Nouvelles Amies
Je suis seule depuis son départ. Je l'aimais comme une folle, il m'a quitté pour une autre. Je reste prostrée complètement, même mon travail au bureau s'en ressent. Je ne fais rien sinon pleurer seule dans ma chambre le soir. Je n'ai même plus envie de me faire plaisir. Pourtant il faut bien que je me bouge un peu, je ne vais pas continuer à sombrer dans la déprime à cause de lui. Ce soir c'est décidé, je sors. J'ai envie d'aller au restaurant, pas le bas de gamme. Je veux aller au plus côté.
Je m'habille en conséquence. Je prends même un taxi pour l'occasion.
Le maître d'hôtel me reçoit: il n'a plus de place, à moins que j'accepte d'aller à une table déjà occupé par une dame. Ça ne me dérange pas du tout: il revient un instant plus tard, la dame est d'accord. Avant de m'asseoir elle me tend une main en se présentant:
- Je m'appelle Martin, Jane martin, mes amis m'appelle Jane, faites comme eux.
- Moi, je me nomme Novembre, comme le mois, Novembre Julie. Appelez moi Julie.
Ainsi la glace est rompue. Je crois avoir affaire à une femme d'un certain standing. La suite le confirme: c'est elle qui passe la commande depuis les hors d'uvre jusqu'à la pâtisserie, sans parler des vins toujours accordés aux plats. Nous bavardons comme de vielles amies. Le repas dure un bon moment: nous bavardons trop sans doute. C'est vrai que nos langues de cessent de sortir des mots intéressants surtout quand nous parlons inévitablement sexe. Elle aussi est dans mon cas. Sauf qu'elle était mariée. Petit à petit le restaurant de se vide. Soudain elle pose une main sur mon bras. Je la laisse faire, ni voyant aucun mal. Elle me serre un peu, c'est sans importance. Nous nous regardons dans les yeux en nous souriant. Sa main ne me serre plus, elle me caresse légèrement mais le bras. Je ne sais pourquoi je la laisse faire.
Nous sommes les dernières clientes: nous devons partir, le maître d'hôtel nous appelle un taxi. Nous y montons: la direction: ma compagne lui indique l'endroit qui domine la ville.
Nous entrons dans une maison de poupée tellement tout est assorti. Elle me fait asseoir sur un fauteuil confortable; me propose une boisson que je refuse. Elle vient s'asseoir sur un accoudoir pour m'embrasser. Ce baiser dure encore plus que le premier. Je commence à mouiller: j'ai envie d'elle. Je me lève pour me trouver contre elle. Nous avons la même taille. La seule différence: je suis châtain clair, elle est brune. Nous nous serrons tellement que nous n'arrivons plus à respirer.
Quand nous nous séparons un peu j'en profite pour lui enlever la veste du tailleur: elle ne porte dessous qu'un soutien gorge mini qui met en valeur une belle poitrine.
Nous savons bien comment va finir la soirée, aussi nous ne gênons pas. A son tour elle me fait sortir de ma veste. Je ne porte rien dessous. Je n'attend pas longtemps ses caresses: elle me flatte les seins en insistant sur les tétons qu'elle prend entre deux doigts sans serrer. Elle m'excite encore plus. Elle pose sa bouche sur le sein: je sens sa langue me faire un bien fou. Je ne vais pas rester sans tien faire: à mon tour, je dégrafe son soutien gorge pour lui rendre presque les même caresses. Je vais plus loin en défaisant la fermeture de sa jupe. Elle la laisse tomber. Elle ne porte qu'un mono string qui me laisse deviner son ticket de métro. Je passe un doigt sous l'élastique pour lui toucher au moins la chatte. Comme elle écarte un peu les jambes en une silencieuse invitation, je cherche un peu pour trouver son clitoris.
- Nous y serons mieux pour nous faire ces choses là;
- Tu l'a déjà fais ?
- Jamais et toi ?
- Moi non plus.
- Vite baisons nous.
Il ne faut pas répéter deux fois la même chose: nous en avons envie toutes les deux. Nous nous couchons cote à cote. Nos lèvres à nouveau s'embrassent. Je prends l'initiative: elle commente:
- Oui, suces moi les seins, caressent l'autre en même temps, Oui, descends ta bouche sur mon ventre.
Arrête toi un peu sur mon pubis: j'ai envie de ta langue, je meurt d'envie de ta langue. Oui, mets moi tes doigts sur mon bouton, descends les vers mon cul, ou, rentres les, j'aime jouir par là. Ne t'arrêtes pas, entre les et sorts les encore je jouis. Oui caresse moi encore mon bouton, Je vais jouir encore. Mets moi tes doigts dans mon con et doigte moi, j'aime ça. J'aime ce que te me fais, je t'aime aussi.
Oui ta langue maintenant sur mon cul. Rentres la un peu, j'aime. Oui suce moi le clito comme tu fais. Je ne sais pas ce que tu me fais, je jouis encore. Reste encore sur moi, baises moi. J'aime tout ce que te me fais.Je suis obligée d'arrêter: ma langue n'en peut plus. Je l'embrasse pour qu'elle goûte aussi sa cyprine. J'en ai la figure pleine. J'ai aimé sa jouissance, j'ai aimé la faire jouir. Et pourtant c'est ma première fois avec une autre. Notre baiser s'interrompt:
C'est elle qui me caresse et me baise comme je le lui ai fait. Je ne sais pas non plus comment elle fait: les résultats sont là: je jouis plusieurs fois, comme elle.
Nous avons encore envie l'une de l'autre. Cette fois encore j'agis: je l'enjambe, je pose ma bouche sur ses lèvres intimes.
Nous sentons nos jouissances à chaque fois.
Nous revenons dans une position normale. Jane me réserve une surprise: elle a un double gode qui lui permet de se le mettre à la fois dans le con et dans le cul. Il peut servir aussi à deux.
Cette fois nous allons baiser avec une bite même fausse. Elle me fait coucher sur le dos, la tête vers les pied du lit, les jambes ouvertes. Elle se met dans la même position. C'est elle qui me baise la première en me rentrant le bout du gode, elle se le met dans son sexe à peine un tout petit instant. Elle assure les vas et viens. Nous gémissons ensemble jusqu'à l'éclatement simultané de nos orgasmes. Elle maintien les gode dans nos sexe. Je lui demande de nous enculer. Elle le fait comme si nous avions une vrai bite au cul. Nous jouissons encore une fois ensemble.
Nous sommes bien obligées d'arrêter, totalement crevées. Nous nous endormons dans les bras de l'autre. Dès le réveil nous avons encore envie de nous baiser. Pour aller plus vite nous faisons un 69. Nous nous levons, prenons la douche ensemble, d'ou une masturbation sous l'eau et le jet.
Nous allons déjeuner. Nous nous partageons le travail: à elle le café, à moi le pain grillé. Nous faisons notre tâche sauf que nous sommes toujours nues et attirées par le corps de l'autre. Nous nous forçons à déjeuner et dès la dernière bouchée avalée, elle vient s'asseoir sur la table les jambes ouvertes devant ma bouche. Je sorts encore ma langue et lui lèche encore son bouton. A moi de m'asseoir: j'ai bien droit à sa langue, pas au même endroit: mon anus s'ouvre et sa langue me fait jouir par le cul.
Nous visons ensemble comme un couple, même si quelque fois nous baisons avec un homme: c'est pour nous une faute vénielle: la punition est un léchage prolongé des zones "infectées" par l'homme.
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