L'Épouse, L'Amant, L'Époux ! 9
Un week-end des conjoints allèrent en discothèque. Après une première mi-temps de danse et dalcoolisation ils sortirent de la boite pour prendre lair. Les phares des voitures qui roulaient sur le boulevard éclairaient de lun à lautre les piétons qui passaient devant létablissement festif avant de disparaitre vers des directions nocturnes et personnelles.
Lépoux tira sur sa cigarette. La lueur incandescente sintensifia. Près de lui lépouse causait avec lun des videurs. Il les entendait rire. À la cérébrale image du corps vigoureux de cet inconnu faisant la cour aux orifices humides de son épouse en sa présence, lorgane reproducteur de lépoux saffola.
Sajoutèrent dautres week-ends durant lesquels les conjoints et le physionomiste firent plus amplement connaissance. Au bout du compte le couple dévoila ses fantasmes candaulistes au videur. Ils prirent rendez-vous pour conclure tous les trois des choses scabreuses.
Les jours précédents le rendez-vous la libido du duo augmenta. Pendant quils consommaient lamour chacun des partenaires gardaient mentalement limage du costaud videur couchant avec lépouse, lors de leurs ébats sexuels les époux se parlaient, sentreracontaient comment elle jouirait sous les coups de reins du physionomiste, comment lépoux banderait de la voir prise devant lui par un homme noir viril. Tout cela constituaient pour eux une source intarissable de plaisir, de désir, de jouissance, source dans laquelle ils nageraient le soir du rendez-vous.
La quarantaine, grand de taille, tout en muscles, chauve, D se trouvait assis sur le grand fauteuil du salon. Sa carrure lui donnait cet air austère qui habite les grands noirs debout devant des portes. Il sétait habillé comme au travail, faut dire que cétait aussi un travail de satisfaire les femmes insatisfaites devant leurs époux, un travail que lon payait en nature ! Seul le sourire quil arborait sur sa mâchoire carrée dénotait de son emploi journalier où il fallait absolument paraitre rustre.
À côté de D, quasi collée à lui, assise, se trouvait M, la quarantaine, chevelure blonde, poitrine ronde sous un débardeur noir, mini jupe en jean rouge, manucure rouge, peau blanche, carrément rose, du type qui rougie facilement. Elle tenait dans lune de ses mains un verre dalcool et dans lautre la verge de D quelle caressait, à travers le tissu rigide, quelle massait, de manière insolente, jusquaux testicules.
En face de D, de lautre bout de la table basse, N, la trentaine, un peu gros, corps en polo noir et pantalon kaki. Comme lamant et lépouse il sabreuvait dalcool tout en observant les préliminaires du couple adultérin.
N avait initié M aux plaisirs candaulistes. Si au départ elle sétait montrée réticence à lidée de coucher avec un autre homme devant lui lidée avait poursuivi son chemin au bout des dissertations elle avait fini par partager son fantasme. Cela faisait environ quatre ans quils vivaient en candaulistes, plus le temps passait plus le désir dN de se faire humilier et prendre par sa femme augmentait insidieusement au fond de lui. Elle ne lavait pour linstant pas astreint au port dune cage de chasteté même si elle savait que cétait son profond désir.
Les deux amants sagenouillent sur le matelas face à face.
N aux cheveux blonds resplendissants, au débardeur noir, à la jupe en jean rouge, caresse le torse de D dune main tendre sur laquelle sétalent des ongles neufs à la manucure rouge vive.
La main claire de lépouse glisse sur le boxer de lamant au niveau du pénis. Par le tissu du sous-vêtement noir elle caresse les fesses rudes pendant quil embrasse son cou tendre puis son épaule douce. Leurs bouches se malaxent. Les seins de lépouse compressés dans le débardeur noir sécrasent sur les pectoraux nus de lamant.
-Tu veux me baiser ?
-Oui!
Lépouse se débarrasse de son débardeur et se retrouve torse nu comme lamant. Ses seins refaits défient autant lapesanteur que le temps. Les deux amants mélangent de nouveau leurs lèvres et leurs langues. Lorsque la bouche tiède de lamant tétine lun des seins nus de lépouse elle ne peut retenir un hum plaisant. Cette bouche gourmande tette gloutonnement lun après lautre chacune des mamelles de la femelle autrui.
Elle ôte sa jupe. Elle se retrouve en string rouge. La mince ficelle rouge de son string contraste érotiquement avec les talons aiguilles noirs la chaussant. Lattrait érotique de cet assortiment émoustille irrésistiblement les deux hommes.
-Elles sont jolies tes chaussures !
-Merci ! Mon cocu les achète pour moi et mes amants.
Après avoir tenu un instant lescarpin noir par laiguillon la bouche de lamant de manière fétichiste suce les orteils rouges de lépouse offerts aux caresses par la devanture ouverte de la chaussure pour dames, la bouche remonte sur le ventre du pied, la bouche grimpe sur la cheville lisse, la bouche atteint le genou osseux, elle glisse le long de la cuisse dense, elle se perd vers lentrecuisse, elle se pose sur la devanture du string rouge dans lequel simpatiente un vagin qui bout.
Mue par lexcitation la femelle dépose les deux mains sur la tête du mâle puis libère un soupir daise alors quau travers du fragile tissu intime les lèvres de lhomme masturbe son vagin. Dun geste vif la main de lépouse tire le sous-vêtement rouge sur le rebord découvrant ainsi la vulve rose aux lèvres charnues de lamant. La bouche lourde atterrit au milieu du vagin ouvert. Lépouse relève les jambes puis ouvre bien les cuisses pour mieux offrir à la bouche gourmande ses cavités trop intimes.
« Enfonce moi ta langue ! » À cet injonction presque plaintive lamant introduit la langue dans son vagin quil cunite comme un pénis baisant un vagin.
-Cest trop bon !
-Il te lèche bien ?
-Oui. Beaucoup mieux que toi.
Comme message sans mots à lamant pour quil la prenne lépouse enlève son string rouge. Lamant enfonce deux doigts dans son vagin humide histoire de jauger lorifice dans lequel elle lavalera le braquemart noir. Les doigts shumidifient des sécrétions vaginales puis luisent.
-Fais gouter mon vagin au cocu avec tes doigts. Cocu !
-Oui !
-Rapproche toi.
Le cocu monta sur le lit. Lamant introduisit ses deux doigts dans la bouche du mari.
-Cest bon mon chéri ?
-Oui !
-Ten veux encore mon cur ?
-Oui.
Lamant glissa une nouvelle fois ses deux doigts dans le canal vaginal de linfidèle ensuite il les rinça dans la bouche cocue.
-Ten veux encore ?
-Oui !
-Non ça suffit. Maintenant regarde comment il me baise !
-Oui.
Le cocu descendit du lit conjugal.
Lépouse porte en bouche le braquemart noir. Sa bouche dépose une bave blanche le long de la verge sombre. Elle recule.
-Elle est toute bandée ta bite !
-Ha ! Ha ! Ha !
Leurs lèvres se mêlent puis se séparent bruyamment.
-Baise moi maintenant pendant que mon mari regarde.
-Avec plaisir.
-Il va lécher ma chatte après ton éjaculation.
Lépouse se met à quatre patte sur le lit, lamant sagenouille derrière son cul, il frotte son pénis contre la raie de lépouse, il adore la sensation que cela lui procure. « Quest que tu fais ?! » Demande lépouse. Elle simpatiente. Elle veut ressentir immédiatement le membre viril en elle. Le pénis entre dans son canal vaginal. Elle glousse de plaisir. Tout en serrant des mains son épaule et sa hanche blanche il tambourine des reins noirs ses seins vibrants. Cela émet un bruit érotique qui claque dans toute la chambre.
La verge dans le vagin de la cocufieuse lamant fait une pause : sous le regard du mari il embrasse le dos nu de lépouse, il lèche son épaule osseux, il suce son menton arrondi, il goûte ses lèvres tièdes.
Lépouse sallonge sur le dos. Elle relève les jambes. Lamant dépose son sexe en érection sur le pubis de lépouse. Il crache sur son gland pour le lubrifier puis il le réintroduit dans le vagin. Comme il sattarde en frottant doucement son gland contre la vulve de lépouse cette dernière lui dit : « ma chatte est déjà prête ! Baise-moi ! » Pour toute réponse il laboure son vagin puis bâillonne sa bouche de ses lèvres charnues.
Debout derrière les deux amants N bandait fortement dans son pantalon. Devant lui : un puissant corps noir allongé sur le ventre de sa femme, les deux jambes verticales de son épouse chaussées descarpins noirs suspendus en lair, et la main de sa femme, comment ne pas la voir cette derrière, la main gauche de sa femme sur le dos sombre de son amant, lannulaire, lannulaire fin arborant lostentatoire bague de mariée pendant que le vagin en dessous aux prises avec une verge virile transgressait allègrement les coutumes du mariage. Cela faisait presquune vingtaine de minute quil observait cet homme noir satisfaire son épouse. À la place de lamant il aurait depuis longtemps éjaculé. Son regard se figea sur lépicentre de lunion du couple adultérin : une légère mousse blanche recouvrait le contour du vagin de sa femme et suintait un peu plus abondamment le long du pénis noir chaque fois quil se perdait dans les entrailles de sa femme.
« Il nous regarde. Il adore regarder ma chatte prise par une bite plus virile que la sienne. Ça va tétonner mais il aime lécher le sperme de mes amants dans mon vagin. Je trouve quil me lèche mieux quand ma chatte contient le sperme dun autre ».
N banda encore plus intensément dans sa culotte. Les paroles dM ainsi que le spectacle sous ses yeux labandonnèrent près de la jouissance. Lorsquil entendit le cri de jouissance dM mêlé au râle de plaisir de D, N crut quil allait lui aussi à son tour gicler dans son slip comme D qui venait de se répandre dans le vagin dM.
N vit M se blottir dans les bras de D. Ils sembrassaient comme sils se trouvaient seuls dans la chambre. Elle écarta les cuisses. Elle déposa un index sur le pubis dépourvu du sperme de D à linverse du canal vaginal et des lèvres intimes aux milieux desquelles grouillaient les spermatozoïdes de son rival.
-Au travail mon chéri !
-Ha ! Ha ! Ha !
-Lèche-moi ! Je sais que taime ça.
Elle déposa une main autoritaire sur son crane quelle pressa contre son vagin.
-Taime bien le jus de ma chatte ?
-Oui. Cest sucré.
-Cest tout ?
-Cest mousseux aussi.
-Ya na encore beaucoup au fond que tu dois manger !
Elle caressa tendrement ses cheveux courts et châtains alors quil saisit entre les lèvres tièdes son clitoris. D allongé près delle dune main douce massa ses seins ronds puis de manière gourmande lui mangea la bouche.
-Regarde D et dit lui quel goût a son sperme.
-Bon ! Très bon !
-Je vais remettre ma bite dans la chatte de ta femme.
-Tu vas encore éjaculer dans ma chatte ?
-Oui. Un peu moins que la première fois.
-Chéri il va falloir que tu quittes. D rebande. Désolé.
Lamant sallonge sur le dos. Lépouse se met à quatre pattes sur lui. Elle dépose ses lèvres sur les siennes, elle saisit la bite quelle branle. Elle frotte durant un instant le gland arrondi contre sa vulve avant de sasseoir sur le braquemart et de laccueillir dans son ventre. Elle pose ses mains aux ongles rouges sur les pectoraux puis de sa hanche souple elle chevauche sexuellement lamant.
Il claque à plusieurs reprises contre les fesses rondes de lépouse ses mains fermes. Elle se met à quatre pattes puis il sagenouille derrière elle. Cest sa position préférée parce quelle lui permet de ressentir en totalité les pénis de ses amants dans son entrecuisse et de ressentir contre ses épaules, contre ses reins, à travers les étreintes de leurs mains, lexcitation folle qui les gouverne.
Les claquements du pubis de lamant contre les fesses de lépouse saccélèrent. Dune main il saisit lépaule de lépouse et de lautre il saisit sa cheville quorne un escarpin noir. Tous leurs muscles bandent. Ensemble ils crient quand lamant se fige dans le vagin de lépouse.
Lépouse à quatre pattes sinclina vers la poitrine ceci eut pour conséquence de faire saillir de son postérieur rouge son vagin ouvert. Dans un bruit de coulé une épaisse lave lourde de sperme jaillit des profondeurs du canal vaginal. Lépoux colla rapidement sa bouche contre cette substance glucidique qui risquait dans la seconde de chuter sur le matelas. Lorsquil releva la tête un instant pour prendre lair et pour voir lavancement de son uvre de léchage un long élastique de sperme se mit à pendre sur sa lèvre inférieur en visqueux trait de toile daraignée puis sétendit sous son menton ensuite jusque sous sa poitrine avant de se rompre et de se perdre sur le drap.
Le cocu recolla une nouvelle fois sa bouche dans lentre intime de son épouse. En compressant son vagin elle expulsa le reste déjaculat de son amant dans la bouche de son mari. Ce dernier comme rassasié du foutre de son rival ôta sa bouche gourmande de la fente intime de son épouse. Celle dernière compressa une nouvelle fois son vagin pour y expulser le résidu du sperme adultérin. Des petites bulles de spermes sortirent du canal vaginal de lépouse puis sélevèrent timidement dans la chambre. Au début, ces bulles, timides, sélevèrent en petit nombre, se dispersèrent dans lair, puis dun coup, la chambre se trouva envahi par ces bulles spermiques de sorte quil ne se trouvait plus aucun nespace de la pièce libre. Par chance, au contacts des objets et des corps humains, comme au fils du temps, ces bulles éclataient. Bientôt la chambre retrouva son aspect initial.
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