Mes Voisins Marocains (Partie 1)
Je m'appelle Eric, j'ai 42 ans, je mesure 1m80 pour 70kg, j'ai les yeux verts et je suis célibataire. Je vis dans un joli duplex de 4 pièces en plein Paris dans lequel j'aime recevoir mes conquêtes. J'aime les femmes, et elles me le rendent bien. Je n'ai pas de préférence particulière quant au physique de mes partenaires, je le choisis juste pétillantes et vives, mais elles peuvent aussi bien être noires, blanches, blondes ou brunes, sculptées ou plus rondes. Par accord tacite, nous ne cherchons en général pas de relation durable, même si je revois périodiquement certaines de mes conquêtes, au gré de leurs envies.
Je vais vous raconter mon aventure avec mon couple de voisins, aventure d'un nouveau genre pour moi, que jamais je n'aurais imaginée vivre un jour, et pourtant
Tout a commencé il y a trois mois. De nouveaux voisins se sont installés dans l'appartement voisin du mien. Il s'agit de l'exact clone du mien, et il accueille en général des résidents, souvent étrangers, qui sont là pour quelques mois dans la capitale. Grâce à ces changements fréquents, j'ai déjà eu de nombreux voisins, certains ne cherchant pas plus que ça à discuter, d'autre plus liants, et j'ai ainsi gardés des relations d'amitiés avec certains. Mes nouveaux voisins sont marocains. Il s'agit d'un couple d'une trentaine d'année, avec lequel j'ai eu assez rapidement de bonnes relations de voisinage. Tarik travaille toute la semaine, tandis que Siham reste à la maison. C'est un très beau couple, Tarik est plus grand que moi, il est baraqué et a un sourire magnifique qui montre ses dents blanches et fait briller ses yeux bleus. Siham est également très belle, elle a des mensurations de rêve, une poitrine généreuse et des fossettes adorables quand elle sourit. Nous nous sommes souvent croisé et on a pris l'habitude de discuter de la pluie et du beau temps. On a même pris l'apéritif quelques fois chez l'un ou chez l'autre, en passant une soirée très agréable.
En ce samedi matin de novembre, je rentre de mes courses du week-end quand je trouve Siham assise sur son palier.
- Eric, tu vas me sauves la vie ! J'ai entendu beaucoup de bruit dans la montée d'escalier il y a 1/2 heure, et je suis sortie pour voir depuis le palier si je voyais quelque chose, mais comme j'avais une fenêtre ouverte dans l'appartement, la porte a claqué et je me retrouve coincée dehors. J'ai honte de ma maladresse, et je suis presque nue dehors sans pouvoir prévenir Tarik, c'est épouvantable. Et en plus je suis frigorifiée
- Rentre vite chez moi, on va l'appeler.
Je ne peux pas m'empêcher de la passer en revue des pieds à la tête, et je confirme très vite ma première impression : elle est bien entièrement nue sous cette chemise qui laisse deviner ses seins qui pointent, ses jolies fesses bronzées et rondes, ainsi que son pubis et son minou qui me semblent intégralement épilés.
- Je vais te passer de quoi t'habiller, tu seras plus à l'aise et ça te réchauffera. Mais ne t'inquiète pas, j'aurais pu avoir bien pire qu'une si jolie sirène devant ma porte !
- C'est gentil, mais je suis vraiment gênée. Tu pourras aussi me passer un téléphone pour que j'appelle Tarik ?
Je lui passe un peignoir en éponge, qu'elle enfile immédiatement, ainsi que mon mobile. Je l'entends qui parle à son mari :
- Tarik mon amour, c'est moi
Oui, je t'appelle du numéro d'Eric notre voisin je me suis enfermée dehors
Je t'expliquerai. Je n'étais pas très habillée et heureusement il est arrivé et il m'a passé de quoi m'habiller et son téléphone. Il faut que tu viennes avec tes clés
Pas avant 13h00 le temps de rentrer ? Bon, et bien on va faire avec
Oui, ne t'inquiète pas
A tout à l'heure.
- Eric, Tarik ne sera pas là avant un moment, je peux rester là, ça ne te gêne pas ?
- Non, bien sûr, installe toi et fais comme chez toi.
- Oui volontiers. Et après, si ça ne te gêne pas, je crois que j'aimerais profiter de ta salle de bain pour une douche bouillante, je crois que c'est la seule façon de me réchauffer j'ai eu si froid sur ce palier
- Pas de problème, tu fais comme chez toi. Tout ce dont tu as besoin est dans la salle de bain, va vite te réchauffer sous la douche d'abord, et je te ferai ton café tout à l'heure.
Quand elle revient 20 minutes plus tard, je suis installé devant mon ordinateur portable sur la table du salon. Elle porte toujours mon peignoir blanc, qui lui arrive à mi-cuisses. Elle a gardé un décolleté plongeant qui est vraiment affolant, et quand elle sassoit en face de moi et qu'elle entrouvre ses jambes laissant apparaître son anatomie féminine et qu'elle m'adresse un de ses plus beaux sourires, je ne peux m'empêcher d'avoir un début d'érection
- Ton hospitalité me touche beaucoup Eric, je peux être très accueillante moi aussi tu sais.
Je reste muet. Elle ouvre alors le peignoir pour se dévoiler complètement et écarte encore un peu plus les jambes pour me montrer sa chatte bronzée et lisse, qu'elle entrouvre avec les doigts. Comme je ne réagis pas, elle se lève et se rapproche à quelques centimètres de moi. J'ai son minou devant le visage. Elle me prend alors la tête dans ses mains pour me le coller sur son sexe afin que je le dévore. Ça tombe bien, j'adore jouer de la langue ! Je m'exécute donc, et j'en profite pour parcourir tout son corps de mes mains, m'attardant sur ses fesses et ses seins. Je me déshabille à mon tour, et on passe une bonne demi-heure comme ça, moi qui la lèche et la fait jouir avec ma langue, avant qu'elle ne se décide à s'occuper de moi avec la bouche. On fait ensuite l'amour en commençant par un missionnaire, mais très vite elle me signifie qu'elle prend le dessus et me chevauche en amazone. J'ai toujours aimé cette position où c'est la femme qui domine, et spécialement là, c'est vraiment excitant, je peux admirer son corps parfait, intégralement coloré et épilé qui s'agite sur moi en rythme, avec sa poitrine de rêve qui bat la mesure.
- Quel vilain garçon trop pressé, je n'ai pas eu le temps d'en profiter. Puisque c'est comme ça, refais-moi jouir avec ta langue maintenant !
Elle sans me demander mon avis, elle me remonte sur le visage pour que je puisse à nouveau la dévorer. Sauf que cette fois ci, son minou dégouline de mon sperme
Je n'ai jamais fait ça auparavant, mais sa façon de m'ordonner de le faire, et l'excitation de son corps si parfait ne me laisse pas le temps de réfléchir et de refuser, et je m'exécute. Je me mets à la lécher, avalant ma propre semence avec ardeur, avec une bonne partie de mon visage gluant de foutre. A ma plus grande surprise je constate que j'aime ça car mon excitation remonte très vite, d'autant plus qu'elle vibre à nouveau sous mes caresses buccales, tant et si bien que nous refaisons l'amour quelque minutes plus tard. Notre chevauchée dure plus longtemps cette fois-ci, et j'arrive enfin à la faire jouir avec ma bite, avant de jouir à nouveau à mon tour. Je ressors épuisé de cette partie de jambes en l'air. Épuisé, mais heureux comme je ne l'ai pas été depuis longtemps, me surprenant moi-même de ma vigueur, égale à celle que je pouvais avoir 20 ans auparavant.
Le temps de passer sous la douche tous les deux, et je prête à ma voisine un survêtement plus couvrant que mon peignoir. Il se passe à peine une demi-heure et Tarik sonne déjà à la porte.
- C'est vraiment gentil d'avoir accueilli Siham pendant mon absence, c'est vraiment trop bête de se retrouver coincé comme ça
- C'est bien la moindre des choses, ça ne m'a pas du tout dérangé.
- Ah ma chérie, quelle idée de se laisser enfermer dehors comme ça. C'est quoi ce survêtement que tu portes là ?
- Je suis si contente de te voir. Le survêtement c'est celui d'Eric, je t'ai dit tout à l'heure que j'étais en chemise quand je suis sortie, comme je suis souvent à la maison, et c'est pour ça que j'étais si gênée d'être enfermée dehors.
- Ah oui, effectivement... Erik, je suis encore plus confus. Ça n'a pas été trop long, vous ne vous êtes pas ennuyés j'espère ?
- Non pas du tout, et puis on en a profité pour faire un peu plus connaissance, on ne se connaissait pas vraiment en fait.
- Bon, tant mieux. Siham, tu peux peut-être redonner son survêtement à Eric maintenant, ça évitera de le déranger tout à l'heure ?
Quand Siham se dévêt pour ne garder que la chemise qu'elle portait initialement, elle se dévoile encore largement, on aperçoit sa chatte entre ses fesses quand elle se baisse pour enlever son pantalon, et sa belle poitrine quand elle enlève le haut. Je sens le regard de Tarik qui passe de sa femme à moi pendant tout le temps qu'a duré le strip-tease. Il me dit :
- Siham n'est pas très pudique, tu as dû remarquer qu'elle est même un peu exhibitionniste, mais je suis très fier de ma femme, elle est si belle tu ne trouves pas ?
- C'est vrai, tu as bien de la chance
Bon, je vous raccompagne, au revoir Tarik, au revoir Siham, rentrez vite avant de prendre froid.
Je suis carrément embarrassé, je les accompagne donc très vite jusqu'à la porte, que je referme dès qu'ils sont sortis. Mais je reste à côté et j'écoute ce qu'ils se disent :
- Tu as été sage au moins ?
- Tu te doutes que je n'ai pas pu m'en empêcher, tu me connais trop bien. D'ailleurs, c'est un vraiment un bon coup tu sais.
- Mmm, intéressant, tu vas me raconter tout ça et on discutera du gage que tu me dois maintenant, allez, rentre que je te montre que je suis encore un meilleur coup !
Je ne sais pas quoi penser. J'ai bien vu que Tarik se doutait de quelque chose, et puis cette façon qu'il a eu d'exhiber sa femme est tout aussi étrange que l'exhibitionnisme de sa femme ! Sans compter que ça n'a pas eu l'air de le mettre en colère quand elle lui a tout déballé tout de suite. Et puis cette phrase sur le gage qu'elle lui doit
Ça doit être un couple libertin, ça m'étonne finalement d'eux, ils sont jeunes et beaux et je pensais que c'était réservé à des couples plus mûrs. Bon, l'essentiel n'est-il pas finalement d'avoir comme voisine une belle femme pas farouche et un mari pas jaloux ? Je conclus donc positivement ce samedi matin.
Le week-end finit et la semaine se passe sans que l'on se croise, mais le vendredi soir, je trouve un petit mot dans ma boîte aux lettres : « Tarik ne sera pas là demain matin ». La coquine, elle en redemande ! Le lendemain matin, je décide de scénariser notre rencontre, et 1/4 d'heure après avoir entendu Tarik partir (je guettais à ma porte), je me dévêts complètement et j'enfile le peignoir que j'avais prêté à Siham. Après avoir mis ma clé sous le paillasson (on n'est jamais trop prudent), je sonne chez Siham et quand elle ouvre, je lui dis :
- Je me suis enfermé dehors, est-ce que je peux entrer me réfugier chez toi ?
- Oh, mon pauvre Erik, bien sûr, entre, viens te réchauffer !
On ne tarde pas à être à poil tous les deux, et on refait l'amour pendant une bonne heure. Siham est une vraie furie au lit, et elle aime me dire comment je dois faire et ce j'aime ça, même si ça me change. Je la sens qui me domine, et j'y prends goût. Et puis, c'est trop génial, je n'en reviens toujours pas d'avoir accroché une si belle fille ! Une fois notre jouissance amenée à son terme et que l'on est allongé l'un contre l'autre dans le lit, Siham me demande :
- Quand est-ce que l'on se revoit Erik ?
- J'ai prévu d'être en congés la semaine prochaine, et je serai sur Paris à partir de mercredi. Ça va nous laisser 3 jours de suite si tu le veux bien, plus peut-être le samedi matin si Tarik te laisse.
- Magnifique ! Mais tu sais justement pour la prochaine fois, il y a quelque chose qui me ferait vraiment plaisir.
- Dis-moi, je ferai tout ce que tu veux.
- Je déteste les poils. Tu le vois sur moi d'ailleurs, je n'en ai pas un seul. J'aimerais que la prochaine fois que l'on se voit, tu te sois aussi intégralement épilé, de la tête aux pieds.
- Pour un homme, c'est quand-même un peu bizarre non ? Tarik, il n'a plus de poils lui ?
- Tarik déteste aussi les poils ! Et puis vous les hommes, vous pensez à afficher votre pseudo-virilité avec des poils, mais vous êtes les premiers à apprécier un corps tout doux et tout lisse !
- Oui, mais c'est mieux pour la langue et pour les mains
- C'est pareil pour nous ! Alors, tu veux encore que ma langue et mes mains s'occupent de toi ?
Bon, des poils par nature ça repousse, il n'y a qu'à obtempérer, je n'ai surtout pas envie de la fâcher...
- Présenté comme ça, je suis prêt à t'obéir !
- Tu ne le regretteras pas tu verras, je te préparerai une petite surprise pour la prochaine fois. J'ai une autre demande à te faire, tu me diras oui ?
- D'abord, j'adore les surprises ! Et enfin oui, demande moi tout ce que tu veux.
- J'ai adoré la dernière fois quand tu es venu me lécher après que tu as éjaculé en moi et j'aimerais que tu recommences.
La première fois, elle ne m'avait pas vraiment laissé le choix, et j'avais bien été obligé de surmonter ma première appréhension, pour finalement plutôt apprécier. Je me repositionne donc tête bêche par rapport à elle, nous sommes tous les deux sur le côté, et je recommence à fouiller avec la langue son minou plein de ma semence. Il faut que je la lèche, que je la suce, tout en avalant mon sperme que j'avais largement envoyé au fond d'elle. Pour m'encourager, Siham prend mon sexe encore gluant en bouche, et le suce également, pour que nous partagions un délicieux 69. L'excitation est tellement grande qu'au bout d'un quart d'heure, on se fait jouir à nouveau l'un et l'autre. Je peux ainsi une nouvelle fois goûter à mon foutre lorsqu'elle se repositionne pour que nous nous embrassions.
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