Mon Remède Pour L'Infirmier
Qu'est ce qu'il embrasse bien ce mec! Je ne sais combien de pelles nous nous sommes roulées ce soir. Je lui ai fait l'amour avec ardeur. Nous sommes sur le lit depuis près de trois heures. Nos corps aimantés l'un à l'autre. Je ne pensais pas le revoir. Et pourtant c'est bien Patrick qui est là devant moi. Celui que j'ai initié à sa demande aux plaisirs masculins.
Patrick a 25 ans de taille normale 1,80 il est costaud environ 100 kilos et de ce fait, il est mal à l'aise. Ce petit mec, porte le collier de barbe mal taillé, il est brun, yeux marrons et coupe en brosse. Il passe d'ailleurs souvent sa main au travers de ses cheveux pour replacer sa mèche, qui tombe sur son front. Sexuellement, il se cherche, c'est pour cette raison que je l'avais rencontré voilà un an déjà. J'avais répondu à une annonce, ou il souhaitait être éveillé par un mec un peu plus âgé que lui. Il cherchait en fait un calibre honorable pour être initié à la sodomie. Il est infirmier dans un foyer médicalisé.
Moi j'ai 50 ans et j'avais été honoré qu'il réponde positivement à mon offre. Je suis banal 1,74 pour 95 kilos. Crane dégarni, cheveux poivre et sel. Je suis poilu et essentiellement actif. Ce qui fait craquer les mecs c'est mon matos :
Je pense que je suis bien pourvu de ce coté là. C'est surtout la circonférence qui impressionne 5 pour 19. Alors il est vrai que les passifs adorent.
Lors de notre rencontre, j'avais été impressionné de la façon dont j'étais entré facilement dans ce mec. «Ce sont les légumes que j'ai testé», m'avait il expliqué. En fait il s'était entraîné à introduire des courgettes et des concombres pour se faire sodomiser sans mal par un bon calibre. Mais j'avais adoré , faire couiner ce nounours. Nous nous étions revue, une fois mais je n'étais pas en forme ce soir là. Mon sexe était aux abonnés absents. Vous savez ce que c'est. Cette chose se produit parfois sans que l'on sache pourquoi.
Il y a quelques jours, j'ai répondu à une annonce, sans savoir que c'était lui, car il a changé de pseudo depuis. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'il m'envoya son numéro de téléphone. On s'est mis d'accord pour se retrouver, et il est arrivé quelques heures plus tard chez moi.
Nous avons fait le point sur nos vies actuelles, et discuté de choses banales, en buvant un verre. J'ai très vite eu envie de l'embrasser. Mes lèvres sont venues se coller aux siennes et il a ouvert sa bouche pour laisser passer ma langues. J'en avais tant envie. Ce mec on a envie de le câliner. Il est très attirant pour ça. Un aimant en quelque sorte. Ma langue a entourée la sienne et nos bouches sont restées soudées. Ma main gauche est restée plaquée sur larrière de son crane. La droite est allée palper le devant de son jean. J'ai commencé à masser son entre-cuisse. Patrick toujours aussi timide n'osait pas bouger. Son visage exprimait néanmoins un sourire consentant de subir ce type d'attaque. Je sentais sa queue molle au travers du tissus et j'ai imprégné des serrements de doigts pour l'emprisonner et la faire gonfler. Après quelques minutes, je me suis allongé sur lui car je l'ai obligé à s'allonger, mon sexe était comprimé dans mon fut. Je faisais exprès d'appuyer ma bosse sur son bas ventre, pour qu'il se rende compte de l'effet qu'il produisait sur moi. Il a enfin osé venir palper ma queue. Tel un vainqueur savourant son effet, ses doigts sont devenus conquérants. Il a fait glisser la fermeture éclair pour insinuer sa main. Puis ouvert le bouton du jean. Et sa main est venue plonger dans mon sous-vêtement. Il a sortie ma bite de sa prison de tissu.
Vous pensez bien que je l'ai pas laissé seul maître à bord . J'ai tiré sur son jean, par les pieds. Et je suis venu poser ma bouche sur son boxer noir. J'ai mordillé le tissu de coton pour faire gonfler, ce qu'il renferme.
Et je plonge son pénis dans ma bouche bien chaude. Une bonne étuve, pour son gourdin. Car il prend de l'ampleur. Je lèche, je suce, j'entre profondément au fond de ma gorge. Pendant ce temps, mon partenaire me palpe les burnes et me branle avec vigueur. Je remonte le long de son corps pour venir mordiller son mamelon droit avec quelques poils autour. Il se cabre, cela ne le laisse pas insensible. Je bouge mon corps pour venir positionner mon sexe au niveau de sa bouche. Ses lèvres s'entrouvrent suffisamment pour laisser passer mon gland. Il viens suçoter le méat comme pour y goûter, puis aspire mon sexe entièrement dans sa bouche jusqu'au fond de sa gorge. Je maintiens sa tête d'une main derrière son crane pour qu'il la prenne à fond. Il ne se débat pas et apprécie de la sentir au niveau de sa glotte. Lorsque je sens qu'il manque d'air, je desserre l'étreinte pour le laisser respirer, mais très vite il repart à l'assaut de ce morceau de chair. Je lui suggère de me lécher les burnes.
Toujours bon élève il ne se fait pas prier et vient déposer de petites lampées qui ont un grand effet, sur mes testicules. Puis mordille le sac de peau qui se trouve ainsi stimulé.
Mes mains caressent son corps, pour le faire frémir davantage en des petites chatouilles qui donnent la chair de poule. Je pars de son fessier pour remonter sur ses épaules et redescendre. Je sens sa peau se hérisser sous mes doigts. Et je décide d'aller tâter ses fesses, que j'écarte. Puis je lève ma main pour venir les claquer gentiment. Et à ce moment j'ai envie de lui manger son postérieur. Oui je vais lui bouffer les fesses. Sitôt pensé, sitôt fait. Il vient de laisser mon gland, donc je l'allonge sur le ventre et viens introduire ma langue dans son sillon. J'écarte les fesses et viens plonger en léchant sa rosette. Celle ci sentrouvre sous l'effet de la salive. Ma langue part du centre et lèche sa corolle, puis je mordille la peau de ses fesses. Et je salive un max pour humidifier son petit trou. J'entends Patrick soupirer de bien être. Mes lèvres simprègnent de cette odeur musquée, cette odeur propre à l'acte sexuel. Et maintenant j'entre un doigt dans sa fente. Il passe tout seul, donc un second puis un troisième viennent combler l'espace. Et je sens qu'il s'ouvre et qu'il est mur, pour la suite. Je me redresse, enfile une capote sur mon zgeg, enduit son anus de gel pour la forme. Je lui demande de se mettre en levrette. A peine à quatre pattes, je me positionne sur les genoux derrière lui, j'accroche sa hanche à gauche. Ma main droite aide mon gland à se trouver face à son anus. Et j'effectue une poussée en profondeur. Mon gland butte sur ses sphincters, juste pour la forme car dans un second temps la poussée suivante me laisse passer ce barrage.
Mon infirmier respire fortement, puis son souffle est haché et se fond à mes ondulations de pénétration. Qu'il est bon ce cul, je l'ai crié, sans m'en rendre compte. Et jaccélère mes va et vient. Patrick soupire maintenant. Le chaloupe ment de mes reins lui convient. Mon sexe a bien ouvert son conduit. Je glisse à merveille. Mes burnes cognent sur son arrière train, à chaque poussée en profondeur. Il réagit à merveille. Après quelques minutes, je décide d'alterner et lui demande de s'allonger sur le dos. Je relève ses jambes à la verticale, et mon sexe replonge très vite dans son fondement. Et je lui écarte les jambes, puis qu'il ressente plus d'effet encore. Je connais l'effet produit. J'adore que l'on me fasse ça, cela décuple la profondeur de la sodomie.
Je ne métais pas trompé: il roucoule désormais.
«C'est trop bon....T'aimes ça te faire baiser ainsi?»
« mmmhun»
Je claque fortement son trou que je bourre à fond
« qu'est ce que tu dis? Dis le mieux que ça. T'aimes la bite toi....Hein?
« ho...han....ha..... Oui ...c'est trop bon»
« Et bien tu vois je le savais, c'est bon une grosse bite dans ton fion»
Cela m'excite toujours de parler ainsi vulgairement quand je lime. Et je passe désormais à une cadence ralentie. Je reviens pour ne laisser que mon gland en lui, et je replonge tout doucement. J'entends sa gorge prononcer des sons gutturaux. Comme si c'était ses fesses qui parlaient et exprimaient son plaisir. Mon sexe semble rétrécir et je décide de ressortir. Jôte la capote , je m'allonge sur le dos pour souffler. Et il revient me sucer. Quelques minutes ainsi, me permettent de reprendre de la vigueur. Je remet une capote sur mon vit, reste dans la même position. Et le voilà qu'il vient s'asseoir sur mon zob dressé fièrement. Patrick descend en douceur pour venir s'embrocher. Ses deux mains en arrière à hauteur de ses genoux, il se lime tout seul. Je soulève mon arrière train du matelas et je donne aussi des mouvements de reins qui accompagnent son cadencement. Putain que c'est bon. Trop bon! Puis il se redresse, et je lui propose de se mettre allongé sur le flanc. Et je me met à le pénétrer dans cette position latérale, ce qui me fait donner de puissants coups de reins à m'accrochant à ses épaules. Je le sens se trémousser.
«Cambres bien tes reins, donnes moi bien ton cul» je lui lance.
Et il s'exécute pour mon plaisir et le sien. Et je lime toujours et encore cet arrière train, jamais rassasié. De tout mon poids je le fait chavirer en douceur sur le coté. Je ressors mon sexe au même moment. Il se retrouve allongé sur le ventre. Et je viens le prendre ainsi mes jambes resserrées écartant les siennes. Mon sexe se réintroduit en lui. Et je fais des pompes en plongeant dans ses fesses. Puis j'enroule chacune de mes jambes autour des siennes en les passant par dessus, et par la force de mes genoux je reprends des vas et vient vigoureux. Patrick pousse des grognements et des soupirs entremêlés. Je sais qu'il prend un plaisir incommensurable, tout comme moi. Je plonge mes dents dans son cou que je mordille. Il tourne légèrement la tête, et sa bouche rencontre ma bouche. Nos langues se mêlent à nouveau. J'aspire sa langue avec ma bouche, c'est de la rage. Et je continue à le limer en profondeur. Je chope sa queue pour la branler. Ma main accélère le mouvement sur son sexe.
«J'en peux plus» Me lance t-il tout à coup.
Cela calme mon ardeur. Je me retire. Je comprends que ses fesses n'en puissent plus de tant de va et vient.
«Je veux te faire cracher» lui dis-je.
Et je reviens poser ma bouche sur sa queue, qui a repris de la vigueur.
Je titille le méat avec la pointe de ma langue. Et je passe ma langue sur le pourtour de son sexe. Et j'aspire dans ma bouche. Mes lèvres se déchaînent. Il se tord, il souffle, il geint de plaisir, et ma main soupèse ses bourses rasées de prêt. Mes doigts se resserrent sur sur sexe et mon poignet prend de la force, et accélère la cadence.
Un soupir plus profond me fait comprendre que la crème arrive. De son coté il branle également mon sexe. Moi je suis positionné au dessus de lui.
Tout un coup une exclamation suivie d'un râle me prévient de l'arrivée imminente de ses jets. Juste le temps d'y penser, il se vide par trois jets saccadés qui atterrissent à hauteur de ses mamelons. J'att mon sexe à mon tour. Je sens ma jouissance proche. Et je branle avec vigueur aidé par sa langue qui vient s'infiltrer entre mes doigts et mon gland. J'éructe tout à coup, vous savez cette force incontrôlable, et tellement forte qui dévaste vos sens. Elle monte en moi. Des soupirs haletants, et voilà que je délivre mon sexe, trois, quatre jets bien crémeux partent sur le torse de Patrick. Du nombril à l'épaule je n'ai rien contrôlé. Je viens de juter comme un malade. Quelle délivrance, quel plaisir !
Nos lèvres se rejoignent comme pour nous remercier mutuellement de ces instants de plaisir...
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