Leslie Nr25

Leslie NR25 – Nouveaux récits
Retrouvailles – Elle est devenue une sacrée salope

J’étais jeune, à peine dix-huit ans, quand Dany, un copain de lycée de deux ans plus vieux, m’a dragué, avec ses airs romantiques tout de suite il m’a plu et il est devenu mon petit ami.
Il avait compris, dès que nous sommes sortis ensemble, que je n’avais jamais eu de relations intimes ou sexuelles avec d’autres et que je tenais à ce que cela reste ainsi, il respectait cette clause de notre relation, s’échangeant juste des baisers, rien de plus.
Je sentais bien qu’au bout de quelques semaines cela ne lui convenait plus, mais je tenais bon, quitte à ce qu’il se lasse de moi, et pourtant je croyais à cette époque être amoureuse.

Dany, était grand et viril, brun aux yeux sombres, tout ce qui faisait craquer les filles, il ne cessait de me répéter que j’étais un joli brin de fille et qu’il avait de la chance de m’avoir comme petite copine, mais je sentais bien qu’il désirait allez plus loin avec moi…
Brune au corps mince, ma poitrine aux seins généreux sans être imposants avec de larges aréoles sombres au bout toujours dressés était regardée par les hommes qui croisaient mon chemin, mon allure cambrée et mes fesses fermes et rondes n’imposait pas non plus l’indifférence, je crois même que certaines filles du bahut, m’auraient bien entrainées dans leur lit… Mes yeux verts de jade complétaient une silhouette que je dois avouer me plaisait bien quand je me regardais dans la glace de ma chambre.

Quand nous étions seuls, il lui arrivait de tenter de me montrer ses désirs pour moi, tout en m’embrassant il caressait mes seins par-dessus mes effets, parfois même il lui arrivait de me peloter les fesses par-dessus mon jean, souvent je le repoussais en lui disant :
- Soit patient !
Il me disait à chaque fois qu’il n’en pouvait plus, que l’attente était trop longue, qu’il aurait aimé me faire jouir de ses doigts en me doigtant.

Pour moi la pression devenait insupportable, alors une fois je l’ai caressé par-dessus son jean, constant qu’il avait un gros sexe, mais je l’ai une nouvelle fois repoussée lorsqu’il a voulu aller plus loin…
Le soir même, il me jetait en me disant :
- Tu n’es qu’une allumeuse !

Les semaines qui suivirent furent pénibles, il me manquait mais, pour ne pas avoir cédé à ses avances je ne pouvais lui en vouloir, c’est la vie et petit à petit son image s’est estompée de ma mémoire.
Il faut dire que les tournures de la vie m’y ont bien aidé, en effet, deux mois après ma rupture avec Dany, j’ai rencontré Chloé, une jeune fille de mon âge, lesbienne convaincue et très jolie, qui m’a emmené dans son lit le jour de mon dix-huitième anniversaire.
Chloé m’a initié aux plaisirs du saphisme, en deux mois elle connaissait tout de mon corps, elle me faisait jouir de ses mains et de sa bouche, elle m’a appris à donner du plaisir à une femme et à me masturber, puis elle m’a emmené dans le monde lesbien et m’a fait connaitre d’autres femmes, six mois plus tard, j’étais une lesbienne recherchée et demandée…

Petit à petit, j’ai commencé à m’intéresser à mon corps, désormais je m’épilais intégralement et régulièrement pour le plus grand plaisir de mes amantes qui adoraient ma vulve aux lèvres brunes apparentes, je me suis découverte femme fontaine dans les bras d’une femme d’une quarantaine d’année qui avait un toucher exceptionnel et avec une amante emo, j’ai découvert le monde du tatouage et des piercings.
Et le temps passant, pendant les deux années suivant mes dix-huit ans, j’ai enchaîné les aventures saphiques avec des amantes d’un soir ou de plusieurs jours parfois.
Certaines ont voulu me faire découvrir les joies de la pénétration mais je ne me sentais pas prête à vivre l’expérience jusqu’au jour où j’ai rencontré Maryse…

Maryse était une femme au corps fin, qui cachait un tempérament de feu, lesbienne depuis son plus jeune âge, elle était une lesbienne active, elle acceptait de se faire pénétrer ses orifices par les gadgets de ses amantes, mais adorait surtout user de ses godes dans le corps de ses conquêtes.
D’une extrême douceur, elle devenait sauvage dans les instants où équipée elle pénétrait ses amantes.
Elle m’a dépucelée avec une rare douceur, usant de ses charmes et de sa tendresse pour me rassurer, puis après que je me sois habituée à être pénétrée, elle m’a initiée à la sodomie.
Quand nous nous sommes séparées, je savais que ma vie ne serait jamais plus comme avant, à présent j’aimais le sexe et ne pourrais jamais plus m’en passer, les hommes se serait certainement pour plus tard, car comme me disaient certaines lesbiennes bisexuelles, rien ne vaut une bonne vraie queue.

Puis ce fut le temps des tatouages, en premier, je me suis occupée de ma poitrine en faisant tatouer ma poitrine, emprisonnant chacun de mes seins dans une toile d’araignée dont le centre de cette toile laissait passer mes tétons, puis peu de temps après ce fut le tour de mon dos, guidée par mon ancienne amante emo, je me suis fait un tatouage intégral dans le dos représentant un dragon, de style japonais, qui la tête posée sur mon épaule gauche crachait le feu le corps recouvrant la majeure partie de mon corps, grâce au réalisme il paraissait accroché à mon corps par les pattes avant à la hauteur de mon buste et les pattes arrière sur le haut de mes fesses, quant à sa longue queue, elle démarrait grosse dans le bas de mon dos pour se perdre un peu entre les lobes de mes fesses et terminer dans l’aine droite après avoir fait le tour de ma cuisse.

A cette époque je multipliais mes relations, tournée vers les jeunes filles quand l’occasion se présentait, ou des femmes aux tendances actives afin de me faire sodomiser, car j’adore cette pénétration avec cette sensation de s’offrir complètement.
Je me suis fait tatouer aussi de fausses jarretières en dentelles sur le haut de mes cuisses, ainsi qu’un phénix, ailes déployées, sur chaque côté extérieur de mes jambes.
Je devenais vraiment accroc du tatouage, mes bras furent recouverts à leur tour, le bras gauche par une geisha en habit traditionnel, tandis que le droit reçu un samouraï en habit de combat, des tatouages dans la pure tradition japonaise.

Une de mes amantes voyant mon corps me dit que je devrais compléter les tatouages de mon corps par le devant, les toiles d’araignées lui semblant simpliste par rapport aux autre, même si cela mettait mes seins en valeur.
Après réflexion, le dernier tatouage qui orna mon corps fut un cerisier en fleur, de style japonais, coordonné avec tous les autres
Il prenait racine sur mon pubis le plus bas possible à la limite du haut de me vulve pour s’épanouir sur mon ventre, une branche en fleur passait dans le sillon de ma poitrine, tandis que deux autres entouraient mes seins de part et d’autres de mon corps, un piercing rubis vint orner mon nombril et quand je me regardais dans la glace, le résultat était saisissant, digne d’une estompe japonaise ancienne. Je crois que je m’aimais un peu.
L’envie fut aussi d’avoir un bijou de sexe, mais je me suis dit que cela pouvait attendre un peu…

J’ai revu Dany, lors d’une soirée d’anciens étudiants du bahut, ce jour-là j’étais avec mon amie Tina, une fille avec qui je m’entendais bien tant dans la vie que dans l’intimité. Avec elle je découvrais le monde de la bisexualité, lesbienne comme moi, elle ne refusait les aventures avec les hommes, il faut dire qu’elle était jolie et attirait les regards, j’ai fait mon premier trio avec elle, une nuit de folie où mon sexe et mon petit trou furent investis par un vrai membre et je dois avouer que j’ai adoré.
Avec Tina nous avons plusieurs fois renouvelé l’expérience et je crois être devenue moi aussi bisexuelle, j’ai constaté pendant nos ébats que j’adorais sucé un vrai membre, qui palpitait sous ma langue contrairement aux godes de mes amantes, de même j’ai rapidement pris goût aux pénétrations violentes et profondes, me sentir investi par ces membres raides et dur de mes amants aux désirs les plus fous, et aussi offrir mon petit trou sous les yeux complices de mon amante. La voir se faire prendre dans les plus folles positions et par tous ses orifices m’excitait comme une folle et nos ébats n’en étaient que plus forts quand nous nous retrouvions ensuite.

J’avoue qu’à cette soirée le passé est revenu d’un coup, et un certain trouble est monté en moi, je me suis souvenu de ma main effleurant le membre de Dany au travers de son jean et une envie d’aller plus loin est née en moi.
Nous avons échangé nos numéros de téléphone en nous promettant de nous revoir le plus vite possible, il était évident que je ne laissais pas cet ancien flirt insensible à mon nouveau look…

A suivre…

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