Jai Maté Une Meuf Qui M'A Enculé

Je me ballade dans les calanques de Cassis. Soudain, je m'arrête. Une femme, dans les 30 ans, à première vue, enlève son t-shirt. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Un craquement, elle sursaute et regarde autour d'elle. Ses seins, allongés et rigides, comme des pastèques, suivent ses mouvements de tête. M'a-t-elle repéré, je n'en sait rien. Elle s'assoit sur un rocher et baisse son jean. Elle se relève et me tourne le dos. Elle se baisse pour ôter le pantalon, m'envoyant un flash, sur la courbure de son cul. Une oeuvre d'art ! Une cambrure, un modelage d'enfer. Ses fesses sont dessinées comme faites pour mes mains. Elle se relève, empoigne sa culotte et l'envoie rejoindre le pantalon, dévoilant la blancheur de la peau, non étalée au soleil. Elle est bandante.
Elle se retourne encore une fois, vers moi, et glisse sa main entre ses cuisses. Comme par mimétisme, je glisse la mienne dans mon slip. Je ferme les yeux, et je l'imagine sous moi, offerte. Je suis en train de me branler, le short sur les cuisses. Soudain, quelqu'un me tape sur l'épaule. J'ouvre les yeux, elle n'est plus là. Je me retourne, c'est elle. Elle se laisse tomber sur les genoux, au moment-même, où le sperme jaillit de ma queue. Elle la prend dans sa bouche, et je vois sa gorge déglutir quand elle avale la giclée. Elle se relève, et tente de me renverser en arrière. Je me laisse aller, et je me retrouve assis par terre. Toujours à poil, elle enjambe les miennes, et viens s'embrocher sur ma pine. Elle est déjà trempée. Maintenant, j'en suis sûr. Elle m'a vu venir, et s'est empressée de se mettre en scène. Ma queue au fond de sa moule, elle branle ma queue avec les lèvres de sa chatte. Elle serre tellement les cuisses, que sa chatte se referme et emprisonne le gland. Une deuxième éjaculation l'inonde. Elle se relève, me tourne le dos, et écarte ses fesses avec ses mains. Elle me montre le petit trou dans lequel, elle va fourrer ma pine. Elle trempe mon gland dans le sperme qui coule encore de sa chatte.

Elle en badigeonne sa raie et son petit trou, puis, enfonce mon membre, dans son joli cul.
- Tu t'attendais pas à ça, hein ? Dit-elle.
- Et tu fais ça souvent ?
- Seulement si le gars me plaît !
- Alors je te plais ?
- Avec ta petite gueule d'amour, tu plairais à Cruella d'Enfer ! Tu as de la chance que je sois pas un mec !
- Pourquoi ?
- T'as jamais regardé ton cul dans une glace ? Je suis sûr que des gars rêveraient de te planter. Si j'étais sûre que tu reviennes demain, je serais là, toute équipée ! JE SERAI LA ! Et je me je ferai ton joli cul ! Si tu viens...
Et je suis revenu. Quand elle m'a vu, elle a sorti un sac en cuir. A l'intérieur, une ceinture-gode. Elle était déjà à poil. Elle m'a déshabillé, et m'a collé contre un arbre. Elle a écarté mes fesses avec le sexe factice, a graissé le faux membre, puis à posé le gland en plastique sur le petit trou. Copiant les mimiques d'un mec, elle me prit aux hanches, et m'enfonça le gode dans le cul. Toujours singeant un mec, elle allait et venait entre mes fesses. Elle attrapa ma bite, et se mit à me branler. je vous jure que j'ai joui du cul. J'ai tellement pris de plaisir, que je ne me suis même pas aperçu que j'avais déchargé dans sa main. Elle m'en barbouilla le visage, afin que je goûte ma propre semence. Je n'avais jamais fait ça auparavant. J'y ai pris goût, et nous nous sommes retrouvés souvent. Nombre de femmes, sont tombées en extase devant mon "joli petit cul", et ne reviennent, que pour se le faire.