La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°715)
Vanessa au Château (suite de l'épisode précédent N°714) -
La journée se passe au fil des interventions pour Vanessa, et de la gestion administrative pour Laurent. Ils ne se croisent pas de la journée, et le soir venu, à lheure de quitter son bureau, Laurent appuie sur linterphone et appelle Carole. Mais elle ne répond pas. Après quelques tentatives sans réponse, il se lève de son bureau afin de savoir pourquoi la secrétaire ne donne aucun signe de vie. Quand le Commandant ouvre la porte, il aperçoit Carole et comprend tout de suite la raison de son silence. En effet, la secrétaire a sa jupe relevée mais rien en dessous est positionnée la tête plaquée sur le bureau à quelques centimètres de son interphone. Elle se tient penchée en avant, la poitrine sur le bureau et faisant ainsi saillir sa large et belle croupe arrondie. Un homme équipé dune règle plate en métal lui assène de violents coups sur les fesses. Les coups sont forts, secs, réguliers. Ils tombent un à un, implacablement, le son de chaque coup résonne clairement aux oreilles du commandant et des traces commencent à marquer les fesses offertes, recouvrant peu à peu les traces dune ancienne flagellation... Elle subit l'épreuve en silence, demeurant immobile et sans laisser échapper le moindre gémissement. Pourtant les coups tombent durement et son cul rougit et se marque de façon impressionnante. Tout en frappant, lhomme regarde Laurent en souriant avec perversité sans sarrêter ... Les coups tombent encore avec une froide régularité et la croupe de la secrétaire se met à bleuir implacablement. Elle doit souffrir, pourtant, elle reste immobile et ne laissant toujours pas échapper aucun gémissement. Seule une contraction des muscles du dos et des cuisses laisse deviner la tension qui la gagne peu à peu... Soudain lhomme met fin à la punition :
- Ah, Laurent, jai monopolisé quelques instants ta chienne de secrétaire, quand je suis arrivé dans le bureau à limproviste, cette pute qui était au téléphone a omis de baisser la tête, et de sagenouiller afin de me saluer, préférant finir sa conversation téléphonique au lieu de raccrocher dans la seconde ayant suivie mon entrée
Une rapide punition simposait donc
Cest Monsieur le Marquis dEvans qui parle.
- Je passais devant la caserne et je me suis arrêté juste le temps, mon cher ami, de te rendre ce merveilleux livre que tu mas prêté
excellent soit dit en passant ! Merci encore !
- Edouard ! Quelle bonne surprise ! Entre dans mon bureau, boire un verre
- Non merci, je suis pressé, jai encore fort à faire, je passais vraiment à la va-vite ! Je me sauve ... (puis à la secrétaire) Tu peux te relever et ten aller, chienne
- Carole, rajouta le Commandant, en partant, va quérir Vanessa et lui faire savoir que je lattends dans mon bureau.
- Bien Monsieur
(puis sadressant au Marquis) Monsieur le Marquis, je vous présente toutes mes excuses pour ma faute alors que jétais au téléphone et je vous remercie de mavoir corrigée afin de me permettre de maméliorer dans mon comportement de soumise
(elle se relève et rabaisse sa jupe)
- Ah, et laisse les clés sur la serrure des bureaux, lui dit Laurent.
- Entendu, bonne soirée Messieurs.
Carole sincline respectueusement et prend ses affaires, sans montrer sa vive douleur à ses fesses, avant de rejoindre Vanessa dans la salle de sport, où elle est en train de courir sur un tapis de course.
- Bonjour Vanessa, le Commandant tattend.
- Ah bonjour Carole, merci beaucoup, jy vais immédiatement, dit-elle en stoppant le tapis.
- Bonne soirée.
- Oui, à demain.
La secrétaire quitte la caserne. On nose pas imaginer le calvaire qu'elle allait endurer à rester assise les heures qui allaient suivre avec les coups que son cul avait subis
Quant à Vanessa, elle rejoint son amant dans son bureau, elle voit les clés sur la porte et comprend quelle doit fermer les bureaux pour leur permettre dêtre tranquille, puis elle frappe à la porte de son amant. Elle entre sur ordre et se tient debout face à lui, ne sachant pas si elle doit se comporter en pompier, en soumise ou en femme.
- Hum, continue
Sais-tu qui sort de là à linstant ? Ton Maître ! Il était pressé et tu las manqué de peu ! Mais ne tinquiète pas, sa visite navait rien à voir avec toi !... Hummm, cest pas mal, tout du moins, moins pire quavant, dit-il, pour piquer son orgueil. Bien mais ne vas pas si vite, vas plus profond, serre plus tes lèvres
voilà
cest mieux ainsi,
alterne le rythme
noublie pas de saliver.
La jeune femme suit chacun de ses conseils jusquà ce quelle sente des spasmes semparer du sexe de son amant, et un liquide se déverser dans sa bouche. Vanessa le recueille dans son ensemble, puis ouvre la bouche pour le lui présenter, attendant lordre davaler. Il sourit de la voir aussi bien dressée.
- Cest bien, tu peux avaler, mais dorénavant lors de ce genre dentraînement, nattend pas mon ordre, nous ne sommes pas en situation D/s, ce nest quun simple entraînement, dit-il le sourire aux lèvres, tout en retirant son collier.
- Bien, cest noté.
- Eh bien, tu progresses, cest mieux.
- Cest vrai ? Jai combien ? sempresse-t-elle de demander.
- Combien ?
- Eh bien la note, sur 10 ?
Le Commandant sourit, décidemment, elle ne rate pas une occasion dévaluer ce quelle vaut.
- Hum, disons
6,5 !
- Ce nest pas mieux alors, tu mas mis 6 la dernière fois que tu mas notée, dit-elle déçue.
- Donc 6,5 cest mieux, annonce-t-il souriant.
Vanessa ne répond pas mais semble vexée de ne pas progresser davantage. Il sen rend compte, la relève, la prend sur ses genoux pour la consoler lorsque son bip sonne. Sans dire un mot, elle se lève, lembrasse et part au rez-de-chaussée prendre connaissance de son intervention. Alors quelle monte dans le VSAV, elle reçoit un SMS :
« Ne tinquiètes pas, tu progresses, tu vas y arriver, on reprend lentraînement demain soir, prends soin de toi, je taime. ».
Elle lit ces quelques lignes puis glisse son téléphone dans la poche de son uniforme de pompier, sourit un instant, heureuse davoir la chance de vivre aux côtés dun grand éducateur du milieu D/s auquel elle appartient dorénavant et se rappelle, aussi et avant tout, limmense privilège, le bonheur incroyable davoir comme Maître, Monsieur le Marquis dEvans, lun des plus grands Maîtres faisant Référence en la matière
(A suivre
)
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