De La Cabine D'Essayage Au Lit De La Garçonne
C'est l'été, je pars acheter shorts, t-shirts et autres maillots de bain. Dans un grand magasin, j'investit la cabine d'essayage. Passé un moment, la personne dévolue à la surveillance des cabines, jette un oeil dans la mienne, pour vérifier si je suis toujours là. Elle réprime un sursaut. Je suis à poil. Je sais que je plais aux hommes, aussi bien qu'aux femmes. J'ai 33 ans, 1m55, aussi mince qu'un salaire de smicard, j'ai la peau naturellement dorée. Mes fesses sont petites, rondes et superbement cambrées et musclées. La surveillante m'a pris pour un ado tentant de chaparder.Partout où je passe, on me demande ma carte d'identité.
Une dizaine de minutes, après la visite du cerbère, un homme, environ 2m20 en hauteur, pas loin de la même chose en hauteur, s'introduit dans mon refuge. Je suis de dos, et il voit mon cul. Je me retourne. Le colosse , un doigt en travers de la bouche et des éclairs menaçants dans les yeux, m'impose le silence. Un geste de son autre main me fait comprendre de me retourner. Sa grosse paluche saisit le frêle vêtement, et l'arrache sans ménagement. Me saisissant par les épaules, et toujours en silence, il me retourne vers lui. Son index est dirigé vers le bas, precisément, vers sa braguette. Il me connait, je suis sûr de l'avoir déjà vu. Sinon, pourquoi est-il si sûr que je vais le sucer.
Je descend la fermeture éclair de son pantalon. Personne ne peut nous voir. Sa stature occupe toute la largeur de la cabine. Lui aussi porte un slip. Mes doigts s'y glissent et s'enroulent autour d'un gourdin d'environ 30 cm de long. Je le sors. Au contact de mes doigts, il est déjà raide. Je n'ai pas besoin de me baisser, vu sa taille, et la mienne, ma bouche est juste à la hauteur de son bas-ventre. Je donne un coup de langue sur le méat, ce qui déclenche un trésaillement du formidable engin. J'entreprend de lécher les contours du gland et la hampe de cette grosse pine. L'homme de la sécurité pose alors ses deux mains sur ma nuque et enfonce son membre entre mes lèvres.
- Dommage que ce soit pas la fermeture, dit-il, je t'aurais volontiers défoncé ce petit cul que tu promène avec tant de grâce !
- Je peux repasser, si vous voulez ? Vous fermez à quelle heure ?
- Ah ! J'ai compris, tu veux des fringues gratuites !
- Vous voulez bien habiller votre bite avec mon cul !
- Si tu me le donnes, je t'offirais, tous les sous-vêtements que tu désires, mais...
- Ah ! je savais que vous m'enculerez à vie !
- Non ! Je te demande seulement de les étrenner avec moi.
- Promis ?
- Promis !
Il m'a obtenu des sous-vêtements somptueux. Ca allait de la culotte de femme hyper sexy, au slip moulant à souhait, mettant mon cul en valeur. Une fois même, il a directement éjaculé sur mes fesses, rein qu'en me regardant en enfiler un.
Je vous l'ai dit, j'ai un cul d'enfer. Il m'arrive parfois, même, de me taper une pignole, rien qu'en me regardant dans la glace, en train d'enlever mon slip. Et encore, je ne parle pas des femmes ou des filles. Vu mon aspect physique, des femmes, largement plus jeunes que moi, me caressent à mon insu, dans les bus, et une fois même, dans la file d'attente d'un bureau de poste. Elle s'est penchée vers moi et m'a glissé à l'oreille :
- Tu t'es déjà fait sauter par une fille ?
Je me suis retourné, Dieu qu'elle était jolie. Elle m'a emmenée chez elle. Elle s'est glissée entre mes bras et m'a embrassé dans le cou. Son corps était ferme et souple. J'ai passé mes mains sur ses fesses et elle s'est collée contre moi. J'ai glissé ma main entre ses cuisses, et j'ai senti un truc dur.
- Déshabilles-moi, souffla-t-elle.
- D'habitude, on me demande l'inverse, chuchotai-je en souriant.
- Ne soit pas impatient...
J'ai ôté tout ses vêtements, et là, j'ai découvert la plus sophistiquée des ceintures-gode que j'ai jamais vue. Le sexe factice semblait si réel ! Je me suis mis à genoux et j'ai sucé la pseudo-bite. Même là, la sensation paraissait réelle. Quand elle me l'a enfoncé dans le cul, ce fut miraculeux. L'engin semblait être vivant. J'ai pris un de ces pieds ! La drôlesse se débrouillait bien. Si je n'avais pas vu ce corps si bien fait, j'aurais juré me faire chevaucher par un mec. Ses mains puissantes tenaient mes hanches quand le sexe en plastique laboura mon cul. L'engin était fait de je ne sais quoi. Sa texture imitait parfaitement le contact de la peau humaine. Elle me pransperça le cul, jusqu'à ce que je jouisse. Un jour, je lui ai demandé pourquoi elle faisait ça. La réponse m'a étonné.
- Pour venger Marylin Monroe, et moi ! Comme elle, les hommes ne nous cotoyaient que pour nous baiser. Alors j'ai décidé de leur faire, de VOUS faire la même chose. Sauf que pour toi, aussi bien parmi les hommes, que les femmes, je n'ai jamais vu un aussi joli cul.
Elle m'a enculé toute la nuit.
Le lendemain, elle m'a demandé :
- Tu pourrais passer la journée avec moi ?
- Pourquoi ?
- J'aimerais qu'on intervertisse les rôles. Tu t'habillerais en fille, et moi, en mec...
- Pourquoi !
- Je voudrais t'emmener chez mes parents...Je paye tout, et je choisis tes vêtements !
- Pourquoi pas, dis-je en riant. Ca peut être amusant !
Elle m'a emmené dans un magasin de son choix. Il n'y avait que les propriétaires.
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