Les Désirs D'Amory

Mon histoire commence comme bien des autres par une amitié.

Je m’appelle Maxence, j’ai 19 ans, j’habite une banlieue plutôt chique avec mes parents, mon père ingénieur, et ma mère architecte et mon petit frère de 10 ans, Matthéo. Je suis un peu ce que l’on appelle un modèle. Bien que je déteste ce qualificatif, je dois avouer que j’ai toujours eu de très bonnes notes sans avoir à étudier, surtout en mathématique.

J’ai beaucoup de faciliter d’apprentissage dans tous les domaines que j’explore, j’ai commencé la musique à 7 ans et je maîtrise la guitare, la basse, la batterie ainsi que le piano. Mon côté artistique s’étend aussi au dessin, j’adore ça, toutes les techniques, fusain, crayon, encre, aquarelle. J’adore l’aspect d’un dessin tacheté et abstrait, l’un de mes artistes préféré est d’ailleurs Russ Mills.
Je lis beaucoup, surtout des thrillers, j’adore la trilogie de Thomas Harris du docteur Hannibal Lecter, l’oeuvre Edgar Alan Poe, ou encore l’univers de Tim burton.
C’est tout naturellement que mes études s’orientaient pour le graphisme.

Je suis aussi sportif, j’ai commencé le judo à 4 ans et obtenu ma ceinture noir à 16 ans.
Et le running 3 fois semaines et natation chaque samedi matin.
Ces sports, je les pratiques avec Amory.

Amory c’est mon meilleur ami. Voisin depuis toujours, on a grandi ensemble, même classe de la maternelle à la primaire, même collège, même lycée. C’est d’ailleurs parce qu’il allait au judo que j’ai voulu commencé. Nous étions très complice.

Son truc à lui, c’est la photographie. Il avait un talent fou pour prendre le cliché parfait de la moindre chose qui tombait sous son objectif. Ce qui ne fit que se confirmer avec les études des photographies qu’il avait commencé.

Nous n’étions plus dans la même école, mais nous restions inséparable et échangions des dizaines de sms dès que possible, et continuions de partager nos week end.



Il venait toujours dormir chez moi. Mes parents ayant aménager le grenier en chambre pour mes 15 ans, je disposais de toute la surface de la maison pour m’adonner à tous mes loisirs, près de 150 mètres carré avec ma propre salle de bain. J’avais donc pas mal d’espace personnel, et surtout d’une intimité complète.
J’avais donc un coin musique avec mes instruments, un coin « atelier » art avec tout mon matériel de dessin et une table, un coin bureau pour les cours, et 2 télés, une dans un espace avec un canapé 3 places et 2 une place, et l’autre devant mon lit.

On était vendredi 10h, et je reçu un sms d’Amory qui disait « j’ai un nouveau jeu course pour ce soir, tu vas encore faire semblant de me laisser gagner :-) ? »
Classiquement, le vendredi c’était soirée détente, jeux vidéos et films.
Le samedi, c’est sport, 20 km de running en matinée, et entrainement judo de 18 à 20h. Et dimanche grâce mat’ et études en l’aprèm.

Après avoir essayer son jeu jusque 3h du matin vendredi, ou j’avais encore perdu, nous entamions notre running du samedi à 9h. De retour, on monta dans ma chambre, et prenions une douche chacun son tour tandis que l’autre jouait à la console jusqu’à l’heure de l’entraiment.
De retour de celui-ci, j’allais directement sous la douche, et sorti, juste vêtu d’une serviette autour de la taille et je profitais qu’il ne regardais pas pour enfiler un boxer. Et ce fut à son tour d’aller se doucher, pour sortir vêtu également d’un simple boxer.

Bien que n’ayant jamais eu d’attirance pour les garçons, il m’arrivait souvent de regarder son corps, non par pulsion ou désir, mais plutôt par jalousie. Il était un peu plus petit que moi, mais plus fin, des muscles secs que le sport s’était chargés de tracés les contours au fil des années.
Je le trouvais plus beau que moi, surtout avec ses piercing, il en avait 2, un au labret, juste sous la lèvre qu’il s’était fait à 17 ans, et l’autre sur le bout de la langue qui datait de cet été.


Il s’approcha du lit pour venir s’allonger. Notre longue amitié et notre complicité nous permettait de dormir ensemble sans aucune gêne depuis longtemps.

Epuisé après cette journée, nous allions directement nous coucher et je lui dit de choisir un film.

Pendant qu’il alluma la télé et choisis un film, je m’allongeais, à demi assis appuyer sur les oreillers.

Son choix s’était porter sur « 22 jump street ». Il ne fallu pas plus de 10 minutes pour que le sommeil me pèse, et je me tournais donc sur le ventre, les mains sous les oreillers, la tête tourner à mon ami qui ne semblait pas fatigué malgré notre journée, le poids de la fatigue limitant de plus en plus mes réponses à de simples « hein hein » et « ouai ». Je bougea une dernière fois pour placer mon bras gauche le long de mon corps.

Amory compris que je m’endormais et ne me parlais plus. Quelques minutes plus tard, je l’entendais me demander dans un murmure si je dormais, je n’eu le courage de répondre et continua à m’endormir.

Tout à coup, une sensation me tira de ma somnolence, une sensation délicate qui me plaisait et me détendait à la fois. C’était Amory qui me caressait l’arrière du bras du bout des doigts.

Je ressenti l’étrange envie de profiter de la situation et de ne pas réagir afin de le laisser poursuivre.
Le passage de ses doigts le long de mon bras me donnait des frissons d’excitation, qui provoqua une inspiration plus longue.
Mon ami compris que je ne dormais pas, et me posa tout de même la question en murmurant.
Gêner d’apprécier ce qu’il me faisait, je ne pu que murmurer un « non » à peine audible.

Je sentis qu’il se tournai sur le côté, et il commença à déplacer ses caresses de mon bras à mon dos, tout le long de ma colonne vertébrale, ce qui me lança une décharge dans tout le corps, me provoquant un frisson qui me fit, à ma propre stupéfaction, soupir d’un plaisir jamais exploré jusque là.
J’étais alors complètement détendu;

Les doigts de mon ami se mirent à explorer le bas de mon dos pour faire le tour de mes reins. Sans m’en rendre compte, je me commençais à me cambrer légèrement, relevant mon bassin tout en prenant une inspiration plus longue, je commençais à me mordre la lèvre inférieur afin d’ un gémissement.
Je tentais tant bien que mal de maîtriser le plaisir qui montait en évitant de bouger, mais je sentais mon sexe durcir à chacune de ses caresses.

Il repassa au creux de mes reins, je me redressais, appuyé sur mes coudes et tournais mon regard vers lui. Tout en reposant la tête sur les oreillers, on se fixait mutuellement, tout deux avec un léger sourire satisfait, lui de voir que j’appréciais son petit jeu, moi du plaisir qu’il me procurait.
Je le laissais continuer, fermant les yeux, sans dire un mot, profitant du silence.

Ses doigts se mirent à parcourir ma nuque, pour redescendre sur ma colonne. Il ne fallu pas plus de 2 aller-retour pour que je me redresse et le regarde droit dans les yeux.
Je passa mon bras droit sous sa tête, pris son bras gauche pour le placer sous le mien, et nous nous allongions, face à face, et je me suis mis à parcourir son bras droit, puis ses côtes de la même façon qu’il me le faisait.

Je parcourus son corps des yeux, en m’arrêtant sur son boxer, et je constatât que pour lui aussi le plaisir était présent. A ce moment, l’envie de l’embrasser me pris, mais toujours un peu gêné, hésitant, je décidais d’y aller doucement.

Mon regard suivais le chemin de ma main qui quittait lentement ses côtes pour se diriger sur ses abdos, remonter sur son torse, et finir sur sa nuque.
Tout en caressant du pouce ja joue, nos regards finirent pas se croiser, et je vis ses yeux, brillant, souriant, désireux.

Je ressentis alors l’envie de l’embrasser. Je m’approchais doucement de son visage. Fermant les yeux, je sentis la douceur de ses lèvres sur les miennes.
Lentement, doucement, son baiser me soulagère et me donna envie de plus. La sensation de son piercing au labret commençait à m’exciter, et je ressentis une vague de désir, et nous continuons à nous embrasser.
L’envie de lui me submergea, nos lèvres commencèrent à s’écarter, pour laisser se rencontrer nos langues, et ce fût le piercing de sa langue qui commença à m’exciter d’avantage.

Je bouillais intérieurment, et je recommençais à le caresser, et je finis par aller jusqu’à sa hanche, et d’un coup, le tira vers moi afin de le sentir coller à moi.
Et là, je le sentais, son sexe durcis contre mon corps.
Je ne me souviens pas avoir jamais eu une érection aussi dure.

Quasi immédiatement, la main d’Amory me tira, et je me retrouvais au dessus de lui, les mains de chaque côté de son torse, entre ses jambes, notre baiser se faisait plus langoureux.
Tandis que je me laissais aller à des mouvements de va et vient qui nous excitait autant l’un que l’autre, je sentais ses mains qui tirait le bassin contre lui et glisser sous mon caleçon et me palper les fesses tout en me collant à lui, ce qui a le don de m’exciter.

Sa main glissa vers l’avant, et il commença à me caresser le sexe, d’abord du bout des doigts, puis il me masturbait.
Quelques instant après, il sorti sa main, se redressa, et je me retrouvais couche sur le dos, mon amant par dessus, à califourchon qui m’embrassait avec une nouvelle fougue.
Mes mains parcouraient de nouveaux son corps, et allaient explorer ses fesses sous son boxer. Après quelques palpations, j’entrepris de titiller son anus. Je remarqua immédiatement que cela lui faisait un effet considérable. Je continuais donc, passant le doigt de haut en bas d’abord, puis en faisant des cercles sur l’entrée de son intimité. Il me dit alors dans un soupir « oui, vas-y », et je fis alors entrer un doigt doucement, ce qui le fit quasi immédiatement gémir.
Il posa sa tête dans mon coup, et je l’entendais gémir doucement, et me murmurer « j’ai trop envie de toi ».

Il poussa doucement mon bras, et je retirais alors mon doigt, et il se mis à m’embrasser dans le coup, et descendais sur mon torse, mes abdos, puis mon caleçons, qu’il leva pour laisser sortir mon sexe, qu’il ne tarda pas à lecher. Il me déshabilla complètement, et entrepris une fellation.
J’étais allongé, les jambes pliés, à gémir d’un plaisir incroyable, je me mordais la lèvre et me caressait le torse. La chaleur de sa bouche, la douceur de ses mains, l’une qui me caressait les couilles, l’autre qui me masturbait en même temps que le piercing de sa langue parcours le tour de mon gland humide de sa salive.

Je sentais que je n’allais plus tarder à jouir, mais l’intensité du plaisir qui cambrait mon corps sans que je ne puisse résister m’empêchais mon ami.
Je ne pu que bredouiller « je … je …. Amo … je vais …. » impossible de faire une phrase complète aussi courte soit-elle, ma respiration devenait plus saccadée, à la vues des spasmes dont je commençais à être pris, Amory s’activait d’avantage, et je finis par lui jouir dans la bouche, j’étouffais mes gémissements dans mes mains qui étaient sur mon visage. Ne gardant plus que mon gland en bouche, je sentais qu’il avalait chacune des giclées qui venait de quitter mon corps.

Une fois ma respiration reprise, je baissais la tête pour le regarder, il me lecha une dernière fois, et me regarda avec un sourire satisfait.

Il ôta son boxer et remonta alors vers moi, tout en déposant des baisers sur mon torse jusqu’à mon coup, et se remit à califourchon, et nous nous retrouvions dans la même position que plus tôt.

Complètement détendu, hypnotisé après ce qu’il venait de se passer, le contact de mon ami me renvoya une nouvelle vague de chaleur. Je souhaitais prolonger l’expérience autant que possible, sans pour autant oser dire quoi que se soit.

Chacun des contacts de ses lèvres me procurait une excitation différente que précédemment.
J’avais terriblement chaud, des frissons me parcouraient le corps lorsque je sentis ses mains caresser mon torse.
Il arriva à mon visage, et nous nous regardions dans les yeux, nos regards plus brillant que jamais.

Tout en jubilant, je repensais à sa bouche dans laquelle je venais de jouir, chaude et accueillante, l’image de sa langue douce et vigoureuse qui me parcourait le sexe, et la sensation de ce piercing, plus dure qui faisait une légère pression me rendais fou, l’excitation était à son comble, et je sentais qu’une nouvelle érection me venait.

D’un coup, mes mains allait se poser de chaque côté de son coup, et je l’attirai aussitôt pour l’embrasser. Ses baisers avait maintenant un arrière goût, celui de mon sperme que je venait de lui mettre sans avoir pu me retenir, mais qu’il n’avait pas chercher à éviter, bien au contraire.

Je ressentais à nouveau le désir de l’embrasser, de ressentir ses piercing me caresser, et de rouler ma langue autour de la sienne.
Cet arôme inconnu me plaisait, l’effluve de la découverte de notre intimité, de l’exploration notre sexualité, d’une nouvelle face de notre amitié qui ne pouvait que nous rendre plus complice que jamais.

Je commençais à me calmer, je respirais plus lentement et mon coeur ralentissait, sans pour autant cogner moins fort.
Je me redressais en appuis sur les coudes, ses lèvres quittaient les miennes et nous regards se croisèrent, nous sourions, reprennant nos respirations.

Reprenant lentement mes esprits, je pris conscience de ce que nous venions de faire, et j’étais tout à coup troublé et gêné.
Ce sentiment mélangé au reste de l’excitation, je ne savais pas trop quoi dire.
Après avoir une nouvelle fois poser mes lèvres sur les siennes, je ne trouvais rien d’autre à dire que « merci » dans un murmure.

Je me sentais ridicule d’avoir dit ça quasi immédiatement, et je pensais « merci….? mais quel con t’avais pas mieux que ça…. ».

La réaction d’Amory me surpris, j’eu pour seul réponse « chuuuut, laisse toi faire ». Il guida alors mes mains sur son corps, tout en me faisant m’allonger et recommencions à nous embrasser.

L’excitation reprenait de plus belle, et j’entrepris directement de caresser ses fesses et je titillais de nouveau petit trou de la main droite, qui semblait plus souple et dilaté qu’auparavant.
Je tenais son sexe dans l’autre main, et je commençais à le branler délicatement, sentais que son gland se décalotait pendant qu’il se laissait aller à des mouvements de va et vient.

Amory tenait quand à lui ma queue qu’il branlait à la cadence de ses va et vient, et je sentais que mon gland touchait son petit trou de plus en plus au fur et à mesure que l’excitation montait.

Il se dressa et ouvrit alors le tiroir de la table de nuit pour prendre un tube de lubrifiant, et me jeta un regard ou je pouvais lire la suggestion. Il souriait d’avantage, ouvrir le tube, et en mit sur ses doigts pour aller l’étaler sur mon sexe tendu.
La fraicheur du gel m’envoya une décharge à l’idée de poursuivre l’aventure. Il repris du gel qu’il plaçait alors sur son anus.

Il posa la tube, et repris mon sexe et le dirigeait vers son intimité.
Je sentais qu’il pressait son entrée sur mon gland qui commençait à s’enfoncer.
A la progression lente de la pénétration et à la vue de son expression, je compris que ce devait être la première fois qu’il se faisait sodomiser, et je décidais de ne pas bouger afin de le laisser prendre la cadence qu’il lui procurait le plus de plaisir.

Une fois ma queue en lui, commença a bouger lentement, et je l’entendais gémir, et son va et vient se faisait plus rapide, c’est alors que je me mis moi aussi à lui donner des coups de reins léger, ce qui fit accroître nos gémissements respectifs.

Tout en poursuivant l’acte, il redescendit pour rapprocher son torse au mien, je regoûtais alors à ces baisers aromatisés à mon éjaculation, et le rythme se faisait plus rapide.

Amory ralenti, et se retira doucement, et mon sexe quittait alors la chaleur excitante de son cul serré.
Il se retournait, et se mis à quatre pattes, les jambes écartées, me regardant d’un regard désireux que je n’avais jamais vu par dessus son épaule.
La vue de se cul qui m’était offert, encore ouvert de mon passage, me donnait envie de le découvrir. J’y passais les doigts, et entrepris de le lêcher. Au premier contact de ma langue, Amory gémit, ce qui me poussa à m’appliquer d’avantage. Mon ami lâcha prise, et se laissait alors tomber sur ses coudes, il étouffait maintenant ses gémissements dans un oreiller qu’il mordait.

Après quelque tour de langue, ses gémissements se faisait plus intense.
Je me redressais alors, et mon sexe en main, prêt à assouvir nos pulsions, titillais de ma queue l’entrée de son cul afin le faire languir, et effectuait des va et vient entre ses fesses, tout en le masturbantil me dit « Prends moi ».
A mi chemin entre la supplication et l’ordre, s’intonation dans son murmure m’agitais l’esprit.
Victime de mon propre jeu, je ne pouvais résister plus longtemps.

La vue de mon gland qui poussait l’entrée de son intimité, et la sensation de son cul qui se resserre aussitôt pour enrober mon sexe, la voir s’enfoncer en lui et déclencher ses gémissements me procurait un sentiment de satisfaction et de puissance. J’étais responsable de ses lamentations, je me sentais maître de son plaisir.

Mon égo nourrit par cet vision, je le pénétrais désormais plus fort et plus rapidement.
Mes mains sur ses hanches, j’attirais mon ami vers pour le repousser chaque fois que je m’enfonçais en lui.

Tout en restant dans sa position, je vis qu’il déplaçait son bras pour aller sous son corps, et je sentais alors qu’il m’effleurait les couilles des doigts à chacun de mes coups de reins.

Je me surpris à prêter attention au son que provoquait le contact de nos corps. Ses fesses sur mon bas ventre à chaque fois que je m’enfonçais au plus profond de lui.

Ce petit « claquement » de nos peaux m’excitais, et j’accélérais le rythme de mes va et vient pour en entendre d’avantage.

Une vague de chaleur m’envahis, le sentais que je n’allais plus tarder jouir.
Je ralenti la cadence et finis par m’arrêter en lui. Il tourna la tête et me regarda par dessus l’épaule.
Je me pencha légèrement, et fit glisser ma main droite le long de ses abdos pour finir sur son torse, et l’attirai vers moi.

Amory se redressait, nous étions à présent sur nos genoux, son dos coller tout contre moi, j’allais alors poser ma main à son coup, et nous nous embrassions de plus bel, avec encore plus de vigueur.

Je pris son sexe de la main gauche pour le caresser lentement.
J’effleurais son frein avec l’index, et utilisait ensuite uniquement le pouce pour parcourir son gland chaud et humide. Je repris sa queue en main pour le masturber.
Sa respiration s’accélérait tout en devenant plus courte.
Toujours enlacer par mon bras, il posa sa main sur la mienne droit sur la mienne et la serra en glissant ses doigts entre les miens, tandis que sa main gauche allait se poser à l’arrière de ma nuque.
Je compris qu’il allait jouir, et j’accélérais alors le rythme en tendant sa queue à l’horizontal.
Les spasmes l’envahir, il me serrait la main et ses ongles me griffais la nuque.
Chacun des jets étaient accompagnés d’un râle de plaisir.
J’avais du sperme plein les doigts, chaud et visqueux, je l’étalais sur sa queue toujours en érection en la caressant, passant sur son gland. Il gémit dans une inspiration longue de satisfaction, et me chuchota à l’oreille un « Max » et se mordit les lèvres.

Ma tête poser par dessus son épaule, Amory m’embrassa et me vis sourire.
Il me saisit le poignet, et porta mes doigts à sa bouche, et les nettoyait tout en gémissant.
Toujours en lui, il se mirent à rouler du bassin, dans un mouvement lent et délicat, il me chuchota à l’oreille « Je veux te sentir jouir en moi ».

Toujours contre moi, je l’enlaçais et reprirent mes coups de reins, et se fut très vite à mon tour de jouir, le serrant plus fort pendant que je sentais mon sperme le remplir jet après jet.
Je m’effondrais ensuite sur lui, de tout mon poids, épuisé comme jamais je ne l’avais été.
Nous sommes rester près d’une minutes à reprendre notre respiration.
Je l’embrassais dans le coup avant de sortir ma queue emplie du mélange de lubrifiant et de sperme.

Je m’allongeais finalement, lui toujours sur le ventre, me regardais sourire au lèvre.
Il se tourna et vint contre moi pour m’embrasser une dernière fois avant de me souhaiter « bonne nuit ».

Je restais allongé, en silence, dans un plaisir coupable, troublé par la vague d’émotion qui me submergeait.

Nous nous endormirent ainsi, sa tête sur mon bras qui se posait dans son dos, nos doigts entrelacer poser sur mon torse.

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