Mon Anniversaire

C'est bientôt mon anniversaire. Ma copine depuis toujours me propose son cadeau d'avance. Ses parents doivent partir en amoureux pour une semaine, juste à ce moment. Ils sont d'accord pour ce que veux m'offrir leur fille: je peux disposer du "château" familial, en vérité une grosse bâtisse à 15 kilomètres de notre ville. Dès l'avant-veille nous préparons les festivités. Arlette ; ma copine, m'aide à préparer et les lieux. Le repas lui est commandé chez un traiteur. La veille au soir de la fête, Arlette dîne rapidement et par se coucher pour récupérer avant le lendemain. J'entend la douche un moment très court, et plus rien. Je monte la voir dans sa chambre: elle dort à poings fermés. J'aurais bien voulu bavarder un peu: c'est . Tant pis j'irai faire un tour dans le bois juste à coté. Je connais le coin pour y être souvent venue. Je me dirige vers les écuries, pour aller caresser les chevaux. Les deux animaux sont à la recherche d'un câlin. Je les satisfais en leur passant une main sur la tête. Je vais sortir de leur enclos quand je tombe nez à nez avec le fils du fermier: je ne le connais que comme un exhibitionniste: déjà l'autre année en passant devant la ferme, il me montrait sa queue en bandant. Il me proposait même de me baiser. Son visage plein de boutons me faisait horreur. Cette année, il semble aller bien mieux tant coté visage que démonstration excessives. Il me regardait quand même avec envie. S'il pensait que j'allais cédé a à son désir, il se trompait beaucoup. J'haussais les épaules en le laissant. Ce n'est que plus tard en me couchant que je pensais à lui. Finalement il n'était pas si moche que ça. J'aurais pu lui donner ne serait-ce qu'un baiser. J'aurais pu…………….je mettais ma main là où je me fait jouir. Je me branlais en faisant durer le plaisir un maximum. J'avais son corps en face de mes yeux: il bandait et il me baisait. C'est au moment où il entrait en moi que je jouissais. Du coup je me trouvais comme Arlette; totalement vide.


Je me levais le lendemain un peu tard. Arlette était déjà en train de préparer le petit déjeuner. Je lui faisait par de ma rencontre avec le fils su fermier.
- Fais gaffe à lui, il cherche les pires combines pour essayer de baiser.
- Il n'a rien dit ni fait.
- Tu es sure que l'an dernier il ne s'est pas montrer nu ?
- L'an dernier, si, pas hier.
Tu ne pers rien pour attendre.
La conversation venait sur la fête. Qui s'était décommandé, vers qu'elle heures devrait elle finir.
Nous revenions sur des détails déjà abordés.
Enfin l'heure tournant, mes premiers invités arrivaient. Nous les réunissions tous sur la terrasse avec une boisson qu'il pouvait choisir. La plus part se contentait de sodas, quelques uns buvait plus facilement des alcools. Vers 13 heures le traiteurs venait : il servait lui-même. C'était bien plus agréable d'être servis. Pour finir, juste avec le gâteau il servait le champagne. J'étais satisfaite de ce début de fête.
Arlette, avec son copain du moment faisait tourner les CD. Le traiteur partait avec son matériel nous laissant libre de faire ce que nous voulions. Nous voulions nous amuser; tout simplement.
Nous nous sommes amusés en dansant un peu, surtout des slows. Tellement amusés que nous fleuretions tous. J'avais trouvé un cavalier mignon comme tout, qui commençait à me serrer. Ses lèvres cherchaient les miennes. Au début je détournais la tête pour finalement l'autoriser m'embrasser.
Nos langues allaient de bouche en bouche. Je ne sais comment il faisait, en tout cas, il commençait à bien m'exciter, moi qui n'avait plus connu de garçon depuis au moins 6 mois. La terrasse se vidait de plus en plus. Nous y restions pratiquement seuls. Il se serrait contre moi: je sentais son sexe bander contre mon ventre. Il me donnait très envie de lui.
Nous ne savions trop où Arlette qui me surveillait d'un œil, tout en embrassant elle aussi un beau garçon, me disait d'aller dans me chambre où personne n'irait nous déranger.

Puisque elle-même me donnait l'autorisation d'aller baiser, je n'allais pas m'en priver. Je prenais la main de mon soupirant, l'emmenais dans la chambre: nous nous embrassions de plus en plus profondément. Enfin il osait poser une main sur ma poitrine, moi qui en mourrais d'envie. Je le tenais par la taille, je lui caressais la poitrine à travers sa chemise. Je sentais battre contre mon ventre, de plus en plus sa bite. Il semblait ne pas oser à aller plus loin. Je crevais d'envie de lui. Tant pis s'il me prenait pour une fille sans pudeur. Je prenais sa queue dans ma main, la massais longuement. Elle me semblait grossir encore. J'arrivais à lui enlever la chemise: son torse étais presque imberbe, par contre il avait des muscles bien développés. J'embrassais un mamelon. Il devait comprendre enfin que je voulais du plaisir. Il m'a déshabillé, je l'ai aidé à aussi nu que moi. C'est là qu'il avouait que j'étais sa première fille. J'en étais fière: dépuceler un garçon est agréable.
Je me mettais sur le lit, les jambes ouvertes. Il venait déjà sur moi pour baiser. Je l'en empêchais: je voulais bien le dépuceler, mais à ma manière. Je voulais aussi jouir. Je le faisais descendre la tête vers le bas ventre. Il découvrait une chatte. Devant tout lui apprendre je lui disais ce qu'il fallait qu'il me fasse:
- Lèches moi.
- Quoi ?
- Tout ce que tu trouves.
Il obéissait en tout. Il passait sa langue d'abord sur les lèvres. Je mouillais de plus en plus. Il arrivait sur mon clito. Je le faisais arrêter là. Il comprenait il était à un endroit qui me plaisait. Je n'allais pas lui dire que je me branlais par là.
-Arrêtes toi là, passes ta langues, aspire moi. Fait moi jouir.
Je ne sais si c'était ça, je jouissais dans sa bouche. Je pensais l'avoir dégoûté, au contraire, il continuait à me lécher. Je jouissais encore une fois. Je voulais qu'il me baise bien, alors, je le suçais pour le faire jouir avant. A sa surprise je prenais dans ma bouche son gland bien violet: je passais ma langue dessus: il se lassait faire.
J'entrais tout ce que je pouvais dans ma bouche: je le tétais longuement en faisant des arrêts pour faire durer son premier plaisir avec une fille. Je le sentais se tendre. Je sentais le liquide que tout homme dégage juste avant de jouir. J'aurai peut être ne pas le garder dans ma bouche. Quand il jouissait je récupérais son sperme. Au moins il se souviendrait qu'in fille peu avaler le sperme d'homme.
Comme il débandait, je m'arrangeais pour lui donner les caresses que je pensais devant recevoir pour bander encore plus. Je gardais sa bite dans ma bouche. Je lui caressais les couilles dures et enfin pour le faire bien durcir, je lui mettais un doigt dans le cul.
Enfin il retrouvait sa forme. Je pouvais me faire baiser. J'écartais les jambes en le faisant venir sur moi. Nous nous embrassions encore. Je lui prenais la bite en main pour le guider vers ma moule.
Je devais le retenir: il voulais entrer directement. Je l'en empêchais: je voulais mouiller encore un peu. C'Est-ce que je me forçais à croire: je voulais simplement retarder un peu l'accouplement.
Quand enfin il me la mettais c'était une délivrance: il me tardais tant que je jouissais aussitôt avec sa bite juste à l'entrée. Il a réussit à me faire jouir plusieurs fois sans qu' lui ne le fasse. Je me tournais en lui présentant mes fesses. Je voulais une baise intégrale: je lui donnais mon cul.
Je me mouillais entièrement. Je prenais encore sa queue pour la mettre sur mon anus, j'ouvrais bien mes fesses: je ne m'étais pas faite sodomiser depuis un moment. Je me détendais pour qu'il rentre sans problème. Il ne me la mise que quand je le lui ai demandé. Il semblait l'avoir fait depuis toujours: il allait à fond dans mon cul. Je sentais ses poils contre mes fesses. Il ahanait pendant que je soupirais de plaisir. Je participais à mon propre plaisir en me branlant. Il me faisait jouir comme une folle. Je sentais son sperme qui remplissait mes boyaux. C'était tellement bon que je ne voulais pas qu'il sorte de mes entrailles pourtant il débandait dans mes fesses et devait me quitter.

Il se faisait tard quand nous descendions. Presque tout le monde était parti. Il ne restait qu'Arlette et son copain qui pendant que je baisais était devenu son amant.
Sans gêne nous échangions nos impressions de baise devant nos amis qui en étaient gênés. Entre les échanges d'impressions et l'excitation il n'y a pas loin. Les garçons se regardaient un peu inquiets sur la suite. Avec Arlette nous devinions où nous allions. Les garçons pour le moment ne nous étaient d'aucun secours. Nous pouvions nous passer d'eux. Nous le montrions sans aucune fausse pudeur. Nous nous sommes embrassées longuement; sa langue était meilleure que celle de celui que j'avais dépucelé. Nous nous sommes pelotées longuement, mises nues presque aussitôt. Nous nous sommes installées sur la terrasse, sur une couverture pour nous masturber et ensuite nous sucer.
C'était très rare que nous baisions ensemble. Nos langues trouvaient à nouveau un ancien endroit connu. Je la léchais comme elle me le faisait. Nous nous mettions plusieurs doigts dans le cul. Un bruit nous parvenait les garçons étaient dehors la bite dans leur mains: il se masturbaient en nous regardant. Nous en étions encore plus déchaînées. Nous continuions nos caresses avec langues avant de nous mettre presque assisses en position pour que nos clitoris se frottent: nous en jouissions encore. Les garçons nous regardaient encore en bandant. Décidément ils étaient jeunes pour avoir la gaule encore une fois.
Arlette montrait maintenant ses talents d'organisatrice: il décidait de changer de garçon en les partageant: elle voulait une partie carrée. J'aurais préférer une baise normale, mais dévoyée comme elle était, nous nous pouvions que nous mettre sur le tapis, tous le trois: Je suçais son mec qui avant encore goût au con d'Arlette et celui que j'avais dépucelé me suçais. Il s'en sortait comme s'il avait fait ça toute sa vie. Je sentais sa langue aller à un endroit qu'il avait négligé tout à l'heure: il me léchait le cul. Il me rentrait un peu de langue à cet endroit. Je jouissait comme jamais. Arlette qui le suçait appréciait comme moi le sperme qu'il donnait volontiers dans sa bouche. Pourtant quand son mec jouissait dans ma bouche je trouvais qu'il avait meilleur goût que l'autre
Nous avons passé la nuit à quatre. Nous ne savons pas si nous allons nous revoir un jour: tant pis, nous nous sommes bien amusés en baisant ainsi.

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