Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari - Épisode 6
Isabelle, avait trouvé une belle raison de se venger de son mari qui lavait trompée il y a plus dun an. Bertrand, le mari, lui avait demandé de donner de sa personne pour éteindre une dette de jeu auprès de trois compères de poker. Elle navait pas hésité longtemps. Aujourdhui, le 14 août, cétait le dernier jour et elle avait rendez-vous chez Noël. Cétait le plus cochon des trois mais la dernière fois, il avait réussi à la faire jouir deux fois. Depuis le 31 mai, et le premier rendez-vous avec Jean-Joseph, lhomme des îles avec sa queue épaisse quil appelait son canon, elle avait découvert la sexualité des hommes, mais la sienne aussi.
Voici comment la soirée et la nuit se sont passé avec tous les détails.
Quand Noël a ouvert, Isabelle a été surprise de le voir bien habillé. Elle sattendait à ce quil soit au lit prêt à commencer le marathon de sa queue. Après quelques mots un dialogue sest engagé.
-Aujourdhui, si vous acceptez on va finir en beauté. Jai demandé à Jean-Joseph et à Albert sils voulaient se joindre à moi pour une sorte de festival pour votre dernière journée. Comme tous les trois on a remarqué que vous avez une tendance à bien aimer regarder un homme se masturber, jai demandé à mon voisin sil acceptait de se branler devant vous. Mais bien entendu, vous pouvez refuser et vous contenter de la soirée prévue avec moi.
- Ça alors quelle surprise ; attendez un peu, je ne suis pas certaine dêtre daccord avec tout le programme. Redites-moi le programme, demanda Isabelle, qui voulait se donner un peu de temps avant de répondre car ces propositions allaient lengager énormément.
- Alors voilà. En premier mon voisin Dylan, un jeune, vient se montrer et se branle devant vous. Vous navez rien à faire. Je téléphone ensuite à Jean-Joseph et à Albert pour quils nous rejoignent pour finir la nuit ensemble. Et il y a une surprise. Comme tout ce que vous avez accepté de faire vous le devez à Bertrand, votre mari, on a exigé quil soit présent cette nuit.
-Je vais de surprise en surprise.
Quelques instants passèrent pendant lesquels Isabelle déroula un fil possible de la soirée : être voyeuse, se faire baiser de toutes les façons par les trois hommes quelles connaissaient. Et voir son mari regarder ça, lui qui lavait mise dans cette situation et qui en plus lavait trompée il y a quelque temps. Ce sera bien fait pour lui ; il ne va pas aimer. Et puis, elle se lavoua ; ces trois hommes lui avaient procuré des orgasmes quelle nétait pas près doublier.
-Je suis daccord, sentendit répondre la jeune femme.
-Bravo ! je vous félicite ; je fais venir Dylan tout de suite ainsi que votre mari.
Cinq minutes plus tard, un jeune type est entré suivi de peu de Bertrand. Noël se fit un peu autoritaire.
-Toi, le mari cocu, tu te mets dans le fauteuil et tu regardes. Tu nas pas volé ta punition.
- Tu vois, Bertrand où tu mas amenée. Eh bien maintenant assume et regarde bien.
- Je prépare un café, tout le monde en prend ? même toi Bertrand, comme ça tu resteras éveillé pour bien voir ta femme.
Pendant le café, Isabelle nétait pas très rassurée mais elle nétait si mal à laise que ça.
- Je mappelle Dylan et je vais me branler devant vous.
- Isabelle est-ce que vous voulez bien lui montrer quelque chose pour activer. Parce que dès quil a fini, on a une longue nuit de baise, demanda Noël.
À ce moment, Isabelle a jeté un coup dil à lentrejambe de Dylan. Il portait un jogging et il y avait une bosse du côté gauche. Elle a pensé quil navait pas de caleçon ou de slip. Comme de toutes façons il fallait en finir, elle a enlevé son chemisier et a regardé là où il fallait et a vu que son engin bougeait.
-Un peu plus sil vous plaît, les jambes au moins, Isabelle, sil vous plait.
Elle a enlevé son Jean et sest retrouvée en sous-vêtements. La jeune femme sest rassise à la table près de Dylan et a pu voir que la déformation de son jogging était nette.
-Sil vous plaît madame, encore un peu.
Bertrand sagitait sur son fauteuil car voir sa femme avec dautres hommes ne lui plaisait pas du tout. Il ne voulait même pas imaginer la suite. Ça allait être terrible pour lui.
Isabelle a alors enlevé mon soutif.
- Magnifique les petits seins, magnifique !
-Tu veux la voir à poils mon salaud. Est-ce que tu bandes ? Demanda Noël.
- En tout cas, son jogging est bien déformé en tout cas, osa Isabelle qui se doutait bien quelle allait finir à poil devant les deux hommes.
-Est-ce que vous voulez bien baisser votre culotte Isabelle ?
-Ça me la fait grossir de penser que vous allez baisser votre petite culotte devant mon voisin.
-Ce nétait pas prévu alors je ne vais pas lenlever devant lui. Vous, cest daccord. Dailleurs, vous mavez déjà vue toute nue la dernière fois,
À la grande surprise de la femme, les deux hommes nont pas fait dhistoire. La discussion a continué. Cétait plutôt sexy comme bavardage. Noël qui était manifestement chaud sen est donné à cur joie. «
-Alors, madame, comment sest passé votre rendez-vous avec Albert ?
Attendez ! Avant de répondre, je vais faire comme mon voisin, je vais mettre un jogging.
Dylan en a profité pour se toucher le gland au travers du jogging. Cétait parti pour de bon. Il a tiré son membre vers le bas et a lâché. Il est revenu bien à la verticale. Il a fait ça trois ou quatre fois et après il la fait bouger.
-Elle est vigoureuse, a fait remarquer Isabelle surtout à lintention de son mari.
Noël est revenu avec lui aussi une belle bosse là où il fallait et avec un pot de verre à la main.
-Jai pris lhabitude de juter dans un pot en verre. Jaime bien garder mon sperme. Cest encore mieux quand cest madame qui me tient la queue et dirige le jet dans le pot.
Dylan écoutait, un peu surpris, les yeux fixés sur la culotte et sur mes seins dIsabelle. Il avait lair encore plus excités après les explications de Noël.
- Moi aussi je veux larguer dans le pot si madame accepte de me tenir la queue.
- Aller, on descend le jogging !
Les deux hommes ont baissé leur pantalon en même temps. Leur queue est restée coincée dans lélastique de leur jogging. Ils ont tiré sur lélastique et presque en même temps leur engin est venu frapper leur ventre dans un bruit caractéristique.
- Alors, Isabelle, quest-ce que vous en pensez ?
-Elles sont raides, finit par dire Isabelle contentant ainsi les deux bandeurs qui en même temps sont allés dans le canapé et qui lont invitée à venir sassoir entre eux avant de commencer à se branler.
Noël sest mis à poils et Dylan a suivi. Il est super Barraqué avec des abdo bien saillants et des beaux pectoraux. Il est complètement épilé ce qi na pas échappé à Noël. «
-Ben, où ils sont tes poils ? » Cela a fait rigoler Dylan.
- Jsuis épilé ; les femmes naiment pas sucer une bite poilue. Cest ce quon ma dit. Je suis épilé de partout. Noël avait arrêté de se secouer.
- Même la raie ?
Là-dessus, Dylan, pas gêné, se penche, se retourne et sécarte les fesses. Noël et Isabelle ont vu une raie sans poils et un anus bien régulier.
-Heureusement que mon ami Guillaume nest pas là sinon tu sentirais déjà sa bite te casser la rondelle.
Isabelle été électrisée par ces paroles. Elle imaginait un mec entrain dappuyer sa queue sur lanus quelle regardait. Et Dylan, tout costaud quil est, serrer les poings et couiner : « Aïe ! Aïe ! Arrête, doucement, Non, pas plus loin ! Hou ! Hou ! Ça fait mal. » Comme elle avait fait quand Albert lavait sodomisée. Du doigt, Noël a désigné sa queue.et Isabelle a compris et la prise en main. Lautre se branlait comme prévu. «
-Avec la bouche, cest encore meilleur.
Isabelle navait pas le choix à cause de tes dettes de jeu de son mari qui commençait à sagiter dans son fauteuil surtout quand sa femme a commencé à sucer la bite.
-Ah, cest bon ! Extra la pipe !
-Mon salaud, tu as de la chance.
Il sest collé à la femme.
-Hé ! vous vous masturbez et regardez, cest tout.
Noël était excité. Ça ne lui déplaisait pas de se faire sucer devant son voisin. Il tenait son pot et le montrait à Dylan.
-Je vais le remplir pendant la nuit grâce à Madame
. Un peu les couilles aussi, sil vous plaît. Alors, elles sont comment mes boules ?
Isabelle na pas répondu mais a pensé quelles étaient nettement moins grosses que celles de Jean-Joseph.
- Isabelle, je voudrais voir votre poilu. Vous voyez ce que je veux dire. Ce que vous cachez dans votre petite culotte, demanda Noël qui était chaud bouillant. Mais la jeune femme ne voulait pas leur obéir comme ça.
-Nous on est bien à poils devant vous. Y a pas de raison. Il faut enlever votre culotte pour être à égalité.
-Je ne veux pas me montrer nue devant Dylan ; ce nest pas prévu.
Ils se foutaient de ce que répondait Isabelle.
- La culotte ! La culotte ! La culotte ! La culotte ! Aller, debout ! LA CULOTTE ! LA CULOTTE ! LA CULOTTE ! reprenaient les deux types en chur.
Elle a continué à sucer Noël. Elle a senti le doigt de Dylan passer sous lélastique de Sa culotte alors, elle a préféré en finir. Elle sest mise debout et ZAG, elle a baissé ma culotte. Elle sest retrouvée à poils devant les deux hommes, leur bite levée, qui applaudissaient. Dylan avait les yeux qui lui sortaient de la tête.
-Super ; cest la première fois que je vois une femme poilue. Le beau triangle noir. Je voudrais bien voir votre entrejambe avec la chatte en entier et aussi la raie.
-Non, pas question ; jai accepté de vous regarder en train de vous masturber, cest déjà pas mal. En plus je me suis déshabillée, vous devriez être content.
À moment où elle allait sassoir sur le canapé, Dylan lui a pris les fesses à pleines mains. Elle la claqué. Ça la fait rigoler. Noël la rouspété. En fait, elle sen foutait un peu mais ne voulait pas le montrer.
-Dis donc, Isabelle nest pas une pute. À ton âge, ta pas honte. Dailleurs, tas quel âge ? demanda Noël.
- Moi jai 18 ans mais ma queue en a 30, tellement elle a tiré.
Il était content de lui. Il sest planté devant la femme et sest remis à se masturber. Elle avait repris le manche de Noël pour se donner une contenance. Intérieurement Isabelle commençait à sexciter. Noël qui en a profité car elle sest appliquée à le sucer. Elle lui passait la langue sur le gland.
- Le pot, le pot ! Vite, Je vais gicler !
Elle a attrapé le pot, la tendu vers Dylan. Trop tard, il envoyait. La première giclée a atterri sur le ventre dIsabelle et Noël en a pris une belle trainée sur les cuisses.
-À mon salaud, tu nous as giclé dessus et en plus, tu nas presque rien mis dans le pot ! Isabelle, vous voulez bien récupérer la gouttes qui pend au bout de sa queue ?
Sa queue était toute recourbée. Isabelle a placé le pot et a pris la queue et la secouée ; la goutte est tombée et elle a vidé le tuyau. Elle avait arrêté de sucer mais navait pas lâché le manche de Noël.
--Est-ce-que je peux regarder la pipe jusquau bout ?
-Tu ne manques pas dair, petit jeune ; Tu veux voir comment elle me fait jouir et comment elle récupère mon jus. Isabelle, Mettez-vous à quatre pattes sinon dans cette position on va en perdre beaucoup. Et puis, non, on va aller sur le lit ce sera plus facile, a proposé Noël.
Isabelle a suivi Noël et Dylan derrière moi tout occupé à me mater le cul de la jeune femme.
- Ha ! cest beau ça, cest beau ! Les joues font de belles vagues.
-Vous êtes bien jeune mais ça promet.
Noël sest allongé et Isabelle sest installée en faisant attention à ne pas montrer son cul à Dylan. Elle avait la bite de Noël dans une main et le pot avec la moitié de la giclée de Dylan dans lautre.
-Hé Dylan, puisque tu as le droit de rester, profite du spectacle.
Et Noël a croisé les bras sous la tête. Peinard, quoi. Il savait quil allait le faire jouir et remplir le flacon avec son jus. Il était bien raide ; je crois quil était content que Dylan regarde.
-Tu es à laise. Tu te fais sucer tranquille les orteils en éventail.
- Tas raison, cest extra. Surtout là ; je sens que cest pas loin. Si Isabelle continue comme ça, ma queue va envoyer le jus dans deux ou trois minutes.
Dylan sétait assis sur le bord du lit se remettait à bander. Noël sest mis sur le côté. Jétais moins à laise pour le sucer mais il est vite venu. Isabelle a posé la langue sur son gland pour sentir la première goutte avant la giclée. Au premier mauvais goût, elle a sorti le membre de sa bouche et la mis dans le pot et il a envoyé.
-Une, deux, trois quatre, cinq, six, et elle coule
Voilà ! Isabelle était contente de voir le résultat. Noël a aimé le comptage. Cest ce quil lui avait demandé la première fois. Elle lui a bien vidé le tuyau dans le pot.
-Je vais boire un coup, pisser et me laver pour la suite.
- Jy vais aussi.
Elle était avec Noël dans la cuisine et après dans la salle de bain. Elle sest rincé la bouche.
-Elle na pas bon goût ma bite ?
-Cest pas ça mais jai eu les petites gouttes davant la giclée alors je me rince la bouche.
Noël sest lavé le sexe, son manche se remettait en bonne forme et sest rincé au robinet du lavabo. Le manche était complètement raide. Dylan, le petit jeune entrer dans la salle de bain avec le membre dressé suivi de peu par Bertrand, le salaud cocu.
-Madame Isabelle, jen ai dans les couilles
vous voulez bien maider, sil vous plait ? Il sest rapproché, sabre au clair.
-Tu as déjà le droit de rester ; cest pas mal. Contente-toi de ce que tu as.
Maintenant Isabelle le tutoyait sans doute à cause de son jeune âge. Le mari se cramponnait au chambranle de la porte observant sa femme dans une salle de bain entourée de deux hommes en pleine érection. Ça le rendait malade.
-Excuse-moi ma chérie, excuse-moi, jai honte ! se ridiculisait le mari.
Les deux hommes se sont mis à côté dIsabelle.
-Tu ne veux pas prendre de photo de ta femme.
-Laissez-la.
-Tu peux toujours causer. Tu vas voir quand les copains vont arriver. Tu vas vraiment voir ta femme au taf. Là, cest un petit échauffement. Nest-ce-pas Isabelle ?
Elle ne répondit pas mais sentait que lentrejambe commençait à chauffer à penser aux deux autres queutards qui allaient arriver. Pour le moment, elle regardait le jeune Dylan qui se secouait la bite. Il avait mis du savon sur ses mains et se branlait consciencieusement. Et elle a vu deux belles giclées sortir de la queue et atterrir par terre.
-Tu aurais pu prévenir que Bertrand prenne une photo, ironisa Noël avant dordonner, allez rends-toi utile Bertrand, nettoie ça.
Isabelle sourit. Son mari ne lavait pas volé. Noël invita Dylan à partir. Il sortit content de sa soirée.
-Où est-ce-que je mets la serpillière ?
-Tu te la mets dans le cul et tu retournes à ton fauteuil et tu regardes.
À ce moment, coup de sonnette.
(À suivre)
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