Ophélie De Femme À Femelle 15

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Me voilà maintenant la propriété de Maître Arnaud, vendue par mon mari contre un emploi fictif.
Encore remplie de foutre, Pierre prends congés et, me laisse seule avec mon époux et mon Maître. Afin d’assoir son autorité sur sa chose, il me dit de lui donner tous mes papiers, ma carte d’identité, mon passeport, mon permis de conduire, ainsi que tous mes modes de paiements, ma carte bleue, mon carnet de chèques.
Obéissante et, résignée, je lui apporte tous ce qu’il me demande, toujours à quatre pattes. Il me les prend et les range dans une mallette, à codes me précisant que dorénavant je n’en ai plus besoin.
Ceci fait, il se lève et demande de le suivre.

- On va faire un peu de ménage dans ta garde-robe chienne ! Prends des sacs poubelle en passant.

Arrivés dans ma chambre, devant ma penderie, il m’ordonne de m’assoir par terre, comme une bonne petite chienne, les cuisses écartées. Il ouvre le placard et commence à faire son tri, me jetant à la figure toutes les affaires qui ne lui conviennent pas, c’est-à-dire 90% de mes vêtements.
Tous mes pantalons sont évacués, mes pulls, mes culottes, mes soutiens gorges, jogging, chemise de nuit et t-shirts suivent le même chemin. Un tas énorme de vêtements s’amoncèle devant moi, suivi par mes chaussures. Je n’ose regarder l’état de ma penderie qui, je pense doit être bien vide.

- Range moi tout ce bordel dans les sacs poubelles sale chienne ! Regarde-moi ça, elle est entièrement vide, heureusement que je suis là pour avoir du gout.

Me tirant par les cheveux, il m’oblige à regarder mon placard complétement vide, seule deux robes, trois jupes, cinq chemisiers et, une paire de chaussures et de bottes sont encore là.

- Apporte les sacs dans la salle, on ira les donner aux pauvres cet après-midi !

Ceci effectué, mon Maître m’autorise à aller me lave, porte ouverte bien sûr.

Je profite de cet instant de semi-liberté pour me détendre, appréciant l’eau chaude coulée contre ma peau, mes seins, mes fesses. Je songe tout en me savonnant à tout le parcours fait depuis quelques jours, à toutes ces humiliations, toutes ces douleurs et toute cette jouissance et, avant même que j’y pense, j’ai déjà deux doigts dans ma chatte toute humide. J’ai de nouveau envie de jouir, de prendre du plaisir à m’humilier moi-même, et, pour cela, je me surprends à pisser dans la douche tout en me doigtant. Je sens mon urine chaude coulé sur mes doigts, et ça me procure encore plus de plaisir.
Je m’arrête juste avant l’orgasme, et fini de me laver, je sors de la douche, me sèche et reprends ma place de chienne, à quatre pattes pour rejoindre le salon.
Je vois en arrivant mon Maître, discuter tranquillement avec mon mari. Cette scène me parait surréaliste, il plaisante, rigole ensemble, comme des amis de longue date !
Je me poste aux pieds de mon Maître, tête basse, comme une bonne chienne, il me flatte d’ailleurs la tête comme son animal de compagnie, je me sens bien, heureuse, à ma place.
Nous restons ainsi comme des amis pendant de longues minutes, assise sur mes talons, la tête posée sur la cuisse de mon Maître qui est en train de discuter avec mon époux. Ce moment de tranquillité fut interrompu par l’arrivée de Pierre, accompagné d’une jeune femme. Sans gêne, il entre sans même prendre la peine de frapper, comme si il était chez lui.
La femme qui l’accompagne est très fine, vêtue d’une minijupe en cuir, de nombreux piercing et de tatouage. En la voyant, Arnaud se lève pour l’accueillir et, arrivé à sa hauteur, je les vois s’embrasser goulument sur la bouche et, tout en lui dévorant ses lèvres, elle se pends à son coup, entourant ses cuisses autour de la taille de mon Maître.
Je la déteste déjà, comment ose-t’elle se comporter ainsi avec mon Maître, je l’avoue je suis jalouse, encore plus quand je le vois la maintenir par les fesses !
Sans se décollée elle se tourne vers moi, et d’un geste du menton pour me designer demande :

- C’est pour ça ? tu veux quoi ?
- La totale, réponds Arnaud
- Ça va te couter cher ! dit-elle sans me lâcher du regard

Sans répondre, je vois Arnaud sortir son sexe, le tenant d’une main pour le frotter entre les cuisses de cette salope qui, ronronnant de plaisir, se redresse.


- Pour la totale, il me faut plus que ta queue mon chéri, minaude t’elle tout en me regardant.
- Tu l’auras pour toi toute seule après Bébé, rien que pour toi !

Chéri ! Bébé ! Comment peuvent-ils me faire ça ? Je suis au bord des larmes, voyant cette scène, et baisse la tête pour ne rien voir, pour ne pas voir cette salope s’empaler sur la queue de mon Maître !
Voyant cela, Pierre viens se placer derrière moi et, me tire les cheveux en arrière pour que j’assiste à ce spectacle, horrible pour moi. Ils sont devant moi, à quelques centimètres, la belle queue de mon Maître, entrée et sortir de sa chatte, les mains sur les fesses pour bien les écartées, pour que je ne loupe rien.
Ce sont les yeux remplis de larmes que je les vois baiser comme des bêtes dans toutes les positions, en levrette, debout, sur le canapé, toujours à quelques centimètres de moi, me faisant flatter de temps en temps la joue par mon Maître qui semble s’amuser à m’humilier de la sorte !
Cela me parait durer une éternité et, de ne jamais finir, tout au fond de moi, j’aurais préféré qu’elle s’occupe de mon époux, c’est moche de l’avouer mais, ça m’aurai fait moins mal. C’est sur le canapé, mon canapé que ça se termine, je vois les fesses de mon Maître se contractés, ses coups de reins plus secs et rapide et dans un râle, tout lui lâcher dans sa chatte. Reprenant son souffle Arnaud se retire doucement, laissant la chatte de cette femme béante, rouge et gonflé. Elle est toute souriante avec sa jupe lui servant de ceinture, me regardant entre ses cuisses grande ouverte.

- Viens me voir ! me dit-elle en claquant des doigts.

Pierre me lâche les cheveux et me pousse du bout du pied pour que je bouge et, c’est à quatre pattes que je m’avance vers elle. Arrivée entre ses cuisses, une violente odeur de fille négligée m’emplis les narines, un mélange d’urine, de sperme, sueur et de…. Je ne sais quoi d’ailleurs mais sentant très fort, me fait reculer un peu.


- Nettoie moi tout ça, salope, tu finiras par me boire ! au travail !

Quelle garce, je tire timidement ma langue pour lécher ses lèvres, essayant de ne pas trop respirer. En fait je me rends compte que c’est sa touffe pubienne qui retient toutes les odeurs, tous ses poils mouillés, que j’essaie d’éviter au maximum, mais ça ne lui convient pas, et en me tirant par les cheveux, elle me plaque la bouche contre sa chatte, mon nez en pleins dans ses poils.
Avec des hauts le cœur que j’essaie de maitriser, j’enfonce ma langue dans sa chatte, cherchant à récupérer tout le sperme que mon Maître a laissé, poussant le plus loin possible pour tout prendre. Ça lui fait de l’effet, car elle bouge son bassin de haut en bas, frottant sa chatte sur mon visage, tirant sur ses poils pour écarter ses lèvres, m’insultant de tous les noms.
Ce nettoyage dure plusieurs minutes, et d’un coup, je la sens se tendre, se cabrer sur le canapé, jouissant fortement, m’arrosant tout le visage de cyprine. Je comprends le sens de « tu vas me boire », et c’est tout doucement que je fini sa toilette, la laissant retrouver ses esprits et son souffle.
Contente de mon travail, je me redresse, assise sur mes talons, regardant son sexe propre, croyant en avoir fini mais, en se levant elle vient appuyer ses genoux contre mes épaules pour me faire basculer en arrière. Suivant mon mouvement de bascule, je me retrouve de nouveau avec son sexe juste au-dessus de mon visage, à quelques centimètres de mon nez et de ma bouche.

- Bien ma salope, maintenant tu vas me boire comme promis ! j’ai trop envie, ouvre la bouche trainée ! dit-elle tout en frottant sa chatte sur mes lèvres.

Je pense qu’elle a de nouveau envie de jouir et, bloquée entre ses cuisses, je ne peux que subir ses frottements ouvrant la bouche et sortant ma langue pour la satisfaire. Mais, lorsqu’elle sent ma bouche bien ouverte, elle s’immobilise maintenant ma tête entre ses cuisses, me regardant dans les yeux, disant que je suis une bonne truie.

Je comprends soudain que ce n’est pas du plaisir qu’elle cherche mais du soulagement quand je sens un jet chaud couler sur ma langue, acre, poivré. Mon dieu, elle est en train de me pisser dans la bouche ! J’essaie de me dégager mais elle me maintient la tête avec ses mains, m’ordonnant de ne pas bouger, de la laisser finir sinon ça serait pire !
Je ne bouge plus, je la laisse me remplir la bouche de son urine, essayant de ne rien avaler, mais il y en a trop, ça déborde, coulant sur mon visage et dans mes cheveux.
Comble de l’humiliation, je vois mon Maître s’approcher de nous, se mettre face à cette salope qui me prends pour ses toilettes, pour se faire sucer. Je la vois avaler sa queue, encore débandée, tout en finissant de pisser. Une fois fini, elle se relève, laissant quelques gouttes tomber sur mon front, me laissant immobile, n’osant bouger, la bouche ouverte remplie de pisse.

- Avale !

L’ordre claque juste au-dessus de moi, venant de mon Maître qui se tient debout, me regardant durement. Je le supplie des yeux, ne voulant pas avaler cette immonde urine.

- Avale sale chienne !

Le ton est plus dur et ne me laisse aucune alternative, donc, c’est devant tout le monde que je ferme les yeux pour avaler cet immonde cocktail. Les yeux pleins de larmes, je n’ose les ouvrir, de peur de voir les regards moqueurs de tout le monde, mais sous l’ordre d’Arnaud, je les ouvre juste à temps pour le voir se tenir le sexe, le dirigeant vers mon visage. De nouveau je suis recouverte de pisse, il m’explique qu’il a horreur de se répéter et qu’une bonne chienne soumise obéit dès le premier ordre donné. Il rigole tous, y compris mon époux, instinctivement j’ouvre la bouche pour qu’il me la remplisse, pire malgré l’humiliation totale, je sens ma chatte gonflée et humide de désir. Il finit en secouant son sexe, faisant tomber les dernières gouttes, s’accroupissant afin que je puisse nettoyer son gland avec ma langue.
Une fois terminé, je suis installée sur la table du salon, pieds et poing liés aux pieds de la table, complétement immobilisée. Je vois du coin de l’œil la jeune femme préparer divers outils, des pinces chirurgicales, des aiguilles, des produits…..
Equipée de gants en latex, je la sens me triturer les pointes de seins, les faisant pointer, les badigeonnant d’un produit froid et, une fois bien durs, elle prend les pinces au bout percé pour les attr, et en saisissant les aiguilles me transperce les deux tétons sans aucune hésitation.
La douleur est vive et soudaine, elle me laisse sans voix et, m’emplit les yeux de larmes. Je ne me rends plus vraiment compte de ce qu’elle me fait par la suite, je suis dans un brouillard total et me laisse aller dans un semi coma.
A mon réveil, je suis nu sur mon lit, la nuit est tombée, je ne sais même pas l’heure qu’il peut bien être. Mon corps me rappelle la douloureuse journée et, assise sur le lit devant la glace je regarde mes nouvelles décorations.
J’admire mes seins ornés de deux anneaux dorés, les empêchant de débander et, malgré les picotements je les caresses, fière de moi mais, en écartant les cuisses, je remarque que mon maitre ne s’est pas arrêté à mes tétons. En effet, les lèvres de ma chatte ont subies le même traitement, trois anneaux ont aussi étés posés sur chacune d’elles. J’écarte au maximum les cuisses pour admirer le travail, ne pouvant m’empêcher de caresser l’ensemble. Je sens ma chatte coulée par ce contact, je passerai bien un long moment à me caresser ainsi mais, je pense qu’ils doivent m’attendre et, décide de me lever.
Ne voyant aucune tenue dans la chambre, c’est toute nu que je me dirige vers le salon. Il n’y a plus personne, la maison est vide, même mon mari n’est plus là ! Ou sont-ils ? Pourquoi m’ont-ils laissée toute seule ?
La panique commence à m’envahir et je commence à courir dans les pièces de la maison pour vérifier mais, personne, la maison est vide.
Je me sens abandonnée, démunie.
Au bord des larmes, je remarque une feuille posée sur la table basse, une lettre de mon maitre. Soulagée, je m’empresse de la lire, il m’informe qu’il est parti avec mon époux, pour l’emmener en vacances, qu’il doit revenir dans trois jours et, que pendant ce temps, je suis livré à moi-même, devant subvenir à mes besoins par n’importe quels moyens.
Voilà, je suis une chienne abandonnée, sans papier, sans argent, avec juste de quoi manger pour un repas. Comment vais-je m’en sortir, comment je vais faire ?
Paniquée, me posant pleins de questions, je suis sortie de mon état par la sonnette de la porte. Instinctivement, je me précipite pour ouvrir, oubliant ma tenue. Dans l’encadrement de la porte c’est un jeune homme noir casqué, tout de rouge vêtu tenant une pizza, les yeux rond comme des billes.

- Euh….. votre pizza Madame, arrive-t-il à articuler.

Mon dieu, quelle honte, en plus de l’accueillir complétement à poils, je me rends compte que je n’ai rien pour le régler.

- Votre pizza Madame, insiste le jeune homme devant mon manque de réaction.
- Merci, mais je suis désolée, mon mari viens de partir et je n’ai rien pour vous régler.

Je vois à cette réponse qu’il est agacé, il m’explique que s’il revient sans l’argent il va se faire virer, et s’il revient avec la pizza, il va se faire engueller.
Je me confonds en excuses, et perdant toute pudeur je lui propose de le sucer pour le dédommager.

- Madame, c’est une double royale avec supplément fromage, y en a pour 23€ sans le pourboire, même une pipe de pute c’est moins chère !

Le sale petit merdeux, il me traite de pute en plus ! Mais j’ai faim et, malgré moi toute cette situation m’excite, alors dans un dernier soupir, je m’agenouille, baissant les yeux en lui disant

- En échange de votre pizza monsieur, vous pouvez faire tout ce que vous voulez de moi.

Je le sens réfléchir, hésiter et dans un soupir il pose la pizza devant moi.

- Ok salope, tiens ta pizza, je fini à 23 heure, je rapplique direct chez toi pour me faire payer, j’espère que tu aimes la bite, car tu vas en avoir.
- Oui j’aime, je réponds sans lever les yeux.

Il me demandant de le prouver en ouvrant sa braguette, laissant sortir un énorme gland sur une tige noire. J’ouvrir la bouche pour l’engloutir, il m’emplissait bien la bouche. Il me baissa la bouche pendant quelques minutes, me traitant de pute, salope, et surtout de BAB. Lorsqu’il en eu marre, il se retira, sans jouir, me donnant rendez-vous à 23 heures.
Je le vois partir sur son scooter, à fond en fermant la porte.
Rentrant dans le salon, je déguste la pizza, attendant impatiemment 23 heures, avec une pointe de peur…..

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