Vieille Baisée Dans Un Chantier (1)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après de longues années de bons et loyaux services au secrétariat et à la comptabilité de sa boîte, Melissa Dupin a récemment été promue « inspectrice de travaux ». C'est-à-dire qu’elle gère désormais des chantiers dans leur ensemble, faisant en sorte que les délais soient tenus, que le budget ne soit pas dépassé, etc…
Son travail, c’est toute sa vie. Elle n’a jamais eu d’s, et est divorcée depuis un moment maintenant. Son existence, c’est voiture boulot dodo, avec pour seul péché mignon les plaisirs de la table. Et c’est très bien ainsi.
Elle a 56 ans. C’est une femme de taille moyenne, plutôt bien en chairs, même si elle tâche de faire quand même un peu de sport pour garder un aspect convenable. Sa poitrine est massive, ses hanches sont bien girondes, et elle cache plus ou moins son petit bide à l’aide de culottes hautes et « affinantes ». Sa peau est naturellement hâlée, fruit de métissage, elle fait lisser ses cheveux noirs mi-courts, dont elle masque les mèches grises avec des teintures.

Aujourd’hui, Melissa vient visiter le chantier d’une résidence, qui n’en est qu’à ses fondations. C’est la fin de journée. Elle porte un tailleur strict et gris, sa petite mallette à la main, et peine un peu à marcher dans les gravats avec ses talons hauts… mais surtout, elle n’est pas contente !
Ce chantier n’avance pas ! A croire que les ouvriers ne fichent rien !
D’ailleurs il n’y a déjà plus personne !... ha non, tiens ! En voilà trois, là-bas… mais qui ne font rien, bien évidemment, à part fumer des cigarettes adossés à un bulldozer. Leurs vêtements sont maculés de terre sèche et d’autres tâches douteuses. Il y a un jeune noir aux larges épaules, casque orange sur la tête, un trentenaire barbu, aux poils fournis qui sortent de son marcel, et un moustachu plus âgé et bedonnant. Ils regardent Melissa avec des airs amusés.
Mais elle, elle n’est pas venue pour rigoler :
-Je suis Madame Dupin, la contrôleuse de travaux, leur assène t-elle froidement.

Ca n’avance pas ici ! vous ne travaillez jamais on dirait ! ça ne peut pas aller comme ça, il va y avoir des sanctions !
Le trentenaire l’interrompt, posant gentiment sa main sur l’épaule de Melissa :
-Hé, calmez vous M’dame, on fait rien de mal. C’est juste la pause.
-La pause ! s’écrie Melissa en reculant loin de cette main qui souille son tailleur. Mais vous passez votre vie en pause on dirait ! ça n’avance pas, ce chantier ! Et ne me touchez pas avec vos doigts dégueulasses !
Le trentenaire paraît un peu vexé, mais ne dit rien.
-Oh hé, tout doux, la rombière ! ricane le vieux gros moustachu, en s’approchant derrière Melissa. Elle sent son gros bide lui frôler le dos. Faut s’détendre, c’est pas bon de s’énerver comme ça.
-Non mais je ne vous permets pas de me parler comme ça ! Je suis votre cheffe ! s’insurge Melissa en s’écartant vivement… mais alors elle entre en contact avec le jeune noir. Ils sont tout autour d’elle !
-Faut qu’elle se détende, non les gars ? se marre le vieux d’un air salace. On va la relaxer, nous hein ?
-Ouais, on peut, sourit le jeune en fixant ses gros seins au travers du tissu. C’est une mal baisée, c’est tout.
Il se touche l’entrejambe, et Melissa est frappée de stupeur en devinant une énorme chose qui tend sa braguette. Elle commence à paniquer:
- Non mais… je… vous êtes fous ! Vous, dites leur d’arrêter ! fait-elle en se tournant vers le trentenaire barbu, quêtant son appui…
… Mais alors elle reste pétrifiée :
Le trentenaire a le pantalon déboutonné, exhibant son sexe en érection, qu’il masturbe lentement. Emergeant d’une épaisse touffe de poils châtains, sa verge est longue et noueuse, le gland violacé. Suffoquée, Melissa ne peut s’empêcher de fixer cette énorme bite turgescente.
- Oh non je leur dirais rien, t’es bonne toi ma salope. Et je suis sûr que t’es une cochonne refoulée.
-Mais on va te décoincer nous, rajoute le vieux gros, en appuyant sur les épaules de Melissa : Allez, mets toi à genou et suce le, ça va te plaire tu vas voir pétasse.

Melissa ne peut résister à cette pression, et pour ne pas tomber elle est bien obligée de s’agenouiller un peu comme elle peut. Elle finit à quatre pattes, déchirant ses bas aux genoux sur le béton brut.
-Non mais arrêtez, vous êtes fous ! Arrêtez, implore t-elle.
CLAC ! Elle se prend une belle claque sur ses fesses rebondies :
-Allez suce ! ordonne le vieux.
Melissa a peur. Ces ouvriers sont des malades… en même temps, face à cette bite dressée, qui sent fort, elle perçoit une humidité qui gagne son intimité. Mais elle en a très honte. Elle se déteste, pour ça.
-Vous… non… vous ne pouvez pas… c’est…
Elle en perd ses mots.
CLAC ! nouvelle claque sur ses fesses.
-Allez !
-Attends, j’ai un truc pour la faire bouger, dit le jeune. Et alors il se permet de relever carrément la jupe de Melissa jusqu’à ses hanches, dévoilant son gros derrière retenu par son ample culotte. Ouah ! La culotte de vieille ! se moque t-il.
-Ho, ha ! non ! non ! ha !
En poussant des cris affolés, Melissa avance à quatre pattes par réflexes, pour se mettre hors de portée du jeune noir. Elle achève de déchirer ses bas et perd une chaussure.
-Regardez la cavaler à quatre pattes comme une truie, ricane le vieux.
Mais Melissa ne l’entend pas. Car en avançant ainsi au sol, elle s’est retrouvé tout contre le trentenaire et sa grosse bite puante ! Quelle horreur !
Il lui att l’arrière de la tête et lui plaque de force le visage tout contre son gland odorant.
-Non ! arrêtez ! ha ! han ! non ! Son cœur battant fort, Melissa essaie de tourner la tête, mais elle n’y arrive pas, l’ouvrier la tient fermement.
-Vas y, gobe ça, cochonne.
Il appuie trop fort les lèvres de Melissa contre sa bite. Complètement affolée, Melissa est obligée d’ouvrir la bouche… et le membre bouillant y entre profondément. Ça lui remplit toute la bouche. Ça a un goût d’urine. Melissa ne peut plus rien dire, juste suffoquer, les larmes aux yeux, tandis que le trentenaire fait des vas et viens avec sa grosse bite dans sa bouche.

Elle, la cadre sérieuse et bien rangée, avec une bite dans la bouche ! C’est de la folie !
-Oh ouais, elle a une bonne bouche la salope !
Il y va sans pitié, se fait sucer à fond. Melissa sent sa salive se mêler au liquide pré-séminal, elle bave… Entre ses jambes elle sent avec horreur que ça devient mouillé. Elle a très chaud… Mais comment osent-ils ? Quelle honte !... Et elle le suce encore, bien obligée de gober cette grosse bite chaude.
e à cette fellation, elle voit avec horreur le jeune noir se déshabiller à son tour. Melissa voudrait crier, appeler à l’aide, mais elle ne peut pas, les joues pleines d’une bite gluante qui lui baise la bouche ! Le jeune enlève d’abord son t-shirt, dévoilant une athlétique musculature d’ébène... puis il sort de son pantalon une énooorme verge noire ! Elle doit bien mesurer trente centimètres ! Large et vigoureuse, incroyable ! Melissa sent son pouls s’accélérer encore, ainsi qu’un début de transpiration sur sa peau… elle en oublierait presque que l’autre fait toujours des allers retours dans sa bouche avec sa bite…
… mais le trentenaire lui libère finalement les lèvres. Mélissa, face à ces deux bites bandantes, est toujours à genoux, et se recroqueville sur elle-même. Sa voix devient plaintive, implorante :
-S’il vous plait… pitié, fait-elle en reprenant son souffle, un filet de bave au coin des lèvres et un goût de bite plein la bouche. Je ne dirais rien pour le chantier… et même pas pour ce que vous m’avez fait… je vous en prie, laissez moi.
Elle se sent faible, perdue…. Et elle a si chaud ! elle ne peut empêcher ses yeux de remonter timidement sur ces deux gros sexes d’ouvriers qui bandent devant elle.
-Laissez moi, gnagnagna, l’imite méchamment le vieux gros derrière elle. Tu dis ça mais t’as envie de leurs bites, ça se voit salope. Hein que j’ai raison ?
-Pas du tout ! s’insurge Mélissa, avant de s’inquiéter de ce que ce vieux gros fabrique derrière elle :
C’est qu’il s’est mis lui aussi à genoux, se pressant contre son dos pour lui palper les seins au travers de son chemisier !
-Non, arrêtez ! panique Mélissa.

Elle voit ses grosses mains calleuses et sales lui déchirer son chemisier, puis descendre brutalement son soutien gorge, exhibant sa grosse poitrine généreuse aux yeux de tous. Et il malaxe les gros seins de Mélissa à pleine poigne, jouant avec ses tétons durcis. Melissa sent son haleine d’alcool et de tabac alors qu’il souffle d’excitation par-dessus son épaule.
-Ha ouais, elle a de bons nibards ! commente le jeune en se branlant. Le trentenaire barbu s’est lui aussi mit torse nu. Il a un torse de culturiste, recouvert de poils châtains. Il est velu comme un singe !
-Ouais, j’aime bien les bonnes grosses vieilles comme elle. Y’a des bourrelets partout, c’est excitant !
Tous ces hommes nus ! Et cet autre qui lui palpe les seins ! Melissa a l’entrejambe qui lui chauffe et le cœur qui s’accélère :
-Arrêtez, non… ho… non…
Mais sa voix est devenue plus faible.
-Tu dis non mais t’en veux en vrai, dit le jeune en s’approchant d’elle. Tu fais que regarder ma bite. Tu veux la sucer c’est ça ?
-ho non, non non, supplie Melissa.
-Vas y, mets lui dans la bouche, fait le vieux moustachu, et pendant ce temps je vais la foutre à poil. Je suis sûr qu’elle mouille comme une chienne en vrai !
-ho non non, non non non, ne peut plus que dire Melissa, complètement chamboulée.
-Ta gueule !Allez vas-y, suce le ! Le trentenaire att Melissa par les cheveux et la traîne carrément vers l’énorme bite du jeune.
-Aïe ! non ! aïe ! pitié !... Melissa est bien obligée d’avancer à quatre pattes si elle ne veut pas se blesser sur le sol ux… et la voilà avec cette gigantesque verge noire contre sa joue ! C’est carrément un bras de bébé !
Pendant ce temps, le vieux achève de lui déchirer son soutien gorge. Melissa n’a plus que son tailleur ouvert, entre les pans duquel ses gros seins ballottent, plus pâles que le reste de son corps hâlé… Mais le vieux ne s’arrête pas là ! Quelle horreur ! Il remonte encore sa jupe sur ses hanches et entreprend de lui enlever sa culotte !
Melissa veut se débattre, mais la prise sur ses cheveux, doublé de la poigne du jeune, l’en empêchent. Elle veut hurler… mais soudain l’épaisse bite du jeune est dans sa bouche ! Elle est si grosse que Melissa en a la bouche grande ouverte. Ça lui fait presque mal à la mâchoire :
-mhmmmm mhmmmm mhmmm !
Il fait de petits mouvements dans la bouche de Melissa, qui, impuissante, la bouche toute entière remplie de cet énorme engin, ne peut plus que « meuheuner »…
-Ouais, t’en a jamais eu une aussi grosse dans la bouche, hein cochonne !?
Melissa n’a JAMAIS eu une bite dans la bouche, en vérité, elle s’y était toujours refusée… Et là, elle en a eu deux en l’espace de quelques instants, quelle folie ! Peinant à reprendre son souffle, presque étouffée par le gigantesque sexe du jeune, elle sent qu’elle bave. Tandis que le vieux s’escrime à lui enlever sa culotte, dévoilant ses grosses fesses girondes, elles aussi plus pâles que le reste de son corps.
CLAC ! Il les lui claque, faisant trembloter sa cellulite.
-Elle a un bon gros cul cette pute ! se marre le vieux. Voyons voir ça.
Melissa remue en tout sens, en panique totale, mais ne pouvant toujours s’exprimer :
-mhmmm mhmmmm mhmmmm !!!
CLAC ! Nouvelle claque sur ses fesses. Plus forte celle là :
-Arrête de bouger où je te mets la fessée !
Melissa, toujours suçant le jeune, s’immobilise, choquée… Et le vieux commence à enfoncer sa main ouverte profondément dans la raie de ses grosses fesses. Son pouce est posé sur son anus, et ses autres doigts visitent sa chatte poilue. Melissa sent qu’elle dégouline de mouille malgré elle. Elle en a honte.
-Sacrée jungle là-dessous, commente le vieux, enfonçant quelques doigts dans la chatte de Melissa, et jouant avec son clitoris qui durcit : hé ! Elle mouille bien, la chienne ! Quelle salope ! elle aime ça, se faire bousculer hein !?
-Mhmmmm ! mhmmmm ! mhmmm !
Melissa transpire, une bite dans la bouche, en train de se faire doigter sa chatte gluante par derrière. Elle essaye encore parfois de se débattre, mais plus faiblement, et CLAC ! Elle récolte une nouvelle claque sonore sur son gros derrière.
-Haaa haaaa ha ! oui, c’est bon !
En même temps que ces râles, et avec quelques coups de reins, le jeune remplit soudainement la bouche de Melissa de sperme chaud, ça déborde de sa bouche déjà bien remplie, et la pauvre Melissa est obligée d’en avaler une bonne quantité si elle ne veut pas s’. Ça a un goût amer, ça la dégoûte… mais en même temps sa chatte dégouline de plus belle sur les doigts du vieux qui la fouille.
-haaa ! pff ! raa ! ha ! pfff ! La bouche enfin libérée, Melissa crache ce qu’elle peut, tout en reprenant son souffle : arrêtez, haaa non haa hooo….
Elle a le corps tout électrifié par les doigts du vieux profondément dans son intimité, elle ahane.
-Ouaiiis, elle aime bien ça qu’on la touche… faut vite lui mettre une bite dans la chatte les gars ! dit le vieux gros.
-non haa non non, pas ça ! non, haa hooo, non, implore misérablement Mélissa, en plein orgasme.
-Je m’en charge, fait le trentenaire en relevant Mélissa par les cheveux et la forçant à le suivre :
-aïe ! non, aïe ! proteste faiblement Melissa… mais dans sa honte, et bien qu’elle ne veut pas se l’avouer, elle est presque frustrée que les doigts du vieux aient quittés sa fente trempée.
Le trentenaire plaque melissa seins contre le capot du bulldozer, une main ferme sur son dos, offrant la vue de ses grosses fesses à ses camarades ; Il lui écarte les jambes.
-Non non, pas ça, non, pleurniche Mélissa. Mais elle n’ose plus bouger, perdue. Elle a chaud, sa chatte la brûle, ça dégouline le long de ses cuisses.
-Ta gueule, tu vas aimer, cochonne. Le trentenaire la cambre bien, pour bien montrer sa chatte ouverte, entourée d’une toison noire mal entretenue : C’est vrai qu’il y a du poil. Tu t’épiles jamais là, vilaine ?
-Non, s’il vous plait, non, miaule Mélissa. Elle sent la bite dure du trentenaire qui se frotte contre son cul, qui se fraie un passage vers sa chatte. Oh non, non, hooo, non… elle sue, le cœur battant si fort, le souffle court.
- Oh si ! je vais te baiser moi !
-Haaaa ahha haaa, gémit Mélissa, alors qu’une grosse bite bien vigoureuse la pénètre jusqu’aux entrailles. Hooo Non.. ; vous ne pouvez pas… haaaa non… haa
L’homme la tient fermement par les bourrelets de ses hanches, son bassin frappe le cul de melissa à chaque coup de bite, faisant trembler sa graisse ; Melissa est secouée par ce va et vient sauvage, hoquetant à chacun des chocs, avec cette grosse bite qui s’enfonce et ressort à toute vitesse de sa chatte trempée :
-haa han han han non han non arrêt.. han ha han !
Elle s’en prend plein la chatte, elle se fait labourer comme la dernière des catins, et ne peut plus articuler un mot cohérent, tellement c’est intense.
-ho ouais, elle gémit, elle aime, commente le vieux gros tandis qu’il assiste au spectacle en se branlant. Hein tu aimes, salope ?
-ha han han.. non han non haa han je n’aime… han han pas…han
Melissa ne réfléchit même plus à ce qu’elle répond, trop occupée à ahaner sous les coups de bite du trentenaire qui ébranle ses grosses fesses à chaque assaut. Elle se fait défoncer comme une pute !
Du coin de l’œil, elle voit le jeune noir qui s’approche le long du capot du bulldozer. Il rebande déjà, se masturbant :
-Faut qu’elle me suce pendant que tu la baises, mec, dit-il. Et après je la prendrai moi aussi.
Hein ? quoi ? Ils vont tous la baiser ? Melissa est totalement chamboulée par cette phrase. Le jeune la déplace légèrement afin que, toujours debout et se faisant défoncer la chatte, elle puisse accéder à sa grosse bite… Grosse, oui, c’est peu dire ! Celui là est sacrément membré ! La verge sombre qu’il lui propose est large de plus de presque 10 centimètres, pour 30 de long ! C’est un monstre turgescent qui avait déjà obligée Melissa à ouvrir grand la bouche, plus tôt !
-haaa han han han, non, arrêtez han han!
Ces protestations sont faibles, en vérité, Melissa est proche de l’orgasme, cette bite en elle la transcende complètement. C’est bon, très bon !... Mais elle a honte de l’apprécier.
-Allez, lèche moi la bite, sur tout du long, sale pute, dit le jeune en collant le visage de Melissa contre son énorme sexe.
Baisée furieusement, Melissa ne sait plus où elle en est, et elle obéit, hoquetant entre deux coups de langues sous les assauts du trentenaire. Elle lape la verge gigantesque du jeune, bavant sur ses couilles
-Haa slrp haa slurp slrp haaa haaa slrp…
Elle lèche longuement les flancs gonflés de sa grosse bite dure, salivant sur celle-ci, ahanant sous les coups de bites.
-haaa haa slrp haaa haaa slrp haa
Elle ne sait plus du tout ce qu’elle fait, comme dans un état second. Elle a chaud partout, en nage. Elle lèche une bite tout en se faisant défoncer comme une grosse chienne. Le jeune la biffe avec sa bite, lui mettant des coups sur le visage. Le vieux ricane :
-Ben voilà, ça y est, elle est chaude là ! Il écarte ses grosses fesses sans pitié, tandis que le trentenaire la baise toujours : Hein que t’es chaude ? Que tu aimes comme il te baise, cochonne ? Melissa ne peut répondre, trop occupée à gémir et lécher.
CLAC ! Il lui a claqué fort les fesses, ce qui choque Melissa :
-Hein que t’aime te faire baiser ? Dis le.
-Haa slrp haaa non slrp haaa, ne peut que répondre Melissa, en transe, sa chatte défoncée par une belle bite, elle dégouline sur ses cuisses.
CLAC ! Nouvelle claque, plus forte encore :
-Aïe ! haaa han aïe, arrêtez, haaa
-Dis le que t’aime, que t’es une cochonne ! Le vieux lève haut sa main, comme pour une claque magistrale. Melissa prend peur et crie aussitôt :
- Oui han han oui j’aime han j’aime me faire baiser, je suis… han han haaa … je suis une cochonne ! ha han haaa haaaaaaaa haaaaaaaaaaa hoooooooo haaaaaaaaaaa !
Etrangement, dire ces choses outrageuses a alors amené un puissant orgasme à Melissa, qui hurle de plaisir, en même temps que le trentenaire lui remplit la chatte de grosses giclées de sperme dans de grands coups de bite.
-oui, t’aimes oui, dis le ! continue le vieux en profitant de cet état de jouissance incontrôlé de Melissa
-oui haaaa haaaa oui j’aiiime ! haaaaa je suis une salooope ! haaaa ! une pute ! haaaaaaaaa ! Vous me baisez comme une pute ! haaaaaaaa !! haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
Quel orgasme ! Melissa avait l’impression d’exploser, de chaud et de froid à la fois, c’était énorme ! Elle dut se retenir au bulldozer pour ne pas tomber, les jambes tremblantes, pendant que le trentenaire lui mettait de derniers coups de bite pour achever de se vider.
Puis il lui lâcha les hanches. Et le jeune ne la retint pas… Melissa tomba à genoux dans les gravats, sans forces, la chatte pleine de foutre et le cœur à toute allure :
-haaa hooo haaaa… salauds… haaaa… haaaa…
C’était terrible ce qui venait de lui arriver. Elle avait joui comme jamais, avec ces ouvriers violeurs… Les salauds oui, salauds, ils l’avaient baisée avec tant de forces !... Elle ne savait plus où se mettre maintenant, elle se recroquevilla au sol, les mains sur ses gros seins et sa chatte brûlante ; Elle voulait qu’ils s’en aillent, elle aurait voulu disparaître…
-Partez maintenant… pfff… partez, laissez moi… pff, gémit-elle faiblement, essoufflée
Partaient-ils ? elle n’osait pas relever ses yeux honteux sur eux…

Mais non, ils ne partirent pas. Le vieux attrapa les cheveux de Melissa pour lui relever le visage vers sa bite :
-Ho non on va pas te laisser, ma salope, ça fait que commencer…
Et il lui mit sa bite dans la bouche.
Pauvre Melissa, ce n’était pas fini ?

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