Sauter Le Pas,... Ne Plus Jamais Boire !

Les lendemains de cuite, je ne sais pas pour vous mais moi, pour avoir la paix et le silence, je signerais n’importe quoi. Je ne vous parle pas de trois ou quatre petits verres qui nous émèchent, non, il est question de la grosse cuite ! Quand on ne sait plus combien de verres on a pu boire, ce qu’il y avait vraiment dedans, où on les a bus, avec qui et, surtout, qu’est-ce qu’on a fait ???
Cette dernière question est, de loin, la plus angoissante ! Comme on ne se souvient pas de tout, on s’attend à ce que les potes vous tapent dans le dos en riant et qu’ils vous disent : « Alors vieux, tu nous as bien fait marrer quand tu t’es mis à chanter du Adèle et du Céline Dion en slip sur les tables du bar l’autre soir ! ». Moi ? Mais je ne connais aucune chanson d’Adèle et de Céline Dion ! Ou alors : « Et mec, t’as pu lui faire sa fête à la petite rouquine ? ». Mais quelle rouquine ? Foutez-moi la paix !!!
Bon, des cuites comme ça, je ne m’en suis pas pris beaucoup, une pour mes 20 ans, une deuxième pour mon enterrement de vie de garçon. Depuis, rien de comparable !

Ce matin-là, quand j’ai ouvert les yeux, enfin entre-ouvert serait plus juste, j’ai d’abord eu un mal de tête de fou, tout s’est mis à tourner, j’ai senti que mon estomac se contractait : « Putain, lève-toi Alex avant de vomir au lit, dépêche, vite !!! ». Je ne trouve pas les toilettes, je ne suis pas chez moi, ça tourne, ça monte, je titube, j’ai mal, j’ouvre une dernière porte, les toilettes, ouf, il était temps !

Je ressors, je me suis passé de l’eau sur le visage, ça va un peu mieux mais je n’ai pas encore dessaoulé, j’ai toujours ce terrible mal de tête, mais je peux réfléchir. Je suis à poil dans le couloir chez quelqu’un, mais chez qui ? Plus jamais je ne boirais, c’est juré ! Ça, on l’a tous dit et on sait ce que ça vaut ! Je retourne dans la chambre, il y a quelqu’un dans le lit, qui c’est ? Enfin, je me demande plutôt, qu’est-ce que c’est ? Depuis trois mois maintenant, je me suis mis à baiser avec les deux sexes, alors là, il faut que je soulève le drap pour voir.

Un magnifique corps de meuf se présente à moi, une jolie brune, je ne vois pas son visage, elle est couchée sur le ventre, elle a un beau dos et un cul de rêve, j’ai dû m’amuser avec un si joli petit lot. Ses cheveux recouvrent son visage, elle dort profondément. Je marche sur un truc froid et mou, c’est un préservatif bien plein. Bon, ça va, j’ai été ramassé par une nana super bien foutue, j’ai dû assurer, l’honneur de mâle est sauf ! Quelques flashs me reviennent, je lui bouffais le minou, elle mouillait et gémissait fortement. Je me revois la sauter et lui faire prendre son pied. Tout va bien, même bourré, je lui ai donné du plaisir !
Là, généralement, en tant que mec qui a fait un one shot, on est d’un courage exceptionnel ! J’aurais pu aller préparer un petit-déjeuner, la réveiller tendrement et lui dire que la nuit était fantastique ! On aurait discutés de tout et de rien puis je serais parti un peu plus tard en l’embrassant gentiment. Non, j’ai ramassé mes fringues sans bruit, je me suis habillé en vitesse dans le couloir et je me suis tiré comme un voleur !
Je descendais les escaliers quand la porte de l’appartement du dessous s’ouvre, un jeune mec en sort, il m’agresse direct : « Vous avez vu le bordel que vous avez fait cette nuit à 4h en rentrant ? Et après, j’en parle même pas, y’en a marre ! ». J’aurais pu continuer sans m’arrêter, mais voilà comme j’étais encore bourré, j’ai dit : « Pourquoi, t’es jaloux, tu veux ta dose salope ? ». Le mec me répond : « Faut voir ce que t’as dans le pantalon, j’aime ceux qui en ont une bonne et qui savent s’en servir ! ». J’étais descendu au palier inférieur, j’ai immédiatement fait demi-tour, je l’ai poussé chez lui, j’ai donné un coup de pied pour fermer la porte, elle a claqué, ça a résonné dans toute ma tête mais, déjà, j’avais ma bouche sur la sienne.
Il enlevait mon T-shirt, je déboutonnais sa chemise, il ouvrait mon jeans, je m’occupais de baisser le sien. On s’est collé l’un à l’autre, nos deux bites bandées se frottaient l’une contre l’autre à travers nos boxers.
J’ai commencé à lui masser les fesses puis j’ai passé les mains sous l’élastique de son sous-vêtement pour caresser sa raie et titiller sa rondelle. Il commençait à gémir tout en me caressant le dos. Il s’agenouille et commence à sucer ma bite, il lèche mes couilles, me regarde avec un sourire vicieux et me dit : « ça sent la jute de femelle, t’as du lui mettre cher, elle a joui sur tes couilles, tu l’as faite gueuler pendant plus de deux heures, j’en veux autant, t’as intérêt à assurer ! », il replongea sur ma bite. Deux heures de baise dont je ne me souvenais quasiment pas, jamais plus je ne boirais !
Le salaud savait très bien sucer, sa langue s’amusait avec mon gland, il salivait abondamment, ça coulait sur mes cuisses, il s’est soudainement mis à faire une gorge profonde puis a commencé les va-et-vient tantôt rapides tantôt lents, c’était divin ! Mon mal de tête disparaissait peu à peu. J’ai pensé au mensonge que nous sortent nos femmes : «Pas ce soir, j’ai mal à la tête », les mecs, baiser fait passer le mal de tête, ne vous faîtes plus avoir ! Au bout d’un long moment, il s’est relevé et m’a dit : « On va dans la chambre, tu connais le chemin, mon appart est le même que celui de Manon ». Ah, elle s’appelle Manon, la jolie brune !
Arrivés dans la chambre, je le jette sur le lit, je le mets sur le ventre, je plonge entre ses fesses que je malaxe et j’écarte puis je lui bouffe le trou. Je l’entends dire : « Oh oui, c’est bon, continuuuue. ». Je le doigte en le limant de plus en plus vite, il mouille, je suce, dans l’état où je suis, je trouve que c’est bon et en même temps, je lui masse le dos, il cambre son cul de plus en plus, plonge la tête dans l’oreiller et gueule de plus en plus fort. Je lui ouvre le cul comme ça pendant un très long moment, il finit par hurler en jouissant du cul, j’ai alors trois doigts en lui, je les enfonce, les fait tourner, il n’en peut plus. Je le retourne à nouveau, je me positionne sur lui mais tête-bêche et l’on attaque un beau 69.
Pendant que je m’occupe de sa bite, et lui de la mienne, je le doigte encore et lui me masse les couilles. Il se met à m’appuyer sur les fesses pour que je m’enfonce dans sa gorge, je me mets à lui bourriner la gueule, il semble , il pousse des cris, des râles mais appuie toujours plus et je m’enfonce loin dans sa gorge, mes couilles s’écrasent sur son nez, c’est super bon.

Je finis par me relever, il est allongé sur le dos, les jambes écartées, je lui demande une capote, il me montre le meuble à côté de la porte, j’ouvre le premier tiroir, je trouve un paquet de préservatifs et un énorme gode ! « Tu t’enfiles ça dans le cul ? » « Oui, quand je suis en manque. Tu veux qu’on s’amuse avec ? ». Je prends l’engin d’environ 25 cm par 7 cm, je le pose sur ses lèvres pour qu’il le lubrifie et j’approche ma bouche pour le sucer en même temps que lui. Nos salives se mélangent, il en coule partout, je me saisis du gode, il écarte les cuisses, je présente le gland en silicone et j’appuie, ça force un peu puis ça rentre, je le tourne comme pour le lui visser dans le fion, il gémit de plus en plus fort, quand il est enfoncé à fond, je commence le limage, ça coulisse de mieux en mieux. J’approche ma bouche pour saliver sur le gode au moment où il ressort pour bien lui lubrifier la chatte. Je lui saisis la main et l’oblige à se goder lui-même. Je me recule pour admirer le spectacle, je me branle un moment puis j’enfile un préservatif.
J’enlève le gode et le lui colle dans la bouche, son trou est méga ouvert, je suce le jus anal qui en sort et lui lubrifie encore en déversant toute ma salive en lui, je me couche entre ses cuisses, le pénètre sans résistance et je le baise. On change de position plusieurs fois, je le prends sur le côté, sur le ventre, à quatre pattes, en levrette. Il gueule de toutes ses forces, il a manifestement un nouvel orgasme anal. Moi, je le bourrine de plus en plus fort, je me penche vers lui pour l’embrasser, je lui caresse les seins, je lui donne de grands coups de reins et je finis par jouir au fond de lui.

Je m’allonge à ses côtés et là, rideau ! Nous nous sommes endormis ! Bon, moi, j’avais pris une sacrée cuite la veille, lui n’avait pas beaucoup dormi, on a un peu rattrapé le temps perdu !
Il me réveille un moment après, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est mais je m’en fous. Il m’embrasse, me branle, je me mets à bander bien dur, Il m’installe un nouveau préservatif et me chevauche, guide ma bite qui entre en lui, je le laisse s’amuser un long moment puis je lui donne des coups de reins pour entrer le plus profondément possible en lui. En même temps, je le branle, j’adore voir ses couilles s’écraser sur mon ventre. Il me caresse le torse et me pince les tétons, c’est très excitant. Le plaisir devient de plus en plus intense, je lâche sa bite pour le saisir par les hanches, il se met à se branler et jouit de longs jets sur moi. La vision de son orgasme provoque le mien, je remplis à nouveau le préservatif. Il me le retire, se couche sur moi et m’embrasse, nous sommes souillés mais vidés !
Je me lève et pars prendre une douche qui me fait un bien fou. Quand je ressors, Alexandre (il s’appelle comme moi !) est à table, il a préparé un super petit déjeuner. J’ai honte de ne pas l’avoir fait pour Manon. Je regarde l’heure, il est 13h45 ! Il part se doucher à son tour. Alors qu’il est sort de la douche, ça sonne à la porte, je ne bouge pas, Alexandre sors de la salle de bain, va ouvrir, une belle brune entre, me regarde et me dit : « Ah, t’es là toi ! », regardant Alexandre : « Il t’a baisé aussi, c’est un bon coup non ? ». Il me dit : « Manon est ma sœur, elle vit au-dessus, vous vous connaissez bien je crois ! »
Putain, je me suis fait le frère et la sœur ! Plus jamais je ne prendrais une cuite comme ça ! C’est juré !!!

On déjeune tous les trois, j’apprends que Manon revenait d’une soirée de chez une copine, elle est passée devant un bar d’où je sortais torse nu, une bouteille de whisky à la main, je buvais au goulot. J’étais complètement bourré, je l’ai maladroitement draguée, elle m’a trouvé mignon et drôle, elle avait juste envie de s’envoyer en l’air et m’a ramené chez elle. Il parait qu’en partant, mes potes, dans le même état que moi, sifflaient dans la rue, me traitaient de veinard et me souhaitaient bonne bourre.
Je m’étais fait embarquer dans une chaude soirée pour fêter la retraite d’un collègue. J’espérais juste qu’aucun d’eux ne se souvienne de cet épisode ! Je suis rentré chez moi dans l’après-midi, c’était un dimanche, jamais un week-end ne m’a paru si court et si chaud.
Le lundi matin, une bouteille de whisky et une boîte de capotes étaient posées sur mon bureau, ça rigolait dans tous les coins ! Toute la journée, on m’a demandé si j’avais pu honorer la brunette ! Heureusement qu’ils n’ont pas tout su !
Plus jamais je ne me cuiterais comme ça, c’est juré !!!!

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