Georgette
Je rencontre Georgette, une brune aux yeux bleus, à tomber par terre. Elle me plait tellement que j'ai envie d'elle aussitôt. Je ne la drague pas très longtemps. Ou je lui plait terriblement ou elle aussi a envie. Nous immigrons vers une boite connue pour les facilités de rencontre bien connues.
Nous dansons et presque aussitôt je lui décris ce que je vais lui faire en la baisant, en la suçant et ce qu'elle veux d'autre. Inévitablement je bande en lui disant tout ça. Nous nous assaillons à une table et je continu mes descriptions. Je suis presque à la fin de mes arguments quand elle reprend à son tour en disant ce qu'elle aimerai. Au bout d'un moment elle me dit qu'elle est trop excitée, que sa culotte est trempée, il lui faut aller aux toilettes pour se changer. Elle met pas mal de temps à revenir. En rougissant un peu elle me dit qu'elle a fait plus qu'enlever sa culotte, elle s'est satisfaite seule, n'en pouvant plus. Elle me demande de venir chez elle. Pas pour faire du tricot, d'après ce qu'elle me dit. Elle n'habite qu'à 5 minutes à pied de la boite. Nous mettons bien une bonne demi heure: nous "coucounégeons" beaucoup comme on dit chez moi. Je profite du manque de culotte pour venir branler son bouton. Nos baisers n'en finissent plus. Elle prend ma bite à travers le pantalon, pour vérifier que je bande. Bref je dois l'avoir branler une bonne dizaine de fois, sans qu'elle jouisse toujours.
Enfin nous sommes chez elle. Bel appart. Beaux meubles de familles parait-il. En tout cas son salon est bien meublé avec un divan et deux fauteuils. Elle m'invite à prendre un alcool: j'accepte son armagnac. Enfin nous nous embrassons à nouveau, cette fois nous ne craignons aucun passant. Nos langues se caressent dans nos bouches. Sa salive à bon goût. Je relève le derrière de sa robe pour aller poser mes mains sur ses fesses. Je ne sais pourquoi j'aime caresser les fesses. Elle me laisse faire, tout en se collant contre moi. Je passe un doigt ans sa raie.
- Oui, c'est bon, ne pars pas.
- Tu aimes que je te masturbe l'anus.
- Oui, j'aime la sodomie entre autre.
- En attendant j'aimerai te déshabiller
Je la dépiaute comme un lapin en faisant passer sa robe par sa tête. Il ne lui reste que le soutien gorge qui laisse deviner les seins. Je la débarrasse de ce dernier vêtement. J'ai ses seins juste à ma portée. Je m'empare de l'aréole que j'embrasse et je suce le tétons qui bande aussitôt.
- J'aime quand tu me suces les seins. J'adore
- Et moi j'aime te sucer.
- J'aime aussi ailleurs.
Je connais son ailleurs: je descend une main jusqu'à son sexe. Je cherche l'endroit que la fille aime pour leur plaisir avec un homme ou une femme quelque fois. Je pénètre juste quelques centimètres à l'intérieur de son vagin. La zone un peu plus grumeleuse est là où je la caresse. Elle frémit aussitôt. Elle se tend comme une corde quand la jouissance active
- Oui, Encore, ne t'en vas pas de là.
- D'accord, tu ne veux pas me branler en même temps ?
- Non ce n'est pas possible, tant que je jouis ainsi, je ne peux rien faire d'autre, attends un peu.
C'est la première fille qui prend autant de plaisir en se faisant caresser là par moi. Tant pis, je bande de plus en plus. Je jouirai mieux après.
Enfin elle prend ma bite dans sa main droite: elle ne me branle pas longtemps. Elle me fait asseoir sur un fauteuil, se penche sur moi, me branle encore un peu, baisse mon prélude avant de lécher mon gland:
- Ton goût me plaît. J'espère que ton sperme sera aussi bon.
Je la laisse faire, elle me prend totalement dans la bouche, me lèche totalement le gland qu'elle fait aller au fond de sa gorge. Mon plaisir monte de plus en plus. Je ne vais pas tarder à jouir. Je ne lui dit rien: je me tends et j'éjacule dans sa bouche une bonne quantité de sperme.
Elle m'emmène au lit. Nous nous couchons. Je reprends mes caresses sur ses seins. Je les embrasse en les tétant. Ses seins grossissent un peu sous l'excitation. Je lui mets la main entre les cuisses.
Je reprends ma caresse comme elle aime. Encore elle jouit par là je ne sais combien de fois.
Décidément emportée par le désir, elle me laisse faire et pose deux doigts sur le clitoris: elle se branle en même temps, pour jouir encore. A mon tour de lui demander de me faire jouir. Elle prend ma bite pas encore toute raide, après ce qu'elle m'a fait. Elle me caresse les couilles, passe un doigt juste en passant sur mon cul. Je bande complètement.
- Baises moi, maintenant.
- Et si j'ai envie d'aller ailleurs,
- Vas ailleurs si tu veux. J'aime tout.
Je choisis d'abord de la baiser. Je m'installe entre ses cuisses déjà ouvertes. Elle ne prend pas la peine de me guider alors que je ne la connais pas assez. Décidément j'ai affaire à une drôle de fille. Je trouve l'entrée sans son aide, donc. Quand je la branlais, il me semble que son vagin était plus large. J'ai affaire à un con serré. Tant mieux. Tant elle que moi allons prendre un orgasme des familles. Je vais et viens en elle: elle accompagne tous mes mouvements, ses jambes posés sur le lit, avec les genoux en l'air. Je l'entend soupirer à chaque fois que je rentre elle jouit aussi souvent: je la sens serrer et relâcher l'entrée de son sexe. J'ai trop jouis quand elle me suçait. Je suis long à venir:
- Mets moi là au cul s'il te plait.
- Tu aime avoie quelque chose dans le cul ?
- Oui j'aime de me faire sodomiser.
- Tournes toi sur le ventre ou met toi en levrette.
- Je préfère en levrette: je peux me branler en même temps.
- Comme tu veux.
Elle se tourne.
Je la lime un bon moment avant que je jouisse à mon tour. Elle ne veut pas que je sorte de son cul.
Je débande doucement: c'est-ce qu'elle voulait.
Nous retournons un instant dans le salon. Elle m'abandonne pour aller faire du café. Je la suis dans la cuisine. Je la vois nue, vaquer à ses occupations. Je vais la prendre dans mes bras pour l'embrasser encore. Elle ne refuse pas sa bouche. Au contraire elle voudrai continuer à passer du café avec sa bouche occupée. Bien sur elle n'y arrive pas. Je la laisse faire en lui mettant quand même ma main aux fesses pour retourner lui branler le cul. Elle agite son cul en cadence. Enfin nous retournons au salon. Elle sert le café qui le temps que nous baisons, encore a le temps de refroidir. Elle est assise sur le divan. Je me met à genoux devant elle, simplement pour la sucer, ce que je n'ai pas encore fait. Ma langue commence pas aller juste par politesse dans son cul. Je remonte dans son vagin pour la passer sur son point délicat et enfin j'aspire son clitoris. Elle aussi me tient la tête. Elle y appuie dessus quand elle veut que je reste là où j'ai la langue. Elle me fait relever pour me demander de la sodomiser encore.
Nous sommes ensemble depuis bientôt un an, attachés peut-être par de l'amour, mais surtout pas les sens: je trouve qu'elle baise bien et elle trouve que je la lui met bien également aux endroit où elle veut.
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