Prison 2

Les couchettes sont étroites, collé contre Driss, je sentais ses poils sur mon dos ; il avait passé une de ses jambes velues sur les miennes, son sexe imposant était en repos, mais avait quand même trouvé le chemin de mes fesses et son gland reposait devant l’orifice que lui et ses compagnons avaient bien visité, bien rempli de leur liqueur d’homme.

Ils m’avaient tellement pris, ou je devrais dire, prise, dès ce premier jour, que j’avais l’impression d’avoir une chatte entre les jambes, tellement elle était ouverte et débordante.

Leur sperme dégoulinait peu à peu de cet orifice béant, se répandant entre mes cuisses et sur le sexe de Driss.

Je contemplais, en face de moi, ma couchette vide, en pensant que je n’y dormirais pas souvent, étant devenue la femelle de ces trois hommes, hyper virils, bourrés de testostérone et qui, tous les trois, puaient le mâle… Quelle bonne odeur... !!! Elle empestait la chambrée….

Alors que je commençais enfin à m’endormir, ce morceau de chair que j’avais au repos sur mes fesses a durci tout à coup, mais en quelques secondes. Driss m’a serré contre lui, et sans aucune manière, s’est en enfoncé dans moi d’un coup. Rêve ou femelle à sa disposition, je ne sais pas, mais son pieu, ça je l’ai senti… !!!

Il a soulevé ma jambe pour que son sexe rentre encore plus profond en moi…

J’ai poussé un cri de surprise… Mal m’en a pris… ça a réveillé Amadou qui me regardait en train de me faire enculer par Driss… En un instant, sa bite a pris des formes dans son short… 25cm de queue noire, ça se voit vite. Il est descendu de son lit et a enfourné son membre dans ma bouche.

Vite réveillée, je me suis retrouvé avec un zeb arabe qui me défonçait la chatte et une masse de chair noire qui envahissait ma bouche…
Bien sûr, Ahmed n’est pas resté en reste et s’est levé pour que je le branle… Bizarre comme mec Ahmed… Hyper grand et très maigre, avec une belle bite, pas énorme, mais qui semblait disproportionnée avec son corps si filiforme.

Peu poilu, mais une touffe très drue autour de son zeb, et des couilles de Ouf… Très velues elles aussi, mais d’une grosseur que je n’avais jamais vue. Pourtant, les bites je connais… Un max… M’étonne pas qu’il m’avait autant fécondée… Vraiment gros juteur ce mec…
Quand Driss s’est enfin vidé en moi, il a tourné mon cul vers Amadou pour qu’il en profite… Tellement remplie de ces jus d’homme que sa bite est rentrée d’un trait et il m’a défoncé à mort, ne cherchant que son plaisir… Ses couilles tapaient sur mes fesses, Ahmed s’enfonçait au plus profond de ma bouche, et…et.. Ils ont juté en même temps… Amadou dans ma chatte et Ahmed dans ma bouche….

Driss me regardait avec un air ironique, en train de me faire baiser comme une pute, pour la énième fois depuis mon arrivée ce jour dans leur cellule.

Une fois que ses codétenus aient fini, en tant que chef dominant, il les a renvoyés dans leur couchette et m’a demandé d’aller évacuer tout ce sperme de ma chatte et de revenir dans son lit.

Une fois fait, il m’a repris dans ses bras, m’a serré contre lui, contre son corps d’homme et m’a dit :
« Je suis content de toi… Les gardiens ne m’ont pas menti… Tu es une bonne femelle docile et on avait besoin de ça, tu seras pris par nous trois tous les jours, plusieurs fois par jour, autant qu’ils le veulent et moi aussi »

Je sais pas pourquoi… Sa voix douce, son corps contre le mien, son attitude de mâle arabe hyper dominant… Tout me rassurait en lui, en ses mots…

Je me suis abandonné dans ses bras, avec un simple smack sur sa bouche, et il a fait ce que je ne pensais pas… Il m’a écarté les cuisses, s’est enfoncé en moi et m’a pris comme une femme, avec puissance et tendresse… Tout ce que j’aime…

Je sentais son zeb arabe de 24cm me défoncer, mais ma chatte s’ouvrait pour lui… Son corps hyper poilu m’excitait à mort… Je me sentais vraiment conquis par Driss…

Il m’a défoncé comme un vrai mâle arabe, mais qui possède sa femelle… Avec des mots en arabe que je ne comprenais pas…

Et il a joui… Intensément… !!!

Après ce plaisir commun…

« On est en prison Habiba… J’ai besoin de toi comme pute… »

« Ce que tu veux… !!! »