La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 716)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°702) - Perverses contraintes avant une délicieuse récompense -

Endymion MDE avait pu manger, très rapidement, car à peine venait-il de terminer sa gamelle que Monsieur Walter venait le chercher.

- Désolé Lucie, Votre père a besoin de ce chien…

Mademoiselle Lucie semblait navrée, elle avait prévu un beau programme à cet enculé d’Endymion MDE, un travail particulièrement vicieux, cette fois-ci plutôt centré sur ses pauvres burnes bien inutiles… Tant pis, elle le remettrait à plus tard. Elle savait que les décisions de Monsieur son Père ne se discutaient pas. Le Majordome attrapa donc l’esclave MDE par son collier et le conduisit jusqu’à l’immense dressing près de la chambre du Maître.

- Tu pus salope, tu sens le foutre et la pisse à plein nez ! Tiens rince toi au moins les mains ici.

Une fois l’ordre exécuté, Le Majordome désigna des vêtements rangés dans les penderies puis exigea qu’Endymion MDE installe costume, chemise, cravate, sous-vêtements et chaussures, choisis par Lui, sur cintres et portant, afin que Monsieur le Marquis ne perde pas de temps lorsque le moment venu, il déciderait de se vêtir.

- Tu attends là salope à quatre pattes. Ordonnait Walter.

L’esclave MDE resta là, immobile, un long moment, sans connaitre la suite des évènements. L’attente lui sembla interminable. Il était épuisé, éreinté, la nuit dernière avait été très longue et sans sommeil ou presque, il avait bien du mal à tenir les yeux ouverts. Peut-être même que par moment, il perdait l’esprit et s’endormait quelques secondes seulement, ici, comme ça à quatre pattes. Il sursauta lorsqu’il entendit parler et se campa dans une posture irréprochable lorsqu’il comprit qu’il s’agissait du Maître qui approchait. Monsieur le Marquis nu, tenait derrière lui, en laisse et à quatre pattes, une femelle, celle qu’Endymion MDE avait croisé peu avant son repas dans la salle de bain du Maître.

L’esclave MDE comprit qu’à sa façon de déambuler en quadrupédie cette chienne soumise ne semblait pas encore habituée à se déplacer ainsi. Certes, elle s’appliquait mais sa démarche féline ne paraissait pas encore tout à fait naturelle, sinon innée. Endymion MDE en déduisait que cette salope en herbe devait tout juste venir d’intégrer le cheptel de Monsieur le Marquis.

- Approche Endymion MDE, toi Mon servile et docile esclave mâle, vient ici près de cette petite chienne, vient découvrir celle qui sera désormais ta nouvelle sœur de soumission, comme le sont l’esclave Phryné MDE et soumise Laïs MDE. Celle-ci s’appelle soumise Cypris MDE. Elle vient d’intégrer le Chenil depuis peu. Elle a beaucoup à apprendre et je compte sur toi mais aussi sur tes deux autres sœurs MDE pour l’accompagner, la soutenir, l’encourager et lui montrer comme il est bon d’appartenir afin de Me satisfaire pleinement.

Parmi la cinquantaine de soumis et esclaves du Château, le cercle très fermé des esclaves ayant le label MDE, s’agrandissait, maintenant quatre membres privilégiés composaient cet aréopage où l’exigence et la parfaite obéissance était de mise. Ceux ici, tous affublés de ces Nobles initiales le savaient. Ce privilège était un honneur suprême mais exigeait en contrepartie une dévotion et soumission parfaite et sans limite près de Monsieur le Marquis… La meilleure façon pour faire connaissance avec soumise Cypris MDE était bien évidemment que celle-ci se dévoile et s’affiche sans pudeur... Sur ordre du Maître, soumise Cypris MDE chevauchait, tête bêche, l’esclave Endymion MDE et lui offrait sa chatte humide alors qu’elle, s’emparait de sa nouille excitée. Puis les postures varièrent, les pénétrations reprirent. Le Maître, sans doute excité par la vision de ces deux soumis s’affichant sans pudeur devant Lui, les encula chacun leur tour et exigea que celui ou celle pris par le cul se fasse lécher ou sucer par celui ou celle disponible. Des saillies généreuses et bien crémeuses, où à chaque fois le Maître dosait équitablement ses deux culs possédés.


Puis vient ensuite le temps de la douche, dans cette salle de bain réservée à celui et celles enfermées dans le chenil et les cachots du Maître. Endymion MDE et Cypris MDE retrouvèrent leurs deux sœurs de soumission, Laïs MDE et Phryné MDE. Tous quatre, bénéficièrent d’un temps non négligeable pour se laver soigneusement mais aussi dialoguer librement…. L’esclave Phryné MDE montra à soumise Cypris MDE comment il fallait ici se nettoyer intimement et répondait à ses amusants questionnements. Evidemment, elle et Laïs MDE avait été prise par tous les trous, au même moment, par trois queues différentes, quoi de plus normal ici. Endymion MDE ne put s’empêcher de plaisanter :

- Quel dommage, moi je n’en ai que deux… trous !
- Oui mais ton trou du cul peut contenir plusieurs bites à la fois, donc c’est comme s’il valait pour deux trous ! taquina Laïs MDE en guise de réponse, sur le ton de la blague !

Toutes s’esclaffèrent puis reprirent leur toilette, puis lorsque celle-ci fut finie, deux par deux, les soumises et esclaves rapidement s’examinèrent pour vérifier une dernière fois, si l’état de propreté de leur corps était conforme aux strictes directives imposées, ici, au Château… Un moment après, Monsieur le Majordome arrivait…

- Toi le mâle, tu attends là sagement, vous les femelles vous me suivez ! ordonnait Walter.

Endymion MDE n’attendit pas très longtemps, bien vite, il vit arriver la belle mais néanmoins vicieuse Mademoiselle Lucie. Elle le toisait d’un regard sévère et hautain et après avoir fait trois fois le tour de celui à quatre pattes parfaitement immobile, elle lui ordonnait de se relever et de mettre les mains derrière la nuque.

- Regarde-moi, espèce de bonobo, qui ne pense qu’à baiser, et écarte un peu plus les cuisses…

Endymion MDE relevait le visage, son regard ne parvenait pas à soutenir celui de Mademoiselle Lucie, tant il était prégnant, le même regard que celui de son père, un regard Dominant qui vous pénètre, un regard inquisiteur qui oblige à baisser le sien tant il est puissant, profond comme s’il vous sondait l’âme…

- Que dis-je ? Tu ne penses pas à baiser, mais seulement à te faire baiser ! Reprenait-elle en haussant la voix à la fin de sa phrase.


L’esclave MDE honteux rebaissait un peu la tête, immédiatement, il reçut une claque.

- Tu as honte grosse chienne, regarde-moi t’ai-je ordonné !

Il relevait les yeux et cette fois-ci tenait son regard droit dans celui de Lucie. Elle l’attrapa par ses couilles bien pendantes entre ses jambes. Il eut un réflexe idiot, il recula un tant soit peu, une seconde claque tomba dans l’instant.

- Allons le mâle, un peu de tenue, ces couilles ne t’appartiennent plus, tu le sais, et elles sont à la disposition de tous Ceux ici Dominants. (Lucie se tut en tripotant et triturant le paquet d’Endymion MDE, puis elle reprit)… Il parait que ton cul a pris des bites toute la nuit et qu’au petit matin, tu réclamais encore ! Réponds salope !
- C’est exact Mademoiselle. Lui répondit l’esclave MDE honteusement.
- C’est bien ce que je disais, tu ne penses qu’à te faire baiser et enculer… Quoi de plus normal me diras-tu, tu es là pour ça, non ?
- Oui Mademoiselle. Répondit-il encore sobrement mais respectueusement.
- Et dire que ton sac à burnes ne te sert à rien…

La pression sur les couilles du chien soumis MDE, lui fit ouvrir grand la bouche, comme s’il cherchait à happer un peu d’air, mais il sut retenir gémissements et plaintes.

- A rien… ou presque ! Reprit Mademoiselle Lucie, sans en dire plus.

Elle maintenait Endymion MDE par son sac et l’entrainait ainsi tenu, à l’extérieur du Château. Ils regagnèrent la grange et une fois arrivés, elle accrocha aux couilles d’Endymion un parachute les serrant et les enfermant. Sous ce parachute, elle accrocha aux deux anneaux métalliques rivés à cet objet, une lourde et longue chaine dont le poids surpris Endymion MDE. Il plia un peu les genoux pour amortir la lourdeur de ce lest passant entre ses jambes. A l’extrémité de celle-ci Mademoiselle Lucie attachait un morceau de bois, un bout de poutre découpée d’un mètre de long, de dix centimètres de côté, posé sur le sol.
Puis Elle lui attacha les mains dans le dos. Elle se dirigea ensuite dans un placard tout près, sortit une longue cravache puis un flacon de désinfectant et un autre petit objet en métal. Endymion MDE ne savait pas ce dont il s’agissait.

- Avance, chien, viens vers moi ! Exigeait-elle

Avec grande difficulté, l’esclave MDE parvenait à déplacer cette poutre et chaine, seulement en les tirants avec ses couilles. La douleur et l’humiliation vécues, l’excitait mentalement… Certes sa nouille demeurait flasque, mais un filet de mouille perlait, sortait de son méat et pendait d’entre ses jambes. Mademoiselle Lucie se désinfectait soigneusement les mains tout en regardant Endymion MDE se mouvoir dans l’effort.

- Approche encore le chien, si tu ne veux pas recevoir la cravache sur ton cul et viens me présenter ta bite.

Sauf qu’il était bien difficile pour l’esclave MDE d’avancer plus encore, la poutre venait de se coincer entre deux tiges de fer placées à la verticale. Mademoiselle Lucie attrapa la cravache et asséna deux ou trois coups, placés au hasard sur le corps du chien soumis MDE.

- Espèce de décérébré, ne vois-tu pas que tu es coincé et que tu ne parviendras plus à bouger… A moins que tu veuilles t’arracher les couilles… remarque pour ce qu’elles te servent ! Recule chien idiot et donne un coup de pied dans la poutrelle pour lui faire prendre un autre axe !

L’esclave MDE s’appliqua à suivre les consignes puis se présenta devant celle qui l’humiliait et le torturait. Sa nouille avait légèrement pris du volume et timidement se redressait, tant ces contraintes et humiliations l’excitaient. Lucie attrapa ce sexe, mi- flasque, le retroussa avec deux doigts en tirant sur le prépuce pour dégager le gland et posa quelques gouttes de désinfectant sur celui-ci, qu’elle répandit en massant ce bout maintenant violacé…. Elle pressa le gland faisant en sorte de tenir ouvert le méat de cette verge soumise, puis attrapa le petit objet inconnu. Il s’agissait en fait d’un plug urétral creux sur toute la longueur, de trois centimètres environ de longueur, afin que les esclaves munis de cet objet puissent pisser sans même devoir retirer l’objet. Endymion MDE eut encore un geste de recul, il se raidit et ferma les yeux lorsque l’objet placé sur son méat le pénétra doucement, méticuleusement et très délicatement. Mais cette pénétration urétrale lui fut d’une sensation indescriptiblement géniale, jamais il n’avait connu pareille impression et excitation. L’objet, de sept millimètres de diamètre était installé en lui, un petit anneau d’acier à son extrémité permettait d’éviter une pénétration trop profonde. De forme bien pensée et sa longueur optimale assuraient la fixation de ce plug, sans risque qu’il ne s’échappe…

- Tu vois la salope, tu fais moins le malin maintenant et tu ne pourras plus dire à ces femelles MDE devenues tes sœurs de soumission que tu n’as été pris que par le cul et la bouche, maintenant ton bout de chair pendant entre tes jambes est lui-même plugué… Et cela même si ton cul peut recevoir plusieurs bites à la fois, espèce de putain en chaleur…

Endymion MDE restait estomaqué, tant par la sensation nouvelle et incroyablement jouissive que par les dires de Mademoiselle Lucie. La conversation qu’il avait eue quelques minutes auparavant avec Phryné, Laïs et Cypris MDE, dans la salle de bain avait été entendue et écoutée. Alors il se rappela qu’on lui avait dit qu’il y avait micros et caméras dans toutes les nombreuses pièces du Château …

- Allez maintenant travaille tes couilles le chien, suis moi en trainant cette poutrelle.

Et pendant plus d’une heure l’esclave MDE fut contraint à cette épreuve, parfois même, un vrai parcours du combattant, devant avancer, reculer, éviter les obstacles barrant le passage…. Un vrai challenge sinon une compétition, surtout lorsque la cravache s’abattait sur son fessier pour qu’il avance plus vite encore. Et toujours cette sensation extraordinaire au bout de sa queue… Lorsque Mademoiselle décidait qu’il était temps de revenir au Château, elle libéra les burnes du chien mais lui laissa encore le plug enfoui dans sa verge. Il dut même pisser à quatre pattes, sur le chemin du retour avec cette contrainte !

Ce fut Monsieur le Marquis lui-même qui lui libéra sa nouille puis l’entraina dans son bureau. Endymion MDE éreinté, épuisé par ces dernières vingt heures harassantes craignait que le Maitre ordonne et exige encore. Ses craintes étaient fondées. Installé en levrette devant les pieds du Noble, il écoutait servilement.

- Je sais mon chien que tu dois être épuisé par la vie que j’ai voulu te faire vivre depuis hier au soir… Mais cette vie-là est désormais la tienne et tu dois l’accepter. (long silence, puis…) Ce soir, je vais avoir encore besoin de toi. J’organise une petite fête à l’occasion de l’arrivée ici, dans cette Auguste Demeure, de celle que tu m’as vu enculer tout à l’heure, alors que tu lui léchais gaillardement la vulve. Je veux parler de soumise Cypris MDE bien entendu. Une fête extraordinaire afin qu’elle ressente l’accueil que je réserve à celles et ceux qui volontairement s’abandonnent entre Mes mains pour vivre pleinement leur soumission. J’ai invité une vingtaine d’amis, uniquement des hommes… Je suis sûr qu’ils sauront honorés les trous de cette petite chienne affamée… Il y aura aussi, tes deux autres sœurs de soumission qui seront présentes et qui assisteront de près ou de loin à ces saillies et puis peut-être aussi, un chien mâle, un certain franckdocile que tu as du déjà croisé ici. S’il est suffisamment motivé il nous devrait nous rejoindre après avoir exécuté une petite virée dans notre charmant vignoble qu’est le Beaujolais..

L’esclave MDE écoutait religieusement, le Maître ne lui avait point encore fait part de Ses exigences. Quelle contrainte allait-il devoir encore subir ?

- Ce soir Mon chien, j’ai envie de te récompenser, car je te vois de plus en plus impliqué à Mon service, je vois et sens que tu cherches constamment à te soumettre à Mes moindres désirs. Et tu le sais, j’aime être juste avec ceux impliqués et résolument dévoués. Alors, au cours de cette fête, je vais t’autoriser à jouir… à jouir autant de fois que tu le voudras… le plus souvent possible… mais toujours dans un cul et jamais dans une chatte, ni dans une bouche…. Tant le cul de celui de Cypris MDE que dans celui de franckdocile, si celui-ci revient au Château ! Mais attention Mon chien, jamais ni Cypris MDE, ni franckdocile devront savoir que tu les as pris, autant de fois que tu le voudras… Ils auront tous les deux les yeux bandés, et toi tu les enculeras et jouiras toujours sans bruit, sans le moindre gémissement. As-tu bien compris ce que j’exige de toi ?
- Oui Vénéré Maître.
- Es-tu content à Me satisfaire ?
- Oh oui Maître ! Merci Vénéré Maître.

(A suivre…)

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