Isa Chapitre 1/2
Chapitre 1/2
Sans préméditation.
Je mappelle Isabelle, à lheure où jécris ce texte jai 43 ans, je mesure 1m60 et à ce que lon dit, jai un physique agréable malgré les petites formes généreuses qui accompagnent ma silhouette. A chaque fois que jen ai loccasion, sans pour autant basculer dans la vulgarité, jaime mhabiller de façon à me mettre en valeur, ce nest pas que je cherche à provoquer du désir chez le sexe opposé pour me trouver une occasion de débauche, cest simplement pour me rassurer, jai besoin de savoir que je plais toujours autant quà mes vingt ans et les regards qui se tournent vers moi maident à confirmer que je suis toujours désirable. Je vie avec Jean, mon mari depuis 22 ans. Jean a 44 ans, il est assez sportif, passionné de VTT, il sattache à ne pas manquer ses sorties matinales du weekend pour parcourir tous les recoins des collines environnantes quil connait désormais par cur. Sa passion lui permet dentretenir sans difficulté son physique musclé qui ma toujours fait craquer. Nous avons un garçon de 20 ans, Batiste qui a quitté le domicile familial depuis peu pour sinstaller avec sa compagne.
Nous habitons une petite villa avec piscine dans le sud de la France. Le jardin nétant pas très grand, les voisins sont assez proches, de ce fait pour optimiser notre intimité, nous avons planté des haies darbustes bien feuillus le long de chacune des clôtures, ce qui nous permet de limiter considérablement les vis-à-vis. Jean a toujours pris soin de bien entretenir ces haies de façon à ce quelles soient bien touffus, car il sait que sans cela, je ne mautorise pas à me faire bronzer torse nue ou entièrement nue au bord de la piscine. Certes, jaime attirer le regard des inconnus que je croise, mais en aucun cas je noserai mexhiber de la sorte devant un voisin que je côtoie tous les jours, je sais garder certaines limites qui ne doivent pas être franchis.
Pour finir les présentations, jai gardé le meilleur pour la fin, si vous êtes en cours de lecture de ce texte, cest bien que vous vous attendez à en savoir plus sur ma sexualité :
Plus jeune, à mon adolescence, jai eu plusieurs petits copains avec lesquels jai fleurté sans pour autant les autoriser à aller au-delà de la découverte de ma poitrine déjà volumineuse.
Nous avons dû nous rendre à lévidence de cette réalité lorsquun dimanche soir, confortablement installés, nous découvrions pour la première fois le film intitulé : « 7 ans de mariage ». Pour ceux qui ne connaissent pas ce film, nous y retrouvons un couple qui réalise quaprès sept ans de mariage, leur sexualité qui sendort a de toute évidence besoin de piment. Ce film ne nous laissait pas indifférent car il décrivait parfaitement ce que nous, nous vivions au bout de nos huit années de vie commune. Ce soir-là, devant ces images visionnées, une certaine excitation nous a envahie, une excitation différente de celle que nous procuraient les films x que nous prenions plaisirs à regarder de temps en temps et par effet induit, nous navons pu attendre le générique de fin pour nous faire plaisir.
Après cette soirée, durant les jours suivants, pour la première fois, nous avons osé nous avouer certains de nos fantasmes, jusquici, je navais pas imaginé un seul instant que Jean pouvait avoir les désirs quil me décrivait. Jétais à la fois stupéfaite et excitée. De mon côté, je restais sur mes gardes, javais moi aussi des fantasmes mais il métait difficile de lui avouer tout ce qui pouvait me traverser lesprit, dautant plus que parfois, il nétait pas acteur de mes scénarios les plus extravagants. Jai alors appris quil fantasmait sur une relation échangiste, il aimait également mimaginer dans les bras dun autre devant lui, à mon tour je lui ai avoué que lidée dun triolisme mémoustillait. Nous en sommes venus à la conclusion que nous ne dérogions pas à la règle, nous avions les même envies que tous les couples qui sont restés fidèles de nombreuses années, nous avions besoin de piment pour éveiller notre sexualité, mais nous avons également convenu que nous ne franchirions jamais ce pas, tous ces scénarios que lon samusait à se décrire ne devaient en aucun cas basculer du fantasme vers la réalité pour ne pas risquer de détruire ce que lon a construit durant toutes ces années.
Suite à cela, de façon à amplifier notre excitation, nous avons régulièrement introduit un ou plusieurs partenaires imaginaires durant nos ébats. Pour mexciter, en guise de préliminaires, allongés sur le lit, Jean me demandait de fermer les yeux et il me chuchotait à loreille ce quil aimerait me voir faire avec tel ou tel de nos amis ou connaissance proche, il samusait à me raconter la façon dont il imaginait notre éventuelle relation échangiste avec encore une fois des personnes de notre entourage quil ne se privait pas de citer. Chacun de ces scénarios me mettaient dans un état dexcitation qui me procurait une jouissance intense une fois les préliminaires passés. Nous avons joué de la sorte de nombreuses années jusquà ce que les effets de ces jeux ne nous procurent plus autant de plaisirs quà leurs débuts.
Installée sur mon transat au bord de la piscine avec la ferme intention de capter un maximum de rayons du soleil pour améliorer mon bronzage intégral, jétais seule à avoir entendu le carillon qui provenait de lintérieur de la maison. Jai appelé Jean qui se trouvait vers lautre extrémité du jardin pour lui indiquer que nous avions un visiteur au portail :
- Jean, noublie pas de me prévenir si tu fais rentrer notre visiteur, si tu ne veux pas quil voit ta femme toute nue
.
- Ne tinquiète pas, je vais voir de qui il sagit, si je dois le faire rentrer, je te préviens avant.
- Ok merci
Jai poursuivi ma détente en toute sérénité, espérant ne pas avoir à me revêtir car je venais tout juste de me passer la crème solaire. Quelques minutes plus tard, les portes de notre séjour qui donnent sur le coin piscine étant grandes ouvertes, jentendais Jean discuter avec une autre personne, mon cur sest mis battre plus rapidement, jétais prise dangoisse, avait-il oublié ?, peut être allaient-ils rester dans la maison, dans ce cas ils ne pouvaient pas me voir, de cet angle je savais que nos haies masquaient la partie basse du pourtour de la piscine, mais je ne pouvais pas me redresser sinon, je me serai donnée en spectacle. Ouah, il va mentendre une fois notre visiteur parti !
Lorsque jai entendu Jean dire à notre visiteur : « Allez viens, jen ai un dans mon abris de jardin, je vais te le prêter », jai compris quils allaient tous les deux passer devant moi pour aller jusquau fond du jardin, jétais tellement stupéfaite de lattitude de Jean que je suis restée sans réaction lorsque notre visiteur cest retrouvé debout devant moi, sans trop savoir si il devait me saluer ou détourner le regard.
Après quil ait raccompagné notre jeune voisin, je me suis empressée de demander une explication à Jean :
- Tu peux mexpliquer ce qui ta pris ? je tavais pourtant bien demandé de me prévenir !
- Je sais, je sais
des filles nues il y en a plein les plages en été, et puis tu as vu la même chose que moi non ?
- Non, quoi, jaurai du voir quoi ?
- Il bandait en te regardant, son short ne pouvait même pas masquer son état !
- Oui, jai vu la bosse, le pauvre, tu crois quil était bien à laise dans cette situation ? et moi, tu y as pensé, javais peut être pas envie de me donner en spectacle !
- Je pense surtout quil a bien aimé voir les nichons et le minou de sa voisine et que toi tu as pu apprécier de voir leffet que tu procures à un jeune homme !
- Cest pas faux, mais jaurai préféré que tu men parles dabord !
- Si je ten avais parlé tu naurais jamais accepté !
- Pas faux non plus, mais ne tavise jamais de recommencer ce genre de chose !
Pour éviter denvenimer la situation et stopper cette discussion, il sest esquivé dans son abri de jardin pour poursuivre son occupation du moment. Nous navons plus parlé de cet écart jusquau jeudi soir suivant ou, allongés nus dans le lit conjugal, mon cher époux me murmure dans le creux de loreille :
- Tu as repensé à létat dans lequel tu as mis Léo dimanche dernier ?
- Oui, le pauvre tout en ayant apprécié la chose, il devait vraiment être mal à laise.
- Comment se fait-il que Léo na jamais eu sa place dans un de nos fantasmes ?, cest vrai quoi, dans limaginaire tu as baisé avec la plupart des hommes de notre entourage mais jamais avec lui !
- Cest encore un bébé, il a tout juste vingt ans, ça pourrait être notre fil !
- Justement, lidée de te taper un jeunot, ça ne témoustille pas un petit peu ?
En même temps que cette question, Jean a fait glisser ses doigts sur mon sexe pour vérifier mon degré dhumidité, jai compris où il voulait en venir. Il aime constater létat dans lequel me mettent ses petits fantasmes quil me raconte dans le creux de loreille.
- Je te vois venir, tu as envie de me raconter de quelle façon tu aimerais voir ce gamin me prendre, cest ça ?
- Tout autant que toi ma chérie
.
Suite à cet épisode imaginaire merveilleusement bien raconté, nous avons enchainé une partie de jambes en lair des plus torrides avant que Jean sexclame :
- Et bien ma chérie, ça faisait longtemps que tu navais pas été autant excitée ! je vois que le jeune Léo te fait autant deffet que toi sur lui, si ce nest plus !
- Javoue !
- Tu aimerais aller plus loin ?
- Non, pas du tout, nous avons été très clair à ce sujet, nous ne dépassons pas le stade de limaginaire.
- Je ne te dis pas daller jusquau bout, mais on pourrait samuser un peu tout de même !
- Que veux-tu dire ? à quoi penses-tu ?
- Tu pourrais lallumer un peu pour voir sa réaction
- Et ensuite je le laisse en plan cest ça ? tu nes car même pas sérieux là ?
- Pas ment, tu pourrais lui faire un petit plaisir sympa
- Fais attention, si je te prends au mot, tu risques dêtre surpris
- Pas cap !
- Ok, tu lauras voulu, la prochaine occasion sera la bonne !
Il savait aussi bien que moi que je nen ferai rien, il était clair que tout cela nétait quun jeu entre nous de façon à entretenir un certain piment source dexcitation sexuelle dans nos relations.
Les puissants rayons de soleil du dimanche après-midi suivant mont incité une nouvelle fois à entretenir mon bronzage intégral. Installée sur mon transat, les yeux fermés appréciant pleinement ce moment de détente, je percevais de petits bruits de feuillages bousculés les uns contre les autres. Lorsque mon regard sest naturellement dirigé vers ses bruits à peine perceptibles, jai pu apercevoir notre jeune Léo en train dessayer décarter discrètement des branchages de notre clôture afin de pouvoir améliorer son champ de vision en ma direction. Faisant mine de ne pas lavoir remarqué, je suis restée un instant allongée avant de me lever pour me revêtir et me diriger vers labri de jardin ou Jean bricolait afin de le prévenir de la présence de ce jeune voyeur.
- Et bien ma chérie, ça veut dire que tu lui plais beaucoup, il apprécie de te voir nue pour ensuite très certainement fantasmer sur une relation avec toi.
- Cest tout ce que tu trouves à me répondre ? je nai plus quà retourner mallonger en écartant mes cuisses au maximum alors ?
- Pas cap !
Me répondit-il en souriant.
Il savait très bien que je nen ferai rien, même si lidée de faire fantasmer ce jeune homme me procurait une sensation agréable entre mes cuisses, il était hors de question que je me donne en spectacle. Jai gardé mon maillot deux pièces sur moi et je suis retournée à mes occupations à lintérieur de ma maison. Plus tard dans laprès-midi, alors que Jean était toujours dans son abri de jardin ou devrai-je plutôt dire dans son atelier, une visite sonne à notre porte. Je ne peux pas dire que jétais surprise de voir que cétait notre jeune voisin qui venait de sonner à notre porte.
- Bonjour Madame, je vous rapporte votre outil.
- Très bien, entre, Jean est au fond du jardin, tu connais le chemin, je te laisse le rejoindre.
- Merci madame.
Deux minutes plus tard, Jean est apparu dans la maison avec Léo pour me dire :
- Isa, jai proposé à Léo de boire un verre avec nous pour le remercier davoir coupé les branches de nos arbustes qui poussent chez eux.
Il ne croyait tout de même pas que jallais faire la conversation à Léo du temps quil prépare les boisons, je me suis empressée de répondre :
- Très bien, installez-vous sur la terrasse, je vais chercher à boire et je vous rejoins.
Jétais troublée, javais le sentiment que lon pouvait basculer dun instant à lautre vers des évènements irréversibles que Jean samusait à provoquer. Pour être honnête, lidée de me retrouver assise face à ce jeune homme qui ne pense quà mobserver nue pour pouvoir fantasmer me mettait dans un état dexcitation difficilement contrôlable. A cet instant, je me demandais si finalement, je navais pas moi aussi tout comme Jean le désir daller au-delà de limaginaire. Lorsque je les ai rejoints, le clin dil discret de Jean à mon égard ne laissait plus de doute sur ses intentions.
- Voilà messieurs, Jean pour toi ça sera une bière je suppose ?
- Oui sil te plait,
- Tiens, voilà
- Merci
- Et pour toi Léo ?
- Une bière également, sil vous plait
- Léo tu peux me tutoyer, dailleurs je préfère car sinon jai limpression dêtre une mamie à tes yeux
- Oh non, pas du tout madame, cest juste par resp
.
- Sil te plait arrête aussi les « Madame », tu peux mappeler, Isa, ça ira très bien !
- Ok Isa,
- Allez approches ton verre que je puisse te servir ta bière.
Il ma tendu son verre que jai servi au-delà de ce quil fallait ce qui a eu pour effet de faire déborder la mousse sur ses doigts. Sur cet évènement, je ne sais quel diable ma envahie le corps pour que je réagisse tel que je lai fait :
- Ah, désolée, attends, pose ton verre sur la table et donnes-moi ta main je vais te nettoyer tout ça !
Dune main jai attrapé son poignet pour pouvoir diriger ses doigts vers mon visage. Tout en le fixant droit dans les yeux, jai aspiré totalement son index jusquà ce que son ongle soit en buté contre le fond de ma gorge pour ensuite le faire ressortir lentement entre mes lèvres serrées. Jean est resté scotché devant ce spectacle, certainement très surpris de me voir faire une telle chose à notre jeune voisin qui lui sest retrouvé complètement paralysé par les évènements. Nous aurions pu entendre les mouches volées jusquà ce que Jean intervienne une fois le doigt de Léo entièrement sortie de ma bouche :
- Isa, je vois de la mousse sur son autre doigt, tu devrais aussi lui nettoyer !
A ces mots, Léo et moi venions davoir lapprobation de mon cher et tendre pour poursuivre laction engagée. Je ne me suis pas privé de dégager son majeur pour le faire coulisser à son tour dans ma bouche comme lon sucerait un sucre dorge. Pour ce qui est de la partie non visible, sachez que jai pris soin également de bien presser ma langue sur ce doigt qui faisait un aller-retour vers mes amygdales. Léo restait toujours sans voix, son visage était rougit, nous percevions nettement sa respiration qui saccélérait. Cest Jean qui est intervenu le premier :
- Ça va Léo ?,
- Oui, ça va, jai juste un peu chaud !
- Ça texcite quIsa te suce les doigts ?
- Non, cest juste que je pensais quelle allait me nettoyer avec du papier essuies tout
- Elle te fait bander ?
- Oui
non, non pas du tout
- Ne soit pas gêné, ça fait plaisir à Isa de savoir quelle fait de leffet à un petit jeune, et moi ça me plait de savoir que ma femme est désirable. Je suis sûr que tu rêves quIsa reproduise sur ton sexe ce quelle vient de faire sur tes doigts, je me trompe ?
Son visage était de plus en plus rouge, il a hésité un instant avant de répondre :
- Oui, jadorerai ça.
Sur cette réponse, mon excitation a évolué vers un niveau encore supérieur, Jean sest tourné vers moi pour me fixer droit dans les yeux, il attendait ma réponse à sa question qui ne posait pas mais qui était largement sous-entendu et ils mont entendu dire :
- Oui, moi aussi !
- Dans ce cas ma chérie, quattends-tu pour mener notre invité au septième ciel ?
Je me suis tournée face à Léo, je lui ai demandé de sécarter de la table tout en restant assis de façon à me laisser le champ libre. Il a fait pivoter son siège pour dégager ses jambes du dessous de la table. Je me suis mise à genoux devant lui, jai attrapé son maillot short de chaque côté de ses hanches pour le faire glisser jusquen bas de ses chevilles de façon à le retirer entièrement. Sa verge était dressée face à moi, dune parfaite linéarité, son gland luisait denvie, mes lèvres nétaient plus quà quelques centimètre de ce bâton tout excité. Lorsque jai posé ma main droite sur cette tige pour entamer une masturbation, jai aperçu Jean qui envoyait sa main dans son short très certainement pour pouvoir soulager son sexe très excité par la vision dun scénario fantasmé qui pour la première fois se transformait en acte réel. Après quelque aller-retours de mes doigts sur cette jeune tige, jai approché le bout de ma langue pour la mettre en contact avec son frein, juste à la base de son gland. A cet impact, Léo a mordu sa lèvre inférieure avec ses dents, pour ensuite, basculer sa tête en arrière en fermant les yeux lorsque jai pris son sexe entièrement en bouche le plus profondément possible. Jai fait glisser plusieurs fois sa queue au fond de ma gorge en faisant ressortir son gland de ma bouche à chaque aller-retour, il semblait résistant face à son éjaculation, ses couilles remplies de sperme prêt à sortir semblaient de plus en plus fermes. Bien décidée à le faire monter au septième ciel, une fois son gland repositionné dans ma bouche, jai serré mes lèvres autour de sa tige pour le maintenir bien à lintérieur pour ensuite masturber sa queue avec ma main, dabord lentement puis de plus en plus énergiquement jusquà ce que jobtienne satisfaction. Après avoir entendu un « Ah
. Cest trop bon
» Son sperme chaud est venu sétaler au fond de ma gorge par petits jets successifs que jai pris soin davaler de façon à ce que son sexe ressorte tout propre de ma bouche. Pour ma part, je ne me souviens pas avoir déjà été autant excitée, même lors de ma première nuit avec Jean, mon sexe navait pas réagi de la sorte, aujourdhui jétais trempée entre les cuisses et je ressentais une sorte de douleur dexcitation dans mon bas ventre, phénomène encore inconnue jusquici, désormais je ne souhaitais quune seule chose ; que ce jeune homme sintroduise dans mon vagin pour me soulager.
Je me suis redressée, je me suis tournée vers Jean, jai pu le voir avec son sexe raide à la main qui lui aussi avait joui sous leffet de sa propre masturbation. Son sperme était étalé sur le sol, devant sa chaise, je lisais dans son regard son souhait de voir la suite
. Sans mots, jai retiré mon maillot deux pièces que jai posé sur la table, je me suis rapprochée de Léo toujours assit sur son siège. Tout en restant debout devant lui, jai posé mes fesses sur le bord de la table en écartant au mieux mes cuisses. Je ne pouvais plus attendre, ayant bien compris que ce jeune homme ne prendrait aucune initiative, jai saisi sa main droite pour venir la positionner sur mon sexe. Je sentais sa main trembler sur le haut de mes cuisses, il regardait Jean, je devinais son malaise.
- Sil te plait, caresse-moi, jen ai très envie et Jean ne demande quà voir !
Ses doigts se sont noyés entre mes lèvres intimes, la caresse nétait pas experte mais tout de même très agréable, rapidement, sa main ne tremblait plus, son index décrivait des cercles autour de mon bouton, je savais que mon passage au septième ciel était tout proche. Lorsque ses doigts sont venus pénétrés mon vagin, une chaleur intense ma envahie le bas ventre, contrairement aux premières caresses sur mes lèvres, cette pénétration paraissait plus agile, les allers-retours au fond de ma grotte étaient correctement rythmés, je gérais au mieux ma résistance à lextase de façon à faire durer ces plaisirs le plus longtemps possible, mais lorsque il a approché son visage de mon sexe pour passer sa langue sur mon clitoris, seulement trois rotations de ce bout de cher humide sur mon bouton ont été nécessaire pour me faire craquer.
Je me suis écartée pour venir massoir sur un siège prêt de la table le temps de retrouver tous mes esprits. Jétais soulagée mais pas complètement satisfaite, un rapide coup dil vers les deux bâtons ma permis de constater leur vigueur persistante. Jean a rompu le silence :
- Alors, on se la boit cette bière maintenant que la mousse est retombée ! Et toi ma chérie, que bois-tu ?
- Je vais me servir un jus.
Juste après avoir pris le temps de boire une gorgée, Jean sest exclamé :
- Ma chérie, je vois que Léo est toujours en forme, c'est peut être l'occasion d'aller au bout de nos envies, qu'en penses-tu ?
Je n'attendais que ce feu vert, pour me l'avoir souvent murmuré au creux de l'oreille lors de nos préliminaires, je savais très bien ou Jean rêvait d'en venir. J'ai pris le temps de finir mon verre de jus avant de me lever pour aller m'empaler sur cette jeune tige toujours au garde à vous. Assise à cheval sur mon amant, j'ai commencé par onduler lentement mon bassin sur cette queue qui me remplissait parfaitement. Mon clitoris était très réceptif aux frottements générés sur la base de ce bâton, de son côté, Léo restait immobile, son visage se crispait, son sexe émettait des secousses contre mes parois vaginales, signe quil tentait de retenir son éjaculation. Je ne voyais pas ce que faisait Jean qui se trouvait dans mon dos jusqu'à ce qu'il se rapproche de nous, pour nous présenter sa bite tendu à hauteur de nos visages. Sans attendre, j'ai attrapé sa queue pour la faire glisser le plus profondément possible au fond de ma gorge. Léo pouvait profiter de ce spectacle pornographique qui se déroulait à seulement quelques centimètres de son visage, j'ai ralentis mes mouvements du bassin pour mieux me concentrer sur la fellation que j'administrais à mon amour, ses couilles étaient de plus en plus tendus, je devais stopper mes succions avant qu'il n'atteigne son point de non-retour. J'ai dégagé sa bite de ma bouche, je l'ai attrapé fermement dans ma main pour la positionner à quelques centimètres du visage de notre jeune voisin. En regardant Léo droit dans les yeux tout en poursuivant de lents mouvements de mon bassin sur sa tige je lui ai dit :
- Léo, montre-moi sur cette queue ce qui serait pour toi la pipe idéale !
Une nouvelle fois, son visage a pris des couleurs très vives, il a lancé un regard vers Jean pour s'assurer de sa réaction devant ma demande, pour réponse, Jean a posé sa main derrière la nuque de notre invité pour provoquer le contact de son gland sur ses lèvres. Léo a commencé par lécher ce sexe droit en posant sa langue sur le milieu de la tige pour la faire glisser jusqu'en haut du gland. A plusieurs reprises, il l'a léché comme si il dégustait une glace à l'italienne en plein été, comme si il voulait ne pas perdre une goutte de crème glacé qui coule le long du cornet. Devant ce spectacle, j'ai accéléré mes mouvements du bassin, pour aboutir à mon extase, sur ce rythme, Léo a joui quelques secondes avant moi, sa semence chaude s'échappait de mon sexe en mouvement pour venir couler sur ses couilles, de son côté, Jean a lui aussi libéré son sperme lorsque Léo l'a pris profondément en bouche. A quelques secondes prêt, nous avons jouie tous les trois simultanément.
Durant les jours qui ont suivis, toujours sous l'effet de l'excitation de ce que nous avons vécu ce dimanche après-midi, Jean et moi avons multiplié les rapports sexuels dans une intensité qui nous rappelait notre jeunesse. Vendredi, je me suis empressée de regarder la météo au journal télévisé du matin dans l'espoir d'y voir un soleil radieux sur notre région pour le weekend : Javais dans lidée dentretenir mon bronzage intégral le dimanche suivant sous les regards indiscrets de notre cher voisin !
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