Abel (Suite De Gédéon)

Abel

Allongée près de mon mari je ne peux dormir, il fait si chaud sur cette îles tropicale. Cet après-midi, un autre homme que mon mari m’a prise sur la plage et m’a fait jouir. Je sens encore en moi sa grosse queue noueuse me pistonner le vagin. Gédéon mon bel indien à la peau cuivrée, c’est le prénom qu’il m’a donné avant de s’allonger sur moi. Je ne peux m’empêcher de penser à lui. Il avait bien vingt ans de plus que moi. Il m’a si bien fait l’amour, c’était si bon son gros sexe dans ma chatte. C’était si bon aussi de faire çà devant Alain qui nous regardait baiser. Alain avec son sexe trop court, pas assez gros pour que je ressente du plaisir quand nous faisons l’amour. Je l’aime et me donner à lui me fait plaisir, mais avec lui j’ai si rarement ressenti mon ventre s’enflammer. J’ai aimé me donner à un autre homme devant lui. Je sais que malgré sa jalousie il en a éprouvé du plaisir. Moi j’en ai eu, surtout la seconde fois, où j’ai joui au moins trois fois. Je ne regrette pas d’avoir baisé avec cet inconnu.
Quand nous étions gamins au village Alain était déjà mon amoureux. Il était mon camarade de jeux. Des jeux pas toujours innocents, mais qui se limitaient à des attouchements des frottements sur nos sexes. Parfois nous avions avec nous d’autres camarades du village et Alain les laissait jouer avec moi sur moi. Il y avait aussi Yves et sa petite sœur la Nine sa cadette de deux ans. Moi avec Yves et Alain avec Nin qui, jambes ouvertes s’offrait à lui. J’aimais moi aussi le regarder le faire avec une autre. Elle se tendait bien la petite cochonne et semblait prendre du plaisir aux frottements du sexe dur d’Alain dans son petit abricot. Contre moi, Yves s’activait frottait sa petite verge pas trop dure contre les lèvres du mien. Je le faisais aussi souvent avec les autres garçons quand Alain était absent. J’avais alors le feu aux fesses. Mais ne sachant encore trop bien comment on pouvait tomber enceinte je ne laissais pas les garçons aller plus loin que des frottements sur mes parties intimes.


Puis la vie nous a séparés, mes parents ayant trouvé un travail dans un autre village. Dans mon nouveau village j’ai continué mes jeux de gamine délurée avec de nouveaux petits copains. Mais à 19 ans j’étais cependant toujours vierge, mais bien sûr pas si innocente.
Mon pucelage, je l’ai perdu à 19 ans lors du bal du muguet le premier mai. Lui avait comme Gédéon 20 ans de plus que moi. Il savait y faire avec les filles le bel Abel, ce soir-là, je n’ai pas pu résister à l’envie qu’il avait mise dans mon jeune corps. Je ne regrette pas d’être devenue femme dans ces bras de quadragénaire un peu bedonnant.
Roger mon petit copain du moment était retenu au service militaire. Il avait fait une bêtise et était consigné pour la fin de semaine. Nous devions cependant aller au bal. Avec ma copine, au bar du village nous nous demandions comment nous allions faire pour nous rendre au bal distant d’ une dizaine de kilomètres. Roger avec la voiture de son père nous conduisait les autres fois. Il nous fallait trouver une voiture. Pas question pour moi de louper un bal parce que mon petit copain s’était fait punir comme un gamin. En Plus Laurent l’ami de ma copine nous attendait là bas.C’est alors qu’Abel le charcutier du village était entré dans le bar. C’était un quadragénaire, bel homme mais un peu enrobé à la réputation de coureur de jupons. Chaque samedi il courait les bals et y trompait sa femme avec celles qui voulaient bien se laisser séduire. A notre tenue, Abel avait compris où nous allions, ce bal étant ce soir-là le seul de la région. Il s’était gentiment proposé pour nous y conduire. Ravies de l’aubaine nous avions accepté. Abel nous le connaissions, il était voisin de mes parents. Moi je savais que parfois quand je traversais le village son regard s’attardait sur mes seins et les balancements de mes fesses. Cela m’amusait de l’allumer un peu et puis il était gentil.
Dans la voiture, il m’a fait asseoir près de lui à l’avant. Tout en conduisant, amusée, j’ai surpris plusieurs fois son regard s’attarder sur mes cuisses à demi découvertes par ma courte robe.
La mode était courte à cette époque, très courte, Abel pouvait presque savoir que ma petite culotte était blanche. De savoir qu’il me regardait les cuisses avait cependant rendu le fond de cette petite culotte légèrement humide. Cela m’excitait de savoir que je lui plaisais.Arrivés au bal, nous avons retrouvé Laurent, le copain de mon amie lui aussi militaire et ayant une permission. Il n’était pas puni, lui. Les deux amoureux se sont longuement embrassés et se sont un peu éloigné vers le bois tout proche, pour avoir sans doute un peu plus d’intimité après un long mois de séparation.
Abel tout comme moi avait deviné ce qu’ils étaient parti faire. Nous étions seuls à l’entrée du bal. Abel qui s’est galamment offert pour être mon cavalier en l’absence de mon petit copain. Connaissant Abel, je me suis dit : « fais attention Josette, c’est un cavaleur, il va essayer de t’avoir » mais j’ai accepté il n’allait pas me faire de force ce que je ne voulais pas. Il était cavaleur mais avait une bonne réputation. Il allait avec celles qui le voulaient bien. Et puis la présence d’Abel allait éloigner les quelques dragueurs que je connaissais et qui n’allaient pas manquer de vouloir profiter de l’absence de Roger mon petit ami.Abel me tenant pas la taille m’a conduite à l’entrée du bal où il a payé mon entrée, a pris une table et m’a offert boire. Puis il m’a invitée à danser ce que je ne pouvais refuser. Je l’ai suivi sur la piste et je me suis retrouvée dans ses bras. Il dansait bien, çà je le savais et c’est avec plaisir qu’aimant danser je me suis laissée guider.
Sur la piste après une série de valses, l’orchestre a enchaîné par un slow, une danse faite pour les amoureux, propice au rapprochement des corps. De suite, la lumière a été baissée dans la salle. Je me suis retrouvée contre Abel. Lors des valses nos corps s’étaient frôlés, serrés parfois, mais là les bras forts d’Abel me collaient à lui. J’étais bien. Mon cavalier était fort, dansait si bien, la musique était si douce.
J’ai fermé les yeux et me suis laissé bercer en le laissant me serrer de plus en plus contre lui. Près de nous dans la pénombre des couples s’embrassaient à pleine bouche, des corps se cherchaient. Quand la bouche d’Abel s’est posée dans mon cou et en m’embrassant est remontée à mon oreille, je n’ai pu m’empêcher de frémir. J’ai toujours aimé cette caresse. Je ne me suis pas dérobée me suis même encore plus serrée contre lui. Il m’a encore embrassée dans la nuque, puis m’a parlé à l’oreille.
- Tu es bien dans mes bras ?
- Oui, tu danses bien !
-Tu me plais tu sais, tu ne regrettes pas d’être avec moi et pas avec ton Roger ?
-Roger n’avait qu’à pas se faire punir. Toi tu es là et j’aime bien être dans tes bras, Tu me plais toi aussi, je suis avec toi ce soir tant pis pour Roger, serres moi contre toi !
Alors ses grandes mains d’homme on commencer à courir sur moi, sur mon dos, mes reins et mes fesses. Elles m’ont plaquée sur lui et alors je n’ai pu ignorer l’effet que je lui faisais. Sa verge était dressée, dure, si dure contre mon ventre. Grisée par l’envie que le désir provoqué chez mon cavalier, je n’avais pas tenté de m’écarter.
Habituée des bals, ce n’était pas le premier garçon qui en dansant m’avait fait sentir sa virilité dressée. Cela me troublait toujours un peu, mais je n’avais jamais cédé. Même quand après les avoir suivi derrière le bal pour me laisser embrasser et peloter un peu, je les laissais toujours sur leur faim. Certains avaient parfois le droit de m’embrasser les seins, de sucer mes tétons, me caresser entre les cuisses par-dessus ma petite culotte. Aucun ne m’avait eue, même Roger. Lui il avait le droit de me caresser partout, mettre ses doigts dans moi. Il était le seul qui avait réussi à me faire lui donner du plaisir avec ma main sur lui et un peu plus certains soirs quand il me rejoignait dans ma chambre chez mes patrons absents, mais sans me pénétrer complètement.
Avec Abel, comme avec les autres j’étais certaine de pouvoir me défendre.
J’allais sans doute le suivre dehors. Au pire je le soulagerai avec ma main pendant qu’il embrasserait mes seins. J’aimais bien me retrouver dans cette situation, je masturbais alors le garçon pour préserver ma vertu. La verge d’Abel était grosse, je le devinais à ce que je sentais contre mon ventre. J’allai aimer la caresser dans ma main et lui donner du plaisir.
La lumière avait encore baissé, seuls quelques petits spots bleus éclairaient encore faiblement le bal. Près de nous, je le devinais que des filles se laissaient peloter. Il y avait des soupirs et parfois des petits gémissements de plaisir. Les corps s’échauffaient, des mains s’égaraient, les caresses s’enhardissaient sur des intimités qui ne demandaient plus qu’à s’ouvrir au plaisir. Contre moi, Abel était dur, son membre était pressé sur mon ventre. Quand sa bouche s’est posée sur la mienne, j’ai laissé sa langue venir se lier à la mienne. Pendant notre baiser, j’ai senti sa main remonter sous ma robe entre nos deux corps et venir entre mes cuisses au contact de mon slip. De suite, ses doigts sont entrés sous le frêle rempart de ma féminité. Un doigt impatient a ouvert les lèvres humides de ma vulve et a effleuré mon petit bouton si sensible. Ce doigt l’a trouvé durci, sorti de sa petite gaine. Abel m’a caressé un moment tout en continuant à m’embrasser. J’étais excitée comme jamais un garçon n’avait pu le faire. Mes jambes fléchissaient, mes cuises s’ouvraient. En homme habitué aux femmes Abel a compris que j’avais envie de faire l’amour, que j’étais à lui s’il le voulait.
- Viens, sortons on sera mieux dehors ma chérie, viens j’ai trop envie de toi !
Me tenant par la main, profitant de l’obscurité complice pour quitter le bal nous avons fendu la foule des danseurs pour gagner la sortie. Je l’ai suivi le coeur battant sachant ce qu’il allait m’arriver en allant avec lui.Dehors dans la nuit noire, un arbre nous a accueillis. Plaquée contre l’écorce rugueuse je me suis laissé de nouveau embrasser à pleine bouche. C’était la première fois que je faisais çà avec un homme de cet âge, les autres fois mon danseur avait mon âge ou presque. De suite les mains d’Abel ont été partout sur moi, mes seins, mes cuisses, mes fesses, ma chatte. Mon corsage a été ouvert et mes jeunes seins dévorés par une bouche gourmande pendant que sous ma robe, deux mains habiles baissaient ma petite culotte jusqu’à mes chevilles. Je ne savais plus trop ce que je faisais. Il savait y faire mon Abel. Sa main sur moi était si douce, si entreprenante, si caressante sur mon clitoris et entre les lèvres de ma vulve. Puis le doigt est venu sur ma grotte et en a l’orée. J’avais envie d’être prise, j’ai poussé un gémissement et n’ai pu empêcher mes jambes de se dérober sous moi. La bouche gourmande dévorait toujours mes seins. Il y a eu la main entre nos corps alors qu’Abel avait légèrement reculé son ventre. J’ai alors deviné qu’il sortait son sexe. Il allait me prendre, me dépuceler. J’étais sans force et j’en avais envie. Il m’a soulevée en me tenant sous les cuisses. Dans mon dos, l’arbre complice l’aidait dans son entreprise.
- Tu veux bien faire l’amour, j’ai envie de te prendre ma chérie, tu me plais trop !
- Oui mon chéri, prends moi, mais fais attention, je l’ai jamais fait avec Roger, je suis vierge.
- L’idiot, il ne t’a pas encore fait l’amour. Je vais être doux ma chérie, tu vas aimer çà ma belle.
Il n’y a pas eu d’autres mots. Entre mes cuisses bien écartées que j’avais d’instinct nouées dans les reins de mon séducteur, J’ai senti le gland dur venir entre mes lèvres intimes et se placer à l’entrée grande ouverte de mon sexe. Abel a poussé lentement son dard en avant en le faisant descendre sur lui. Le gland a écarté mes chairs intimes et s’est entré dans moi. C’était plus gros qu’avec mon petit copain Roger, que deux ou trois fois, en faisant bien attention de ne pas me faire déflorer, j’avais laissé entrer un peu lors de nos ébats amoureux. Mais ce soir j’avais trop envie de devenir femme pour retenir mon amant, mon petit cri de douleur s’est éteint dans sa bouche quand il m’a faite femme. Je l’avais en moi, en moi tout au fond de mon vagin presqu’ inviolé jusqu’alors et déjà il allait et venait.
Accrochée à l’homme je me suis alors laissée aller vers le plaisir, ce plaisir des femmes qu’il allait me faire découvrir. Son membre était gros, bien plus gros que celui de Roger qui après deux ou trois va et vient à l’entrée de mon vagin sans forcer sur ma virginité éjaculait ensuite sur mon ventre. Abel était fort, tout en me portant sous les cuisses et en me prenant, il m’a couchée dans l’herbe et là au bout de quelques minutes de baisers, de va et vient dans mon ventre, de baisers sur ma bouche, dans mon cou, sur mes seins aux tétons tout durs, j’ai senti ses mouvements devenir de plus en plus amples, de plus en plus rapides. Dans mon ventre le feu a gagné mon sexe, j’ai gémi, râler de plaisir alors qu’il me labourait encore. J’étais transportée, j’étais femme un homme allait prendre son plaisir sur moi, dans moi. Alors j’ai osé, je lui ai dit ce que je voulais, ce que je ressentais …
- Reste, reste dans moi, mets moi tout mon chéri, je suis ta femme ce soir, je veux ton jus d’homme dans ma petite chatte.
Mes paroles crues, inhabituelles dans ma bouche, ont sans doute déclenché son plaisir. Enfin je l’ai senti venir tout au fond de mon intimité. J’ai senti les giclées chaudes de sa semence contre mes chairs les plus intimes. Quand il a retiré son sexe encore à demi dur, j’avais plein de sperme sur les cuisses et mes fesses.
Nous ne sommes pas retournés dans le bal. Dans sa voiture au retour, dans l’abri d’un petit chemin, il m’a prise à nouveau. Nous nous étions mis nus, il a été le premier homme de qui j’ai goûté le sperme lors d’une fellation.

Ce tantôt avec Gédéon, le plaisir a été aussi fort, j’aimerai le revoir, mais je sais qu’Alain ne sera pas d’accord. Près de moi Alain mon mari dort toujours. Je n’ai que ma main pour apaiser mon corps en feu.

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