Du Sport À La Première - Confession 1

Quand je suis né, mon père avait déjà 56 ans. Ma mère n'en avait seulement que 29. Les circonstances de leur rencontre puis de leur union sont nébuleuses. Toujours est-il, que je suis le fruit d'une mère qui haïssait son mari, et d'un père malade.
La première conséquence tragique pour ma naissance fut la santé de mon père. Il avait passé toute sa vie maritale, dans les bras de ses innombrables maîtresses. Je suis né avec une malformation. Le sort, a voulu que je survive. Peut-être pour que je vous raconte cette histoire.
Quand je suis sorti de l'hôpital, j'ai été privé de l'amour d'une mère. Elle haïssait mon père, et quand elle m'a vu, je lui ressemblais tellement qu'elle m'a haï à son tour.
Le sexe, a été une composante majeure de mon existence. Quand j'ai grandi, ma mère m'a laissé entendre des ignominies dont je parlerai à ceux qui me contacteront.
Ce texte commencera donc le jour de mes 18 ans, soit le 1er Janvier 1972.
Cette année a commencé, par une visite à une assistante sociale, pour être séparé de ma famille. J'ai donc été envoyé dans une école dotée d'un internat.
Une première précision importante. A 18 ans, j'en paraissais 14. J'avais un look d'enfer. Petit, blond, une peau couleur miel, parsemée de tâches de rousseur, des proportions parfaites, et un cul tout mignon. J'attirais tous les garçons du voisinage. Si les bancs du CET pouvaient parler, ceux qui s'y asseyent maintenant rougiraient en écoutant les récits d'attouchements, de fellations, d'introductions manuelles et autres réjouissances dont j'ai été la victime, consentante.
Dès ma première nuit, j'ai reçu la visite d'un joueur de rugby de l'établissement. Quand il est arrivé au bord de mon lit, il tenait déjà sa bite à la main. Il rejeta le drap qui me recouvrait, et tendit son engin vers mes lèvres. Pas besoin de commentaire. J'ai ouvert la bouche, et il a glissé sa queue, sur ma langue. S'il n'avait pas entendu un bruit, il m'aurait sodomisé.

Pendant toute la semaine, chaque nuit, un autre étudiant est venu se faire offrir une petite gâterie. Pendant ce temps-là, mon premier agresseur préparait quelque chose de grandiose. Le lundi, ils sont venus me chercher et m'ont conduit à la salle d'eau. Ils m'ont fait mettre à poil. Ils m'ont fait mettre à genoux, à côté d'un chiotte. Devant moi, chaque étudiant vint se faire nettoyer son outil dans ma bouche, avant de faire le tour de moi-même, et de me l'enfoncer dans le cul.
L'année suivante, je changeai d'école, et me retrouvai dans un établissement mixte. Les bâtiments étaient construits comme les anciennes constructions militaires. Le bloc central contenait les services administratifs, dominés par des salles de cours. Les ailes se composaient, au rez de -chaussée, de salles de classes, les deux étages suivants, de dortoirs. A droite, pour les garçons, à gauche pour les filles. Les deux classes de filles, se sont révélées être des classes réservées aux filles faisant sport-études.
J'étais assis près d'une fenêtre, pas intéressé par le cours. Dans la cour, des filles jouaient au volley. Une petite blonde, 1m40 environ, sautait comme une gazelle, et frappait presque tous les smashs. J'étais fasciné par sa détente. Je savais qu'elle était majeure. Mais, nous avions un point commun. Nous ressemblions tous deux, à des s. A cette époque, je jouai, plutôt bien d'ailleurs, au ping pong. J'ai même été champion de France scolaire, avec ce lycée. je n'avais jamais vu ça. Elle bondissait, virevoltait dans tous les sens. Elle m'a mit une de ces raclées. Elle a vu que j'avais l'air triste. Elle s'est approchée de moi, et a déposé un bisou au coin de ma bouche. Surpris, j'ai relevé la tête. Quand j'ai vu son sourire, mon visage s'est éclairé.
Elle m'a dit :
- Ne sois pas triste. Quand tu seras plus grand, je te promet que je serai ton entraîneur.
Devant mon air dépité, elle me demanda :
- T'es en quelle classe ?
Ignorant la question, j'ai répondu :
- J'ai 19 ans !
Elle s'est rassise. Elle s'excusait, répétant qu'elle était désolée, qu'elle connaissait cette situation, qu'elle la vivait encore maintenant. Elle m'embrassa de nouveau sur la bouche, et glissa à mon oreille :
- A ce soir !
Sur le coup, je n'ai pas réalisé. Ce visage blond me hantait. J'ai passé le reste de l'après-midi à me repasser le film de la rencontre. Ce n'est que quand les cours furent finis, que j'ai réalisé que j'avais un rencart avec une fille. Et belle en plus. Je n'ai pas pu me coucher. J'avais peur que mes sodomites viennent me chercher. Je me suis caché dans le bâtiment des filles. Quand je l'ai vue se faufiler au dehors, je me suis mis en travers de son chemin. Elle m'a pris par la main et m'a entraîné dans sa chambre. Je lui chuchotai quelque chose et elle éclata de rire.
- J'ai dit quelque chose d'amusant ?
- Ce n'est ce que tu as dit qui est amusant, c'est la façon dont tu l'as dit ! Il n'y a pas de surveillant ici.
Elle se retourna vers moi et se rapprocha. Elle agrippa le bas de mon Tshirt et le fit passer par dessus ma tête. Elle fit la même chose avec le sien, sauf qu'elle, en vue de notre rendez-vous( vous imaginez, un RDV), ne portait pas de soutien-gorge. Elle dégrafa son jean et se retrouva en culotte. Je restai immobile.
- T'as l'intention de dormir debout ?
Je m'avançais en hésitant...
- Et en plus, tu dors tout habillé !
J'enlevai mon jean. Nous étions à égalité. J'allai me diriger vers le lit, quand, sur un ton de reproche, elle ajouta :
- Et ma culotte, tu me l'enlèves quand ? Je dois tout te dire ? Ca commence mal !
Cette fois, je me suis précipité. J'ai tiré sur le tissu.
- Mais enfin, on est pas des sauvages. T'as peur que je me sauve ? Doucement, on a toute la nuit. Fais- la glisser lentement sur mes cuisses. Regardes ma moule se dévoiler lentement. Mets-toi à genoux maintenant. Lèches-moi le minou. Fais rentrer ta langue, mords le bouton en haut.
Quand j'ai planté mes dents, elle a poussé un gros soupir d'aise. Elle a glissé une main entre mes jambes, et a saisi mon slip. Elle a tiré dessus, et mon sexe est sorti. Un vieux réflexe, j'ai voulu le cacher. Plus rapide que moi, elle avait déjà refermé ses lèvres, autour de mon gland. Sa langue passa sous mes couilles, faisant s'allonger et durcir ma bite.
- Lèves-toi, me dit-elle.
Elle me poussa vers le lit. Je tombai à la renverse. Je n'ai pas pu me redresser. Elle était déjà sur moi. Elle avit saisi ma bite, et s'apprêtait à s'empaler dessus. Ma bite enfoncée dans sa moule, elle posa ses mains sur mes épaules, et commença à faire glisser sa vulve, le long de mon engin.
La partie s'est finie par une formidable éjaculation entre les cuisses de ma petite sportive.
C'était la première fois, que je faisais l'amour avec une fille.