Série Insolite. Épisode 8 : « Aurélien ». La Vengeance Est Un Plat Qui Se Baise Froid.
Je mappelle Aurélien, je suis né en 1972. Je nai jamais connu mon père, il avait abandonné femme et , dès ma naissance. À lâge de neuf ans, après le décès de ma mère suite à un cancer, je fus recueilli par mes grands-parents maternels, résidents dans une commune de la banlieue de Nancy. Là-bas je ne connaissais personne, mais très vite jai eu quelques copains et copines. Cependant, je fus très vite amoureux de la fille du maire que je ne voyais quà la messe car elle allait dans une école privée. Émilie avait deux ans de plus que moi, mais à lépoque, je métais toujours dit dans ma tête que je me marierais avec elle.
Les années avaient passées, dès le début de mon adolescence, javais une passion, la mécanique. Très jeune, je bricolais déjà mon vélo ou ceux de mes amis. À 14 ans, lorsque je pus enfourcher ma première mobylette, je réparais toutes les deux roues du quartier et même de la commune, dans un hangar le long du canal, en centre-ville, que mon grand-père me prêtait. Ce fut à partir de là, que je commençai à avoir une deuxième passion, les filles. Étant assez beau garçon, les mercredis après-midi et les week-end, cétait le défilé dans mon antre. Certaines jeunes filles venaient spécialement me voir pour que je puisse, soi-disant réparer leurs mobylettes et scooters, cétait une bonne excuse pour flirter, dans cet atelier et notamment dans lancien bureau attenant.
Ce fut ici que ma vie sexuelle avait commencé, au fur et à mesure que le temps passait et lâge avançait, je connus avec mes petites copines, mes premières fois : baisers avec la langue, attouchements, cunnilingus, branlettes et fellations, cependant jétais encore puceau. À 16 ? ans, je faisais plus que mon âge, jétais grand avec mes 1,85 mètres, assez svelte mais musclé. Avec les yeux verts et ma chevelure châtain foncé, mi longue et bouclée, je sortais avec de nombreuses filles de la commune ou du lycée. Ce fut pendant les vacances de pâques que je connus ma véritable première relation sexuelle.
Pour lavoir déjà surprise en train de rouler une pelle à un voisin en sortant de chez lui à plusieurs reprises, je savais que la factrice trompait son mari. Josiane nétait pas un canon, cétait une femme ordinaire de 26 ans, néanmoins, elle nétait pas mal foutue. Nous nous connaissions car je la voyais tous les jours. Ce matin-là, elle avait fini sa tournée, jétais seul dans latelier lorsquelle me demanda gentiment si je pouvais réparer la crevaison de la roue de son vélo. Jabandonnai immédiatement ce que jétais en train de faire pour lui rendre ce service. Je nen avais pas eu pour longtemps et quand le travail fut terminé, elle me demanda daller aux toilettes, je lavais accompagné et pendant quelle faisait ses besoins, je métais lavé les mains. Lorsque nous sommes sortis des sanitaires, elle demanda combien elle me devait :
Cest bon Josiane ! tu sais, tu peux me payer en nature. Lui répondis-je pour blaguer.
Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit cela, je métais même surpris davoir tenu ses propos, je naurais jamais imaginé quelle me prendrait par le cou pour membrasser. Elle retira son petit blouson et mattira dans le petit bureau où nous avions renouvelé notre baiser. Je me doutais bien de ce quelle désirait, ce nétait pas quun flirt, je ne savais pas exactement ce que je devais faire, cétait ma première fois. Je navais pas eu besoin de men inquiéter, ce fut Josiane qui avait pris les commandes, elle menleva le pantalon, abaissa mon slip et me fis massoir sur le canapé. A genoux devant moi, elle me suça un moment, elle navait pas mis longtemps afin que ma queue devienne bien raide.
Elle ne prit pas la peine de se dénuder, elle retira uniquement sa petite culotte et me demanda de la baiser. Elle grimpa sur moi et assise sur mes cuisses, elle prit ma queue dans sa main et la dirigea à lentrée de sa chatte puis sempala dessus en sagitant telle une amazone montant sur un cheval.
Ne voulant pas lui montrer que je venais de perdre ma virginité, ni une, ni deux, je lavais pénétrée avec détermination et je la ramonais avec une certaine puissance, ma queue me semblait navoir jamais été aussi grosse et lorsque je lui envoyai par grandes saccades tout mon sperme sur la raie de ses fesses, elle cria son bonheur en se crispant et en remuant de tous ses membres, cétait la première fois que je voyais une femme jouir. Ce jour-là, après quelle mait embrassé, elle me fit une nouvelle fellation et nous avions baisé une nouvelle fois avant quelle ne me quitte satisfaite. Javais eu loccasion de la baiser plusieurs fois mais six mois plus tard, elle avait changé de tournée.
Ma liaison avec Josiane mavait apporté beaucoup dexpérience et dassurance, maintenant que je nétais plus puceau, après avoir connu les joies de la profondeur dun vagin coulant de jouissance, cétait ce que jattendais de mes futures partenaires. Pendant les deux années suivantes, les jeunes filles qui venaient dans mon atelier, savaient à présent que je ne désirais pas que dadmirables pipes, je voulais les baiser. Avec mon pote Thomas et Maryse, une salope rencontrée dans laprès-midi, nous nous étions retrouvés tous à poil, sur le vieux canapé. Nous lavions baisée à tour de rôle avant de la prendre en double, cétait la première fois que nous avions partagé notre partenaire. Depuis ce jour, il nous était arrivé de renouveler lexpérience ou déchanger les filles que nous avions draguées dans la semaine ou lors dune soirée étudiante.
Je navais donc que des aventures passagères, je ne mattachais pas car mon cur était pris. Avec largent de poche et celui que me rapportait les petites réparations, je métais acheté une moto enduro et lors de mes balades, je passais toujours dans le quartier chic de la ville où japercevais Émilie, la fille du maire que je navais jamais oublié.
Très coquette mais très BCBG, elle aimait être regardée et désirée, comme elle était toujours entourée de gars plus âgés, certaines mauvaises langues du village, disaient delle : « Cest une vraie salope. » sa réputation était faite, cétait la raison pour laquelle, je navais jamais osé laborder. Pourtant lorsque nos regards se croisaient, jen mourais denvie. Ce samedi fin mai 1990, il était déjà 16 heures, je finissais de remonter la mobylette dune copine qui devait venir la reprendre le dimanche en fin daprès-midi. Quelle surprise, lorsque je vis Émilie pénétrer dans mon atelier :
Bonjour Aurélien !
Salut Émilie ! Cest pourquoi ? Lui demanda-il en admirant son décolleté provoquant.
Bien entendu, tous les garçons de notre âge fantasmaient sur elle, cétait un canon et de nombreux mecs désiraient sortir avec cette beauté. Je lui souris tout en la dévisageant pendant quelle expliquait son problème. Son scooter fonctionnait très mal et devait se présenter pour son premier jour de stage le lundi. Jétais aux anges, mon Émilie avait besoin de moi, cétait une occasion rêvée pour lui avouer ma flamme, me disant : « Si seulement le courant pouvait passer. » Lorsquelle était descendue de son deux-roues, cétait la première fois que nous nous faisions la bise. Je ne voulais surtout pas gâcher notre rencontre :
Je vais faire un tour avec et je te dirai ce qui cloche.
Attends, je monte derrière-toi.
Je pris la route le long du canal avant daller sur la nationale, Émilie me prenait par la taille, ses mains douces sur mon ventre, me faisaient un bien fou, elles me faisaient vraiment de leffet. Nous avions roulé une bonne dizaine de minutes, son véhicule fonctionnait correctement, mais javais envie de rester encore un peu comme ça.
Le moteur doit faire lobjet dune révision, il faut effec une vidange et un bon réglage. Ton embrayage est fatigué mais tu peux encore rouler comme ça, il ny a pas le feu.
Jen aurais besoin très rapidement. Tu pourrais me faire cette révision, je vais en stage lundi matin ?
Cette révision pouvait attendre, je me demandais bien pourquoi Émilie était venue me voir. Elle aurait très bien pu demander au mécano de la mairie, néanmoins je jouai le jeu jusquau bout :
Non ! Ça mennuie mais
Je nai pas le temps, jai cette mobylette à remonter pour une copine et nous sommes déjà samedi. Mavançais-je avec une idée derrière la tête.
Comme je lavais pensé, Émilie savait être très convaincante avec les garçons, elle se plaqua à moi en me prenant par le cou. Après mavoir déposé un baiser sur mes lèvres, elle se pencha à mon oreille :
Allez ! Soit gentil Aurel ! Me souffla-t-elle dun ton lascif.
je fus surpris quelle connaisse mon diminutif, il ny avait que mes amis qui me nommait ainsi. Je persistai encore un peu afin de connaitre les vraies raisons de sa venue.
Non vraiment ! Jai trop de boulot et jai le bac à réviser.
Émilie ne répondit pas mais menlaça et me roula carrément une pelle, ses mains baladeuses se retrouvaient sur mes fesses. Jétais fou, je lenserrai dans mes bras, lui caressait le dos et les hanches tout en offrant ma langue. À la fin du baiser, je me décidai enfin :
Pourquoi es-tu venue Émilie ?
Cest ton pote Thomas, il ma dit ce matin que tu aimerais bien sortir avec moi, depuis longtemps déjà.
Et toi, tu veux profiter de moi ?
Non pas du tout ! je te jure, moi aussi, je le voudrais bien. Cest vrai au début je te trouvais trop jeune mais depuis
Elle me reprit dans ses bras et membrassa passionnément, le baiser nétait pas feint, nous semblions amoureux. Je lui expliquai que je devais finir mon travail et que je moccuperais de son scooter avant de manger, je lui donnai rencart pour 21 heures ici à latelier. Elle accepta tout de suite et nous nous retrouvions une nouvelle fois les lèvres soudés jusquà son départ. Jétais déjà excité à la pensée que jallais me retrouver dans quelques heures avec elle, cela me mettait dans un tel état que jeus des difficultés à penser à mon travail.
Javais bossé jusquà 20 heures sans interruption, jétais allé chez moi pour grignoter un morceau, métais douché et jétais revenus pour lheure du rendez-vous. Émilie était splendide et super sexy, dans sa mini-jupe rouge, et son débardeur blanc avec un décolleté impressionnant. Nous nous étions installés dans le vieux canapé du bureau où nous étions restés une très grande partie de la nuit. Tout ce quon colportait à son sujet était totalement faux. Émilie aimait recevoir les caresses manuelles et buccales, savait aussi rendre la pareille avec ses mains et sa bouche mais elle était loin dêtre une experte, elle appréciait beaucoup jouir en se faisant masturber et donner du plaisir au garçon en retour.
Elle mavoua quelle avait perdu son pucelage dès lâge de 15 ans en vacances avec un type de 24 ans et quelle en gardait un très mauvais souvenir. Comme elle ne fut pas très discrète en le répétant à ses amies, sa réputation de « Marie couche-toi-là » fut faite ainsi, autour delle. Néanmoins, elle navait jamais renouvelé lexpérience, elle sortait avec des garçons mais cela nallait jamais jusquà la pénétration. Jétais donc le premier depuis quatre ans et elle en était heureuse. Quant à moi, en deux ans javais progressé car je connus de nombreuses aventures et ce fut suite à une dentre elle, avec une bonne amie dÉmilie que celle-ci compris quelle était jalouse et quelle maimait.
Au départ, je lavais un peu piquée au vif en lui disant quelle nétait quune gamine, cela lavait vexé, elle voulait me prouver le contraire. Nous nous enlacions pour nous embrasser langoureusement, elle était bouillante, elle avait réellement très envie de soffrir à moi sans aucun tabou. Je lui relevai son teeshirt afin de faire jaillir sa poitrine, ses seins étaient superbes et je commençai à les malaxer, les pétrir, jagaçai ses tétons, elle ne savait plus où elle était. Elle donnait limpression de vivre éveillée en pleins fantasmes : « Tu es splendide Émilie » « Hum ! Jadore !» Me répondit-elle en rougissant sous mon compliment.
Ma bouche remplaça mes mains, elle ne pouvait pas sempêcher de pousser des soupirs de plaisir. Puis brutalement, je me levai et me plaçai debout devant elle qui était toujours assise sur le divan. Je déboutonnai mon bermuda, le laissant tomber à mes pieds, son visage se retrouvait en face de mon sexe en pleine érection quelle trouva énorme. Je sentais bien quelle appréhendait, voyant son hésitation, japprochai ma queue un peu plus vers sa bouche : « Ton phallus est impressionnant. » me dit-elle en le touchant du bout des doigts. « Tu veux bien me sucer un peu ? » Lui demandais-je sans la brusquer.
Émilie savait faire des fellations, elle avait repris confiance, elle prit mon sexe entre ses mains et commença à le masturber doucement avant que sa bouche sapproche timidement pour lécher cette verge dure comme de la pierre que je lui présentais fièrement. Je gémissais sous ses coups de langue, me voyant ainsi, elle senhardissait, elle enserrait ses lèvres autour de mon gland et le suça, le lécha, jouait avec sa langue. Cette pipe sublime nous procurait un plaisir à chacun, Émilie sappliquait, elle ne voulait pas me décevoir mais cela lexcitait énormément, elle mettait tout son cur dans cette fellation qui faisait mouiller sa petite culotte.
Je ne voulais pas éjaculer tout de suite, je lallongeai sur le divan et lui enlevai son tee-shirt et sa jupe puis le dernier rempart. Elle avait des traces de mouille sur le fond de sa petite culotte blanche, elle en rougit lorsquelle sen aperçut : « Jadore te voir ainsi gênée, tu es encore plus belle. » Lui dis-je. Je sentais bien quelle nétait pas très rassurée, elle avait peur davoir mal, comme pour sa première fois et le moment fatidique approchait : « Vas-y doucement Aurel. » Me dit-elle en baissant les yeux.
Ne tinquiète pas ! Tu vas aimer ça, tu en redemanderas.
En disant ça, je métais allongé sur elle, en lui écartant les cuisses, javais ma queue raide comme un bâton de police sur son ventre. Avant de la pénétrer, je lembrassai à nouveau avec beaucoup de sensualité, elle semblait beaucoup plus décontractée, elle mouillait encore sous mon doigt que javais glissé entre ses jambes. Notre excitation était à son comble, ses sensations de désir montaient de ses entrailles, ce fut elle qui avait soudain envie que je la pénètre : « Viens Aurel ! Prends-moi maintenant. » Elle se crispa un peu lorsque mon gland perfora sa fente humide puis sabandonna complétement pendant mes coups de boutoir.
Nous avions fait lamour jusquau petit matin, elle navait jamais joui ainsi, elle était comblée et en redemandait toujours plus. Depuis, nous nous retrouvions tous les soirs et tous les week-end, nous baisions comme si cétait la dernière fois. Notre amour dura deux ans, jétais parti à larmée et lors de ma première permission deux mois plus tard, elle était partie en vacances avec des amis. Puis lorsque jétais revenu des îles, elle ne voulait plus me voir, soi-disant que jétais trop jeune. Elle avait rencontré un docteur qui lépousa quelques années plus tard. Comme dirait Catherine Ringer des Rita Mitsouko : « Les histoires damour finissent mal, en général. »
Javais très mal vécu cette séparation, je regrettais de ne pas lavoir baisé comme je le faisais avec les autres filles qui venaient se faire sauter dans mon atelier. Néanmoins, je pris ma revanche douze ans plus tard, elle était venue me rendre visite dans mon garage, me disant quelle était toujours amoureuse de moi et quelle était prête à quitter son mari pour se remettre avec moi. Je ne métais pas gêné ce jour-là, lavais baisé comme une salope dans mon bureau et je lavais même enculée. Cependant, elle avait très apprécié et venait régulièrement prendre sa dose et je men donnais à cur joie. Le docteur avait appris son infidélité et lorsquil avait demandé le divorce, je lui avais ri au nez en lui disant : « Non ! tu es bien trop vieille pour moi. »
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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