Laura 3

Je refermai le livre, excédé. Cela faisait trois heures que je bossais dans cette stupide bibliothèque, mais rien à faire, mon devoir à rendre pour la semaine prochaine n'avait pas avancé d'une ligne. Je commençai vraiment à fatiguer, et lorsque je levai les yeux, je vis quelque chose qui à coup sur n'allait pas m'aider à me concentrer : Laura venait vers moi.

C'était une belle fille, de taille moyenne, d'origine maghrébine, avec des cheveux noirs, un beau visage, une poitrine attirante (90c), et des fesses à tomber. Elle se dirigeait vers moi, et en la regardant, j'oubliai instantanément mon stupide devoir. Je me mis à repenser à nos dernières rencontres. On s'était connus en vacance à la plage, et on s'était revus à la fac, et à chaque fois, ça avait donné lieu à de magnifiques parties de jambes en l'air. Lorsqu'elle s'assit en face de moi, je sus qu'elle se souvenait parfaitement de ces moments, et je ne m'en souvenais que trop bien, moi aussi… Elle ne m'adressa pas la parole, et je fis de même, mais nos yeux se croisaient régulièrement, et elle souriait d'un air coquin que je connaissais bien… Elle était vêtue d'un t-shirt rouge assez moulant, et d'un jean un peu trop serré... Ça allait être très dur de me concentrer sur mon devoir à présent !

L'heure qui suivit fut une vraie . Laura me servait des tas de petits sourires coquins, prenait des poses assez lascives suçotait son stylo de façon indécente… Le tout en affectant de travailler. J'avançai encore moins vite au cours de cette heure qu'au cours des trois précédentes. Découragé, je quittai la bibliothèque. Laura me suivit aussitôt. A la sortie de la bibliothèque, elle me rattrapa.

« T'arrives pas à bosser ? Me demanda-t-elle innocemment. »

« On se demande pourquoi… répliquai-je. »

« Oh excuse moi, je suis une fille tellement vilaine... »

Avant que j'aie eu le temps de répliquer, elle me saisit par le pantalon, et m'entraîna dans les toilettes pour filles de la bibliothèque qui était déserte.

Elle me fit entrer dans un cabinet, et referma la porte brusquement. Puis elle me plaqua contre le mur. Un sourire pervers aux lèvres, elle se mit à m'embrasser langoureusement. Je me laissai aller un temps et répondis à son baiser. Mais de plus en plus, le ton montait entre nous, et nous devenions plus sauvages. Lorsqu'elle passa la main sur la bosse que formait mon pantalon, le souvenir de mon devoir me revint brusquement en mémoire, et je la repoussai.

« Tu fais quoi là ? S'exclama-t-elle. »

« Désolé, mais aujourd'hui ça va pas être possible, fis-je haletant. J'ai du boulot, et faut que je rentre chez moi m'y remettre. »

« Non répliqua Laura. On va aller chez moi, et on va baiser comme des dingues. Et après si tu veux tu bosseras. Mais pas avant de m'avoir fait jouir. »

« Non désolé, là je peux pas. »

Je fis mine de partir mais elle me plaqua contre le mur presque avec violence.

« Je plaisante pas tu sais. On va chez moi et tu me baises jusqu'à ce que la tête me tourne. Tu sors pas d'ici avant d'avoir dit oui. »

« Je dis non. »

Elle me sourit, et me fit un bisou dans le cou. Puis, elle pressa son corps contre le mien, tout en continuant de m'embrasser. Ensuite, elle se retourna, et frotta ses fesses contre mon sexe, me faisant triquer instantanément. Je poussai un léger gémissement, et elle me dit :

« Alors, t'es sur de pas vouloir venir chez moi ? On y sera bien, et je continuerai ça... »

Elle se mit à me branler à travers mon pantalon délicieusement et je compris que même en rentrant chez moi immédiatement, je ne pourrai pas me concentrer de la soirée. Rendant les armes, je dis :

« Ok on va chez toi. »

Laura eut un sourire de triomphe, et nous allâmes prendre le train. Le trajet ne dura qu'une dizaine de minutes, mais ça me parut durer une éternité.

Une fois chez elle, Laura claqua la porte derrière nous, et se jeta sur moi. Elle me plaqua contre le mur, et me m'embrassa comme une furie. Je lui rendis son baiser sur le même ton, l'attrapant par la nuque. Après un baiser passionné, elle se dégagea de mon étreinte, et me retira mon t-shirt. Elle donna un coup de langue sur mes pectoraux, avant de commencer à me masser la queue. Je la poussai, et la plaquai contre le mur d'en face, avant de lui retirer son t-shirt. J'admirai son corps dévoilé largement par son soutif rouge. Je voulus l'embrasser partout, mais elle me sauta dessus, enroulant ses jambes autour de mes hanches. Nous partageâmes un baiser passionné, tandis que je la tenais par les fesses.

Je l'étalai sur la table de son salon, et pus alors dévorer son corps, embrassant son ventre plat, son buste, massant ses seins à travers son soutif. Je m'en donnai à coeur joie ! Laura se trémoussait d'un air ravi, et se laissa faire un bon moment. Puis, elle sembla en avoir assez. Elle me repoussa, se releva, et me saisissant par le pantalon, elle m'entraîna dans sa chambre. Là, elle me jeta sur le lit, et je m'y étalai de tout mon long. Avec un sourire, Laure entreprit un délicieux strip tease, retirant son jean tout en se déhanchant, retirant ensuite son shorty qu'elle me jeta au visage, avant de finalement retirer son soutif, libérant sa volumineuse poitrine. A ce moment là, je me redressai d'un coup, pressé que j'étais de la rejoindre, et… elle me repoussa et me jeta sur le lit à nouveau.

« Tu restes allongé, c'est moi qui dirige ici, pas toi. Lança t-elle d'un ton autoritaire. »

Elle m'arracha mon jean, avant de me retirer sans plus de ménagement mon caleçon. Elle saisit mon sexe enfin libéré à pleine main, et le branla un peu, l'aidant à être définitivement raide et tendu. Puis avec un gémissement de plaisir, elle s'empala dessus. Elle se mit à me donner des coups de rein d'avant en arrière à un rythme élevé me culbutant fortement. Elle gémissait à chacun de ses allers retours, et régulièrement, elle se tenait la tête tant le plaisir était élevé. Pendant qu'elle me baisait, je me mis à lui masser les fesses et les seins, m'émerveillant de la perfection de son corps. « J'adore ta queue, soupira-t-elle, elle est tellement bonne ! » Mais soudain, elle me saisit les poignets, et me plaqua les mains contre mon torse. « Je te l'ai dit, c'est moi qui dirige. » Elle se mit alors à donner des coups de reins de gauche à droite, se déhanchant comme si elle faisait une danse du ventre. Je ne tardai pas à pousser des cris de plaisir très forts, et elle me regarda dans les yeux avec un air de satisfaction, tandis qu'elle me baisait sans cesse plus vite et plus fort. Elle ne tarda pas à gémir elle aussi, et nos cris redoublèrent lorsqu'elle se mit à sauter sur mon sexe, rebondissant dessus comme sur un trampoline. Elle lâcha mes mains pour me griffer le torse, puis, elle me saisit par le cou, et continua de me baiser tout en me regardant droit dans les yeux, comme en signe de défi. Je décidai alors de reprendre le dessus.

J'attrapai la main de Laura qui me tenait le cou, et lui serrai le poignet. Puis, j'attrapai l'autre main, immobilisant la belle maghrébine. Elle se débattit un peu, mais ne pouvait rien faire. Sans difficulté, je la renversai, et passai au dessus. Je lus dans ses yeux l'excitation que lui apportait ce retournement de situation. Je la retournai, et la mis à quatre pattes. Et alors, je me mis à la baiser sauvagement en levrette. J'allais et venais d'avant en arrière, la limant avec vigueur, me délectant de l'entendre gémir à pleine voix. J'allais à un rythme élevé, et ne cessais d'accélérer le tempo, cognant le fond de son intimité à chaque fois. Tout en la baisant, je lui pris les mains et les lui mis dans le dos, histoire qu'elle sente bien qu'elle ne pouvait rien faire. Lorsque je lui lâchai une main pour lui titiller le clito tout en continuant à la baiser sans cesse plus fort et plus vite, les gémissements de Laura devinrent de véritables hurlements, et elle ne tarda pas à exploser plaisir dans un terrible orgasme. Je continuais à la baiser ainsi, jusqu'à me sentir moi même proche de la jouissance. Alors je décidai d'en finir.

Je la retournai, l'allongeant sur le dos, et insérai ma bite dans sa poitrine. Je me mis à me branler avec ses seins comme un fou, enserrant sa poitrine autour de mon sexe, et coulissant dedans avec délectation. Tout en me branlant, je regardai Laura droit dans les yeux, et y lisait toute l'excitation qu'elle ressentait à être utilisée ainsi, comme un sex-toy, et cela m'excitait encore plus. Je ne tardai pas à avoir un merveilleux orgasme à mon tour, jouissant à grands flots dans sa poitrine.

Ravi de cette baise, je m'effondrai aux côtés de Laura. Je rentrai chez moi heureux comme jamais. Je me remis à mon devoir, et pour la petite histoire, j'en obtins un 15/20. Comme quoi, se détendre est important pour réussir ses études !