Un Don Du Ciel
Je suis médecin de campagne et apprenti vétérinaire. Lors de ma première année de fac il y a quelques années, j'avais pour copain de chambrée un magnifique black. Djembé, je me souviens de lui comme si c'était hier. La première fois que nous avons été présenté un autre de mes camarades m'a dit qu'il s'appelait Djumbo l'éléphant noir, je n'avais pas au début compris la subtilité de ce surnom.
Un jour alors que je le pensais sorti, j'ouvrai la porte de la salle de bain. Quelle ne fut pas ma surprise en tombant nez à nez avec lui nu et une énorme trompe déléphant en guise de sexe. Confus et à la fois subjuguer par la taille de son appendice je ne pu en détacher mon regard tout en rougissant. Il avait visiblement l'habitude de ce genre de situation et me dit : « ne tinquiète pas tout le monde réagit comme ça au début mais on fini par s'y faire » et il éclata de rire.
Djembe c'est l'hétérosexuel de base . Un peu bourru mais sympathique à souhait. Il a une magnifique copine, elle s'appelle Fafa. Digne représentante de la gente féminine de sa race . Souvent me dit Djembé en parlant d'elle : « tout déborde mais rien est à jeter ». En effet deux énormes seins agrémentent sa poitrine et une sublime paire de fesses contrebalance la largeur de son bassin. Djembé est aux anges et me dit : « elle peut allez se rhabiller la femme de Roger Rabbit ». Certains soir je dois quitter la chambrée pour qu'il lhonore de sa copieuse trompe. Je ne lui ai jamais avoué que j'aurai aimé être à la place de Fafa.
À la fin de cette première année détudes réussies haut la main Djembé et moi sommes les meilleurs potes. C'est ainsi que suite au désistement de son petit frère il me propose de l'accompagner en vacances dans son pays natal avec sa chère et tendre.
Nous voilà tous les trois dans un petit village tchadien fait de petites cases en terre rouge dans un paysage à moitié désertique et où la végétation clairsemée semble danser sous l'effet de la chaleur torride.
Djembé et Fafa sont installés dans une case non loin de la mienne. La simplicité et le coté rudimentaire de cette petite habitation me rend heureux moi qui métais toujours plaint auprès de mes parents que le faste de nos vies et l'argent qui avait toujours couler à flot dans cette famille pourrissaient notre existence. Me voilà dans un tout autre univers et ça me plaît.
Deux semaines déjà que nous profitons de ce que j'appelle un paradis, que ça passe vite. Un jour alors que Fafa est semble-t-il partie en ville faire quelques courses avec toutes les femmes du village, j'entends soudain un hurlement et ne voilà pas Djembé qui se pointe dans ma case son énorme sexe entre les mains. « Ça brûle » me dit-il en pleurant, me le montrant du regard. Je me rapproche lui enlève ses mains et là le choc. L'engin avait quasiment triplé de volume sans érection. Plusieurs dèmes en parcouraient la surface. « Comment t'es-tu fais ça » ? Lui demandai-je. Il me répondit qu'il était allé pisser prêt d'un buisson et qu'il n'avait pas vu le nid de guêpe. Son sexe continuait à doubler de volume. « J'ai mal »me dit-il.
Je suis originaire de Guyane française et chez moi on connaît toute une panoplie de remèdes créoles . Je lui explique qu-il faut aspirer le venin avec un aspivenin et qu'ensuite il faudra faire un cataplasme pour atténuer la douleur. « Eh tu va trouver ça où, tu oublies qu'on ai à la campagne ici » !
Sans perdre un instant j'applique ma salive sur une de mes mains et commence à badigeonner son sexe. « Tu fait quoi là » ? « Je te soigne avec les moyens du bords » et sans lui demander son avis je glisse son sexe dans ma bouche et commence par de petites succions pour en retirer le venin.
Djembé est aux anges il éructe de plaisir quand tout à coup Fafa fait son entrée.
En colère elle demande ce qui ce passe et qu'est ce qui ne va pas chez elle pour que son Djembé en arrive à ça ! Il lui explique la situation et loin dêtre décontenancée elle me regarde en me disant « je prends le relais maintenant » tout en me remerciant d'avoir porté les premiers secours à l'appendice si précieux de son homme.
Plus tard, dans la nuit Djembé se pointe à nouveau dans ma case en prétextant que j'avais un don pour soigner l'homme et qu'au grand Dieu, Fafa ne l'avait jamais reçu. Il me supplia afin que je reprenne le soin commencer plus tôt cet après midi.
J'ai passer trois années de fac avec Djembé, j'ai assisté à son mariage en tant que témoin, je suis le parrain de ses deux fils et Fafa me remercie encore aujourd'hui de si bien soigner son homme.
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