Amour, Sans Raison Confession 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Fort de l'expérience que je venais de vivre avec ma sportive, je tentai d'en vivre une autre. Dans ma classe, il y avait une fille qui me faisait craquer. Elle avait deux particularités qui auront de l'importance dans le futur. Elle était rousse, et surtout asiatique. Je suis tombé amoureux. Jusqu'à l'importuner. Mes camarades de classe me poussaient à aller lui dire que je l'aimais.
- T'as vu ta gueule ! M'a-t-elle répondu.
J'ai été renvoyé de l'école. Je n'ai jamais su le motif officiel. En réalité, ce fut parce que je pleurais pendant les cours. C'était au cours de l'année 1974. J'avais 20 ans. J'ai quitté l'internat et me suis retrouvé dans un foyer de jeunes travailleurs. Je n'avais pas d'emploi. Habituellement, je prenais mes repas au self-service du foyer. Celui-ci était fermé le Dimanche. Mon camarade de chambre m'avait fait connaître une petite gargote dans une ruelle sordide de la ville.
L'établissement était tenu par une grosse femme truculente, qui parlait fort, aimait la plaisanterie, et avait un rire tonitruent. Dans un petit réduit servant de plonge, une petite tête ronde, aux cheveux noirs, apparaissait de temps en temps. Un jour, j'ai demandé à la tenancière qui était la brunette.
- C'est ma fille, me dit-elle. Tu veux faire sa connaissance ?
- J'ai souri, timidement.
Ce jour-là, je ne sais plus pourquoi, j'étais venu seul.
- Dominique, hurla-t-elle. Viens ici !
La jeune fille, toute menue, toute fluette, s'approcha.
- Assieds-toi, dit-elle...
Elle se tourne vers moi et dit :
- Comment tu t'appelles ?
- Yanic, répondis-je.
Elle revient vers sa fille et dit :
- Yanic voudrait manger avec toi.
La mère resta debout près de nous. Elle nous raconta un peu sa vie. Elle vivait seule avec Dominique, et avait donc un autre emploi, comme serveuse dans un bar, dont la patronne était la même que celle de la gargote.
- Tu n'as qu'à nous accompagner, me dit-elle, si veux rester avec elle.
Le service fini, j'ai suivi Dominique et sa mère. J'avais remarqué quelque chose de bizarre, chez Dominique, mais je ne savais pas quoi.
Au bout d'une heure, Dominique s'impatientait. Sa mère me demanda de la ramener à la maison, en attendant qu'elle rentre.
Dans son foyer, Dominique commença à tenir des propos bizarres, jusqu'à cette phrase :
- J'ai envie de faire une passe !
Je me suis demandé où j'avais mis les pieds. Cela faisait plus de trois heures qu'on attendait. Finalement, j'ai décidé de partir. Dominique a tenu à m'accompagner. Je l'ai amenée jusque dans ma chambre. Mon-colocataire n'était pas là. J'ai fait asseoir Dominique sur mon lit. Elle me regardait sans réagir. Soudain, je me suis levé et approché de Dominique. Je l'ai faite se lever. Elle portait une salopette rouge et un pull over bleu ciel qui tenait plus de la layette que du lainage. J'ai défait les bretelles qui retenaient le vêtement sur ses épaules. La salopette tomba à ses pieds. Elle n'a pas bougé. J'étais obnubilé par la vue de sa culotte. Je me suis décidé à la baisser, et Dominique attendait toujours. Je l'ai allongée sur le lit et j'ai sorti ma bite. Toujours aucune réaction. Alors, je me suis allongé sur elle, et l'ai baisée. Puis, je l'ai ramenée chez elle. Je ne sais pas comment je le savais, mais j'étais sûr que Dominique ne dirait rien à sa mère. Celle-ci m'invita à venir la chercher, le Dimanche d'après.
Au second rendez-vous, je la conduisis dans une boutique où je lui achetai un kilt, rouge et noir. Elle ne voulut pas l'essayer. Quand on est sorti du magasin, elle voulut qu'on aille chez elle pour se changer.
Le lendemain, après avoir réfléchi toute la nuit, je l'ai emmenée dans un lieu pas fréquenté, sous un pont de chemin de fer. J' ai essayé de l'embrasser, mais elle n'a pas voulu. Elle s'est assise sur une grosse pierre, et j'ai mis mon plan en application. J'ai tiré sur le kilt, découvrant une culotte bateau, blanche. J'ai retourné Dominique vers la pierre, et je l'ai enculée. Elle a hurlé de douleur et a sursauté, m'évacuant de son cul.
Le 5 Juillet de cette année-là, le président Giscard d'Estaing, réduit la majorité civile à 18 ans. Je venais juste de forcer une jeune fille. J'ai eu chaud. J'ai demandé à la mère de Dominique de l'épouser. Dominique était d'accord, mais pas sa mère. J'ai su plus tard, que Dominique bénéficiait d'une pension d'invalidité et que sa mère ne voulait pas la perdre.
Il semblait parfois que Dominique comprenne certaines choses. Je lui ai proposé de nous enfuir chez ma mère. Sa mère a prévenu les autorités. Dominique était majeure, mais sa mère avait porté plainte pour enlèvement d'handicapée. La gendarmerie nous a retrouvés chez ma mère, et m'a conseillé de la ramener.
- De toute façon, me dirent-ils, vous n'airiez pas pu la garder. Vous avez quand même réussi une chose. Quand sa mère a mis la loi au milieu, elle n'a pas calculé qu'on lui enlèverai sa fille, pour la placer dans un établissement spécialisé. En fin de compte, vous lui avez rendu service.
J'ai ramené Dominique au commissariat de son domicile, et ne l'ai jamais revue.
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