Un Été Naturiste 1

Voilà maintenant plus de 15 ans que nous passons chaque année 2 ou 3 semaines de vacances naturistes en Gironde, dans un grand centre bien connu, proche de la commune du Verdon. Nous, c’est mon épouse, Valérie, 53 ans ; nos deux s Julie 18 ans et Thomas 20 ans, et moi-même, Alain 55 ans, heureux père de famille et néanmoins très amateur de sexe entre hommes.

Même si le centre est très familial, il existe dans sa bordure nord une zone de dunes et de forêts où il est possible de rencontrer des bi et des gays pour passer de bons moments entre mecs. Depuis qu’on passe nos vacances ici, je trouve toujours le moyen de quitter ma famille quelques heures dans l’après-midi, pendant que les s sont avec leurs amis et que mon épouse se repose ou va au spa.

Les rencontres d’un coup sont fréquentes mais j’ai aussi quelques potes de sexe, que je retrouve années après années. En particulier Thierry, un bel homme de mon âge, bien bâti, bien monté et gay actif passif. Même si nous sommes d’une discrétion totale à cause de ma famille, nous sommes régulièrement en contact par sms et adorons nous retrouver durant l’été pour de bons 69 tous les deux, et parfois en trio ou plus.

Justement en ce début de séjour de l’été 2019, je me mets en route pour le chercher dans notre petit repaire habituel, en haut d’une des dunes, et bien protégé par les arbres. Nous avons prévu de nous retrouver vers 15h00. Julie est à la plage avec ses copines, Thomas est parti surfer et Valérie est au spa-piscine.

En m’approchant de notre repaire habituel, j’aperçois Thierry à 50 m de là, déjà installé, sur le dos et jambes bien écartées, alors qu’un homme qui ne porte qu’une casquette retournée est penché sur sa queue. Il est visiblement en train de le pomper en y mettant tout son cœur. Difficile à cette distance de voir à quoi ressemble le pompeur qui semble jeune et bien bronzé. Sa casquette d’un orange vif m’empêche de voir ses traits.

Je n’aime pas déranger les ébats, ni m’imposer. Je préfère donc les laisser tranquilles et continue ma marche : qui sait si je ne trouverai pas une autre occasion plus loin ?

Curieux quand même, cette casquette orange. Elle me rappelle quelque chose. Mais oui, bien sûr : elle me rappelle la casquette que s’est acheté Thomas en prévision de nos vacances. Tout d’un coup, je ressens une étrange tension intérieure et une drôle de chaleur m’envahit : se pourrait-il que Thomas, mon beau fiston de 20 ans... ?

J’avoue qu’à ce moment je réalise que je ne me suis jamais vraiment posé de question sur la sexualité de mon fils. Il est parfaitement épanoui, a des amis des 2 sexes, et c’est un beau gaillard d’1 mètre 85, assez svelte, assez poilu, et tout à fait bien pourvu par la nature, comme son père. Pour ma part, je suis un peu plus grand, mais surtout avec une barbe grisonnante, alors que Thomas a une chevelure et une pilosité très foncées.

Comme nous sommes naturistes depuis que les s sont tous petits, je l’ai vu grandir et se transformer en un très beau jeune homme. Nous avons toujours été très complices et même à son adolescence, nous n’avons pas eu à gérer de tensions majeures. Comme tout papa, je lui ai expliqué les « choses de la vie » quand il en a eu besoin, mais sans échanger de confidences particulières autour de la bisexualité ou de l’homosexualité.

Aussi, me voilà vraiment ému en réalisant que peut-être que mon fils partage les mêmes goûts que moi pour les queues, les culs, les corps, les lèvres et les caresses d’autres hommes. Avant de m’emballer, il faut d’abord que je sois sûr que c’est bien Thomas que j’ai aperçu avec Thierry.

Je m’assois un moment, nu sur la dune en contemplant la mer. Aucun des quelques hommes qui passent alentours ne m’attirent vraiment et je n’ai plus du tout la tête à tirer un coup vite fait. Il a bien dû s’écouler une demi-heure depuis ma « vision » et je décide donc de retourner retrouver Thierry, en espérant qu’il soit toujours là, et seul.


Ouf, c’est le cas. Je m’approche à grands pas et m’assoie à côté de lui.

Thierry : Tu arrives enfin ? Je pensais te retrouver plus tôt !
Moi : J’étais à l’heure, mais je t’ai vu en pleine affaire avec un mec. Tu avais l’air aux anges pendant qu’il te pompait.
T. M’en parle pas, un suceur de première. J’espérais bien que tu arrives pour que l’on fasse un plan à trois.
M. : Vous voyant si bien partis, j’ai préféré te laisser seul avec lui. Et puis, sans savoir s’il me plairait ou pas…
T. : Je suis sûr qu’il t’aurait plu : un jeune mec, je ne lui donne pas 25 ans, viril pour son âge, un corps magnifique, bien bronzé, bien poilu, une belle queue et un cul magnifique. C’était top. Et bien passif, avec des bonnes dispositions de salope. Il n’a pas voulu que je le fasse jouir, mais il s’est déchainé sur ma queue et m’a sucé à fond, sans perdre une goutte de mon jus. Je peux te dire qu’il aime ça. J’ai adoré. Ça aurait été le pied que tu en profites aussi. D’autant qu’il m’a dit qu’il aime se faire prendre en pompant. Un plan à 3 aurait été top. En plus il préfère les mecs mûrs comme nous. Je lui ai parlé de toi, en lui disant qu’on se voit tous les après-midis et que s’il voulait, on pourrait se retrouver demain pour un trio.
M. : Thierry, t’es vraiment trop sympa de penser à moi comme ça. Je suis partant, mais avant tout, pourrait tu me décrire un peu mieux le gars ?
T. Mieux que ça, j’ai fait quelques photos pendant sa pipe magistrale, et je sais qu’il s’appelle Thomas. Tiens, regarde les photos.
M. Merde, Thierry ! C’est mon fils.
T. Hein ? tu plaisantes ? Ben merde alors. Excuse-moi je n’aurais jamais pensé à ça. Je suis désolé d’avoir parlé de lui comme je viens de le faire.
M. Ne sois pas désolé, Thierry, tu ne pouvais pas savoir. Je ne sais pas si je dois te l’avouer, mais savoir que Thomas et moi on se partage ta queue, ça a quelque chose de troublant et d’excitant. Je dois te dire que ça me fait vraiment quelque chose.
Je ne m’étais jamais posé la question des goûts sexuels de mon fils. Qu’est-ce qu’il t’a raconté ?
T. : Rien de spécial tu sais, j’étais allongé, en me caressant calmement, il est passé, s’est arrêté. On a vite compris qu’on se plaisait, il s’est approché, s’est accroupi à côté de moi, m’a caressé la cuisse puis mes couilles, ma queue, a retourné sa casquette et a commencé à me lécher, pour me faire bander. Il m’a pompé comme un dieu pendant une dizaine de minutes. Je me suis laissé faire… Je lui ai caressé le cul, passé un doigt sur la rondelle et j’ai pu voir qu’il aimait ça (désolé mon vieux de te dire ça, comme ça). En fait je t’attendais et je ne voulais pas aller trop loin ni trop vite. J’ai quand même fini par juter et c’est après qu’on a discuté. Un moment câlin et vraiment sympa, il s’est allongé contre moi, j’ai passé un bras sur ses épaules, on s’est caressé… Il m’a dit qu’il était bi, passif avec les hommes et qu’il adorait les mecs mûrs, les papas, comme il aime les appeler. Il m’a expliqué qu’il était en vacances ici, et qu’il trouvait toujours le moyen de faire des rencontres ici depuis déjà 2 ou 3 ans, en expliquant à ses parents qu’il passait l’après-midi avec ses copains sur la plage, au surf ou autre. Tu te rends compte qu’on aurait pu déjà le croiser bien avant ? Ou même qu’il aurait pu nous surprendre en pleine baise ? T’imagines ? Déjà là tu fais une drôle de tête, mais ça aurait été vraiment un choc pour vous deux.
M. : En attendant, je vais avoir du mal à le regarder dans les yeux ce soir. Mais tu vois, je trouve la situation vaguement excitante. J’ai envie de te pomper, te lécher. Allonge-toi et donne-moi ta queue, comme tu l’as fait pour mon fils il y a une heure.

C’est ainsi que j’ai dégusté les couilles et la queue de Thierry. Imaginer que mon fils avait fait de même, que nous mélangions nos salives à une heure de temps m’a excité comme jamais. Le choc de la découverte passé, je me suis complètement lâché et on a baisé sans limites avec Thierry.
Un long 69, un bouffage de cul en règle. J’ai adoré retrouver son cul poilu et sa rondelle humide sous ma langue. C’est ensuite Thierry qui s’est occupé de préparer. Il m’a baisé dans ma position préférée : il s’est allongé, je me suis empalé sur sa queue et j’ai contrôlé la pénétration jusqu’à ce que je le sente jouir en moi tout en me branlant et en lâchant mon jus sur son ventre et son torse.

Après avoir repris nos esprits et nous être nettoyés, Thierry m’a alors posé la question que je ne voulais pas aborder : « alors Alain, on fait quoi demain après-midi pour ton fils, à qui j’ai donné rendez-vous ici ? »

Laisse-moi digérer tout ça, stp. On se parle par sms demain matin si tu veux.

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