Je Deviens Sa Femme.
Dans mon entreprise je suis celle qui dirige un peu l'activité de la boite en l'absence de mon patron. Mon titre exact est secrétaire de direction. En réalité depuis un peu plus d'un an, je suis plus que ça.
D'abord je voudrai raconter un peu ma vie: j'ai 30 ans, je travaille depuis mes 18 ans dans la même boite. J'en connais parfaitement les rouages. Au début j'étais la proie de nombreux hommes. Il a fallu que j'y mette bon ordre en me faisant passer pour une lesbienne. Au début ça marchait bien, sauf qu'une véritable lesbienne travaillait à mes cotés Elle faisait des avances de plus en plus expliciter je ne sais pourquoi un jour j'ai cédé. Au début c'était directement au bureau: elle m'embrassait une première fois. Je trouvais ça agréable, sa langue dans ma bouche. Je rendais ce baiser. Elle passait une main sous ma jupe, caressait ma cuisses en montant jusqu'à arriver à mon minou. J'écartais les jambes, troublée par le précédent baiser. Elle passait toute sa main sur mon sexe. Elle me faisait mouiller. Elle en profitait pour rentrer un doigt dans mon puits. Elle gardait sa bouche sur la mienne, sa main elle, allait et venait en moi. J'étais totalement détendue. C'est ainsi que j'ai eu mon premier orgasme avec une autre fille. Dès le lendemain il a fallut que je me fasse encore masturber par elle. Plus exigeante que la veille, elle faisait descendre ma culotte, me l'enlevait, remontait ma jupe pour que mon sexe soit à l'air libre. Elle me faisait poser les fesses sur le bureau, écarter les jambes bien plus que la veille. En posant sa tête entre mes jambes elle arrivait à venir sur ma moule. Elle me faisait bien mouiller, la garce. Sa langue semblait avoir oublier ma bouche. Elle m'a carrément léchée partout. J'aimais bien la sentir sur mon bouton. Elle passait une main derrière moi, caressait les fesses avant de venir poser un doigt sur le petit trou.
Elle ne l'a rentré qu'après m'avoir faite jouir en léchant mon bouton.
Le lendemain, il m'a mise encore contre le bureau, m'a sucé longuement: je jouissait sans cesses.
Enfin elle me demandait de la sucer. J'avoue que j'était un peu réticente: lui passer la langue dans sa chatte, même si elle était agréable à branler ne m'attirait pas du tout. Elle m'a à mettre ma tête entre ses cuisses bien ouverte. J'étais obligée de la lécher. Au départ ma langue effleurait ses grandes lèvres sans la rentrer davantage. Elle poussait ma tête jusque qu'à ce que je lui passe la langue tout les long de son sexe. Je continuais. Je la lui mettais dans son antre. Elle frémissait en gémissant. J'arrivais-je ne sais comment à la faire jouir. Elle était satisfaite. Nous baisions tous les jours, heureusement sans non faire prendre, sinon
.
Un jour je rencontrais un garçon beau comme un dieu avons vite fait de nous trouver dans le même lit. La première fois n'était pas sensationnelle. Par contre les fois suivantes étaient merveilleuses. Il m'a baiser comme j'aimes Il aimait me sucer: il arrivait mieux que ma collègue à me faire jouir. Ses 69 étaient délicieusement agréable, avec son sperme dans ma bouche: c'était meilleur que la cyprine. Je me souviens de ma première sodomie avec lui: Nous venions de jouir ensemble/ je voulais qu'il recommence.
Je me mettais en levrette, me mouillais bien le petit trou. Il venait sur moi, posait sa bite sur ma rosette. Comme je n'avais pas trop l'habitude de me faire mettre par là, il allait très doucement.
J'étais totalement détendue. Je le sentais bien quand il me la mettait. Pourtant je n'avais pas mal.
Ses vas et viens que j'accompagnais un peu me faisaient jouir plusieurs fois. C'était notre première expérience d'enculage. Depuis beaucoup d'autres on suivies. C'est bien simple nous finissions nos baises de cette façon.
Au bureau je devais rompre avec ma collègue. Je ne savais pas trop quoi faire. Je lui avouais que j'avais une liaison avec un garçon. Elle était désespérée. Pour la consoler, je la branlais presque tous les jours, il lui arrivait souvent de me rendre la pareille que je ne refusais pas. Enfin elle trouvait un travail ailleurs. J'arrivais à monter en grade petit à petit.
Un jour le patron faisait plus attention à moi. Je ne peux expliquer comment nous nous sommes retrouvés amants. Un jour, il était derrière moi, pendant que je tapais le texte qu'il dictait. Je portais un corsage échancré, il pouvait voir pratiquement mes seins. Si au début il parlait normalement, au bout d'un moment sa voix est devenue plus rauque. Il s'était arrêté: la lettre était loin d'être terminée; Je me retournais pour savoir ce qu'il se passait.Je voyais son regard qui me déshabillait. Je commençais à mouiller. Attirée par la bosse de son pantalon je lui prenais la queue en serrant. Enhardi par mon geste, il passait deux mains sur ma poitrine en me caressant les aréoles et les mamelons. Je les sentais bander. Je fermais les yeux dans l'attente de la suite. Il me faisait lever, nous nous embrassions comme des amoureux de toujours.
passer rapidement la langue. Il l'a rentré dans le vagin. Là, il s'est attardé un moment: il ma faire jouir une première fois. Enfin il venait aspirer mon clitoris: je jouissais encore.
Il m'a mise nue. Je me sentais un peu gênée. Il se déshabillait lui-même. Là je pouvais vois qu'en effet sa bite était bien plus grosse que la moyenne. Je me demandais ce qu'elle allait me donner comme plaisir. Il m'embrassait encore une fois. Quand il me demandait de me coucher, je le faisais en regardant toujours sa bite. Il s'est misse coté, pour me faire écarter les jambes: il me suçait comme rarement. Sa langue devenait plus râpeuse donc plus efficace. Il me faisait jouir encore. Il ne demandait rien en échange. C'est toute seule que je prenais la décision de lui prendre la bite dans la bouche. Je lui léchait le gland que je trouvé bien parfumé à mon goût. J'arrivais quand même à prendre une bonne partie de sa bite. Je le léchais. Il m'arrêtait en me remerciant d'avoir réussit à prendre au moins en parti sa bite. Maintenant il me mettait sur le dos, les jambes ouvertes en venant sur moi. Je guidais ce monument vers ma chatte. Il était tout au bord. Je le sentais quand il entrait doucement. Tellement doucement que je jouissait en route. Quand il était à fond, je sentais mes tissus bien écartés: je sentais surtout le bien être qu'il me donnait.
Depuis, que nous sommes amants il m'a fait des promesses qu'il a toujours tenues: je devait arriver à le remplacer près des autres employés en son absence. Il l'a fait.
Dernièrement il m'a demandé de devenir sa femme: les bans sont publiés à la mairie. J'espère qu'il me baisera toujours comme il le fait si bien. J'oubliais: quand il m'a sodomisé la première fois, malgré que je sois bien détendu, il m'a fait mal.
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