est délicieux. Merci ! Non, pas le stress, mais linconnu, le jamais vu ou la crainte de ne pas y arriver, plutôt. Bref, en forçant un peu, le gland passe et je lembouche de justesse en tenant sa queue des deux mains. Et me voilà parti à tenter de sucer son nud. Lui soccupe directement de mon cul et moi jessaie den avaler un max, mais là, sa hampe sépaissit et commence à durcir. Au bout de 5 bonnes minutes, il bande vraiment, et cest très très impressionnant, ma bouche me fait mal. Ses couilles sont quasiment à léchelle, je les soupèse et les lèche en branlant sa queue de Titan. En le tenant à deux mains, son nud dépassait presque dune dizaine.
Waouh ! Jen ai vu, mais dans les films pornos !
Ben moi aussi, sauf ce jour-là. Plus je lui tétais le gland en le branlant, plus il me doigtait, jai bien compris quil voulait me prendre. Impossible de le sucer convenablement, mais je lui léchais la hampe et les couilles, tirais sur son frein en le suçant dans différents angles et il soufflait un peu plus vite. Javais un peu peur de me faire sauter par un truc pareil, mais dun autre côté, cétait un mec daplomb, on était dans un appart avec tout le confort ! Je me voyais bien en profiter ! Mon cul souvrait et mouillait dexcitation. Ses doigts ne touchaient pas le bord, je grognais de plaisir en remuant du popotin. Je lui ai demandé sil voulait me prendre, je te jure, jétais dingue avec sa grosse queue. Son nud me déformait la bouche, javais mal aux muscles, mais ce nétait pas grave.
Tu réussissais à le sucer, malgré tout. Il devait apprécier.
Il souffle et me doigte de plus belle, me dit quil aimerait me sauter, mais quil est trop excité pour tenir, quil voudrait jouir dabord. Dune main, je lui cajole les couilles, de lautre, je le branle sur 20 bons centimètres, jen ai mal au bras. Son gland dans ma bouche est gros comme une balle de golfe... Puis il me dit de faire attention quil va jouir ! Tu connais mon addiction au foutre ? Dun coup de reins, il soulève ses fesses et décharge. Putain dAdèle, ça se mérite, une pipe avec un mandrin pareil.
Il a beaucoup déchargé, avec un truc aussi gros ?
Pas spécialement. Une bonne dose, oui, mais pas autant que toi, par exemple. Bref, si lui était calmé, moi, javais le feu au cul grave ! De boire son foutre mavait dynamisé. Je lai sucé encore un moment tout doucement, javais peur quil me dise de repartir. Mais non. On a causé, fumé une cloppe au lit, puis jai rejoué avec sa demi-molle, essayant den avaler le plus possible. Lui me disait de bien me détendre et quil ferait très attention, quil avait lhabitude.
Je te reconnais bien là, tu es joueur, il a dû apprécier.
Je pense, mais cest moi qui vivais un rêve. À force de, il a fini par rebander et il fallait que jessaie !
Du gel à gogo et une prière ? Maso que tu es !
Et du calme aussi. Il ma tartiné de gel et mis sur sa queue également pendant quil bandait pas mal. Dur pour une queue aussi grosse dêtre assez rigide. Je suis venu me placer au-dessus de son missile et me suis écarté les fesses à fond. Lui tenait sa queue sous son gland. Je descends en poussant au max, le gland force, force, force, mais ça fait longtemps que je ne métais plus fait prendre...
La fonction crée lorgane, dit-on.
Cest ça. Mais je le voulais, cétait jouable. Je recommence et là son nud me pointe, on y était presque ! En deux ou trois essais, le gland finit par sengager. Miaouuuuuuu !
Mal ? Tu as dû hurler.
Hurlé, non, plus de souffle pour le faire ! Et des sueurs froides. Un coup de pied au cul est de lillage à comparer. Mais en restant immobile et en respirant de grandes bouffées dair, la douleur est passée assez rapidement. Je commence à remuer pour mhabi à un tel diamètre. Lentement, je sens cette boule qui glisse à lintérieur de mon ventre et mon trou qui se distend. Lui, patient, il ne bouge pas, et se contente de commenter et de mencourager, de prendre mon temps. Il a été cool, Il a bien vu que je nen étais pas à ma première bite ! Finalement, je le fais ressortir le temps de me mettre à genoux au-dessus de son torse. Là, je le replace et il mencule beaucoup plus aisément. Davant en arrière, sa queue me pénètre un peu plus et je ne te raconte pas les frissons et les sensations. On est dans une autre galaxie.
Putain, tu me fais bander rien quen timaginant. Tu ne las pas pris en entier ? dit-il en se branlant langoureusement.
Une bonne quinzaine de centimètres, sûr, peut-être vingt. Mais rien que son nud, cétait presque un supplice ! Il maurait fallu plusieurs semaines pour mhabi à un machin de gabarit. Un coup de reins et cest lhôpital, si tu nes pas dilaté et graissé. Et à pomper, bonjour la corvée !
Tu as pris ton pied ou cétait plus pour la performance ?
Mentalement, oui, mais je nai pas eu déjaculation. Comme il venait de jouir, ça a duré un bon moment. Il lui suffisait de bouger son bassin pour que son nud me laboure, cétait quand même pas mal. On a essayé plusieurs positions et baisé un moment jusquà ce quil décharge. Déjà quavec toi, je sens tes spasmes quand tu gicles... On aurait dit quil jouissait dans mon estomac.
Il a aimé, au final ?
Il était aux anges comme un mec qui décharge deux fois de suite sans avoir à se branler, non ? Je lai remercié pour lexpérience, puis caressé, branloté, soupesé, suçoté, bref, je savais que cétait un cas dexception, je men suis... imprégné, dira-t-on. Mais jai eu vraiment mal au cul...
Tu las revu ?
Oui, une bonne semaine plus tard, de nouveau au bar. Puis jai fini chez lui.
Et tu as plus apprécié, cette fois ?
Disons que je savais à quoi mattendre ! Alors dentrée, je lui tailler une bonne pipe pendant quil me préparait le terrain. Puis au moment de passer à lacte, jai fait le con. Il ma proposé du Poppers et jen ai sniffé. Couché sur le côté, plein de gel, il est rentré facilement et je nai pas eu mal comme la première fois. Il ma sauté un long moment, me disant de sniffer à plusieurs reprises. Il ma sauté au moins une bonne heure et je nétais pas si mal que ça. Je navais comme plaisir juste celui de ma dire : Tas vu la queue que tu te tapes !. Quand jai senti quil allait jouir, jai bloqué sa queue avec ma main pour éviter quil ne semballe. Mais je me rappelle encore de cette sensation déclatement, il me tringlait à grands coups pendant quil déchargeait en beuglant. Là, je nen pouvais plus. Je me suis levé pour aller dans la salle de bain le cul en feu et la douleur au ventre. Jai eu mal pendant 15 jours.
Ça me rappelle le titre dun film : Lexpérience interdite. Non ?
Absolument. Les petites bites, cest pareil. Soit tu ne sens rien, soit tu tombes sur un excité et il te tape trop fort et te fait plus de mal que de bien. Toujours est-il que javais réalisé un fantasme, moi qui cherchais des queues toujours plus grosses, je savais quà part la performance, il ny avait que la douleur. Et le Poppers, ça a été la seule et unique fois.
On sent lexpérience et le vécu ! Comme quoi, il faut un juste milieu.
Euh... le juste milieu majoré de deux tiers, cest parfait. Juste comme toi. Trop grosse pour lavaler à fond, mais délirante lorsquelle te traverse le ventre, et autant de fois quon le désir. Tu me fais confiance ?
Je men remets entièrement à ton expérience. Tu mas bien excité, avec ton histoire de cheval !
Alors, laisse-moi te calmer.
Sur ces belles paroles, jembouche son gland turgescent qui nattend que mes soins. Les fesses serrées pour ne rien perdre, je caresse ses bourses en faisant coulisser le maximum de ce que je peux prendre en bouche. Ses mains se perdent tantôt sur mes fesses, tantôt dans mes cheveux. Cest une pipe toute tendre, tout en douceur que je lui prodigue. Lentement, son plaisir se précise, mais lorsque mon doigt pénètre son anus et presse sa prostate, un déluge de foutre savoureux en plusieurs vagues successives me comble de bonheur.
Je le déguste en conservant sa verge entre mes lèvres. Nous avons tout notre temps. La seule chose que jespère, cest quil jouisse une deuxième fois dans mon rectum. Mais ça, il ne le sait pas encore !
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