Dans Les Gorges (2)
Whaou !
Que démotions ! (voir dans les gorges N°1)
Ma jolie petite salope semble glisser doucement dans une somnolence réparatrice, ce qui mest impossible : je suis trop chaud de ce quil vient de se passer, et notre voyeur est toujours là.
Alors je glisse un « je vais me promener, sois sage
» à ma femme qui sendort et je prétends aller crapahuter dans les bois environnants.
Mais avant de partir je glisse un regard entendu au gars
.quest-ce qui marrive ? Jai vraiment envie quil se passe ce que je crois quil va se passer ?
Je men vais donc pour une balade qui me ramène en 2 minutes dans un petit poste de vigie, caché derrière les arbres, vue sur ma femme mais invisible pour ma part.
Les sentiments sentrechoquent à lintérieur de moi, je ne débande pas en regardant ma femme nue qui écarte négligemment les jambes dans son demi sommeil et
notre jeune et beau voyeur qui savance doucement vers elle.
Il avance prudemment, se régalant du corps offert de ma femme, tout en ne sachant pas trop comment laborder dirait-on.
Puis, marchant sur une branche, il la sort de sa léthargie et se retrouve sous les yeux cette fois-ci bien ouverts de ma femme, pris comme un la main dans le paquet de bonbons, sa pagaie à la main. Linstant est crucial : comment va-t-elle réagir ? La peur ? La colère ?
Non : « jeune homme ? » linterpelle-t-elle doucement.
« Désolé madame, je ne voulais pas vous déranger, simplement vous emprunter un peu de crème solaire : je suis parti un peu rapidement ce matin et ça tape déjà dur
« mais pas de problème jeune homme, tenez prenez la mienne » dit-elle tout sourire. Je la connais, je sais quelle apprécie ce physique bien musclé et cette barbe de 3 jours un peu rouquine. Dailleurs cest avec un grand sourire quelle se retourne vers moi !
Comment, cest impossible, je suis invisible depuis ma cachette !!
Et tandis que le jeune commence à se tartiner les jambes en lui tournant le dos pour feindre une certaine pudeur, je lentends dire « donnez-moi ça, il y a des endroits que vous natteindrez pas seul ».
Le gars, nen demandant pas tant, lui passe le tube et fait semblant de continuer à soindre les pecs pendant quelle sattaque à son dos avec
..eh bien nous dirons délectation : en effet, cela ressemble plus à des caresses quà une simple application.
Elle profite à fond de ce dos musclé, passe et repasse sur les trapèzes tendus et descend jusquà la limite, non elle dépasse même un tout petit peu la limite du maillot de bain !
Je ne sais pas comment ça se passe devant mais jai idée que ce dernier doit être sensiblement déformé
Mais dailleurs il semble que je ne sois pas le seul à me poser la question puisquelle lui dit fermement « tournez-vous, il faut que lapplication soit homogène sinon vous allez avoir des différences de bronzage, ce qui serait dommage sur un si joli corps
.
Le voilà donc qui se retourne « avec plaisir mais je ne veux pas déranger ».
« Shhht »
Elle ne peut pas ne pas avoir vu cette bosse dans son caleçon mais nen dit rien.
Et la voilà qui prend le relais sur ses pecs ma foi un peu plus toniques que les miens, et qui applique consciencieusement la crème solaire sur lensemble de son torse en disant : fermez les yeux, je vais vous en passer sur le visage, ne les rouvrez que quand je vous le dis, je ne voudrais pas vous en mettre dans lil.
Le jeune obtempère, mais au lieu de son visage, cest son caleçon de bain quelle vise et, se mettant à genoux, elle lui fait glisser jusquà terre, révélant une courte bite noueuse pointant vers son nombril
Senduisant les mains de crème, la voilà qui lui en applique sans préavis et sans complexe sur la bite avec une dextérité que je croyais être le seul à mériter : ses mains alternent lune lautre, quand lune est arrivée au bout du vit lautre a déjà commencé à le travailler, du travail de pro.
Je suis fou dans mon coin, je pourrais intervenir mais pourquoi faire ? Dabord jaime ce que je vois, ensuite cela ne porte pas vraiment à conséquence tant que ça sarrête là, et puis son regard dans ma direction ma figé tout à lheure : « si cest ce que tu veux chéri, tu vas lavoir
» Semblait-il dire.
Je me touche distraitement la queue en me posant ces questions, mais pas trop car je suis à nouveau au bord de jouir.
Le jeune gars respecte la consigne, garde les yeux fermés, mais laisse divaguer une de ses mains sur les seins récemment crémés de ma femme, il commence à soupirer.
Elle continue de plus belle, et lastique de plus en plus fort, et ce qui devait arriver arriva : tout son corps se tend puissamment et, les deux mains sur les épaules de ma femme, il explose de plaisir, lui envoyant 5 giclées phénoménales, en pleine tête pour les deux premières, et sur ses gros seins pour les dernières.
Jen fais deux même dans mon coin, engluant définitivement deux fourmis.
« merci beaucoup madame, vous êtes bien serviables lui dit-il avec un clin dil. »
« Ce fut un plaisir jeune homme, même si cest moi qui en ai eu dans lil ! »
Et le gars sen va, heureux comme un gars aux couilles vides, pendant que ma femme finit détaler lensemble sur ses seins en le regardant avec le sourire.
Une fois un peu calmé, je reviens vers elle, et toujours incertain quant au fait quelle mai vu ou pas je lui demande : »ça va chérie ? tu ne crains pas dattr un coup de soleil ? »
« pas de problème, jai remis de la crème » me répond-elle
.
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